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Suisse

Nestlé conteste avoir subi une cyberattaque

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La décision de Nestlé de continuer à vendre certains produits qualifiés d'essentiels en Russie soulève des protestations (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Nestlé est la cible de pirates informatiques. Un groupe de hackers prétend avoir publié sur internet des données piratées au cours de la nuit de mardi à mercredi. Selon Nestlé, il n'en est rien et ces affirmations sont fausses.

Le groupe de pirates informatiques Kelvinsecurity a publié un petit échantillon de données via Twitter et prétend s'être emparé de 10 giga-octets de données. La diffusion de ces déclarations via le compte Twitter "LatestAnonPress", qui, selon ses propres dires, appartient au collectif de pirates Anonymous, a attiré une grande attention. Une vérification est toutefois difficile, Anonymous étant un groupe décentralisé.

L'affirmation selon laquelle Nestlé a été victime d'une cyberattaque et d'une fuite de données est dénuée de tout fondement, a rétorqué Nestlé dans une prise de position. Il s'agirait d'un cas survenu en février de cette année, lorsque des données de test et disponibles de toute façon publiquement ont été mises en ligne par erreur pendant une courte période.

Le cas a été rapidement examiné et il a été conclu qu'aucune autre mesure n'était nécessaire. "La cybersécurité est l'une de nos principales priorités", a ajouté Nestlé.

Sous le feu de la critique à cause des activités en Russie

Des groupes de pirates avaient sonné la charge contre Nestlé suite à l'appel resté vain du président ukrainien Volodymyr Zelensky au numéro un mondial de l'alimentaire de quitter la Russie. Nestlé a déclaré avoir stoppé toutes les importations et exportations de Russie, sauf pour les produits de base.

Dans le cadre de la guerre menée par la Russie contre l'Ukraine, des pirates informatiques font régulièrement état de succès dans des cyberattaques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse Romande

Une perte de 36,4 millions pour l'Hôpital fribourgeois en 2023

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L'Hôpital fribourgeois (HFR), ici son site principal à Villars-sur-Glâne, a essuyé une perte de 36,4 millions de francs en 2023, bien davantage que les 27,9 millions inscrits au budget (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

L'Hôpital fribourgeois (HFR) a subi l'an dernier une perte de 36,4 millions de francs, au lieu des 27,9 millions de francs budgétisés. Le montant est plus élevé, malgré l'anticipation des effets de l’inflation, de l’indexation des salaires et du statu quo des tarifs.

Sans les effets exogènes, le déficit serait ressorti à 13,1 millions de francs, a indiqué vendredi l'institution. A ces facteurs externes se sont ajoutés une forte variation saisonnière de l’activité stationnaire, avec un creux "inhabituel" de mai à août et un nombre plus élevé de journées d’attente par rapport à l'exercice précédent.

L’activité ambulatoire hors Covid-19 a poursuivi pour sa part sa progression, tandis que le taux de fluctuation du personnel diminuait. Pour rappel, l'HFR avait essuyé une perte de 4,2 millions de francs en 2022, pour une somme de -15,7 millions attendue. Cette année, il prévoit d'inscrire un débours de 29,8 millions.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Climat

EPFL: les éclairs ascendants scrutés depuis le sommet du Säntis

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Le sommet du Säntis, en Suisse orientale, est frappé par plus d'une centaine d'éclairs chaque année (archives). (© KEYSTONE/GIAN EHRENZELLER)

Des scientifiques de l’EPFL ont enregistré les rayons X émis au départ d’éclairs ascendants. Leur étude réalisée au sommet du Säntis permet de mieux comprendre les origines de cette forme de foudre rare et particulièrement dangereuse.

L'équipe de Farhad Rachidi, à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), a pour la première fois mesuré directement un phénomène insaisissable qui explique en grande partie l’origine d’un éclair, les rayons X, selon ces travaux publiés dans la revue Scientific Reports.

En collaboration avec la Haute école spécialisée de Suisse occidentale et l’Université d’Uppsala (Suède), les scientifiques ont enregistré des éclairs depuis la tour située au sommet du Säntis (AI/AR/SG).

Ils ont identifié les rayons X émis au commencement d’éclairs positifs ascendants. Ces éclairs débutent par des vrilles chargées négativement qui montent progressivement depuis un objet situé à haute altitude, avant de rencontrer un nuage d’orage, transférant ainsi une charge positive au sol. Plus rares que les éclairs descendants qui vont d'un nuage vers le sol, ils sont aussi plus dangereux.

"Ils peuvent faire plus de dégâts, car pendant un éclair ascendant, la foudre reste en contact avec une structure plus longtemps que pendant un éclair descendant", explique Toma Oregel-Chaumont, qui prépare un doctorat au sein du Laboratoire de compatibilité électromagnétique, cité vendredi dans un communiqué de l'EPFL.

Bien que l’on ait déjà observé des émissions de rayons X dans d’autres types d’éclairs, c’est la première fois qu’on les enregistre dans des éclairs positifs ascendants.

Mécanismes mystérieux

Le mécanisme à l’origine du déclenchement et de la propagation de la foudre reste un mystère. L’observation de la foudre ascendante depuis des structures élevées comme la tour du Säntis permet de corréler les mesures de rayons X avec d’autres grandeurs mesurées simultanément, comme les observations vidéo à grande vitesse et les courants électriques.

Cette tour de 124 mètres est une cible privilégiée pour la foudre. La ligne de vue est dégagée depuis les sommets voisins, et la vaste installation de recherche est équipée de caméras à grande vitesse, de détecteurs de rayons X, de capteurs de champ électrique et d’appareils de mesure du courant.

La vitesse et la sensibilité de cette installation ont permis à l’équipe d'étayer la théorie selon laquelle les augmentations soudaines du champ électrique de l’air provoquent la "fuite" des électrons ambiants, qui se transforment en plasma: la foudre.

Les observations au sommet du Säntis - qui est frappé par plus de 100 éclairs chaque année - vont se poursuivre. Les scientifiques prévoient d’équiper la tour d’un capteur de micro-ondes, ce qui pourrait permettre de déterminer si cette théorie s’applique également à la foudre descendante.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Soldat tué à Bremgarten: la justice militaire parle d'un suicide

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La victime avait été touchée à la tête par un tir de fusil d'assaut (image d'illustration). (© KEYSTONE/PATRICK B. KRAEMER)

La justice militaire estime que la mort d'un soldat mardi sur la place d'armes de Bremgarten (AG) est un suicide, selon les premières constatations. Le jeune homme de 22 ans avait été atteint par un tir de fusil d'assaut.

"Sur la base des résultats provisoires de l'enquête, nous estimons qu'il s'agit d'un suicide", a déclaré vendredi un porte-parole de la justice militaire, Florian Menzi, à Keystone-ATS. Jusqu'ici il était question d'un tir accidentel lors d'un exercice de l'école de recrues de ravitaillement 45.

La victime âgée de 22 ans a été touchée à la tête par un tir alors qu'elle se trouvait dans un véhicule militaire. Elle est décédée à l'hôpital. Une enquête de la justice militaire est en cours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Le Musée Jenisch propose 300 oeuvres en ligne

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Exposée en juin 2015 au Musée Jenisch, "Etude de composition pour Floraison" du peintre Ferdinand Hodler fait partie des oeuvres désormais accessibles en ligne (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BRUN)

Quelque 300 oeuvres du Musée Jenisch de Vevey (VD) sont désormais accessibles en ligne via une plateforme. L'institution, qui conserve pas moins de 40'000 estampes, 11'000 dessins et 1600 peintures, compte ainsi valoriser la richesse de ses collections.

"Ce travail répond à une volonté d'offrir au public une expérience de proximité avec les oeuvres emblématiques du musée, qu'elles soient exposées ou conservées dans les réserves", fait savoir l'institution dans un communiqué. Ces pages du site internet sont appelées à devenir une "nouvelle vitrine" du musée.

Pour des raisons de conservation, les oeuvres sur papier ne peuvent pas être exposées plus de trois mois tous les trois ans. La mise en ligne des "trésors des réserves" était donc "primordiale", estiment les responsables.

Outre une image de l'oeuvre en haute définition, la plateforme donne les informations essentielles relatives à l'oeuvre, parfois accompagnées d'un commentaire. Le projet de mise en ligne des collections du Musée Jenisch est soutenu par l'Office fédéral de la culture. La base de données sera enrichie au fil des années.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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