Suisse
Nouveau directeur financier pour Lonza
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Le sous-traitant de l'industrie pharmaceutique Lonza a nommé Philippe Deecke au poste de directeur financier. Il succède à Rodolfo Savitzky qui quittera le groupe bâlois en fin d'année pour Softwareone.
M. Deecke a travaillé pendant 16 années pour le géant pharmaceutique rhénan Novartis, notamment en tant que responsable des finances au niveau global pour la division oncologie, a précisé Lonza jeudi dans un communiqué. Il a également oeuvré dans ces fonctions pour la filiale génériques et biosimilaires Sandoz.
Grâce à son parcours professionnel, le nouveau venu apporte "une solide connaissance des besoins de la clientèle et de la production dans l'industrie pharmaceutique", a souligné le directeur général Pierre-Alain Ruffieux.
Quant à M. Savitzky, qui occupe les fonctions de directeur financier de Lonza depuis octobre 2016, il a été recruté dans ce même poste par la société informatique Softwareone. Il succèdera début janvier 2022 à Hans Grüter.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Genève
Genève: quatre start-up obtiennent des soutiens financiers du FIF
Grâce à un doublement des financements publics dédiés aux projets innovants, le Fonds cantonal pour l'innovation de la FONGIT (FIF), à Genève, peut désormais diversifier son champ d’action. De nouvelles filières thématiques ont ainsi été créées. Elles ont sélectionné les quatre premières start-up qui bénéficieront d’un prêt et d’un accompagnement spécifique.
En juin 2025, le Grand Conseil acceptait d’augmenter le budget des soutiens publics aux projets innovants. Sur la période 2025-2027, plus de 8 millions de francs viendront aider les entreprises genevoises à développer leurs idées, rappelle le Département de l'économie, de l'emploi et de l'énergie (DEE) jeudi dans un communiqué.
Cette dotation est au c½ur du premier Plan directeur de l'innovation présenté en mars dernier. Deux nouvelles prestations de soutien à l’innovation ont ainsi pu être créées: le FIF Digital et le FIF Impact. Le premier vise à renforcer spécifiquement le développement des technologies numériques, tandis que le second accompagne des projets innovants à fort impact social.
Nouveaux instruments
Les premières start up bénéficiaires, dont trois sont actives notamment dans le domaine de l'IA, ont été sélectionnées. Ovomind reçoit ainsi un prêt de 50'000 francs du FIF Digital pour son projet de personnalisation des expériences de jeux vidéo grâce à l’analyse des émotions en temps réel.
Même attribution pour ZenOwn et son logiciel d’augmentation de la visibilité des produits dans les commerces de détail, ainsi que pour DiPriMa qui optimise la gestion des contrats pour les entreprises. Enfin NanoAid reçoit une bourse de 20'000 francs du FIF Impact pour sa solution innovante et miniaturisée de désinfection et de potabilisation de l’eau, destinée aux régions où l’accès à cette ressource essentielle demeure un défi majeur.
Accompagnement
Au-delà du financement, ces quatre jeunes pousses seront accompagnées par les équipes de la FONGIT. Elles les conseilleront et les orienteront pour développer leurs modèles d’affaires et favoriser le passage de l’idée de départ au stade de sa production industrielle.
Les comités de sélection se réunissent au moins six fois par an. Ils peuvent décider de soutenir des projets pour un montant total de 3 millions de francs annuellement, ce qui correspond à environ 36 start-up genevoises bénéficiant de différentes prestations.
"En créant un véritable fonds cantonal de soutien à l’innovation, nous renforçons la place de Genève en tant qu’incubateur international de projets innovants", commente la conseillère d’Etat en charge du DEE Delphine Bachmann, citée dans le communiqué.
"Par ailleurs, l’élargissement des champs couverts par le fonds va permettre de soutenir de nouveaux secteurs à haut potentiel et participer ainsi à la diversification du tissu économique genevois, garante de sa prospérité et de sa résilience", ajoute-t-elle.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Renvoi des étrangers en situation irrégulière: chiffres valaisans
La question du renvoi des étrangers en situation irrégulière s'est invitée jeudi au Grand Conseil valaisan, à la suite d'une interpellation de l'UDC du Valais romand. Pour le domaine de l’asile, 230 personnes faisant l’objet d’une décision de renvoi en force n'ont pas encore quitté le canton.
Cent cinquante d'entre elles sont dans la phase d’organisation du renvoi, précise le Conseil d'Etat. Les autres font l’objet d’une suspension en raison par exemple d’une demande de réexamen, d’une nouvelle demande d’asile, d’un mariage ou d’une demande de permis humanitaire.
A cette liste s'ajoutent les ressortissants de pays dont le retour sous contrainte est impossible (Erythrée, Iran, Russie, Syrie). En moyenne, cette population se trouve en situation irrégulière depuis six ans.
De plus, 117 personnes relevant de la loi sur les étrangers et l’intégration (expulsions, refus d’octroi ou révocations de permis) sont concernées par une décision de renvoi ou d’expulsion pénale. Celles-ci se trouvent dans la phase d’organisation du retour.
La question des ressortissants algériens
Le renvoi de ressortissants algériens pose actuellement problème. A la fin mai 2025, 23 personnes demeuraient dans en Valais en procédure de renvoi. En moyenne, ces personnes sont dans l'illégalité depuis dix ans, l'une l'est depuis 1996. Une situation qui a interpellé le député UDC Damien Fumeaux,
"L’exécution des renvois est devenue une tâche de plus en plus complexe et fastidieuse, nécessitant beaucoup de temps et de ressources humaines pour être effectuées dans les délais", a conclu le Conseil d'Etat dans sa réponse.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Prilly: le syndic Alain Gilliéron ne se représentera pas en 2026
Une page se tourne dans la commune de Prilly, dans l'Ouest lausannois: le syndic Alain Gilliéron ne se représentera pas lors des élections communales de mars 2026. Son parti a indiqué jeudi qu'il ne rempilerait pas, après 26 années passées à l'exécutif communal, dont 22 en tant que syndic.
"Son engagement, son sens de l'intérêt général et sa loyauté envers la population ont profondément marqué Prilly. Il continuera à accompagner et soutenir la nouvelle génération", écrit le PLR Prilly dans un communiqué. Pour cette dernière législature, il était le seul élu de droite dans une Municipalité à majorité de gauche (2 Vert-e-s, un PS et un Centre).
Son dernier mandat aura d'ailleurs été marqué par plusieurs problèmes au sein de l'exécutif. L'an passé, M. Gilliéron avait été blanchi par les conclusions d'une enquête administrative ordonnée par le Conseil d'Etat vaudois à son encontre, sur signalement de l'élue écologiste et vice-syndique Rebecca Joly. Elle dénonçait alors de possibles irrégularités dans des dossiers sous la responsabilité du syndic.
Cette législature en cours a aussi été le théâtre de tensions entre le municipal socialiste Ihsan Kurt et ses autres collègues, dont une altercation violente le 2 mai dernier avec Alain Gilliéron. La Municipalité avait alors demandé au gouvernement vaudois la suspension de l'élu PS, chose faite en juin dernier.
Cette mise à l'écart a ensuite été confirmée par la Cour de droit administratif et public (CDAP), rejetant un recours de M. Kurt. Celui-ci reste donc suspendu jusqu'au 31 décembre. Il y a dix jours, l'intéressé a annoncé, lui aussi, qu'il ne se représenterait pas pour un nouveau mandat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Valais: l'utilisation des caméras piétonnes ancrée dans la loi
Le Grand Conseil valaisan a accepté jeudi matin de modifier, en une seule lecture, la loi sur sa police cantonale. Celui-ci va permettre l'utilisation des caméras piétonnes (bodycams) et la recherche automatisée des véhicules. Seuls les Vert-e-s ont voté contre.
Le plénum a accepté trois des 26 amendements déposés. Les députés ont principalement tenu à ce que la police cantonale puisse utiliser une bodycam afin de documenter ses interventions, sans avertissement préalable ou autorisation spéciale, dans le cadre de certaines missions.
La volonté du Centre du Haut-Valais d'ajouter l'utilisation des tasers dans cette nouvelle mouture de la loi n'a par contre pas été soutenue par la majorité du Parlement. Le souhait du Centre du Valais romand de créer un alinéa sur le port du bracelet électronique, afin de "compléter l'arsenal des outils à la disposition de la justice", a été retiré dans l'attente d'une solution à l'échelle fédérale.
Le Grand Conseil n'a pas validé la demande des Vert-e-s de donner le droit aux personnes contrôlées de demander le déclenchement de l'enregistrement de la caméra piétonne. Il a aussi refusé aux citoyens au bénéfice d'une autorisation d'établissement (permis C) de faire partie de la police cantonale. Neuchâtel, Jura et Bâle-Ville avaient, par le passé, pris une décision inverse.
Une utilisation stricte
Le choix de doter la police cantonale d'une dizaine de bodycams est lié à une volonté de faciliter le travail d’enquête, afin d'"identifier des auteurs", avait souligné le Conseil d'Etat dans son message au Parlement. Ces caméras sont déjà utilisées dans la plupart des cantons romands.
Le nouvel article 58a de la loi sur la police cantonale délègue à l'exécutif cantonal de légiférer, dans une ordonnance, sur les modalités d’exécution de l’utilisation de ces données. "Il est impératif que l’utilisation des bodycams soit strictement réglementée", précise le Conseil d'Etat dans son message.
Les bodycams seront utilisées "lors des missions de maintien de l'ordre et par les groupes d'intervention" de la police cantonale, avait précisé mardi le conseiller d'Etat en charge de la sécurité, Stéphane Ganzer, lors du débat d'entrée en matière.
Mise en conformité
Avec cette modification de la loi, la police cantonale sera par ailleurs habilitée à utiliser le système de recherche automatisée de véhicules ("système RVS") uniquement pour la prévention d’infractions et plus dans le cadre de la poursuite de crimes et délits. De plus, la durée de la conservation de la donnée sera réduite de 100 à 30 jours. Le Valais modifie sa loi pour se mettre en conformité avec une décision du Tribunal fédéral d'octobre 2024.
Au vote, la modification de la loi sur la police cantonale a été acceptée par 112 voix contre 9 et 6 abstentions. Seuls les Vert-e-s ont voté contre. Le Parlement a ensuite accepté de traiter cette modification légale en une lecture unique (101 voix contre 26).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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