Coronavirus
Nouvelle manif empêchée à Berne contre les mesures anti-Covid
Plusieurs centaines d'opposants aux mesures anti-Covid se sont réunis jeudi soir à Berne pour un nouveau rassemblement non autorisé. La police cantonale était présente en nombre et avait bloqué plusieurs rues d'accès au centre-ville.
La zone autour du Palais fédéral et le Palais lui-même faisaient l'objet d'une surveillance particulière, le Conseil national siégeant encore jeudi soir. Son président Thomas Aebi (UDC/BE) avait précédemment déclaré que la police assurerait la sécurité. Aussi, les manifestants ont été tenus à distance du bâtiment.
Il n'y a pas eu de violences comme lors des précédentes manifestations, a constaté un correspondant de l'agence Keystone-ATS. Plusieurs centaines de policiers en tenue anti-émeute ainsi que des barrières ont bloqué de nombreux accès. Le périmètre du Palais fédéral a également été fermé et un canon à eau a été mis en position. La police a brièvement eu recours à du gaz lacrymogène, a-t-elle précisé dans un communiqué diffusé dans la nuit.
Personnes contrôlées
Quelque 50 personnes ont été expulsées du périmètre et 31 emmenées au poste de police pour des contrôles. Elles ont ensuite été relâchées. Parmi les personnes emmenées au poste, 16 appartenaient à un groupe de personnes avec des cloches qui ont tenté de rejoindre le centre-ville, mais ont été stoppées par les forces de l'ordre, détaille la police. Aucun blessé n'est à déplorer, a précisé la police cantonale bernoise à Keystone-ATS.
Les manifestants ont entamé un cortège à partir de la place de la gare vers 19h30. Dans des annonces par mégaphone, les forces de l'ordre ont fait savoir que les personnes participant à la manifestation non autorisée feraient l'objet de contrôles et d'arrestations. La manifestation a ensuite pris fin dans la gare, où la police était présente mais n'est pas intervenue directement eu égard à la sécurité des passants.
Les rassemblements des deux derniers jeudis à Berne se sont terminés dans la violence: la police a éloigné des manifestants avec des balles en caoutchouc et des canons à eau. Rien qu'en septembre, huit manifestations d'opposants aux mesures anti-Covid ont déjà eu lieu à Berne. Sept d'entre elles étaient non autorisées.
Berne ne tolère plus
Suite aux violences de la manifestation du 16 septembre, la ville de Berne avait annoncé qu'elle ne tolérait plus les manifestations non autorisées. La police n'a toutefois pas pu empêcher une marche de protestation vendredi dernier.
L'Office fédéral de la police (Fedpol) a assuré disposer d'un dispositif contre d'éventuelles intrusions dans le Palais fédéral. Le Service de renseignement de la Confédération (SRC) examine, lui, une éventuelle implication de groupes extrémistes violents dans le milieu des sceptiques face aux mesures contre la pandémie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Coronavirus
Un nouveau variant du Covid peut déclencher une vague d'infections
BA.2.86, le nouveau variant du coronavirus, a le potentiel de déclencher une vague d'infections, alerte un infectiologue de l'hôpital de Winterthour. "Depuis la mi-août, nous avons à nouveau quatre à six patients hospitalisés de manière constante à cause du Covid-19".
Il s'agit en général de personnes âgées souffrant de comorbidités telles que des troubles du rythme cardiaque ou une insuffisance cardiaque, déclare dans la NZZ am Sonntag Urs Karrer, chef du service d'infectiologie de l'hôpital de Winterthour (ZH). Les décès dus à une infection par le SARS-CoV-2 sont cependant devenus rares, ajoute celui qui était vice-président de la task force Covid-19 de la Confédération.
Le nouveau variant ne se propage pas particulièrement vite jusqu'à présent et les données actuelles n'indiquent pas qu'elle provoque des évolutions graves, note l'expert. Il recommande aux personnes à risque et aux personnes souffrant d'un Covid long de se faire vacciner pour prévenir tout risque.
"Je ne m'attends pas à ce que plus de 75% de la population soit infectée en peu de temps, comme cela a été le cas durant l'hiver 2022", indique le docteur Karrer. "Mais je pense que le Covid-19 a toujours le potentiel de provoquer une vague sérieuse, où 20 à 30% de la population pourrait être infectée", poursuit-il, soulignant qu'elle pourrait commencer "dès novembre ou décembre".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Coronavirus
La vaccination anti-Covid est recommandée aux personnes vulnérables
L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et la Commission fédérale pour les vaccinations recommandent aux personnes vulnérables de se faire vacciner contre le Covid-19 pour l'hiver. Le coronavirus continue de circuler et peut provoquer une forme grave du Covid-19.
Pour cette raison, une vaccination leur est recommandée cet automne pour se protéger contre une telle évolution, indique l'OFSP dans un communiqué publié lundi.
Par rapport aux années de pandémie 2020 et 2021, la situation a beaucoup changé: chez les personnes de moins de 65 ans ne présentant pas de facteur de risque, la probabilité d’une forme grave du Covid-19 est minime. Chez les personnes vulnérables par contre, le risque est nettement plus élevé. La vaccination leur offrira une meilleure protection contre une évolution grave de la maladie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Coronavirus
La première dame des Etats-Unis testée positive au Covid-19
La première dame des Etats-Unis, Jill Biden, âgée de 72 ans, a été testée positive au Covid-19, a annoncé la Maison-Blanche. Le président américain Joe Biden, 80 ans, a quant à lui été testé négatif.
Déjà infectée par le coronavirus il y a un an, Jill Biden ne présente que de légers symptômes, a indiqué son bureau. Elle restera dans la maison du couple à Rehoboth Beach, dans le Delaware.
Le président Biden a subi un test de dépistage du Covid-19 lundi soir, qui s'est révélé négatif, a indiqué la Maison-Blanche. Il doit poursuivre ses tests réguliers.
Les Etats-Unis ont observé une augmentation des cas de Covid-19 et des hospitalisations au cours des dernières semaines.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Coronavirus
La Suisse a violé le droit international selon un comité de l'ONU
La Suisse et d'autres pays du Nord ont violé le droit international en refusant de lever la propriété intellectuelle sur les vaccins contre le coronavirus, selon un comité de l'ONU. Ils n'ont pas honoré leurs engagements en termes de garantie de non-discrimination.
Dans une décision prise mercredi et rendue publique jeudi à Genève, le Comité de l'ONU pour l'élimination de la discrimination raciale, qui ne s'exprime pas au nom de l'ONU s'en prend aussi aux Etats-Unis, aux autorités britanniques et à l'Allemagne. Dans plusieurs pays en développement, moins de 1% de la population a reçu au moins une dose de rappel.
Or la part dans le monde entier atteint un tiers, a ajouté le Comité. La Suisse et d'autres pays s'étaient résolus à accepter à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) une levée provisoire des brevets sur les vaccins, mais seulement après deux ans de pandémie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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