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Suisse

Pas de grandes vagues de réfugiés en vue, selon Karin Keller-Sutter

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Le monde doit se préparer à une guerre plus longue que prévue, selon la conseillère fédérale Karin Keller-Sutter (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Bien que la guerre continue de faire rage en Ukraine, le nombre de réfugiés en Suisse s'est stabilisé, a déclaré la ministre de la justice Karin Keller-Sutter. La St-Galloise ne s'attend pas à de nouvelles grosses affluences.

Le nombre de réfugiés pourrait certes augmenter à nouveau, mais il ne faut pas s'attendre à des chiffres comparables à ceux du début de la guerre, lorsque jusqu'à 1800 personnes en quête de protection arrivaient chaque jour en Suisse, a déclaré la conseillère fédérale dans les titres alémaniques du groupe Tamedia.

Interrogée sur le nombre de personnes ayant déjà quitté la Suisse, Mme Keller-Sutter a indiqué que le statut de protection S avait été levé dans plus de 2700 cas. La fin de ce statut est en cours d'examen dans plus de 1300 cas.

L'incertitude demeure sur la validité du statut de protection S. Le Conseil fédéral devra décider de sa prolongation pour six mois à partir de mars 2023, ou de son abrogation.

Interrogé le mois dernier sur un délai pour prendre cette décision, Karin Keller-Sutter avait botté en touche. La Suisse ne pourra pas faire cavalier seul sur cette question, le statut valant pour tout l'espace Schengen, avait-elle rappelé.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre

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Il reste à voir si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages. (© KEYSTONE/AP/Hau Dinh)

L'évolution qu'aura connue l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections pour les moins divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP.

Seul point de convergence, la vive progression du produit intérieur brut (PIB) observée sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.

Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.

Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.

Espoirs de stabilisation

Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.

Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.

Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Pas d'accord sur les coûts des F-35A entre Berne et Washington

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Washington ne veut pas céder sur la question du prix fixe des F-35A. Berne devra s'attendre à des surcoûts (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La Suisse ne pourra pas imposer de prix fixe aux Etats-Unis pour l'achat des 36 avions de combat F-35A. Washington ne veut pas changer de position dans ce dossier, annonce le Conseil fédéral. Les coûts totaux excéderont donc bien les six milliards de francs.

Au cours des dernières semaines, des "discussions intensives" ont eu lieu avec des représentants de haut rang de la Maison-Blanche au sujet du prix fixe pour l'acquisition du nouvel avion de combat F-35A. La question du prix a également été abordée lors d'un téléphone entre le ministre américain de la Défense, Pete Hegseth, et le conseiller fédéral Martin Pfister, chef du Département de la défense (DDPS).

Ces discussions ont clairement montré que les Etats-Unis ne sont pas disposés à changer de position, constate le gouvernement dans un communiqué mercredi. La Suisse doit donc accepter qu'elle ne pourra pas imposer de prix fixe, comme elle l'entendait. Le prix par lot de production correspondra à la valeur négociée entre le gouvernement américain et le constructeur Lockheed Martin.

A l'heure actuelle, il n'est donc pas possible de déterminer le coût total exact de l’acquisition. Cela se traduit par la fourchette de coûts supplémentaires potentiels pour l’acquisition des F-35A, déjà communiquée fin juin, comprise entre 650 millions et 1,3 milliard de francs suisses, écrit encore le Conseil fédéral.

Ce dernier "maintient son projet d'acquisition" du F-35A. Le Conseil fédéral a donc chargé le DDPS d'approfondir les travaux sur différentes options et de lui soumettre d'ici à fin novembre une proposition concernant la suite de la procédure.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

L'économie suisse entre ralentissement et recul au 2e trimestre

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Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

L'évolution de l'économie helvétique au deuxième trimestre fait l'objet de projections divergentes de la part des économistes consultés par l'agence AWP. Seul point de convergence, la progression du PIB sur les trois premiers mois de l'année aura fait long feu.

Les prévisions pour la période d'avril à fin juin s'échelonnent entre une contraction de 0,3% et une progression de même ampleur, tandis que l'économie suisse s'était enrobée de 0,8% entre janvier et fin mars.

Les économistes pointaient du doigt un effet d'anticipation des menaces d'application de barrières douanières par l'administration Trump sur les envois vers les Etats-Unis. Des menaces depuis grandement matérialisées, avec des droits de douane indiscriminés de 10% dès le mois d'avril, relevés pour les produits helvétiques spécifiquement à 39% début août.

Il reste à voir dans ce contexte si la demande intérieure aura joué le rôle stabilisateur, entre redressement de l'activité de construction et soutien d'un faible taux d'inflation aux dépenses de consommation des ménages, espéré par le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco) mi-juin encore.

Les économistes fédéraux prévoyaient par contre déjà que le poids du conflit commercial se ferait sentir sur les exportations tout au long de 2025 et prévenaient qu'une relance de la croissance mondiale - synonyme d'appel d'air pour les exportations helvétiques - n'était pas attendue avant 2026.

Depuis, le centre d'études conjoncturelles KOF a devisé l'impact sur l'économie helvétique du taux de 39% appliqué par l'administration Trump entre 0,3% à 0,6% en 2025. Cela "coûterait à chaque Suisse en moyenne 300 francs", calculaient les économistes académiques zurichois. Dans le pire des scénarios, le PIB pourrait même reculer de 1% et une récession ne serait pas à exclure.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Lufthansa envisage d'importer ses futurs Boeing via la Suisse

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Lufthansa envisage d'acheter de nouveaux Boeing aux Etats-Unis via la Suisse. Cette mesure pourrait réduire le déficit commercial américain avec la Suisse et éviter des droits de douane punitifs. (archives) (© KEYSTONE/DPA/ANDREAS ARNOLD)

Lufthansa envisage d'acheter de nouveaux avions Boeing aux Etats-Unis via la Suisse. Cette mesure pourrait réduire le déficit commercial américain avec la Suisse et éviter des droits de douane punitifs, selon une information mercredi du Tages-Anzeiger.

La commande de la compagnie aérienne allemande Lufthansa, maison-mère de Swiss, porte sur une centaine d'appareils Boeing, d'une valeur catalogue de 21 milliards de francs, qui doivent être livrés ces sept prochaines années. Ils ne seraient pas achetés à Malte ou en Irlande, mais via la Suisse, rapporte le quotidien

Cette mesure pourrait contribuer à réduire le déficit commercial entre les Etats-Unis et la Suisse (48 milliards de francs au premier semestre, livraisons d'or comprises). Lufthansa avait déjà envisagé cette mesure auparavant, afin de contourner d'éventuels droits de douane de rétorsion de l'Union Européenne.

Améliorer les conditions-cadres

De son côté, Swiss n'a pas souhaité commenter, soulignant toutefois que le directeur général de la compagnie Jens Fehlinger a accompagné une délégation suisse aux Etats-Unis. "L'objectif de ce voyage était de mener des discussions au niveau politique afin d'améliorer le cadre politique douanier, les négociations précédentes n'ayant pas abouti aux progrès escomptés pour la Suisse."

"Les discussions ont notamment porté sur les conditions-cadres pour l'importation d'avions et les options possibles pour le groupe Lufthansa, pour Swiss, ainsi que pour les Etats-Unis et les entreprises américaines. Les déclarations sur le contenu de ces réflexions et sur les négociations elles-mêmes sont réservées aux autorités gouvernementales compétentes", déclare un porte-parole.

Interrogée par l'agence AWP, Lufthansa ne développe pas non plus l'information, mais dit être "de manière générale, clairement intéressé par la réussite économique à long terme de Swiss. Les achats de flotte sont effectués par le groupe Lufthansa en étroite collaboration avec les compagnies aériennes."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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