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Économie

Postfinance va collaborer avec Sygnum

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La collaboration a pour objectif de mettre à disposition des clients de Postfinance des services financiers pour les actifs numériques via la plateforme de Sygnum (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Postfinance veut proposer à sa clientèle la possibilité de négocier des devises numériques. Pour ce faire, le bras financier de la Poste a entamé un partenariat avec la cryptobanque zurichoise Sygnum, dont elle utilisera la plateforme B2B (business to business).

La collaboration a pour objectif de mettre à disposition des clients de Postfinance des services financiers pour les actifs numériques via la plateforme de Sygnum, selon un communiqué diffusé mercredi. La collaboration avec la cryptobanque permettra au géant jaune de proposer l'achat, la conservation et la vente de monnaies virtuelles comme le bitcoin et l'ether.

La filiale de la Poste justifie cette étape par la forte demande en services d'investissement numériques. "La question des actifs numériques est devenue incontournable dans le monde de la finance", déclare Philipp Merkt, directeur des investissements (CIO) Postfinance, cité dans le document.

"Notre plateforme bancaire intégrée B2B permet à plus de quinze banques partenaires d'élargir leur offre de services réglementés pour les actifs numériques à grande échelle et à haute vitesse", a expliqué Fritz Jost, responsable de la clientèle entreprises chez Sygnum. Parmi les établissements ayant recours à la plateforme de la cryptobanque zurichoise figurent notamment la banque privée Bordier & Cie et le conseiller financier VZ Vermögenszentrum.

Titulaire depuis 2019 d'une licence de l'Autorité fédérale de surveillance des marchés financiers (Finma), Sygnum est par ailleurs actionnaire majoritaire de Custodigit, une coentreprise fondée en 2018 avec Swisscom et à laquelle participe également SIX Group, qui a pour vocation de permettre aux banques d'offrir à leurs clients un accès aux actifs numériques par le biais d'une passerelle unique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Économie

Commerce: Pékin et Washington scellent la détente

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Le ministre américain des Finances Scott Bessent a laissé entendre que Washington se donnait jusqu'à septembre pour conclure des accords avec ses principaux partenaires commerciaux. (archive) (© KEYSTONE/AP/J. Scott Applewhite)

La Chine et les Etats-Unis ont annoncé avoir scellé le cadre général visant à lisser leurs différends commerciaux, Pékin assurant vendredi que Washington est prêt à lever des restrictions à l'encontre de ses produits et vice versa.

Après des pourparlers à Genève en mai, Washington et Pékin étaient convenus de mettre sur pause leur guerre commerciale. Ils avaient accepté de réduire temporairement les droits de douane prohibitifs qu'ils imposaient sur leurs produits respectifs.

La Chine s'était également engagée à alléger certaines contremesures non douanières. Mais des responsables américains ont ensuite accusé Pékin de violer l'accord, et notamment de traîner des pieds pour délivrer des licences d'exportation de terres rares.

Les terres rares sont des métaux utilisés dans une large variété de produits tels que les smartphones, les turbines des éoliennes ou les véhicules électriques. Elles sont essentielles à l'économie mondiale moderne.

Mi-juin, Washington et Pékin s'étaient finalement accordés, lors de nouvelles discussions à Londres, pour remettre l'accord trouvé à Genève sur les rails.

C'est cet accord, portant notamment sur l'accélération des expéditions de terres rares vers les États-Unis, que Donald Trump s'est félicité jeudi d'avoir "signé".

Et Pékin a confirmé vendredi qu'un consensus avait été trouvé.

Les investisseurs se sont montrés rassurés par la nouvelle, d'autant que l'exécutif américain semble de surcroît disposé à reporter la date butoir à partir de laquelle il devait mettre en place des droits de douane punitifs à l'encontre de dizaines de partenaires commerciaux, dont l'Union européenne.

Vendredi matin, le ministre américain des Finances Scott Bessent a laissé entendre que Washington se donnait jusqu'à septembre pour conclure des accords avec ses principaux partenaires commerciaux.

"Je pense que nous pouvons boucler les discussions commerciales d'ici à la fête du travail", le 1er septembre aux Etats-Unis, a dit le secrétaire au Trésor sur Fox Business.

Wall Street a réagi avec optimisme, l'indice américain S&P 500 finissant même d'effacer l'intégralité des pertes causées depuis février par le tumulte autour des droits de douane, pour dépasser son plus haut historique en séance, de même que le Nasdaq.

"Même sens"

"La Chine espère que les Etats-Unis avanceront dans le même sens qu'elle", a indiqué dans un communiqué le ministère chinois du Commerce, en confirmant que Pékin et Washington avaient scellé leur accord.

"La Chine procédera en vertu de la loi à l'examen et à l'approbation des demandes d'exportations relatives aux articles soumis à contrôle qui satisfont aux exigences", a-t-on poursuivi de même source.

"Les États-Unis, en conséquence, vont lever une série de mesures restrictives à l'égard de la Chine", a complété le ministère chinois.

Aucune précision supplémentaire n'a été apportée dans l'immédiat.

La priorité absolue pour les États-Unis était de garantir leur accès aux terres rares. La Chine en est le premier producteur mondial.

Mais les flux chinois en direction des entreprises étrangères ont ralenti depuis début avril, lorsque Pékin a commencé à imposer aux producteurs nationaux l'obtention d'un permis pour pouvoir exporter sept types de terres rares.

La décision a été largement perçue comme une mesure de rétorsion face aux droits de douane américains sur les biens chinois.

Au nom de la défense de la production nationale, Donald Trump a imposé, depuis son retour à la Maison Blanche, des droits de douane sectoriels (acier, aluminium, automobile).

Mais il a aussi mis en place une surtaxe quasiment universelle de 10% et menacé d'aller plus loin à l'égard des pays qui exportent plus vers les Etats-Unis qu'ils n'achètent de produits américains.

Donald Trump a suspendu ces droits de douane punitifs jusqu'au 9 juillet, le temps de mener des négociations commerciales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

L'inflation réaccélère en mai aux Etats-Unis, à +2,3% sur un an

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Les prix ont progressé de 2,3% sur un an en mai aux Etats-Unis. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ALLISON DINNER)

L'inflation a réaccéléré en mai aux Etats-Unis selon un indice officiel publié vendredi, dans la lignée des attentes des analystes et de la banque centrale (Fed) aux prises avec un président Donald Trump assurant que l'inflation n'est plus un problème.

Les prix ont progressé de 2,3% sur un an en mai contre 2,2% le mois précédent (valeur révisée en hausse, l'indice ayant d'abord été annoncé en progression de 2,1%), selon l'indice PCE, publié par le ministère du Commerce.

Les analystes s'attendaient à ce regain, selon le consensus publié par MarketWatch.

Le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, avait aussi dit cette semaine, devant les parlementaires américains, qu'il s'attendait à voir le PCE augmenter de 2,3% sur un an en mai.

Depuis plusieurs mois, la banque centrale des Etats-Unis se montre inquiète de voir l'inflation rebondir avec les droits de douane mis en place par Donald Trump depuis son retour au pouvoir en janvier.

Jusqu'ici, les chiffres officiels avaient montré que l'inflation restait en passe de revenir au niveau souhaité par la Fed, autour de 2%.

Cela avait porté le président Donald Trump à assurer qu'il n'y avait "pas d'inflation" et à réclamer à l'institution de baisser ses taux d'intérêt rapidement.

Dans la publication de vendredi, l'inflation sous-jacente (hors prix volatils de l'énergie et de l'alimentation) est légèrement au-dessus des attentes, à +2,7% sur un an.

Autre élément de nature à attirer l'attention: les dépenses de consommation s'affichent en repli de 0,1% d'un mois sur l'autre. Les revenus des ménages ont quant à eux reculé de 0,4%.

Les analystes s'attendaient au contraire à des hausses.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Sion: le stade de Tourbillon sera remplacé par un nouvel écrin

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Martin Zurwera (président de l'Association valaisanne de football), Christian Constantin (président du FC Sion), Philippe Varone (président de la Ville de Sion) et Stéphane Ganzer (conseiller d'Etat valaisan) ont fait le point sur l'avenir du football d'élite en Valais, vendredi matin. (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

Le stade de Tourbillon ne sera pas rénové. Une décision a été prise en ce sens par la Ville de Sion, l'Etat du Valais et le club de Super League. Rien ne s'oppose donc à une nouvelle enceinte financée par Christian Constantin à hauteur de 450 millions de francs.

En janvier 2024, la Ville de Sion, le Département cantonal de la sécurité, des institutions et du sport, l’Association valaisanne de football et le FC Sion avaient signé une lettre d’intention visant à pérenniser le football professionnel et la relève en Valais.

Après 18 mois de travail, les quatre partenaires ont pris plusieurs décisions de principe communiquées vendredi en conférence de presse. La variante rénovation du Stade de Tourbillon est abandonnée. L’infrastructure restera en fonction jusqu’à la construction d’un nouveau stade.

Celui-ci sera porté par des privés, sans participation financière publique, selon Christian Constantin. Et les signataires confirment leur intention de développer à Sion une académie de football pour former la relève d’élite, masculine et féminine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Sion: le stade de Tourbillon sera remplacé par un nouvel écrin

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Martin Zurwerra (président de l'Association valaisanne de football), Christian Constantin (président du FC Sion), Philippe Varone (président de la Ville de Sion) et Stéphane Ganzer (conseiller d'Etat) ont tenu une conférence de presse pour faire le point sur le dossier Tourbillon, vendredi matin. (© KEYSTONE/GABRIEL MONNET)

Le stade de Tourbillon ne sera pas rénové. Une décision a été prise en ce sens par la Ville de Sion, l'Etat du Valais et le club de Super League. Rien ne s'oppose donc à une nouvelle enceinte financée par Christian Constantin à hauteur de 450 millions de francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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