Suisse
Réflexions en cours parmi les papables pour présider l'UDC
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Les noms de plusieurs papables circulent pour succéder à Marco Chiesa à la présidence de l'UDC Suisse. Tour d'horizon d'éventuels candidats.
Marcel Dettling fait partie des noms avancés. Le conseiller national schwytzois et vice-président du parti a dirigé avec succès la dernière campagne pour les élections fédérales. Cet agriculteur âgé de 42 ans ne se prononce pas sur une éventuelle candidature.
Cependant, la conseillère nationale genevoise Céline Amaudruz, elle-même vice-présidente du parti, le verrait bien reprendre les rênes, a-t-elle confié jeudi à Keystone-ATS.
Pour rappel, deux agriculteurs, Toni Brunner et Ueli Maurer, ont présidé l'UDC dans un passé récent.
Mme Amaudruz elle-même dit "ne pas encore avoir réfléchi" à une éventuelle candidature. Elue depuis 2011 au Conseil national, elle serait la candidate romande la plus en vue. Cela dit, jamais un Romand ou une Romande n'a présidé l'UDC.
La politicienne âgée de 44 ans a travaillé comme gestionnaire de fortune dans plusieurs grandes banques, dont UBS. Elle a présidé l'UDC du canton de Genève de 2010 à 2023.
Aux yeux de Mme Amaudruz, le futur président (ou la future présidente) se doit d'être un élu fédéral, si possible ayant déjà une bonne expérience des rouages de la politique à Berne. En Suisse romande, Pierre-André Page (FR), Jacques Nicolet (VD) répondraient au profil recherché. Reste à savoir s'ils sont réellement attirés par le job.
"J'y réfléchirai"
Les "poids lourds" se trouvent traditionnellement outre-Sarine. Parmi eux, le conseiller national lucernois Franz Grüter n'exclut pas de se porter candidat. "Si on me sollicite, j'y réfléchirai volontiers. Mais c'est un job éreintant", a confié à Keystone-ATS cet entrepreneur âgé de 60 ans.
Le conseiller national bernois Lars Guggisberg (46 ans) se déclare intéressé par le poste. "Je peux parfaitement m'y projeter. J'aurai des entretiens ces prochains jours avec mes proches et dans mon environnement professionnel", indique le directeur de la section bernoise de l'Union suisse des arts et métiers (Usam).
Le conseiller national de Cortébert (Jura bernois) et avocat Manfred Bühler, 44 ans, a l'avantage d'être parfaitement bilingue et possède a priori tout ou partie du profil. Mais il ne s'exprime pas sur le sujet.
Le conseiller aux Etats bernois Werner Salzmann (61 ans) ne s'est pas davantage exprimé. Cet ex-président de l'UDC bernoise et candidat malheureux au Conseil fédéral en 2022 a la carrure requise.
Le jeune conseiller national saint-gallois Mike Egger (31 ans) n'hésite pas lui à sortir du bois. Le poste est "très tentant", a-t-il dit au Tages-Anzeiger. Ce cadre de l'entreprise Micarna entend bien réfléchir à une éventuelle candidature.
Silence à Zurich
Du côté de Zurich, bastion du parti, l'entrepreneur Gregor Rutz, conseiller national et candidat malheureux pour les Etats cet automne, fait figure de papable. Mais il ne se prononce pas. Autre conseiller national des bords de la Limmat, Alfred Heer (62 ans), également entrepreneur, jouit lui aussi d'une bonne notoriété mais n'a rien laissé filtrer pour l'instant.
Jean-Luc Addor (VS), à Berne depuis 2015, n'est quant à lui pas candidat. "La présidence d'un parti suisse, c'est de la folie", a déclaré le Valaisan à Keystone-ATS. Le conseiller national préfère rester politicien de milice et voit plutôt le retour d'un Alémanique à la tête de l'UDC Suisse.
D'autres candidats putatifs interrogés ont également d'ores et déjà signalé qu'ils n'étaient pas intéressés. C'est le cas par exemple conseillers nationaux zurichois Benjamin Fischer et thurgovien Manuel Strupler, qui invoquent notamment leur emploi du temps chargé à la fois professionnellement et comme pères de famille.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Château de St-Maurice: Astérix a attiré plus de 38'000 visiteurs
L'exposition du château de St-Maurice (VS) consacrée à Asterix a fermé ses portes dimanche. En huit mois environ, elle a attiré 38'226 visiteurs, frôlant le record de fréquentation de 2023 avec l'exposition dédiée aux Schtroumpfs (38'420 entrées).
Après ses expositions créées autour du Marsupilami, d'Alice au Pays des merveilles, de Petzi, de Dracula, des Schtroumpfs ou de l'univers de Zep, le château de St-Maurice a, une nouvelle fois, réussi son pari avec le "petit gaulois", se réjouit-il lundi dans un communiqué. Principalement centrée sur le travail de création de René Goscinny et Albert Uderzo, cette exposition a conquis un public multigénérationnel "par sa mise en perspective tant patrimoniale que ludique."
Pour sa prochaine exposition, du 28 mars au 22 novembre 2026, le château proposera une nouvelle exposition originale sur un personnage mythique de la bande dessinée, Lucky Luke. Imaginé en 1946 par le Belge Morris (1923-2001), Lucky Luke fêtera l’année prochaine ses 80 ans.
"Il représente, de par facture, son ton, son inventivité et sa savoureuse galerie de personnages-clés (Jolly Jumper, Rantanplan, Les Dalton, les croque-morts, etc.) l'une des icônes mondiales absolues du 9e art", a relevé Philippe Duvanel, le directeur du château chablaisien, cité dans le communiqué.
Durant sa carrière, Morris a dessiné 72 albums de Lucky Luke, avec notamment, pour plus de la moitié d'entre eux, un scénario imaginé par René Goscinny. L'univers de Lucky Luke se prolonge aujourd'hui par le biais de nouvelles aventures imaginées par Jul et dessinées par Achdé et par divers albums hommages réalisés par Mathieu Bonhomme, Bouzard, Mawil, Ralf König, Blutch ou, tout récemment Appollo (scénario) et Brüno (dessin).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'économie suisse en recul au troisième trimestre
L'économie suisse a visiblement subi de plein fouet au troisième trimestre les répercussions de l'instauration de droits de douane américains de 39% en août et le ralentissement de la conjoncture mondiale.
Le PIB s'est réduit de 0,5% entre juillet et fin septembre, selon le Secrétariat d'Etat à l'économie, qui a publié lundi une estimation, corrigée des variations saisonnières et réalisée environ 45 jours après la fin d'un trimestre. Au deuxième trimestre, le pays avait affiché une croissance de seulement 0,1% comparé au partiel précédent et hors retombées des événements sportifs, après une croissance de 0,7% entre janvier et mars.
L'économie helvétique a donc produit encore moins de richesses qu'anticipé par les économistes consultés par AWP, qui tablaient sur une évolution entre -0,3% et +0,2% au troisième trimestre 2025 par rapport au précédent
"Plombée par un important recul de la création de valeur dans le secteur chimique et pharmaceutique, l'industrie dans son ensemble a connu une évolution négative", ont souligné les économistes fédéraux dans le document. La croissance dans le secteur des services a été inférieure à la moyenne.
En octobre, le Seco tablait sur une croissance du PIB de 1,3% en 2025, contre 1,2% lors de sa précédente estimation.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Industrie: production en hausse, recettes en baisse
L'industrie helvétique a subi au troisième trimestre un tassement marqué de ses revenus, nonobstant une production en hausse. La construction, elle, a vu ses chiffres d'affaires s'éroder moins vite que sa production.
Le secteur secondaire dans son ensemble a accusé une contraction de 4,8% de ses recettes, quand la production a progressé de 1,9%, indique lundi l'Office fédéral de la statistique.
La production manufacturière s'est enrobée de 2,4% et celle dans la construction s'est étiolée de 1,8%. Les chiffres d'affaires dans ces deux catégories d'activités ont reculé de respectivement 5,7% et 1,3%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Le revenu moyen des ménages suisses était de 7186 francs en 2023
Le revenu disponible moyen des ménages suisses était de 7186 francs par mois en 2023. Ce chiffre est stable par rapport à l'année précédente, indique lundi l'Office fédéral de la statistique (OFS).
En 2023, les ménages ont consacré en moyenne 5049 francs par mois, ou 48,8% de leur revenu brut, aux dépenses de consommation. Les dépenses les plus lourdes concernent le logement et l'énergie (14% du revenu brut), indique l'OFS.
Ce poste de dépenses a connu une augmentation significative par rapport à 2022, passant en moyenne de 1374 à 1449 francs par mois. Au final, il restait en moyenne aux ménages 1736 francs par mois pour épargner, soit 16,8% du revenu brut.
Le revenu disponible d'un ménage correspond à son revenu brut après déduction des dépenses obligatoires, explique l'OFS. Il est formé du revenu de chacun des membres du ménage, qui comprend les salaires et les allocations, mais aussi les prestations sociales, les transferts provenant d'autres ménages et les revenus de la fortune.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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