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Genève

Un nouveau centre à Vernier pour la saisie des données biométriques

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A Genève, un nouveau Centre cantonal de biométrie ouvrira ses portes le 29 mars (image prétexte). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Un centre cantonal dédié à la saisie des données biométriques nécessaires notamment pour établir un passeport ou un titre de séjour va ouvrir le 29 mars à Vernier (GE). Cette nouvelle structure devrait permettre d'obtenir ces documents officiels dans des délais raisonnables.

Ce centre sera équipé de 11 cabines biométriques et de 16 guichets, indique vendredi le Département de la sécurité, de l'emploi et de la santé (DSPS) dans un communiqué. La capacité d'accueil va quasiment doubler en passant de 320 personnes par jour actuellement à 700 dans le nouveau centre.

Jusqu'à présent le public devait se rendre à l'Office cantonal de la population et des migrations (OCPM) à la route de Chancy à Onex pour saisir des données biométriques. Une forte demande pour des documents officiels et les restrictions sanitaires ont fait passer le délai d'attente pour obtenir un rendez-vous de deux à six semaines. L'augmentation de la capacité devrait réduire ce délai.

Les horaires ont également été adaptés pour mieux répondre à la demande. Le centre sera ouvert les lundis, mercredis et vendredis de 8h00 à 16h30 et les mardis et jeudis de 9h00 à 17h30 ainsi que les premiers samedis du mois de 8h00 à 12h00. Les visiteurs pourront aussi demander sur place la création d'un compte e-démarches qui permet d'accéder aux prestations en ligne proposées par l'Etat.

Le nouveau centre cantonal de biométrie sera situé dans le centre commercial ARCenter à la route de Peney. Un crédit de 1,715 million de francs avait été voté pour réaliser les travaux d'aménagement et acheter le nouveau matériel. Le chantier est quasiment terminé.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Genève: mystère autour de la femme retrouvée dans l'Arve en 2014

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La femme qui a été ressortie morte de l'Arve, à Genève, le 12 novembre 2014 n'a toujours pas été identifiée, malgré les recherches menées en Suisse et à l'étranger (illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La femme qui a été ressortie morte de l'Arve, à Genève, le 12 novembre 2014, n'a toujours pas été identifiée, malgré les recherches menées en Suisse et à l'étranger. Le délai de prescription pénale est toutefois encore ouvert.

"Les éléments d'enquête laissent supposer que cette femme aurait des liens avec un ou plusieurs de ces pays: France, Espagne, Portugal et Brésil", a indiqué mardi la police genevoise, qui avait lancé un appel à témoins en 2018. Le corps avait été pris en charge à la hauteur des chutes, près du quai du Cheval-Blanc.

Le cadavre flottait dans l'eau, a précisé une porte-parole de la police genevoise. Depuis qu'il a été repéré, un hommage anonyme est régulièrement publié pour "L'Inconnue de l'Arve" dans les pages des avis mortuaires de la Tribune de Genève.

La police genevoise lance un nouvel appel à témoins dans plusieurs langues. Elle prie toute personne ayant des informations de contacter la Brigade criminelle de Genève au 022 427 72 40 ou encore le 117.

Cette femme était âgée d'environ 40 à 50 ans il y a dix ans. Elle mesurait 1,56 mètre pour 56 kilos. Ses cheveux étaient longs, décolorés en blond et attachés en chignon. Elle portait des boucles d'oreilles avec des perles et une montre argentée de la marque LOTUS. Elle avait un tatouage représentant un trèfle à quatre feuilles sur le dos de la main droite, près du pouce.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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La Ville de Genève aide les jeunes dans leur recherche d'emploi

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La maire de la ville de Genève Christina Kitsos entend donner à la jeunesse une place centrale (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Ville de Genève a annoncé lundi avoir mis en place une aide financière consacrée à l'employabilité des jeunes. Le budget est de 400'000 francs. La mesure, prise dans le cadre de la nouvelle politique municipale de la jeunesse, pourrait bénéficier à environ 350 personnes.

L'aide ponctuelle est plafonnée à 1000 francs par année et par jeune. Cette somme est un coup de pouce à la personne qui se lance sur le marché du travail. Elle doit permettre, par exemple, d'acheter du matériel informatique pour sa recherche d'emploi, d'entamer une formation ou d'obtenir son permis de conduire.

Pour mettre en oeuvre cette mesure, la Ville de Genève a développé un partenariat avec l'association Autonomia. L'objectif de cette prestation est de réduire l'impact de la précarité financière affectant les jeunes dans leur parcours vers l'emploi et de renforcer leur capacité d'action, explique la municipalité.

D'autres mesures sont prévues dans le cadre de cette nouvelle politique de la jeunesse adoptée par la Ville de Genève, notamment pour favoriser l'accès des jeunes à des logements abordables. A l'avenir, une attention nouvelle sera aussi portée sur les 12-14 ans, afin de leur assurer un soutien accru.

"Nous voulons donner à la jeunesse une place centrale, en lui offrant le pouvoir d'agir sur son futur et en valorisant son potentiel", relève, cité dans le communiqué de la Ville de Genève, la conseillère administrative et maire Christina Kitsos, chargée du département municipal de la cohésion sociale et de la solidarité.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les socialistes veulent un soutien à la presse locale genevoise

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Les restructurations se succèdent dans les médias, faisant peser des menaces sur la presse locale (image d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les socialistes genevois craignent pour l'avenir de la presse locale. Ils veulent lui venir en aide en créant une fondation publique d'aide aux médias. Un projet de loi a été déposé lundi auprès du Grand Conseil genevois.

Cette fondation a pour but de garantir "l'existence et la sauvegarde d'une presse locale plurielle, libre et indépendante", note le Parti socialiste genevois. La formation politique rappelle, dans un communiqué, que la libre formation de l'opinion occupe une place centrale dans un système de démocratie directe.

La nouvelle restructuration annoncée récemment par Tamedia, propriétaire, parmi d'autres titres, de la Tribune de Genève, "a fait l'effet d'un coup de tonnerre dans le milieu médiatique romand et genevois en particulier", rappellent les socialistes. A leurs yeux, il est nécessaire d'agir rapidement.

Pour ce faire, le parti a ressorti des tiroirs un projet de loi qu'il avait proposé voilà sept ans, qui instaure la création d'une fondation publique d'aide aux médias. Quelques légères retouches ont été apportées au texte qui avait été refusé à l'époque par une majorité du Grand Conseil.

Dix millions de capital

Dans le détail, la fondation serait dotée d'un capital de 10 millions de francs. Elle aurait pour mission d'offrir deux types de soutiens à la presse locale. La fondation pourrait d'une part aider à la création de nouveaux médias, d'autre part venir en aide à la production de contenus journalistiques pour les médias existants.

Le conseil de cette fondation d'aide aux médias serait composé pour un tiers de spécialistes des médias nommés par le Conseil d'Etat, pour un autre tiers de représentants de la profession nommés par des associations de journalistes et pour le tiers restant par des résidents genevois tirés au sort parmi un panel de volontaires.

Les médias désireux de recevoir une aide de la fondation devraient remplir certains critères, "par souci du bon usage des deniers publics". Les socialistes genevois espèrent que leur projet de loi pourra être traité rapidement par le Grand Conseil et que ce dernier sera conscient "de l'urgence de la situation".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lancy se prononce sur l'interdiction de la publicité commerciale

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Lancy (GE) votera dimanche 24 novembre sur l'interdiction de l'affichage publicitaire commercial sur le domaine public. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Lancy (GE) votera le 24 novembre sur l'interdiction de l'affichage publicitaire commercial sur le domaine public. Cette mesure acceptée en janvier par la majorité de gauche du Conseil municipal a été attaquée par un référendum du Centre et des Vert'Libéraux, qui dénoncent une "infantilisation de la population".

Le règlement attaqué bannit la publicité à des fins commerciales sur le domaine public ainsi que sur le domaine privé visible depuis la rue. Il autorise en revanche l'affichage à visée culturelle, éducative, associative et sportive.

Pour la majorité rose-verte, la publicité commerciale encombre l'espace public. Elle ne veut plus de cette "pollution visuelle" qui pousse à la surconsommation. L'affichage commercial fragilise aussi le tissu économique local, car les PME n'ont souvent pas les moyens d'y recourir, entraînant ainsi une concurrence déloyale avec les grands groupes, affirment encore les partisans de l'interdiction.

Les référendaires dénoncent "une censure qui dicte ce que la population doit voir ou ne pas voir". Ils estiment que bannir la publicité commerciale des rues est une manière d'imposer une pensée unique. Les opposants craignent aussi des conséquences financières pour les clubs sportifs qui ne pourraient plus afficher les publicités de leurs sponsors autour de leurs terrains.

Moins de recettes

Les référendaires avancent aussi un argument financier: l'interdiction provoquera une baisse des recettes pour la commune de 251'000 francs par an, soit le montant de la redevance versée par la société d'affichage. Cette somme représente 0,14% des revenus totaux de la commune, nuancent les autorités communales qui soutiennent la suppression de la publicité commerciale.

"Cette interdiction est donc une mesure peu coûteuse par rapport au budget communal et par rapport à l'amélioration de la qualité de vie des habitants qu'elle peut engendrer", relève la gauche. Il faut toutefois ajouter à cette perte, une hausse des charges, pas encore chiffrée, due à l'entretien de l'affichage non commercial qui restera autorisé.

La Ville de Lancy dispose actuellement de 175 supports d'affichage fixes sur le domaine public ainsi que 44 panneaux sur le domaine privé visibles depuis la rue. Si l'interdiction est acceptée, elle entrera en vigueur le 1er janvier 2025.

Interdiction à Vernier

Dans le canton, seule la ville de Vernier prohibe, depuis l'été 2023, l'affichage commercial sur son domaine public. Les opposants, qui avaient saisi le Tribunal fédéral, dénonçaient une atteinte excessive des droits des acteurs économiques. Ils ont été déboutés. Les citoyens de la Ville de Genève avaient, eux, refusé en mars 2023 l'initiative communale "Genève zéro pub".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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