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Suisse Romande

Valais: un week-end pour mettre en valeur les produits du terroir

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Les produits du terroir seront mis à l'honneur, les 23 et 24 août à Châteauneuf (photo d'illustration). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Après une première édition réussie, en 2024, l’Etat du Valais a décidé de pérenniser sa manifestation dénommée Terroirs. Organisée en collaboration avec les interprofessions agricoles et Valais/Wallis Promotion, elle se tiendra cette année sur deux jours, les 23 et 24 août.

Réunie dans un grand marché alimentaire situé dans la cour de la ferme de l'Ecole d'agriculture du Valais à Châteauneuf, une trentaine de producteurs proposera en vente directe des produits certifiés AOP, IGP ou marque Valais.

Une série d’ateliers seront organisés et placés sous la conduite d’experts tels que l’ambassadeur de la raclette Eddy Baillifard, la spécialiste en vins Johanna Dayer ou le maître des salaisons Fabian Molinari.

Deux hôtes d’honneur provenant de Suisse et de l’arc alpin seront également de la partie, soit: la région du Vully et l’Istrie slovène. Un espace restauration permettra aux participants de déguster les produits de ces deux régions, sans oublier ceux issus du Valais.

Enfin, un brunch gourmand, orchestré par la cheffe Aline Ménétrey, sera proposé le dimanche.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Vaud

Melantropia: un festival pour soutenir la lutte contre le cancer

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Le festival Melantropia reversera 100% de ses bénéfices à cinq associations suisses luttant contre le cancer. (© Melantropia)

L'association Melantropia veut lancer un festival de musique, d'art et d'humour où l'entier des fonds récoltés seront reversés à cinq associations de lutte contre le cancer. Pour donner vie à ce projet, l'association a besoin de 50'000 francs d'ici au 31 décembre pour couvrir les premiers frais. Un crowfunding a été lancé.

Réunir des milliers de personnes pour la cause. L’idée est née d’un hommage personnel de sa fondatrice Sarah Schaffter qui a accouché le jour même du décès de sa mère des suites de la maladie. Pour transformer sa douleur en quelque chose de positif, elle se lance dans un projet : créer un où l’entier des fonds récoltés seront reversés à cinq associations de lutte contre le cancer. L’urgence est maintenant de parvenir à récolter 50'000 francs pour donner vie au festival. Et c’est à travers la musique, l’art et l’humour que sa fondatrice Sarah Schaffter a tenu à donner vie à son projet.

Sarah SchaffterMelantropia Festival

Une chose est sûre, pour sa fondatrice Sarah Schaffter, le rire est un allié précieux pour surmonter les épreuves. 

Sarah SchaffterMelantropia Festival

Et selon elle, il faut encore libérer la parole autour de la maladie. 

Sarah SchaffterMelantropia Festival

Une dizaine d’artistes seront programmés, principalement des talents locaux mais le festival vise aussi des artistes français. Le festival se déroulera au bord de l’eau du 4 au 6 septembre 2026 au Parc des Rives à Yverdon-les-Bains.

Le dimanche sera entièrement consacré aux familles et aux enfants avec notamment la tenue de plusieurs ateliers créatifs. Il y aura aussi un marché artisanal. Le festival reversera 100% de ses bénéfices à cinq associations suisses luttant contre le cancer, ARFEC, Ose Thérapies, Fondation Francine Delacrétaz, La Cassya et Having a Ball. A noter encore que chaque artiste ou prestataire du festival contribuera d’une manière ou d’une autre à la cause soit sous en reversant une partie des bénéfices ou sous forme de remises.

Pour faire un don, rendez-vous sur le site du festival.

 

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Suisse Romande

Modification du plan directeur cantonal: entrée en matière acceptée

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Le Grand Conseil valaisan a accepté lundi l'entrée en matière concernant la modification partielle du plan directeur cantonal (PDc). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Grand Conseil valaisan a unanimement accepté lundi l'entrée en matière concernant la modification partielle du plan directeur cantonal (PDc). Selon le Conseil d'Etat, le tiers des fiches doivent être remises au goût du jour.

"Les mises à jour induites par cette modification partielle visent à permettre aux communes, notamment, de développer ou d’adapter leurs stratégies territoriales et de mettre à jour leurs instruments de planification", estime le gouvernement dans son message aux députés.

Selon lui, "cette modification partielle doit répondre à l'adoption de nouvelles dispositions légales cantonales ou fédérales entrées en vigueur, ces dernières années. Elle vise également à répondre concrètement à des interventions parlementaires traitées lors des sessions du Grand Conseil et à de nouvelles stratégies ou Plans cantonaux."

Dix-sept fiches à modifier

Dans sa forme en vigueur, le PDc est constitué de 49 fiches de coordination réparties en cinq domaines: agriculture, forêt, paysage et nature; tourisme et loisirs; urbanisation; mobilité et infrastructures de transport et approvisionnement et autres infrastructures.

Selon le gouvernement, 17 fiches doivent être modifiées. Douze d'entre elles nécessitent une adoption du Grand Conseil à court terme, car elles sont indispensables aux communes dans la finalisation de leurs travaux liés à la révision globale des Plans d’affectation des zones (PAZ).

Divers domaines visés

Concrètement, les modifications proposées concernent: les vignes, les zones de constructions protégées caractéristiques du paysage; les zones de hameau; les campings, les zones d'activités économiques; les réseaux ferroviaires; l'approvisionnement en énergie et les installations solaires. Sont également touchés par cette révision: les installations éoliennes; le transport et la distribution d'énergie; l'approvisionnement en matériaux pierreux et terreux et les décharges.

Le débat de première lecture aura lieu lors de la session de mars 2026. Quelque 160 amendements seront alors traités.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Des chatons sylvestres recueillis par erreur ont été relâchés

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A Genève, trois chatons sylvestres ont été recueillis par erreur en mai. Après une prise en charge par le Centre de réadaptation des rapaces et de la faune sauvage, ils ont été relâchés avec succès (image d'archives). (© KEYSTONE/PRO NATURA/FABRICE CAHEZ)

En mai, trois chatons ont été recueillis par erreur dans une forêt genevoise, pris pour des chats domestiques. Une fois identifiés comme des chats sauvages, ils ont été pris en charge par le Centre de réadaptation des rapaces et de la faune sauvage (CRR) avant d'être relâchés dans la nature avec succès.

En mai, des promeneurs ont recueilli ces trois chatons dans les bois au-dessus du barrage de Verbois. Ils les ont apportés à la SPA, "qui a eu immédiatement le bon réflexe" en les signalant aux gardes de l'environnement, souligne le Département du territoire dans un communiqué lundi.

Ces petites boules de poils grises étaient en réalité des chats sylvestres, une espèce de chat sauvage de la région très semblable aux chats domestiques. Une fois identifiés, le CRR a ainsi pu réaliser une opération de sauvetage pour maximiser leurs chances de retourner à la nature.

Jeunesse protégée

Lors de cette réadaptation, les chatons ont grandi dans une volière végétalisée comprenant des cachettes naturelles, où ils ont pu apprendre à chasser. Déjà assez grands pour éviter le biberon, ils ont été nourris avec des rongeurs pour imiter le régime alimentaire que leur aurait fourni leur mère à l'état sauvage.

Le CRR a aussi veillé à les tenir à distance des humains et des chats domestiques, éventuels vecteurs de maladies. Ils ont notamment été surveillés par des caméras détectrices de mouvement, qui ont aussi pu enregistrer de rares images de l'intimité cette espèce.

A l'automne, "toutes les conditions étaient réunies" pour relâcher les trois félins, à la période où ils se seraient naturellement émancipés de leur mère. Ils ont été lâchés en petit comité dans un site naturel "parfaitement adapté, déjà fréquenté par cette espèce et non loin de leur point de trouvaille", sur la rive droite. Une première à Genève, selon le communiqué.

"Aujourd'hui, tout indique que cette opération est un succès", se félicite le canton. Les trois chats ont retrouvé "une vie libre dans la nature et pourront ainsi durablement renformer les effectifs d'une espèce sauvage locale très menacée."

Espèce menacée

Autrefois victime de la perte de son habitat et persécuté pour sa fourrure, le chat sylvestre n'avait survécu que localement, dans les reliefs du Jura. Depuis le début du siècle, cet "auxiliaire zélé de l'agriculture" recolonise les plaines genevoises en chassant mulots et campagnols. Mais cette espèce protégée risque toujours de disparaître par croisement avec des chats domestiques, indique le communiqué.

Pour empêcher cela, le canton préconise de stériliser son chat "autant que possible" lorsqu'on vit à la campagne et de limiter ses sorties à proximité des forêts. Il rappelle de ne jamais l'abandonner et "encore moins" dans la nature. Sans autre solution, il peut être amené à la SPA.

Enfin, en cas de rencontre impromptue avec des chatons gris-beige et tigrés dans la forêt, le canton conseille de les laisser sur place et d'éviter de les toucher, à moins qu'ils ne courent un éventuel danger. Il pourrait bien s'agir de jeunes chats sylvestres.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse Romande

Le Valais veut se doter d'une université prioritairement à distance

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Le conseiller d'Etat Christophe Darbellay, en charge du Département de l'économie et de la formation, veut doter le Valais d'une université à distance (photo d'archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le Conseil d'Etat valaisan veut doter le canton d'une université, prioritairement à distance. Afin d'avancer dans le processus, le gouvernement a adopté un projet de loi. Au niveau du Parlement, seule l'UDC du Valais romand n'en veut pas.

L’objectif du Conseil d'Etat, et plus particulièrement du Département de l'économie et de la formation dirigé par Christophe Darbellay, est de faire d’UniDistance Suisse une université cantonale sous le nom d’Uni Valais-Wallis. Cette nouvelle entité restera axée sur la formation à distance et à temps partiel.

Bien que l’enseignement soit dispensé à distance, les activités de recherche se dérouleront en présentiel. Les locaux actuels sont suffisants pour accueillir ces activités.

Une spécificité valaisanne

L’Université du Valais sera la seule université suisse à proposer une formation universitaire entièrement à distance et à temps partiel. Par son modèle pédagogique, elle se positionne de manière complémentaire aux universités traditionnelles essentiellement présentielles, répondant ainsi à une diversité croissante des besoins en matière de formation supérieure.

L’université sera autonome dans sa gestion académique, financière et administrative et aura la responsabilité de rendre des comptes à l’Etat. Le canton exercera un rôle de régulation stratégique et d’accompagnement de l’université. Le Grand Conseil validera le crédit-cadre quadriennal et aura la tâche de veiller, via les mandats de prestation, de la bonne utilisation des ressources financières du canton.

A l'horizon 2028

Le projet de loi proposé doit permettre de lister les missions de formation, de recherche et de prestations une université valaisanne, tout en garantissant son autonomie.

L’entrée en vigueur de la LUVa est prévue à l’horizon 2028, sous réserve d’une décision positive du Conseil suisse d’accréditation, au printemps 2027.

Lister les missions

Les activités de formation et de recherche en cours au sein d’UniDistance Suisse, le personnel engagé par la Fondation actuelle ainsi qu’une part significative des actifs de la Fondation seront transférées à l’Uni Valais-Wallis.

Le projet de loi proposé doit permettre de lister les missions de formation, de recherche et de prestations une université valaisanne, tout en garantissant son autonomie.

Cinq facultés

UniDistance Suisse compte 2600 étudiants, dont 140 Valaisans, 500 collaborateurs et 25 professeurs. Cinq facultés sont actuellement proposées, soit la psychologie, l'économie, le droit, l'histoire et les mathématiques-informatique. Il en ira de même avec l'Uni Valais-Wallis. "D'ici 2030, nous pourrions compter 3500 étudiants", avait estimé Yves Rey, le chef valaisan du Service des hautes écoles, lors d'une conférence de presse, le 1er septembre dernier.

Durant le débat d'entrée en matière, lundi matin, plusieurs députés ont défendu une université cantonale, tel Frédéric Rey-Bellet (Le Centre du Valais romand). "Notre groupe espère que le Canton aura le courage de continuer à investir dans le savoir, moteur durable de notre prospérité", a résumé l'élu.

"Ce projet est une grande chance pour le Valais. Une évolution logique et cohérente du paysage académique cantonal", a ajouté Géraldine Gianadda (PLR). En faveur de la loi, les Vert-e-s souhaitent davantage de représentativité des étudiants concernant le fonctionnement des facultés.

L'opposition de l'UDC du Valais romand

"Ce projet ne crée pas une université. Il transfère au Canton du Valais la responsabilité financière et institutionnelle d'une université existante, afin d'éviter qu'elle ne disparaisse", a tancé Claudia Bonvin (UDC du Valais romand). "Le risque financier est concentré sur l'Etat du Valais et attendez-vous à ce que, dans les années à venir, cela augmente encore davantage."

Au vote, l'entrée en matière a été validée, lundi matin, par 107 voix contre 15 et 1 abstention. Seul l'UDC du Valais romand a voté contre.

Le débat de première lecture aura lieu jeudi après-midi.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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