Vaud
"DECIBELS" : l'opération de la POL contre les nuisances sonores
Ménagez vos oreilles, celles de vos voisins aussi. La Police de l'Ouest lausannois relance l'opération "DECIBELS".
Elle fait de la lutte contre les nuisances sonores sa priorité durant la période estivale. Les policiers seront présents sur l'ensemble du territoire afin de sensibiliser la population.
L'adjudant Daniel Dudan, Chef de l'Unité Prévention à la POL :
Des rencontres entre jeunes aux tondeuses à gazon, en passant par les activités sportives, les causes de nuisances sonores sont nombreuses et variées :
La Police de l'Ouest lausannois appelle la population à être raisonnable. Il y a aussi un règlement à respecter la nuit :
Tout le monde est potentiellement concerné :
L'opération "DECIBELS" se déroulera jusqu'au 18 août sur l'ensemble du territoire de l'Ouest lausannois. L'an dernier, les policiers sont intervenus à 427 reprises pour des nuisances sonores.
Hockey
Suivez l'Acte II de la finale entre Lausanne et Zurich
Vaud
Les cyber escrocs continuent à sévir
Les arnaques en ligne font toujours des victimes. L’escroquerie téléphonique au faux policier d’Interpol, par exemple, a déjà fait l’objet d’une vingtaine de plaintes cette année auprès de la police vaudoise.
L’arnaque téléphonique au faux policier fait encore des victimes. Le mode opératoire est le suivant: une voix préenregistrée vous dit, en anglais, que vous faites l'objet d'un mandat d'arrestation. On vous demande d’appuyer sur la touche 1 pour parler à un inspecteur. Votre interlocuteur, anglophone, se fait alors passer pour un policier d’Interpol.
Il explique qu'une voiture a été louée à votre nom et a été retrouvée abandonnée avec des traces de sang et 10 kg de cocaïne. Et d'importants blanchiments d’argent sont faits à votre nom. On vous propose alors de mettre votre argent en sécurité en créant un compte sur une plateforme d’investissement. Compte qui sera accessible à l'escroc.
L'arnaque avait déjà été signalée l’été dernier, mais une recrudescence de cas a été observée ces dernières semaines, avec une vingtaine de plaintes et bien plus de signalements. Comment éviter de tomber dans le panneau ? La réponse de François Nanchen, alias e-cop François, chargé de prévention à la police cantonale vaudoise.
Pour éviter de se faire avoir, la police rappelle notamment de ne pas communiquer ses données personnelles ou de laisser quiconque prendre le contrôle à distance de son ordinateur. Mais aussi de mettre fin à tous les appels non sollicités et d'éviter de se fier trop facilement au numéro qui s’affiche sur l’écran de son téléphone.
Mais en parallèle, d’autres cyber attaques continuent à faire rage, la plus répandue étant l’arnaque aux fausses annonces, sur marketplace notamment.
A noter que la police vaudoise reçoit entre 10 et 20 plaintes pour cyberattaques chaque jour.
Toutes les précautions à prendre sur le site votrepolice.ch.
Lausanne
Révocation du syndic de Perroy: à la population de trancher
Le sort du syndic controversé de la petite commune vaudoise de Perroy, sur la Côte, sera remis entre les mains de la population. Le Conseil d'Etat a en effet décidé de convoquer le corps électoral perrolan afin que celui-ci se prononce sur la révocation du syndic Didier Haldimann, mis en cause par une enquête administrative, sur fond de conflit d'intérêts. La date du scrutin doit encore être déterminée.
"Cette décision fait suite aux requêtes adressées au gouvernement par la Municipalité et le Conseil communal de Perroy en juillet 2023. La date du scrutin sera fixée d’entente avec les autorités communales une fois la décision entrée en force", a indiqué jeudi le Conseil d'Etat vaudois. Les requêtes de l'exécutif et du législatif perrolan se fondaient sur deux motifs essentiels, rappelle le Canton.
Tout d'abord, dans un rapport d'enquête administrative d'octobre 2021, établi à la suite de deux dénonciations de sociétés actives dans la commune, la préfète du district de l'Ouest lausannois avait conclu que M. Haldimann avait à plusieurs reprises enfreint les règles sur la récusation. Ces faits, contestés par M. Haldimann, ressortent des procès-verbaux de la Municipalité durant la période considérée.
L'élu a, lui, toujours dénoncé des dysfonctionnements au sein de l'administration. S'agissant du second motif, Didier Haldimann n'accomplit plus ses tâches de syndic et n'assiste plus aux séances de Municipalité depuis juin 2022.
Recours possibles
"Ces deux motifs étant établis et remplissant les conditions posées par l'article 139b, alinéa 3 de la loi sur les communes, le Conseil d'Etat a décidé d'ordonner la convocation du corps électoral perrolan afin que celui-ci puisse se prononcer sur la révocation du syndic de Perroy", écrit le gouvernement dans son communiqué.
"Il appartient en effet à la population de Perroy, qui a élu M. Haldimann, de décider si elle lui maintient sa confiance, en dépit des éléments mentionnés", souligne-t-il.
La décision du Conseil d'Etat peut faire l'objet d'un recours au Tribunal cantonal, puis le cas échéant au Tribunal fédéral. Si ces instances la confirment, la date du scrutin sera fixée d’entente avec les autorités de la commune de Perroy.
Réactions des avocats du syndic
Dans un communiqué de presse, les avocats de M. Haldimann affirment que la décision cantonale "semble affectée de plusieurs vices juridiques". Elle se base sur "un rapport d'enquête établi le 29 octobre 2021 par la préfète de l'Ouest lausannois et la procédure y relative, dans le cadre de laquelle Didier Haldimann n'a pas pu faire valoir ses moyens, la qualité de partie lui ayant été refusée".
"Il lui avait à l'époque été assuré que l'enquête n'était pas dirigée contre lui et que celle-ci n'aboutirait à aucune décision administrative. Or, aujourd'hui, le Conseil d'Etat se base précisément sur ce même rapport pour prendre sa décision. Dans ces conditions, nous estimons que les droits de procédure de notre mandant n'ont pas été respectés".
Les avocats du syndic ne font pas mention d'un éventuel recours dans leur communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Le Tribunal fédéral confirme la prison ferme pour Alain Soral
Le Tribunal fédéral (TF) confirme la condamnation d'Alain Soral pour discrimination et incitation à la haine en raison de propos homophobes tenus à l'égard d'une journaliste. Pour des raisons de procédure, sa peine privative de liberté passe de 60 à 40 jours.
Alain Soral, de son vrai nom Alain Bonnet, avait publié en 2021 une vidéo où il s'en prenait à l'auteure d'un article à son sujet. Il taxait la journaliste de "grosse lesbienne" et "militante queer", insinuant que ce dernier terme voulait dire "désaxé".
Pour le TF, ce langage "rabaissant" et outrancier" invite à mépriser la journaliste, en raison notamment de son orientation sexuelle. Il ne fait "aucun doute" qu'il "tend à éveiller et exciter un sentiment de haine".
Tous les éléments constitutifs de l'article 261 bis du code pénal sont réunis, note la Cour qui rappelle que depuis 2020, cette disposition a été étendue aux discriminations liées à l'orientation sexuelle. M. Soral écope de 30 jours-amende pour diffamation et 40 jours de prison pour discrimination et incitation à la haine.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 2 jours
31 communes suspendent leur contribution à la facture sociale
-
InternationalIl y a 3 jours
L'objet qui a transpercé un toit en Floride vient de l'ISS
-
ÉconomieIl y a 2 jours
Accuray inaugure un nouveau pôle à Genolier (VD)
-
VaudIl y a 2 jours
Les vieilles voitures paraderont à Cossonay pour le Grand Prix TCS
-
HockeyIl y a 2 jours
Des regrets légitimes pour le Lausanne HC
-
GenèveIl y a 2 jours
Genève sonde les personnes âgées pour adapter sa politique
-
VaudIl y a 2 jours
Le pilier public doit se mettre à l'heure du numérique
-
PeopleIl y a 2 jours
"C'est une personne magnifique" : Jessica Chastain chante les louanges d'Anne Hathaway