Économie
Entreprises vaudoises satisfaites de 2022, incertitudes pour 2023
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/11/leconomie-vaudoise-se-porte-bien-malgre-les-incertitudes-sur-le-plan-international-sur-la-photo-une-vue-de-lecoquartier-des-plaines-du-loup-a-lausanne-archives-1000x600.jpg&description=Entreprises vaudoises satisfaites de 2022, incertitudes pour 2023', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Plus de quatre entreprises vaudoises sur dix (43%) jugent leur affaires en 2022 "bonnes à excellentes", malgré un contexte international difficile. L'année 2023 est entourée de davantage d'incertitudes, notamment dans le domaine de l'énergie.
Seules 14% des entreprises sondées évoquent une marche des affaires "mauvaise à médiocre", indique mardi dans un communiqué la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI).
Malgré les incertitudes, le marché de l'emploi devrait rester dynamique l'an prochain, selon l'étude. Pour la première fois depuis près de 15 ans, l'augmentation salariale devrait dépasser les 2% en moyenne en 2023.
Une hausse marquée des salaires a aussi été observée début 2022 (1,4% en moyenne, contre 0,8% en 2021). Elle n'a toutefois pas permis de compenser la forte inflation, estimée à 3% sur l'année.
Plus d'un quart des entreprises ont augmenté leurs effectifs en 2022, une proportion qui s'élève même à un tiers dans l'industrie et à plus de 40% dans les structures de plus de 100 collaborateurs. Le taux de chômage a ainsi poursuivi sa décrue et les perspectives restent, là aussi, positives. Seules 6% des entreprises s'attendent à devoir réduire leurs effectifs en 2023.
Problèmes d'approvisionnement
Les difficultés d'approvisionnement en matières premières restent d'actualité et se sont même accentuées par rapport à l'an dernier. Elles touchent 42% des entreprises (+8 points). Les conséquences se traduisent principalement par des retards de livraison et des prix d'achat en hausse. L'augmentation des coûts de transport est également mentionnée par 55% des sondés, contre 33% l'an dernier.
Afin de limiter l'impact négatif sur les marges, de nombreuses entreprises ont répercuté la hausse des coûts sur les prix de vente (63% contre 51% en 2021). Pour parer à ces difficultés d'approvisionnement, la diversification des fournisseurs est également une stratégie évoquée par 40% des répondants.
De manière générale, ces difficultés d'approvisionnement - de même que la tendance inflationniste qui en découle - devraient se poursuivre l'an prochain, selon la CVCI. Plus de la moitié des entreprises prévoient en effet une augmentation moyenne des prix des intrants de plus de 10% en 2023, soit une proportion identique à celle observée cette année.
Craintes liées à l'énergie
Le risque de pénurie d'électricité est venu s'ajouter à la longue liste des incertitudes pesant sur les entreprises. L'impact de la hausse des prix de l'énergie va être "conséquent" en 2023, souligne l'étude. Quelque 70% des répondants prévoient une augmentation de plus de 10% des coûts de l'électricité l'an prochain. Une hausse de plus de 50% est anticipée par une société industrielle sur cinq.
Les entreprises prennent des mesures afin de réduire leur consommation, principalement en procédant à des adaptations de l'éclairage et du chauffage, mais elles ne semblent pas prêtes à faire face à d'éventuelles coupures de courant, observe la CVCI. Moins d'un quart d'entre elles disposent d'un plan de continuité, et la grande majorité indique être dans l'expectative des instructions des autorités.
Si l'approvisionnement en électricité devait se trouver limité, les conséquences seraient "complexes et pénalisantes, voire ingérables". De nombreuses entreprises auraient recours au télétravail, mais des interruptions de l'activité seraient "inévitables". Plus de 60% des sociétés industrielles n'auraient d'autre choix que d'arrêter partiellement leur production, alors qu'une interruption totale est évoquée par un tiers des entités de moins de 30 collaborateurs.
L'enquête a été menée du 28 août au 10 octobre 2022. Près de 20% des membres de la CVCI y ont répondu, soit 581 entreprises employant au total près de 49'000 collaborateurs dans le canton.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le canal de Panama rapporte des taxes record pour l'Etat
Le Panama a enregistré un niveau de taxes record provenant du transit maritime sur son canal interocéanique. L'augmentation du nombre de passages de bateaux après deux années de récession en raison de la sécheresse en est la raison.
Le Trésor national a perçu 2,965 milliards de dollars de taxes, selon une annonce effectuée lors d'une cérémonie en présence du président panaméen, José Raúl Mulino, qui a reçu un chèque symbolique des mains de plusieurs ouvriers.
"Je vous félicite avec fierté" pour cette réussite, a déclaré M. Mulino aux employés lors d'une visite des installations portuaires.
La voie faite d'écluses, remplies par des bassins d'eau potable, a été durement affectée en 2023 et 2024 par une sécheresse qui a contraint à réduire considérablement le nombre de bateaux en transit.
En 2025, "la moyenne quotidienne des transits à fort tirant d'eau a été de 33, contre 27 l'année précédente", a indiqué l'Autorité du canal de Panama dans un communiqué.
Construit par les Etats-Unis en 1914 pour relier l'Atlantique au Pacifique, le canal de Panama, par lequel transite 5% du commerce maritime mondial, a rapporté plus de 30 milliards de dollars à l'Etat depuis son passage sous contrôle panaméen en 1999.
Les taxes perçues des bateaux de commerce qui y transitent représentent 6% du PIB, et un cinquième des recettes courantes du budget national.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Ultimatum de Lula pour la signature de l'accord Mercosur-UE
Le président brésilien Lula a déclaré mercredi que si l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur n'était pas signé "maintenant", il ne le sera pas sous sa présidence. Le président brésilien doit rester encore un an au pouvoir.
"Si on ne le fait pas maintenant, le Brésil ne signera plus l'accord tant que je serai président", a affirmé Luiz Inacio Lula da Silva lors d'une réunion ministérielle à Brasilia.
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, espérait parapher ce traité lors du sommet du Mercosur samedi, dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Zone euro: l'inflation ressort inchangée en novembre
L'inflation au sein de la zone euro est restée stable en novembre, ressortant à 2,1% sur un an, selon une nouvelle estimation d'Eurostat, confortant les attentes d'une nouvelle pause de la BCE à la veille de sa réunion de politique monétaire.
Le bureau de statistiques européen a révisé mercredi à la baisse son estimation initiale, dévoilée début décembre, qui faisait état d'une légère remontée de l'inflation au mois de novembre, à 2,2% sur un an.
La révision s'explique principalement par des hausses de prix légèrement moins élevées qu'initialement estimé pour les produits alimentaires non transformés et les biens industriels (hors énergie).
L'inflation sous-jacente - corrigée des prix volatils de l'énergie et de l'alimentation -, qui fait référence pour les experts, a quant à elle été confirmée à 2,4% en glissement annuel, un niveau inchangé par rapport au mois précédent.
Cette deuxième estimation d'Eurostat a de quoi conforter les attentes des économistes, alors que la BCE se réunit jeudi pour passer en revue ses taux d'intérêt. Ils tablaient déjà globalement sur un maintien des taux directeurs de l'institution monétaire, qui devrait prolonger la longue pause démarrée cet été, avec un taux de dépôt resté fixé à 2% depuis juillet.
Cette pause fait suite à une phase de baisse des taux d'un an qui avait accompagné le reflux de l'inflation en Europe.
Au sein de la zone euro, l'inflation s'est en effet très nettement calmée depuis le record de 10,6% sur un an atteint en octobre 2022, dans le contexte d'une flambée des prix de l'énergie liée à la guerre en Ukraine.
C'est ce mouvement d'apaisement généralisé de l'inflation, qui est revenue autour du niveau de 2% visé par la BCE, qui a incité cette dernière la BCE à réduire ses taux directeurs à huit reprises, entre juin 2024 et juin 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
Économie
Consensus du KOF: ralentissement attendu de la croissance en 2026
Zurich (awp) - Pour l'année à venir, les économistes interrogés dans le cadre du consensus établi par le KOF prévoient un ralentissement de la croissance économique en Suisse. Les prévisions d'inflation ont été légèrement revues à la baisse.
Les treize participants à l'enquête du KOF anticipent une progression du produit intérieur brut (PIB) réel corrigé des événements sportifs de 1,3% en 2025 et de 1,0% en 2026, indique le Centre de recherches conjoncturelles de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) dans un communiqué paru mercredi. Lors du précédent sondage, publié en septembre, la croissance du PIB était estimée à 1,1% pour l'année en cours et à 1,3% pour l'année prochaine.
Concernant les perspectives à long terme, les experts tablent sur une croissance du PIB réel de 1,5% à l'horizon 2030.
S'agissant des investissements réels, un recul de 0,5% pour les équipements est attendu, ainsi qu'une faible progression de 0,2% dans la construction. En revanche, les économistes interrogés font preuve d'un certain optimisme pour 2026, avec des taux de croissance attendus de 1,1% pour les équipements et de 1,6% pour la construction.
Les perspectives du commerce extérieur s'améliorent également légèrement: par rapport à l'enquête précédente, les experts anticipent pour 2026 un ralentissement moins marqué de la dynamique des exportations par rapport à 2025.
Inflation moins importante que prévu
Comparées à l'enquête précédente, les prévisions d'inflation ont de nouveau été revues à la baisse pour les trois horizons de projection. Pour 2025, le taux d'inflation attendu s'établit désormais en moyenne à 0,2% (septembre: 0,3%), pour 2026 à 0,4% (septembre: 0,6%), et à 0,9% sur un horizon de cinq ans (septembre: 1,0%).
Les perspectives du marché du travail restent inchangées, avec des taux de chômage moyens attendus de 2,9% en 2025 et 3,1% en 2026.
Stabilité du franc
Selon le consensus du KOF, le taux de change du franc face à l'euro devrait rester globalement stable au cours des prochains mois, avec des valeurs prévues de 0,93 CHF/EUR à trois mois et 0,92 CHF/EUR à douze mois.
Les experts tablent également sur une évolution stable du franc face au dollar américain, avec des valeurs moyennes de 0,79 CHF/USD à trois mois et 0,78 CHF/USD à douze mois.
Les prévisions à court terme concernant la Bourse suisse se sont nettement améliorées par rapport à la dernière enquête. Les économistes s'attendent à un Swiss Performance Index (SPI) d'environ 17'742 points dans trois mois, soit un niveau proche de la valeur actuelle. À douze mois, l'indice est attendu à 18'250 points, ce qui suggère une appréciation du SPI à moyen terme.
L'enquête du KOF s'est déroulée du 28 novembre au 10 décembre 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
-
VaudIl y a 2 jours
Fastaff: une plateforme locale pour les petits boulots
-
SuisseIl y a 2 jours
Manifestation pro-Gaza: Amnesty blâme la police bernoise
-
SuisseIl y a 3 jours
Fonction publique VD: 5000 manifestants à Lausanne
-
LausanneIl y a 1 jour
Quelque 350 manifestants à nouveau devant le Grand Conseil
-
SuisseIl y a 2 jours
La Suisse poursuivie à Strasbourg pour profilage racial
-
InternationalIl y a 3 jours
Tuerie à Sydney: Canberra veut des "lois plus fermes sur les armes"
-
Suisse RomandeIl y a 17 heures
Non à une réduction individuelle des primes d'assurance maladie
-
VaudIl y a 2 jours
Montreux: le sentier des Gorges du Chauderon ferme pour l'hiver


