Vaud
La fête du cheval à Cheseaux-sur-Lausanne
La fête du cheval, à Cheseaux-sur-Lausanne. La 51e édition du Concours hippique de Cheseaux se déroule jusqu’au dimanche 30 juin 2019 au Manège St-Georges.
Concours national destiné au grand public, dont l’entrée est libre. Les spectateurs peuvent assister aux compétitions depuis une tribune ombragée, se rendre dans le village d’exposants ou profiter de la cantine.
Pour ce qui est des compétitions, deux temps forts sont au menu du week-end. Yves Rytz, propriétaire du manège et organisateur du Concours hippique de Cheseaux :
Un soleil de plomb, une forte chaleur, et des chevaux qui sautent à plus d’un mètre et demi de hauteur. La canicule n’arrête pas le Concours hippique de Cheseaux-sur-Lausanne. Quand le thermomètre grimpe, les cavaliers souffrent plus que leurs montures :
Malgré les hautes températures, le saut d’obstacles reste spectaculaire. Les chevaux sont entraînés comme des sportifs d’élite :
Avec sa piste appréciée des cavaliers et ses infrastructures d’entraînement intérieures, le Manège St-Georges a fière allure. Le Concours hippique de Cheseaux-sur-Lausanne est apprécié des cavaliers. Il fait la fierté d’Yves Rytz :
Le Concours hippique de Cheseaux, c’est 1900 départs de chevaux et 3500 spectateurs attendus jusqu’à dimanche.
Vaud
Nouvelle structure d'hébergement temporaire à Bussigny
L'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM) dispose d'une nouvelle structure provisoire d'accueil à Bussigny. Celle-ci ouvrira ses portes dans la première moitié du mois d'avril et proposera 150 places pour loger des familles ou des personnes seules.
La structure assurera un service d'hébergement et de restauration aux migrants arrivant dans le canton dans l'attente d'une solution d'hébergement plus pérenne. Compte tenu de la courte période de séjour dans la commune de Bussigny, les enfants n'y seront pas scolarisés, a indiqué mercredi l'EVAM dans un communiqué.
Dans le même temps, l'EVAM annonce qu'elle cessera l'utilisation d'une halle sur le site de Beaulieu à Lausanne, exploitée depuis une année. L'endroit fermera ses portes dans la seconde moitié du mois d'avril, précise-t-on. La solution de Bussigny permettra justement de prendre le relais de Beaulieu.
L'EVAM compte actuellement 6500 bénéficiaires de plus qu'à la même période l'an dernier, soit un effectif total de plus de 12'000 personnes en provenance d'Ukraine comme d’ailleurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Bons Plans LFM
EPFL Pavilions: explorer la connexion à la lumière
L'exposition d’EPFL Pavilions "Lighten Up! On Biology and Time" explore par le prisme de l’art la relation entre les organismes vivants et le cycle de la lumière. Dès vendredi et jusqu'au 30 juillet, 19 installations rappellent l’importance pour la santé d’une exposition régulière à la lumière naturelle.
Tous les organismes vivants ont intégré ce cycle entre lumière et obscurité sous la forme de rythmes circadiens qui préparent au mieux le fonctionnement du corps à chaque moment de la journée. Une exposition suffisante à la lumière, aux heures appropriées, peut avoir un impact significatif sur le système immunitaire, la qualité de sommeil, la vigilance, l'humeur et influe sur le bien-être global et la santé.
A travers une grande variété d’approches et d’expériences artistiques, "Lighten Up!" explore la connexion à la lumière et le rôle crucial que jouent les rythmes circadiens. Les ½uvres d’art célèbrent le pouvoir et la beauté de la lumière du jour, initient aux secrets des horloges biologiques, imaginent des alternatives à la représentation du temps ou sondent les mystères du sommeil et des rêves. Elles sont signées d’artistes et architectes de renom tels qu’Olafur Eliasson, James Carpenter, Liliane Lijn ou Colin Fournier.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Le Conseil d'Etat invité à agir plus rapidement dans le dossier des prisons
Le Grand Conseil vaudois a envoyé mardi un signal très clair au Conseil d'Etat pour mettre fin aux conditions illégales de détention dans les zones carcérales. Une motion demandant au gouvernement de presser le pas et de trouver des solutions de construction provisoire, signée au départ par une soixantaine de députés tous partis, a été acceptée à l'unanimité.
Après les mauvaises conditions carcérales critiquées dans les prisons vaudoises la semaine dernière devant ce même parlement par la Commission des visiteurs (CVGC), les députés sont revenus à la charge ce mardi. Le texte demande au Conseil d'Etat de "prendre ses responsabilités" afin de compléter le nombre de places de détention nécessaires et limiter la durée de détention en zone carcérale à 48h.
Présidente de la CVGC, la libérale-radicale Marion Wahlen a déclaré que la situation actuelle était "inadmissible" et qu'il fallait "trouver des solutions rapides et ne pas se cacher derrière la construction de la prison des Grands-Marais", à Orbe, dont l'ouverture est prévue à l'horizon 2029-2030.
Florence Bettschart-Narbel, députée PLR et rapportrice de la commission des affaires juridiques, qui s’est penchée sur la motion :
La motion demande précisément d'envisager "toute autre solution de construction provisoire, d'adaptation ou de transformation susceptible d'accueillir les personnes prévenues après leurs deux premiers jours de séjour dans les zones carcérales de notre canton".
Le conseiller d'Etat en charge de la sécurité a des pistes pour ces alternatives :
Du côté de la rapportrice de la commission des affaires juridiques, il faut pouvoir analyser des pistes alternatives :
"Pas de baguette magique"
Ce sont les détentions à l'Hôtel de police de Lausanne et dans les locaux de la police cantonale à la Blécherette qui posent d'année en année problème. La durée de détention, prévue pour 48h maximum dans ces lieux, est trop souvent dépassée.
"J'accueille volontiers cette motion. C'est un signal politique envoyé au gouvernement", a dit le conseiller d'Etat responsable du dossier Vassilis Venizelos. "Mais je n'ai pas de baguette magique. La solution miracle n'existe pas" pour lutter contre la surpopulation carcérale dans le canton, a-t-il prévenu.
Comment expliquer que le canton se retrouve désormais dans cette situation ? Les explications du conseiller d’Etat vaudois en charge de la sécurité, Vassilis Venizelos :
Le chef du Département de la jeunesse, de l'environnement et de la sécurité (DJES) a réitéré son "engagement à travailler sur des mesures alternatives" en attendant. Il a de nouveau cité le travail d'intérêt général, la surveillance électronique, la semi-détention ou encore la justice restaurative.
Isabelle Bertolini et Robin Jaunin avec Keystone-ATS
Vaud
Les agriculteurs vaudois veulent connaître leur empreinte carbone
Prometerre, chambre vaudoise de l'agriculture, a lancé une étude pour calculer l'empreinte carbone des agriculteurs vaudois. Une vingtaine d'exploitations sont passées sous sa loupe. Les résultats, dévoilés ce mardi, montrent des émissions de gaz à effet de serre en dessous des moyennes internationales.
Les agriculteurs vaudois veulent connaître leur empreinte carbone. C’est en tout cas le souhait de Prometerre, association faitière et chambre vaudoise de l’agriculture. Elle vient de dévoiler les résultats d’une étude menée sur une vingtaine d’exploitations du canton, actives dans la production de lait, de raisins, de viande ou de céréales. L’idée : calculer les entrées et sorties carbone. Les entrées sont liées à la production et les sorties au stockage de carbone dans les sols qui représente une sorte de compensation. Et les résultats de cette étude sont surprenants, selon la faitière. La majorité des exploitations étudiées n’émettent que peu de gaz à effet de serre en comparaison internationale. Et certaines ont un bilan zéro carbone, voire un bilan négatif.
Une bonne nouvelle pour Prometerre qui espère pouvoir tordre le cou à cette idée reçue : l’agriculture est une des grandes responsables du réchauffement climatique. Son directeur, Luc Thomas.
Quant à savoir si les résultats de l'étude pourraient être biaisés car fruit d'une analyse d'un acteur concerné, Prometerre répond que les outils utilisés pour les analyses ne sont pas le fruit de sa création. L'un a notamment été développé par l'HEPIA, haute école du paysage, d'ingénierie et d'architecture de Genève.
Notons, par ailleurs, que les résultats de cette étude ne peuvent pas encore être généralisés au canton, l’échantillon étudié étant trop faible. Quelle suite sera donc donnée à cette étude ? La réponse d’Aude Jarabo, responsable projet climat au sein de la faitière.
Améliorer le bilan
L’objectif est donc désormais d’établir un bilan pour 500 exploitations en 4 ans. Mais au-delà d’un bilan, Prometerre veut aussi donner les clefs aux agriculteurs pour diminuer leur empreinte carbone. Précisions d’Aude Jarabo, responsable projet climat.
Plusieurs agriculteurs qui ont participé à cette étude étaient présents lors de la présentation des résultats. A l’image de Marc Benoit, producteur de lait à Romainmôtier-Envy. Il nous dévoile son empreinte carbone et les mesures qu’il peut mettre en place pour l’améliorer.
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