Économie
Crédit de 2,5 millions pour la route Aigle - Le Sépey accepté
Le Grand Conseil vaudois a accepté mercredi une demande de crédit d'étude de 2,5 millions de francs du Conseil d'Etat pour reconstruire une partie de la route entre Aigle et Le Sépey. Le tronçon concerné, long d'environ 1,1 km, se trouve dans le secteur du glissement de terrain de la Frasse, sur la commune d'Ormont-Dessous, dans la région des Diablerets.
"Les mouvements du terrain ont fortement déformé et même déplacé la route qui traverse ce secteur; la visibilité et la sécurité sont problématiques", a justifié le gouvernement. Le crédit sollicité permettra de conduire les différentes études pour réhabiliter ce tronçon et servira de base au crédit d'ouvrage.
Ce crédit a été accepté par 97 oui, sept abstentions et aucun refus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'initiative sur la responsabilité environnementale balayée à 69,8%
L'économie suisse ne devra pas se réinsérer dans les limites naturelles de la Terre d'ici dix ans. Le peuple a balayé dimanche à 69,84% l'initiative populaire des Jeunes Vert-e-s pour la responsabilité environnementale, selon les résultats définitifs.
Au terme d'une campagne peu animée, tous les cantons ont rejeté le texte. Au total, 1'471'593 "non" ont été glissés dans l'urne, contre 635'368 "oui".
Bâle-Ville a dit non le plus timidement, par 54,7% des voix. Le refus est également plus faible en Suisse romande. C'est non à Neuchâtel à 58%, à Genève à 58,3%, dans le Jura à 62,1%, dans le canton de Vaud à 61,7% et à Fribourg à 67,9%.
Le rejet est un peu plus élevé en Valais (76,4%), à Berne (68,7%) et au Tessin (69,4%). A Zurich, le canton le plus peuplé de Suisse, le refus se monte à 67,3%.
Il est également plus marqué dans les autres cantons de Suisse alémanique. Schwyz détient la palme, avec 84,6% de non. Suivent Nidwald (83,2%), Obwald (83%) et Appenzell Rhodes-Intérieures (82,9%) au-dessus de la barre des 80%.
Aval d'une poignée de communes
Sur les plus de 2100 communes suisses, seule une dizaine ont accepté l'initiative, des villes mais aussi de petites communes rurales. Les premières se trouvent en Suisse romande ou à la limite: Lajoux (JU) a dit oui à 60,1%, Lausanne à 58%, Berne à 57,7%, Romainmôtier-Envy (VD) à 56,4%, Vevey à 56,1% et Fribourg à 53,5%.
Viennent ensuite Clarmont (VD), Les Enfers (JU), Veysonnaz (VS), Neuchâtel et Bienne (BE). A l'inverse, les communes de Riemenstalden (SZ) et d'Ederswiler (JU) ont dit non à 100%.
Limites naturelles de la Terre
L'initiative "pour une économie responsable dans les limites de la planète" voulait inscrire dans la Constitution le respect des limites naturelles terrestres. Celles-ci sont des points de repère écologiques qui indiquent jusqu'où l'humanité peut pousser ses activités sans risquer de déséquilibrer de manière irréversible la Terre et d'atteindre des points de non-retour.
La gauche et le Parti évangélique soutenaient l'initiative, de même que des organisations écologistes et des scientifiques. Le Conseil fédéral, les partis bourgeois et les milieux économiques rejetaient eux le texte, trouvant qu'il allait trop loin.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'initiative pour la responsabilité environnementale est mal partie
Le sort de l'initiative des Jeunes Vert-e-s pour la responsabilité environnementale sera scellé dimanche. Il réserve peu de surprises. Selon les sondages, la majorité du peuple suisse devrait glisser un "non" dans l'urne.
L'initiative populaire "pour une économie responsable dans les limites de la planète" (initiative pour la responsabilité environnementale) veut inscrire dans la Constitution le respect des ressources planétaires. Concrètement, elle exige que l'économie suisse, y compris ses importations, se réinsère dans les limites naturelles terrestres d'ici dix ans.
Ces limites sont des points de repère écologiques qui indiquent jusqu’où l’humanité peut pousser ses activités sans risquer de déséquilibrer de manière irréversible la Terre et d'atteindre des points de non-retour. Les seuils sont définis par des scientifiques.
Si le texte était accepté, la Suisse serait tenue de réduire fortement les atteintes à l'environnement causées par la consommation nationale. Cette obligation s'appliquerait dans six domaines: le changement climatique, la perte de biodiversité, la consommation d’eau, l'utilisation du sol, la pollution atmosphérique ainsi que les apports d'azote et de phosphore.
Les Vert-e-s, le PS, la Jeunesse socialiste et le Parti évangélique soutiennent l'initiative. De même que des organisations écologistes, comme Greenpeace, Uniterre, l'Association des petits paysans et les Aînées pour le climat, ainsi que quelque 80 scientifiques suisses.
Les partisans demandent d'arrêter de prioriser les profits au détriment de l'environnement et de la population. La durabilité de l'économie et de la société doit devenir une priorité collective, selon eux. Et de rappeler encore que six des neuf limites planétaires sont dépassées en Suisse, ou sont en passe de l'être.
Campagne peu animée
Le Parlement rejette au contraire le texte, tout comme le Conseil fédéral. Une alliance composée des partis bourgeois, le PVL et les milieux économiques disent aussi non, tout comme l'Union suisse des paysans et l'Union suisse des paysannes et des femmes rurales.
Pour eux, l'initiative va trop loin. Le délai de dix ans, trop rigide, engendrerait des coûts considérables pour l'économie et la société. Or ces deux secteurs sont aussi des piliers de la durabilité.
Ce délai court imposerait à la Suisse de prendre des mesures réglementaires rigoureuses, dont le coût ne serait pas supportable. Les opposants rappellent encore les mesures déjà en place pour protéger l'environnement.
L'initiative doit récolter la majorité du peuple et des cantons pour passer la rampe. Le verdict tombera en cours d'après-midi, mettant un terme à une campagne peu animée. Les sondages prédisent une participation faible, d'autant plus qu'il s'agit du seul objet fédéral au menu des votations.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Un violon Stradivarius vendu 11,3 millions de dollars à New York
Un rare violon Stradivarius, fabriqué en 1714 par Antonio Stradivari durant sa "période dorée", a atteint 11,3 millions de dollars aux enchères à New York vendredi, soit le 3e prix le plus élevé pour un instrument de musique, a annoncé la maison de vente Sotheby's.
"Ce violon extraordinaire représente le summum de l'artisanat et de l'histoire de la musique classique. Sa sonorité inégalée et sa provenance historique ont captivé les collectionneurs et les musiciens", s'est félicitée dans un communiqué la présidente de Sotheby's Amériques, Mari-Claudia Jimenez.
Connu pour sa sonorité extraordinaire, ce violon, le "Joachim-Ma Stradivarius", du nom de ses anciens propriétaires, a atteint le troisième prix le plus élevé d'un instrument de musique lors d'une vente aux enchères.
Le record est détenu par un autre violon du luthier de Crémone, le "Lady Blunt", vendu en 2011 pour 15,9 millions de dollars.
"Ce qui rend le Joachim-Ma Stradivarius si extraordinaire, c'est sa sonorité exceptionnelle, riche, complexe et pleine de profondeur", a souligné Sotheby's.
L'instrument appartenait au violoniste et pédagogue Si-Hon Ma, qui l'avait offert au Conservatoire de la Nouvelle Angleterre (NEC) de Boston, où il avait fait ses études, à condition qu'il le vende un jour pour financer des bourses d'étude.
Le violon avait appartenu auparavant à Joseph Joachim, l'un des violonistes les plus influents du XIXe siècle, célèbre pour ses collaborations avec des compositeurs tels que Johannes Brahms.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Cinq cures historiques du canton ont été rénovées
L'Etat de Vaud a fini de rénover cinq cures historiques du canton. Après celles de Bière, de Dommartin, de Romainmôtier et de Rougemont, c'est celle de Vufflens-le-Château qui a été inaugurée vendredi par les autorités cantonales et communales. Un crédit de près de 6 millions de francs avait été consacré à cet effet.
Ce vaste programme de réhabilitation prévoyait la rénovation des façades, toitures, ouvertures, isolations et installations techniques. Les travaux ont aussi permis de réduire la consommation énergétique des bâtiments. Un alliage de préservation du patrimoine et de durabilité, résume le Canton dans un communiqué.
"La remise en état des cinq édifices a permis de redonner tout leur lustre à des structures érigées entre le 17e et le 19e siècles, tout en respectant leur conception originelle. L'authenticité de chaque bâtiment a été conservée, est-il souligné. Ces cures de jouvence ont été conduites en collaboration avec des artisans locaux.
Même s'il en a déjà vendu plusieurs ces dernières années, l'Etat de Vaud reste propriétaire de 130 cures sur son territoire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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