Culture
Palais de Rumine: crédit d'études de 4,5 millions accepté

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Le Grand Conseil vaudois a dit un oui quasi unanime à un crédit de 4,5 millions de francs destiné à financer les études de restauration du Palais de Rumine. Il permettra de préparer la réaffectation de l'édifice et de ses institutions à la suite du départ fin 2019 du Musée cantonal des Beaux-Arts de Lausanne (MCBA) vers le site de Plateforme 10.
En automne dernier, les jalons ont été posés pour la valorisation du Palais de Rumine en futur Palais des savoirs, qui réunira les institutions patrimoniales et scientifiques cantonales. Le crédit sollicité ce jour est nécessaire pour la finalisation du projet, a expliqué le socialiste Jean-Claude Glardon, rapporteur de commission mardi devant le plénum.
La variante choisie vise un déploiement des utilisateurs dans les espaces libérés par le MCBA et le Grand Conseil, soit 2675 m2 supplémentaires. Elle prévoit une rénovation technique sur l'ensemble du Palais de Rumine, une reconfiguration de la bibliothèque dans sa typologie d’origine, tout en permettant de maintenir en place les usagers actuels, a poursuivi le député.
Le budget total de la rénovation et de mise en conformité s'élève à 45 millions de francs. Il est à noter que la restauration des peintures de Louis Rivier situées dans l'aula, le mobilier divers ainsi que l'aménagement et l'équipement d'un café nécessitent des études détaillées. A ce stade, le coût de ces opérations n'a pas été intégré dans le montant du crédit d'ouvrage
Accueil enthousiaste
Les partis ont accueilli favorablement le projet, se réjouissant pour l'un de l'assainissement énergétique, pour l'autre de la restauration de la magnifique salle de bibliothèque ou encore de la rénovation bienvenue d'un édifice appartenant au paysage lausannois, malgré les critiques qui lui sont faites.
Seul le PLR Marc-Olivier Buffat a émis une note discordante. "Dans ce concert de louanges, il a regretté qu'il ait fallu "énormément de temps, 15 à 17 ans pour que l'on avance dans ce dossier", alors que ce bâtiment est extrêmement bien situé. Et d'ajouter qu'il reste un peu sur sa faim quant à un véritable projet sur l'affectation de Rumine.
Bâtiment malmené
"Il est sûr que c'est une réhabilitation lourde. Nous souhaitons revenir à l'aspect patrimonial: des ailes, des salles ont été malmenées, notamment la bibliothèque", a pour sa part relevé Pascal Broulis, conseiller d'Etat en charge du patrimoine bâti.
"Le canton peut jouir du bien, mais doit en garantir l'entretien. Propriétaire, la ville de Lausanne en attend un soutien fort", a-t-il ajouté. Au vote, le plénum a plébiscité le crédit par 118 voix pour et une abstention.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Volte-face de Google: pas de blocage des "cookies" publicitaires
Google a annoncé mardi qu'il ne renonçait finalement pas à autoriser, sur son navigateur Chrome, l'utilisation de "cookies", qui permettent de suivre les utilisateurs sur les sites qu'ils consultent, cinq ans après avoir promis leur extinction.
Depuis 2022, le géant californien évoque la transition des "cookies" vers un système moins intrusif, susceptible de repérer préférences et centres d'intérêt sans compiler l'historique de la navigation.
Les "cookies tiers", traceurs numériques extérieurs qui cartographient l'utilisation d'internet au-delà du site qui les installe, sont un outil de ciblage précieux pour les publicitaires et les annonceurs.
Dès 2020, Google avait fait part de son intention de les bloquer, mais la mesure a été repoussée maintes fois depuis.
En juillet 2024, le groupe de Mountain View avait indiqué qu'il n'empêcherait pas les cookies par défaut mais laisserait la possibilité à l'utilisateur de les désactiver.
"Il est clair que les perspectives divergent" entre "éditeurs de contenus, développeurs, régulateurs et l'industrie publicitaire" quant aux modifications éventuelles à apporter aux cookies, a écrit Anthony Chavez, vice-président responsable de Privacy Sandbox, entité consacrée à la gestion des données personnelles.
Selon le responsable, les avancées technologiques enregistrées depuis 2022 et la montée en puissance de l'intelligence artificielle (IA) ont offert de nouveaux moyens de protéger les données personnelles des internautes qui ne souhaitent pas les partager.
Anthony Chavez mentionne aussi le paysage réglementaire qui a "considérablement évolué" dans le monde.
"Pour toutes ces raisons, nous avons décidé de maintenir notre approche actuelle pour les cookies tiers dans Chrome", a expliqué le dirigeant dans un message posté mardi sur le blog de Google.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le Général Guisan est à l'honneur au Château de Morges
Le Château de Morges propose de redécouvrir le parcours du Général Guisan. Des documents rares sont exposés jusqu'au 31 août.
Faire redécouvrir le général Henri Guisan aux jeunes générations. C’est l’objectif de la nouvelle exposition du Château de Morges. Une manifestation réalisée en partenariat avec la Fondation Général Henri Guisan. Elle retrace le parcours du commandant en chef de l’Armée suisse durant la Seconde Guerre mondiale. Cette exposition propose un voyage historique à travers la montée du fascisme. Elle propose des documents rares, des archives photographiques accessibles via des codes QR. Elle invite aussi à redécouvrir le rôle central qu’à eu le Général Guisan. Adélaïde Zeyer, directrice du Château de Morges et ses musées.
Une exposition qui commémore deux anniversaires.
L’exposition est à découvrir jusqu’au 31 août
Culture
Décès du sculpteur russe Zourab Tsereteli
Le célèbre sculpteur russe d'origine géorgienne Zourab Tsereteli, connu pour ses oeuvres monumentales, est décédé dans la nuit de lundi à mardi à l'âge de 91 ans, ont rapporté les agences de presse russes.
"Son coeur s'est arrêté", a indiqué son assistant Sergueï Chagoulachvili à l'agence de presse publique Ria Novosti, en précisant que l'artiste est décédé dans sa maison à Peredelkino, près de Moscou, "entouré de ses oeuvres".
Président de l'Académie russe des beaux-arts depuis 1997, il a réalisé des dizaines de monuments impressionnants par leurs dimensions mais souvent sources de polémiques.
Ses oeuvres très présentes dans le paysage urbain moscovite, dont un monument à la Victoire (1995) haut de 142 mètres et une statue de Pierre le Grand de 98 mètres (1997), ont toujours suscité des controverses dans les médias et au sein de la société russes, notamment du fait de leur taille.
Né le 4 janvier 1934 à Tbilissi, en Géorgie, le sculpteur a participé à la décoration de l'immense cathédrale du Christ-Sauveur, reconstruite au coeur de Moscou entre 1996 et 2000, et a érigé dans la capitale russe une statue du général de Gaulle haute de huit mètres (2005).
Cadeaux refusés par Washington
Une statue de Jean-Paul II, réalisée par Tsereteli, décoré de la Légion d'honneur en France, a été érigée près de la cathédrale Notre-Dame à Paris en octobre 2014.
Au moment où Mikhaïl Gorbatchev lança la perestroïka en URSS, Zourab Tsereteli a connu un bref succès en Occident, avec des monuments dédiés aux mutations dans le monde communiste, à Londres ("Détruire le mur de méfiance", 1989) et à New York ("Victoire du bien sur le mal" fabriqué avec des restes de missiles soviétiques et américains en 1990).
Encouragé par ce succès, le sculpteur a proposé en 1992 d'offrir aux Etats-Unis une statue de Christophe Colomb de 45 mètres de haut pour les 500 ans de la découverte de l'Amérique, mais les autorités américaines ont refusé son cadeau.
La statue de Colomb a été érigée trois ans plus tard à Séville, en Espagne.
Tsereteli a ensuite tenté d'offrir à la ville de New York un monument consacré aux victimes des attentats du 11 septembre 2001, une larme géante de 30 mètres, mais les autorités américaines ont poliment décliné son offre.
La larme de Tsereteli a finalement trouvé refuge en 2005 à Bayonne, une petite ville de 60'000 habitants dans le New Jersey.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Vingt oeuvres primées au Concours FNS d’images scientifiques
Le jury du Concours FNS d’images scientifiques 2025 a distingué vingt ½uvres illustrant les coulisses de la recherche. Un record depuis le lancement de la compétition en 2017.
Pas moins de 430 oeuvres avaient été soumises au jury, a indiqué mardi le Fonds national suisse (FNS) dans un communiqué. Les ½uvres lauréates et une sélection d’autres images ou vidéos issues du Concours 2025 seront exposées aux Journées photographiques de Bienne du 3 au 25 mai.
Le premier prix de la catégorie "Objet d’étude" est revenu à Alain Amstutz, chercheur postdoc à l’Université de Bâle. La photographie primée documente les recherches qu’il mène au Lesotho sur l’utilisation de salons de coiffure comme un lieu alternatif offrant des services de santé.
Un portrait en contre-jour d’une équipe d’archéologues réalisé par Guido Schreurs, de l’Université de Berne, remporte la catégorie "Femmes et hommes de science". Une manière d’exprimer avec ingéniosité le message que la science constitue un travail d’équipe tout en présentant clairement l’activité et l’environnement de ces travaux de recherche, écrit le jury.
Plusieurs oeuvres récompensées
Gaétan Raynaud, doctorant à l’EPFL, reçoit le premier prix de la catégorie "Lieux et outils" pour sa photographie d’une expérience dans une soufflerie. "Cette représentation iconique d’une expérience scientifique dévoile, au second coup d’½il, une autre histoire: celle du chercheur solitaire et invisible qui ne laisse que des traces fantomatiques et fluides, capturées par la longue exposition", selon la laudatio.
Une séquence présentant les oscillations nanométriques d’un système électromécanique remporte la catégorie "Vidéos". En outre, seize ½uvres ont reçu une distinction du jury: une présentation hypnotique de trajectoires d’avions, une visualisation énigmatique de fonctions mathématiques, l’heureux hasard offert par une webcam ou encore l’intérieur majestueux d’un appareil expérimental aux dimensions indéfinies.
Onze des vingt images lauréates ont été soumises par des personnes encore aux études ou effectuant un doctorat. "Je suis très heureux de voir autant de jeunes scientifiques s’intéresser à jeter un regard neuf sur leurs travaux", commente Torsten Schwede, président du Conseil de la recherche du FNS, cité dans le communiqué.
Le Fonds national suisse invite depuis 2017 les scientifiques travaillant en Suisse et au Liechtenstein à montrer leur quotidien et à le partager avec le grand public. Toutes les ½uvres soumises - plus de 3500 - sont disponibles en ligne et en libre accès.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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