Lausanne
La première volée de la maturité en quatre ans prévue dès 2032
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Le gymnase en quatre ans dans le canton de Vaud devrait débuter avec une première volée en 2032. Le basculement de trois à quatre ans nécessitera l'ouverture d'une centaine de classes et la formation de 150 à 180 enseignants supplémentaires.
Le ministre des écoles Frédéric Borloz (PLR) a présenté mardi matin devant les médias au gymnase de Beaulieu les objectifs, la méthode de travail et le calendrier de cet allongement du cursus gymnasial. "C'est un très gros chantier pour ces huit prochaines années. La machine mise en place est assez complexe", a-t-il résumé.
Imposée par la Confédération en juin dernier, la maturité gymnasiale doit durer au moins quatre ans dans tout le pays. En Suisse romande, avec Neuchâtel et le Jura, Vaud fait partie des cantons qui avaient un modèle sur trois ans.
Celui-ci veut privilégier un modèle mixte de 10 ou 11 + 4 ans de gymnase. Un scénario qui donne accès au cursus de maturité en fin de 11e année, tout en l'ouvrant dès la fin de la 10e pour les élèves qui ont des résultats suffisants.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Municipales à Lausanne: alliance entre Vert'libéraux et Centre
Les Vert'libéraux et le Centre s'allient pour l'élection à la Municipalité de Lausanne en mars prochain. Ils lancent respectivement Virigine Cavalli et Serge de Ribaupierre.
"Face à la gauche omnipotente et la droite conservatrice, l'alliance souhaite offrir une nouvelle voie, visionnaire et optimiste et une approche plus libérale et efficiente", écrivent les deux partis dans un communiqué.
Agée de 32 ans et juriste en droit de la santé, Virginie Cavalli est notamment cheffe du groupe vert'libéral au Conseil communal, où elle siège depuis 2021. Elle s'était déjà présentée lors de la précédente élection de 2021. De son côté, Serge de Ribaupierre, 36 ans, est expert fédéral en finance et contrôle de gestion. Il n'exerce pas de fonction politique.
Outre un siège à la Municipalité, les deux partis disent viser "la barre symbolique des 10%" au Conseil communal, où ils présenteront également une liste commune d'une soixantaine de candidats.
L'UDC doit encore s'annoncer
Parmi les autres partis à avoir présenté leur stratégie pour la Municipalité, les socialistes partiront à trois avec les sortants Emilie Moeschler et Grégoire Junod, associés au nouveau venu Julien Eggenberger. Le PLR mise aussi sur un trio avec Pierre-Antoine Hildbrand (sortant), Marlène Bérard et Mathilde Maillard. Les Vert-e-s lancent leurs élus sortants Natacha Litzistorf et Xavier Company.
L'UDC et SolidaritéS, qui comptent aussi des élus au Conseil communal, n'ont pas encore désigné de candidats.
Depuis plusieurs années, l'exécutif lausannois est largement dominé par la gauche (3 PS, 2 Vert-e-s, 1 POP et 1 PLR).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
La police pourrait forcer le départ des caravanes de la Rama
La quarantaine de caravanes de gens du voyage stationnées sur le site de Rama à Montheron, au nord de Lausanne, doivent partir dans un délai de 10 jours, faute de quoi la police pourrait intervenir, a décidé la justice vaudoise dans le cadre d'une ordonnance de mesures provisionnelles. Celle-ci prévoit également une amende de 1000 francs par jour d'inexécution.
"Une ordonnance de mesures provisionnelles a été rendue par le Président de la Chambre patrimoniale cantonale, qui nous a alloué la totalité de nos conclusions et ordonne aux gens du voyage de partir, dans un délai de dix jours, cas échéant sous la menace de la force publique", a déclaré Pierre-Antoine Hildbrand, municipal lausannois en charge de la sécurité, lundi à Keystone-ATS. "La fermeté et le respect des procédures paient", a-t-il commenté.
L'élu PLR précise que la justice vaudoise a également suivi la demande de la Municipalité, à savoir une amende d’ordre de 1000 francs par jour d’inexécution. Les frais de justice, à hauteur de 3670 francs ont été mis à charge des gens du voyage, qui devront également participer aux honoraires d'avocat à hauteur de 3000 francs.
Plaintes au civil et au pénal
La procédure judiciaire remonte à la fin de l'hiver, lorsqu'une quarantaine de caravanes étaient arrivées sur le parking du Chalet-à-Gobet le 24 février, avant d'être escortées vers le parking de la Rama. La ville avait autorisé 25 d'entre elles à y demeurer au-delà du lundi 3 mars. Cette limite n'ayant pas été respectée, la Municipalité avait alors déposé une plainte pénale pour occupation illicite du terrain, et une plainte au civil en vue d'une évacuation.
L'annonce de la Municipalité intervient quelques jours après le départ, jeudi dernier, de 21 caravanes de gens du voyage installées illégalement sur le parking P+R de la Bourdonnette, au sud de la ville. Une dizaine d'autres avaient aussi été évacuées d'un parking d'un magasin d'électronique à Crissier.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Une commune vaudoise déboutée sur la péréquation
La commune de Jouxtens-Mézery (VD), qui contestait la facture de la péréquation mise à sa charge pour 2022, est déboutée par le Tribunal fédéral. Ce "procès pilote" s'inscrit parmi d'autres contestations formulées par plus de 30 communes vaudoises.
En décembre 2023, le Département vaudois des institutions, du territoire et du sport a présenté à Jouxtens-Mézery une facture de près de 13 millions de francs au titre de la péréquation intercommunale pour l'année 2022. La cohésion sociale représentait 8,2 millions, la péréquation directe 4,3 millions et la facture policière 429'000 francs. Pour mémoire, ces montants relevaient de l'ancien système, réformé depuis le 1er janvier 2025.
La commune a contesté en vain ce montant devant le Tribunal cantonal. Ce dernier a suspendu les recours déposés par les autres communes dans l'attente de la décision du Tribunal fédéral dans cette procédure pilote.
Autonomie respectée
Dans son arrêt, le Tribunal fédéral rejette le recours de Jouxtens-Mézery. En substance, il confirme la position de la justice vaudoise qui a considéré que les montants réclamés par le canton, même s'ils sont considérables, ne violent pas l'autonomie administrative, financière et fiscale de la commune.
Bien que la facture 2022 représente 83% des recettes de la recourante, celle-ci a maintenu son point d'impôt depuis 2018 à 59% de l'impôt cantonal de base. Qui plus est, elle l'a baissé depuis 2012 (62%) et 2009 (68%). En outre, Jouxtens-Mézery ne taxe pas les successions en ligne directe descendante, alors que la majorité des communes vaudoises prélèvent entre 50 et 100% de l'impôt cantonal.
Dans ces conditions, estime la 2e Cour de droit public, Jouxtens-Mézery dispose d'une marge de manoeuvre importante pour boucler ses comptes, par exemple en augmentant son taux d'imposition. La nécessité pour une commune à fort potentiel fiscal de devoir agir dans ce sens sert même l'objectif visé par la péréquation.
Montants pas confiscatoires
Les juges de Mon Repos écartent aussi le grief d'une violation du principe de proportionnalité. Contrairement à l'avis de la recourante, les montants réclamés ne sont pas manifestement confiscatoires. Les constatations du Tribunal cantonal ne permettent pas de conclure qu'elle ne serait pas en mesure d'en compenser les effets.
Enfin, ces contributions ne vont pas compromettre l'équilibre financier de Jouxtens-Mézery, ni remettre en cause sa position privilégiée de commune à fort potentiel fiscal, concluent les juges fédéraux.
Dans une réaction diffusée lundi, le Conseil d'Etat vaudois "prend acte avec satisfaction" de cet arrêt de principe qui constitue une étape importante dans le dossier de l'ancienne péréquation. Même si cette décision ne met pas formellement fin au litige avec les communes, il constitue un jalon important.
Les autres recourantes ont toujours la possibilité de maintenir leurs actions judiciaires auprès du Tribunal cantonal, voire même de monter jusqu'à Mon Repos. (arrêt 2C_312/2024 du 10 avril 2025)
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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Taxis lausannois: cinq ans de plus pour passer à l'électrique
Il reste officiellement moins de deux mois aux taxis lausannois pour mettre un terme à leurs émissions de CO2. Alors que le délai est fixé au 1er juillet prochain, environ un tiers des véhicules sont passés à l'électrique. L'Association de communes de la région lausannoise pour la réglementation du service des taxis propose de repousser ce délai de cinq ans, au 1er juillet 2030, pour "répondre aux difficultés de la profession".
"Deux mois avant l’échéance, 82 véhicules sur un parc en comprenant 292 sont déjà passés à une motorisation électrique", relève le Comité directeur de cette association, cité lundi dans un communiqué de la Ville de Lausanne. Il propose au Conseil intercommunal une "prolongation du délai impératif" ainsi qu'une "augmentation des aides pour réaliser cette transition".
L'objectif de neutralité carbone des taxis lausannois était fixé au 1er juillet 2025. Les véhicules affectés au service des taxis entre le 1er janvier 2019 et le 1er juillet 2021 avaient toutefois jusqu'au 1er juillet 2027 pour s'y conformer. Si la proposition de l'association des communes est acceptée, ce délai passerait au 1er juillet 2030 et concernerait également les véhicules affectés au service des taxis avant 2019.
Rabais
Les chauffeurs obtenant une nouvelle concession de taxis et les nouveaux véhicules affectés au service des taxis restent quant à eux soumis à l'obligation de transition à zéro CO2 au 1er juillet 2025, précise le communiqué. Des "règles assouplies" seront toutefois possibles si le véhicule est "spécialement modifié pour le transport de personnes en chaises roulantes".
Le Comité directeur propose par ailleurs de maintenir au-delà du 1er juillet prochain une exonération totale des émoluments pour le renouvellement des véhicules, pour les véhicules n'émettant pas de CO2. Il propose également un rabais de 150 francs, dès 2026, pour l'utilisation du domaine public pour les chauffeurs ayant réalisé le passage à l'électrique.
L’Association de communes de la région lausannoise pour la réglementation du service des taxis a été fondée en 1964. Elle compte treize membres, à savoir le chef-lieu vaudois et douze communes voisines.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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