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Lausanne

Nouvelle étape dans la réhabilitation de la STEP d'Yverdon

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La réhabilitation de la filière eau de la STEP d’Yverdon-les-Bains (STEP) est achevée,et permettra très prochainement de traiter les eaux usées de seize communes (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La réhabilitation de la filière eau de la station d’épuration d’Yverdon-les-Bains (STEP) est terminée. Elle permettra de traiter les eaux usées de seize communes d'ici la fin de l'année. L'installation sera officiellement inaugurée jeudi.

Troisième étape d'une métamorphose débutée en 2011, la réhabilitation complète de la filière eau de la STEP a débuté en mars 2018. Les travaux se sont achevés fin 2022, en avance sur le planning initialement prévu, malgré la crise sanitaire et les contraintes qu'elle a engendrées, écrit la Municipalité mardi dans un communiqué.

Cette réhabilitation marque un réel tournant dans l’histoire de la STEP. Alors qu'actuellement, la STEP traite les eaux de sept communes, neuf nouvelles s'y ajouteront: Champagne, Concise, Corcelles-près-Concise, Giez, Grandson, Mauborget, Onnens, Tévenon, Valeyres-sous-Montagny rejoindront Yverdon-les-Bains, Chamblon, Cheseaux-Noréaz, Essertines-sur-Yverdon, Montagny-près-Yverdon, Pomy, Treycovagnes.

Traiter les micropolluants

Quatrième et dernière étape, la construction, débutée en juillet 2022, d'une installation de traitement des micropolluants finalisera cette grande métamorphose. Dès sa mise en service planifiée courant 2024, elle permettra d'éliminer plus de 80% des micropolluants présents dans l'eau.

En 2024, à la fin de cet ambitieux chantier qui en fera une infrastructure pionnière en matière d'épuration des eaux, la STEP d'Yverdon-les-Bains rouvrira ses portes au public. La Municipalité de la mise en service de nouvelles installations qui participeront à la diminution de l'empreinte humaine sur les écosystèmes.

Plusieurs étapes

La première phase de modernisation de cette infrastructure mise en service en 1957 a eu lieu entre 2011 et 2015. Elle se concentrait sur l'amélioration de la production d'énergie, le traitement des produits de curage en retour et la fiabilisation des automates et des programmes de commande.

La deuxième étape s'est déroulée entre 2015 et 2017. Elle portait sur l'assainissement des deux digesteurs, le prétraitement des boues par ultrasons, et la récupération de l'ammonium par la méthode de stripping (procédé qui permet d'extraire l'azote et de le revaloriser en engrais liquide, utilisé par les agriculteurs au niveau local) sur les retours chargés des eaux du traitement des boues.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Les députés débattent sur les limites d'âge à la BCV

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L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) a été discutée au Grand Conseil, notamment la question des limites d'âge au Conseil d'administration et à la Direction (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

L'organisation de la Banque cantonale vaudoise (BCV) est actuellement débattue au Grand Conseil. Alors que le Conseil d'Etat défend la suppression de toute limite d'âge au sein de l'établissement, les parlementaires ont décidé mardi en premier débat de fixer une petite cautèle pour les membres de la direction générale.

Dans sa modification de la loi, le gouvernement veut supprimer la limite d'âge fixée à 70 ans pour les membres du Conseil d'administration (CA) et de réduire le nombre de maximum de mandats de quatre (seize ans au total) à trois (douze ans au total).

"La suppression de l'âge limite pour le CA facilitera les renouvellements, permettra davantage de flexibilité et des départs étagés. Cela permettra aussi de conserver plus longuement au sein du CA certaines compétences qui se font rares sur le marché", argumente le Conseil d'Etat.

S'agissant de la direction générale, il propose, pour la limite d'âge de ses membres qui est actuellement de 65 ans, de renvoyer aux règles applicables au personnel de la banque autorisant les collaborateurs, avec l'accord de l'employeur, à travailler jusqu'à 68 ans.

"Actuellement, les membres de la direction générale doivent quitter la BCV dans l'année de leurs 65 ans, tandis que les autres collaborateurs peuvent, avec l'accord de l'employeur, travailler jusqu'à 68 ans. La proposition vise à harmoniser l'âge de départ des membres de la direction générale en renvoyant aux règles applicables pour le personnel de la banque", justifie le gouvernement.

Deux amendements

La commission du Grand Conseil chargée d'étudier ces changements a préféré une solution médiane pour le CA: "Le président et les membres du CA sont nommés pour quatre ans. Ils sont rééligibles jusqu'à la limite de 70 ans révolus; toutefois la durée totale de leur mandat ne peut excéder douze ans".

Largement accepté en commission, cet amendement n'avait pas passé la rampe la semaine passée dans l'hémicycle, le groupe PLR n'ayant pas suivi ses représentants au sein de ladite commission. Il avait été refusé par 70 voix, contre 53 oui et sept abstentions. C'est donc la version du Conseil d'Etat qui a été ainsi maintenue.

Les députés ont repris ce premier débat, inachevé la semaine dernière, mardi. Ils devaient cette fois se prononcer sur la modification concernant la direction générale.

Ils ont accepté par 74 oui, 57 non et cinq abstentions l'amendement de la commission qui fixe une petite cautèle. Il stipule que "le président et les membres de la direction générale sont tenus de se démettre de leur fonction à l'âge prévu de 65 ans. Une dérogation est possible jusqu'à 68 ans, sur décision des organes compétents".

Deuxième débat nécessaire

Cette nouvelle formulation autorise le départ des membres de la direction générale à 68 ans, mais évite le renvoi au règlement de la BCV, car il peut être modifié par l'institution elle-même, sans contrôle démocratique. Ce que critiquaient certains commissaires.

Un deuxième débat immédiat a été refusé mardi et aura donc lieu, sans doute, la semaine prochaine.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Jeunes lausannois: bon de 300 francs pour acheter un vélo

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Un bon de 300 francs sera remis aux Lausannois de 14 ans qui souhaitent acheter un vélo (photo d'illustration). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Les Lausannois de 14 ans recevront désormais un bon de 300 francs pour l'achat d'un vélo non-électrique. Cette mesure, décidée par la Municipalité et qualifiée d'inédite, vise à favoriser l'accès aux loisirs, encourager les déplacements durables et soulager le porte-monnaie des familles.

Les jeunes nés en 2010 seront les premiers bénéficiaires. Ils recevront un courrier entre novembre et janvier, les invitant à venir récupérer leur bon au guichet des Aides communales à la place Chauderon, annonce mardi la Ville de Lausanne dans un communiqué.

Puis, dès 2025, les quelque 1200 jeunes qui fêtent leurs 14 ans chaque année recevront un courrier le mois suivant leur anniversaire. Le bon est nominatif et valable jusqu'à la veille des 16 ans.

"A cet âge, on peut envisager l'achat d'un vélo adulte qui pourra être utilisé longtemps, mais c'est un achat souvent cher", relève Emilie Moeschler, la municipale en charge de la cohésion sociale et des sports, citée dans le communiqué. "Ces deux ans permettent de prendre le temps de la réflexion et d'acheter un vélo adapté à la croissance de l'enfant", ajoute la cheffe de projet Marie-Noëlle Domon-Aubort.

Le bon est valable pour l'achat d'un vélo neuf ou d'occasion auprès d'un des douze magasins partenaires de la Ville. Celle-ci précise que le bon doit permettre d'acquérir un "vélo musculaire", donc pas de vélo électrique ni de trottinette.

www.lausanne.ch/velo14

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Lausanne

Le record du plus long essai Hyperloop établi à l'EPFL

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L'infrastructure d'essai Hyperloop sur le campus de l'EPFL, présente un diamètre de 40 cm et une circonférence de 125, 6 m (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Des scientifiques ont effectué le plus long trajet jamais réalisé avec une capsule sous vide dans la première infrastructure d'essai Hyperloop opérationnelle d'Europe sur le campus de l'EPFL. Cette technologie ambitionne de révolutionner le transport intracontinental.

Sur les 82 tests effectués dans le cadre du projet LIMITLESS mené par l'EPFL, la Haute Ecole d'Ingénierie et de Gestion du Canton de Vaud, et la société Swisspod, la plus longue distance parcourue était de 11,8 km. La vitesse maximale atteinte était de 40,7 km/h.

"Dans un système grandeur nature, cela se traduit par un trajet de 141,6 km, soit environ la distance entre Genève et Berne (...) et par des vitesses allant jusqu’à 488,2 km/h", a souligné l'EPFL mardi dans un communiqué. Elle a qualifié ce succès de "déterminant pour le secteur du transport à grande vitesse".

Un moteur crucial

La technologie Hyperloop mise sur des convois ultra-rapides circulant sous vide, sans frottement et avec une résistance de l'air beaucoup plus faible qu'à l'air libre. L'infrastructure d'essai consiste en une "piste circulaire" d'un diamètre de 40 centimètres et d'une circonférence de 125, 6 mètres. Il s’agit d’une version réduite (1:12) du système Hyperloop décrit dans la thèse de doctorat de l’EPFL de Denis Tudor, CEO de Swisspod.

L'Hyperloop est composé de deux éléments principaux, à savoir un véhicule entièrement électrique et une infrastructure de tubes à basse pression, explique l'EPFL. Pour en réduire le coût, l'idée est que ce ne soit pas l'infrastructure, mais le véhicule qui transporte l'énergie nécessaire à sa propulsion.

"L’essentiel des efforts se concentre sur le développement d’un nouveau moteur à induction linéaire (LIM), un composant clé du système de propulsion de l’Hyperloop, conçu pour offrir de meilleures performances à des vitesses élevées", poursuit la haute école.

Transport de marchandises

Les prochains tests prévus à l’EPFL auront pour objectif de valider des versions plus efficaces de la propulsion et de la lévitation de l’Hyperloop, basées sur le LIM, ainsi qu’à explorer les capacités, les limites et les perspectives du système dans le monde réel, tout en fournissant des données essentielles pour accélérer le déploiement sur le marché, indique encore le communiqué.

Des tests de transports de marchandises Hyperloop doivent avoir lieu ces prochaines années aux Etats-Unis. "C’est une étape clé pour faire de l’Hyperloop une réalité pour le transport de personnes et changer la façon dont nous nous connectons, travaillons et vivons», a déclaré Denis Tudor, cité dans le communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Bâtiments administratifs: 18 millions pour l'autonomie électrique

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L'Etat de Vaud souhaite poser environ 6000 m2 de panneaux solaires par an pour assurer l'autonomie électrique de ses bâtiments administratifs à l'horizon 2035 (photo symbolique). (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Le Grand Conseil vaudois a accordé mardi à l'unanimité un crédit de 18 millions de francs pour financer les mesures nécessaires à initier la démarche d'autonomie électrique des bâtiments de l'administration cantonale. Objectif: couvrir de panneaux solaires une surface d'environ 100'000 m2 d'ici 2035, ce qui correspond à quatorze terrains de foot.

Entre les toits déjà équipés (environ 20'000 m2) et les projets en cours de réalisation, il faudra poser 6000 m2 de panneaux par an pour atteindre cet "ambitieux objectif", selon le gouvernement. Ces installations devraient permettre de produire annuellement 23 GWh d'électricité, l'équivalent de la consommation annuelle de 5000 ménages suisses.

L'autonomie électrique ne passera pas uniquement par une production "maison", mais aussi par une réduction de la consommation, soit une baisse de 30% par rapport à la situation actuelle, toujours selon le Conseil d'Etat. Il s'agira notamment d'optimiser les installations techniques, d'améliorer les éclairages (utilisation de LED, capteurs de présences, etc.) ou encore de sensibiliser le personnel.

Après les bâtiments de l'administration cantonale, l'Université de Lausanne (UNIL) et le Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) vont aussi procéder à une telle étude de leur potentiel photovoltaïque, a souligné devant le plénum la conseillère d'Etat Isabelle Moret.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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