Lausanne
Une femme nommée à la tête de l'information et de la communication
Changement à la tête du Bureau d'information et de la communication de l'Etat de Vaud (BIC): l'actuel responsable Laurent Koutaïssoff cèdera sa place dès le 1er juillet prochain à Laurence Jobin, actuelle porte-parole au Département de l'environnement et de la sécurité (DES) de la ministre verte Béatrice Métraux.
Titulaire d'une licence en sciences politiques de l'Université de Lausanne, auparavant journaliste à RTS Radio pour diverses rubriques, notamment la politique suisse et vaudoise, Mme Jobin est entrée à l'Etat de Vaud en 2013 et dispose ainsi d’une excellente connaissance des institutions et des médias, a indiqué jeudi le canton.
De son côt, M. Koutaïssoff consacrera dès le 1er juillet l'entier de son temps à son poste de vice-chancelier de l'Etat de Vaud, renforçant ainsi la Chancellerie dans son travail d'appui au Conseil d'Etat.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Immeubles vendus à Lausanne, Fribourg et Delémont pour 40 millions
Le fonds de placement basé à Genève Suisse Romande Property Fund (SRPF) s'est félicité de la vente prochaine de trois immeubles commerciaux à Lausanne (VD), Fribourg (FR) et Delémont (JU), représentant un volume supérieur à 40 millions de francs. Les deux premières transactions seront effectives sur l'exercice 2023, la troisième début 2024.
"Ces ventes s'inscrivent pleinement dans la stratégie de repositionnement résidentiel de SRPF initiée en 2022", signale la direction du fonds coté sur SIX dans un communiqué diffusé jeudi soir après la clôture boursière.
Le produit de l'opération devrait être utilisé dans un premier temps pour réduire le niveau d'endettement, puis permettre au fonds "de saisir les opportunités d'acquisitions résidentielles en 2024 et de lancer la construction des surélévations prévues".
Plus généralement, la seconde moitié de l'exercice a été marquée par de nouvelles relocations d'espaces commerciaux et la réception de cinq appartements et d'une arcade à Bulle (FR) et de cinq appartements à Lausanne. Les revenus locatifs supplémentaires attendus dès 2024 devraient permettre d'absorber une partie de la hausse des charges financières.
Au 1er semestre, la direction du fonds JSS Real Estate Management de la banque J. Safra Sarasin avait fait état d'un résultat net de 4,01 millions de francs, en hausse de 1,7% sur un an, pour des recettes avoisinant les 10 millions. Fin juin, la valeur vénale des immeubles en portefeuille avoisinait les 450 millions de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Lausanne
Ouverture lundi du point de vente régulée de cannabis à Lausanne
Le point de vente régulée de cannabis à but non lucratif à Lausanne ouvrira lundi, à la rue du Maupas 7. Il proposera trois types d'herbe aux 250 consommateurs déjà inscrits au projet-pilote intitulé Cann-L. Les bénéfices réalisés serviront à la prévention et à la sécurité.
Le magasin à la devanture sobre et à l'intérieur épuré ne se veut pas incitatif et ne fait aucune promotion de son produit. Les trois - bientôt quatre - types de sachets de trois grammes d'herbe, baptisés Alpha, Bêta, Gamma et Delta, - allant de moins de 5% à plus de 15% de THC -, ainsi que la résine de cannabis qui complètera bientôt l'assortiment, demeureront ainsi sous le comptoir.
"L'offre pourrait évoluer, l'idée est de proposer un choix aux consommateurs", a expliqué jeudi Frank Zobel, directeur adjoint d'Addiction Suisse lors de la présentation du lieu aux médias. "Sur le marché noir, les gens achètent ce qu'ils trouvent. Ce sont souvent des produits très forts, mais peut-être que des produits moins forts leur conviendraient très bien", dit-il.
Peu de stocks
Le cannabis récréatif sera vendu entre neuf et douze francs le gramme, en fonction du taux de THC. Ces prix sont comparables à ceux du marché noir, sauf pour les achats en très grande quantité. Les produits sont exclusivement destinés à une consommation personnelle et dans la sphère privée.
L'entier du cannabis vendu dans le magasin est bio et provient d'un site de production dans le canton de Vaud. D'autres sites pourraient ouvrir, en fonction de la demande. Le lieu des cultures est maintenu secret pour des raisons de sécurité. De même, le magasin disposera de stocks très limités afin de minimiser les risques.
Une équipe de sept personnes, toutes issues du milieu de la vente, mais ayant reçu une formation spécifique, servira les clients. Outre le comptoir de vente, le magasin compte un lieu d'échanges informels autour d'une table basse, proposant des prospectus sélectionnés par Addiction Suisse.
Quitter le marché noir
Les participants - tous majeurs, résidant à Lausanne et déjà consommateurs de cannabis- n'ont pas le droit d'acheter plus de 10 grammes de cannabis à la fois et ne doivent pas consommer plus de 10 grammes de THC par mois. "Les 250 premiers inscrits ont entre 35 et 37 ans en moyenne et sont des hommes à 80%. Ils consomment du cannabis quotidiennement ou presque, et de longue date, et ont envie de quitter le marché noir", a précisé Frank Zobel. Le projet Cann-L entend recruter quelque 1500 participants d'ici cet été.
Les participants disposent d'une carte personnelle permettant d'acheter le cannabis. Cette carte servira également à justifier de la possession du produit en cas de contrôle par la police.
Inspiré du Québec, le projet lausannois a pour objectif de suivre l'évolution du marché noir, mais aussi d'évaluer les effets d'une vente à but non lucratif sur le comportement des consommateurs. A cet effet, les participants devront répondre à un questionnaire tous les six mois, dans le cadre d'une étude scientifique.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Le 117 rejoint les centrales d'urgence sur un seul site
Les quatre principales centrales d'urgence vaudoises - le 117, le 118, le 144 et le numéro des médecins de garde - sont désormais toutes regroupées sur un seul site ultra sécurisé à Lausanne. Le siège administratif de l'ECA a accueilli jeudi la dernière qui manquait, à savoir la centrale de police vaudoise et lausannoise.
La future centrale de gestion coordonnée du trafic de l'agglomération Lausanne-Morges (GCTA) doit encore suivre à fin 2024. A ces centrales viendront encore s'ajouter les infrastructures de gestion de crise de l'Etat de Vaud: le poste de commandement des opérations de l'Etat-major cantonal de conduite (EMCC), ainsi que les locaux de conduite de la Protection civile vaudoise (PCi).
Ce grand "Alarm Receiving Center" (ARC) qui a coûté quelque 34 millions de francs sera alors à 100% au complet. Il se situe dans un même vaste espace au nouveau siège de l'Etablissement cantonal d'assurance (ECA) inauguré en 2021 près de la Blécherette (ECAvenir). Les opérateurs resteront structurés par centrales et métiers.
"Montée en puissance"
Après la centrale de traitement des alarmes (118) en avril dernier, la centrale des appels sanitaires urgents (CASU) 144 et la centrale téléphonique des médecins de garde (CTMG) pour Vaud et Neuchâtel, c'est donc au tour de la centrale vaudoise police (CVP) de rejoindre l'ARC. Le déménagement a été effectué avec "succès" dans la nuit de mercredi à jeudi, a indiqué le Canton dans un communiqué.
"Cette réunification permet une montée en puissance lors des prises en charge d'événements d'importance et améliore la capacité des acteurs sécuritaires à répondre de façon coordonnée", souligne-t-il.
Dans sa nouvelle structure, la CVP est composée de 80 personnes dont 48 opérateurs 117 (inspecteurs de police judiciaire, policiers et gendarmes), 10 opérateurs de trafic professionnels (OTP), 11 opérateurs du Bureau renseignement police (BRP) et 11 personnes pour des tâches de gestion administrative et de conduite.
Pour rappel, chaque année en moyenne, quelque 250'000 appels au 117 sont enregistrés, 135'000 appels au 118, 237'000 au 144 et plus de 250'000 à la CTMG, auxquels viennent s'ajouter 66'000 alarmes du système Sécutel. Depuis le début de cette année, la CVP a enregistré plus de 260'000 appels 117, soit en moyenne près de 800 urgences par jour, ce qui représente une augmentation de 10% par rapport à 2022.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le bureau de poste de Saint-François à Lausanne sera maintenu
Le bureau de poste de Saint-François à Lausanne sera maintenu. La filiale réintégrera l'Hôtel des postes au plein coeur de la ville une fois les travaux de transformation dans le bâtiment historique terminés, a annoncé jeudi La Poste dans un communiqué. Le chantier débutera en janvier 2024 et durera quelques années.
Durant cette fermeture temporaire, les clients pourront effectuer leurs transactions postales auprès de la filiale de Lausanne 1 à l'avenue de la Gare, qui se présentera dans un environnement modernisé et celle de la Riponne, tout comme dans la filiale en libre-service en face de la gare, ajoute le géant jaune. Les bureaux de Postfinance, actuellement aussi dans la bâtisse de Saint-François, déménageront, eux, durablement au Flon dès le 20 décembre.
"La Poste est heureuse d'annoncer que la filiale de Saint-François, sise à la Place Saint-François 15, intégrera de nouvelles surfaces dans les locaux de l'Hôtel des postes, une fois la rénovation entreprise par la société propriétaire PSP Real Estate AG (PSP)", écrit-elle. Les clients pourront y effectuer leurs dernières transactions postales jusqu'au samedi 30 décembre à 11h30, précise-t-elle.
Et de rappeler que la Poste a toujours souhaité rester dans le bâtiment actuel. Cette annonce est-elle donc un soulagement? Laurent Savary, directeur politique et communication pour la Suisse romande.
La possible disparition de cet office avait pourtant fortement mobilisé à Lausanne. Plusieurs manifestations avaient été organisées et une pétition, lancée par le collectif "La Poste doit rester à Saint-François" avait recueilli plus de 3'000 signatures. La levée de boucliers de la population signifie-t-elle que le géant jaune a désormais une image de « grand méchant » ? On retrouve Laurent Savary.
Mobilisation clef
De son côté, le collectif "La Poste doit rester à Saint-François" s'est réjoui de l'annonce de maintien. Mais peu importe si la Poste a toujours souhaité rester dans le bâtiment historique, il serait faux de dire que cet office de poste n’a jamais été menacé, selon le membre du collectif et conseiller communal lausannois Benoît Gaillard.
Pour Benoît Gaillard, c'est la population qui a fait la différence.
Rappelons encore que la poste de Saint-François doit tout de même fermer durant le chantier de l’Hôtel des postes, c’est-à-dire environ deux ans. Ses clients devront se rabattre sur les bureaux de la Riponne et de la gare dès le 30 décembre.
Isabelle Bertolini avec Keystone-ATS
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