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Le LS doit composer avec un match nul

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Su le papier, Lausanne a dominé le match. Mais avec un manque de réussite devant le but, Olivier Custodio (à droite) et ses coéquipiers doivent se contenter d'un point. ©KEYSTONE/Jean-Christophe Bott

Le Lausanne-Sport a signé un match nul 0-0 face au FC Bâle vendredi soir à la Tuilière. Dans l’autre rencontre de la soirée, Lucerne et Grasshopper, l’actuel barragiste, se sont aussi quittés sur une égalité. Le LS n’est donc pas encore sauvé.

Le match a mis du temps à démarrer. Le ballon passait d’un côté puis de l’autre sans grande fantaisie. À la 6e minute, on a cru que Lausanne débloquait enfin la situation en envoyant le ballon au fond des filets sur corner. Mais l’arbitre n’a pas validé le but car le ballon était sorti du terrain.

Les Bâlois se sont ensuite offert une grosse occasion. Fabian Frei a envoyé un puissant tir sur Karlo Letica qui n’a cependant eu aucun mal à le repousser. Le ballon est cependant revenu sur Thierno Barry qui a tenté sa chance à son tour, manquant largement le but. Les hommes de Ludovic Magnin ont réagi instantanément avec Brighton Labeau qui a couru sur la droite de la cage. L’attaquant a centré mais ça a été contré par un Bâlois.

Une autre opportunité d’ouvrir le score sur corner s’est présentée à la 32e pour Lausanne. Le gardien bâlois est sorti de sa cage pour arrêter directement le tir. Sans succès. Porte grande ouverte pour les Lausannois de marquer. C’était sans compter Jonas Adjetey et son sauvetage sur la ligne.

En deuxième mi-temps, le match s’est poursuivi sur la même lancée. Le LS a su créer de bonnes actions, notamment à la 68e avec cet excellent travail de Fousseni Diabaté et Antoine Bernede qui a permis à Morgan Poaty de se faufiler devant le but en tenter d’ouvrir le score. Mais pour chaque occasion le même problème: un manque de réussite à la conclusion.

Les hommes de Ludovic Magnin se sont aussi fait une belle frayeur en laissant Thierno Barry quasi seul face au but. Le Bâlois a réussi à tromper Karlo Letica mais la joie a été de courte durée. Heureusement pour les Lausannois, il était hors-jeu et le but n’a pas été accordé. Une dizaine de minutes plus tard, un tir bâlois touchera la transversale, sans conséquence sur le score. Lausanne de son côté aura tenté jusqu’à la dernière seconde d’aller chercher un but mais rien n’y a fait.

Savoir rebondir

Après la claque prise à Yverdon le weekend dernier, le LS se devait de montrer un autre visage. "On était très frustrés après cette défaite mais on avait hâte de rejouer pour pouvoir se rattraper, explique Olivier Custodio, capitaine du Lausanne-Sport. On voulait montrer une réaction et je pense que c’est chose faite ce soir. Malheureusement, il n’y a pas les trois points, mais je pense que dans le jeu, dans l’intensité, dans la volonté, dans l’agressivité, on a été là. Et il faudra garder ça jusqu’à la fin."

Si l’on compare les deux matchs, il y a en effet eu une réaction. On a vu des actions chaudes des deux côtés du terrain. Mais ce qui a marqué, c’est la volonté des Lausannois de jouer au plus vite les ballons. Dès la première minute. Comme si l’on était déjà dans le temps additionnel. Un style de jeu qui fait partie de l’ADN de l’équipe selon Olivier Custodio.

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À Yverdon, Ludovic Magnin avait déploré la perte du bel esprit d’équipe de ses joueurs. C’était l’un des points qui leur avait fait défaut. Comment Olivier Custodio ressent-il cela au sein du groupe?

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"Ce soir j’ai vu mon équipe", confirme le coach. Cela n’a cependant pas suffit au LS pour s’imposer et se diriger plus rapidement vers le maintien. Les occasions étaient pourtant là. Comment expliquer que le ballon ne soit pas entré? Difficile à dire quelques minutes après le match, mais Olivier Custodio évoque un "manque de lucidité et de qualité dans le dernier geste." Lorsque l’on évoque la situation avec Ludovic Magnin, il ne faut pas parler de malchance. L’entraîneur y voit une question de mental.

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Ce manque de calme devant le but est-il dû à l’enjeu dont sont empreints ces derniers matchs? La course aux points pèse-t-elle sur le moral? Pas selon Ludovic Magnin.

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Le Lausanne-Sport, 10e, reste ainsi à 7 points de Grasshopper, 11e et actuel barragiste. Il reste trois matchs et donc 9 points possibles. Une victoire mercredi face à Lucerne assurerait donc mathématiquement le maintien aux Lausannois. Et il va falloir utiliser cette situation tendue comme un carburant. "Ça va être une motivation, sourit Olivier Custodio. On fait aussi ce sport pour jouer des matchs à enjeu. Je ne dirais pas que c’est une motivation supplémentaire parce qu’on est toujours motivés. Mais c’est des matchs spéciaux et on sera prêts pour aller se battre."

La rencontre avec le FC Lucerne aura lieu mercredi au Stade de la Tuilière. Coup d’envoi à 20h30.

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Donnarumma et Sommer, deux gardiens en état de grâce

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Gianluigi Donnarumma s'est notamment montré héroïque face à Liverpool (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHE PETIT TESSON)

Si le PSG et l'Inter Milan se retrouvent en finale de la Ligue des champions, ils le doivent pour beaucoup à leur gardien.

L'Italien Gianluigi Donnarumma et le Bâlois Yann Sommer auront encore un rôle primordial à jouer samedi à Munich.

"Cela sera aussi une finale de gardiens", pronostique pour la Gazzetta dello Sport l'ancien portier emblématique de l'Italie, Gianluigi Buffon, passé par le PSG. "Ce sont les deux meilleurs gardiens d'Europe, Donnarumma est le meilleur dans l'absolu, mais Sommer fait preuve d'une incroyable constance à haut niveau."

Donnarumma a chassé les doutes

Comme souvent depuis son arrivée au PSG en 2021, "Gigio" Donnarumma a connu cette saison bien des hauts mais aussi quelques bas, à cause des lacunes dans son jeu au pied et ses sorties aériennes.

Il a été relégué sur le banc contre le Bayern Munich en phase de ligue à cause d'un mauvais match face à Arsenal (défaite 2-0). Il a ensuite été rendu responsable de la défaite en 8e de finale aller face à Liverpool (1-0 au Parc des Princes) en ne stoppant pas la seule frappe des Reds.

Mais depuis, sans doute comme jamais depuis qu'il est parisien, l'ancien Milanais, du haut de son 1m96, a enchaîné les prestations de haute volée. Il a livré l'un de ses meilleurs matches avec le PSG au retour à Liverpool, où il a été décisif lors de la séance de tirs au but (4-1 tab).

Donnarumma, 26 ans, a ensuite été décisif face à Aston Villa, en quarts de finale, et à Arsenal, en demi-finale. Comme si affronter des clubs anglais lui avait rappelé cet Euro 2021 remporté avec la Nazionale à Wembley, avec à la clef le trophée de meilleur joueur du tournoi.

L'Italien rassure désormais pleinement ses coéquipiers et les supporters en répondant présent lors des grands rendez-vous, à rebours des années précédentes. "Il prend et montre sa valeur dans le but, affiche son potentiel. Il faut toujours un grand gardien pour gagner et c'est ce qu'il est", a appuyé son capitaine Marquinhos à propos de "Gigio".

Pour Achraf Hakimi, "c'est l'un des meilleurs gardiens du monde". En fin de contrat en 2026, il n'a toujours pas prolongé au PSG, malgré ses envies clairement assumées de rester à Paris. L'entraîneur du PSG, Luis Enrique, est peu disert devant la presse à son sujet.

Sommer, 36 printemps et toujours vert

Qu'il est loin le temps où les tifosi interistes faisaient la fine bouche et redoutaient le pire à son arrivée pour remplacer Andre Onana, parti à Manchester United. Pour sa deuxième saison en Serie A, Yann Sommer a certes encaissé plus de buts que l'an dernier (32 contre 19 en 2023/24, 13 "clean-sheets" contre 19).

Mais le Bâlois de 36 ans a joué un rôle plus déterminant avec son leadership lorsque sa défense tanguait et en réalisant des arrêts spectaculaires, notamment contre le Barça lors de cette demi-finale retour au scénario renversant (4-3 ap).

Alors que l'Inter venait de voir son avance de deux buts disparaître en six minutes, l'ancien portier de l'équipe de Suisse lui a évité le pire avec un total de sept arrêts, dont deux parades spectaculaires devant Eric Garcia et Lamine Yamal qui vont longtemps hanter les joueurs catalans.

Malgré son déficit de taille (1m83), "sa contribution aux succès de l'Inter lors des deux dernières saisons est énorme", juge Buffon.

Fidèle à son tempérament, Sommer qui va retrouver l'Allianz-Arena où il a évolué six mois en 2023 avec le Bayern Munich, garde les pieds sur terre et ne s'emballe pas. "Ce groupe mérite de jouer cette finale, mais cela serait faux de résumer ce match à un duel entre Donnarumma et moi", a-t-il prévenu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le PSG en favori face à l'Inter ?

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Yann Sommer et l'Inter espèrent bien briser les rêves parisiens samedi (© KEYSTONE/EPA/ALEJANDRO GARCIA)

Le PSG espère vivre la plus grande soirée de son histoire en remportant enfin la Ligue des champions samedi.

Les Parisiens affrontent l'Inter Milan de Yann Sommer à Munich (21h00), 32 ans après le seul sacre suprême d'un club français.

Marseille reste pour le moment l'unique vainqueur de la C1 dans les annales du football national, bien plus dominant en sélection qu'en club. L'effervescence est immense dans la capitale, prête à célébrer ses héros lors d'une parade dimanche sur les Champs-Elysées, en cas de victoire. La Tour Eiffel s'illuminera à chaque but parisien et le Parc des Princes sera rempli de supporters devant d'immenses écrans.

Chez les amateurs de sport, jusqu'aux travées de Roland-Garros garnies de maillots du PSG, la finale est sur toutes les lèvres et les bars parisiens devraient être bondés samedi soir. Un dispositif "massif" de "5400" policiers et gendarmes sera par ailleurs déployé à Paris et dans son agglomération pour prévenir tout débordement.

Passé par tant de frustrantes éliminations depuis une décennie, le PSG avait annoncé vouloir changer et il est en passe de le prouver une bonne fois pour toutes. Son équipe jeune et sans stars, depuis le départ l'été dernier de Kylian Mbappé au Real Madrid, a dépassé toutes les attentes.

A commencer par celles du président du club Nasser Al-Khelaïfi. Lui qui avait clamé son obsession de gagner la Ligue des champions dès son arrivée à la tête du PSG en 2011 a changé de discours il y a deux ans, conscient qu'un changement de paradigme devait d'abord avoir lieu. Et qu'il faudrait du temps.

Le PSG favori ?

Mais après une saison en montagnes russes, le PSG a franchi une à une les étapes pour se hisser jusqu'en finale, la deuxième de son histoire après celle de 2020, perdue 1-0 contre le Bayern Munich sans supporters, en temps de pandémie.

Le public s'est peu à peu pris d'affection pour cet effectif constitué de joueurs expérimentés (Ousmane Dembélé en lice pour le Ballon d'Or, Marquinhos, Fabian Ruiz, Achraf Hakimi) encadrant des jeunes talents qui ont très vite grandi (Désiré Doué, Bradley Barcola, Joao Neves, Willian Pacho).

L'attente est d'autant plus fiévreuse que l'équipe emmenée par Luis Enrique est donnée légèrement favorite par les observateurs, les bookmakers ainsi que... les intelligences artificielles. Le "super ordinateur" du très sérieux statisticien du sport Opta a simulé 10'000 résultats basés sur le parcours des deux équipes, et Paris l'a emporté dans 53,6% des cas.

Le style de jeu du PSG, fait de possession de balle et de pressing haut, est plus flamboyant que celui de l'Inter Milan, tout en verticalité. Après un début de saison chaotique et la menace d'une élimination en phase de ligue, le club parisien a impressionné. Il a éliminé le cador Liverpool (0-1, 1-0, 4-1 aux tirs au but), avant de contenir Aston Villa (3-1, 2-3) et de faire preuve de maturité pour passer l'obstacle Arsenal (1-0, 2-1).

Le match samedi à l'Allianz Arena s'annonce très intense puisque l'Inter Milan non plus n'a pas l'habitude de subir. Et une statistique inouïe plaide pour un match plein de suspense: l'équipe italienne n'a été menée que durant 16 minutes et 38 secondes sur la totalité de la C1, un véritable tour de force.

Contre le FC Barcelone en demi-finale (3-3, 4-3 ap), bâti sur des principes proches de ceux du PSG, l'Inter Milan a fait le dos rond - avec par ailleurs un Yann Sommer décisif au but - et a marqué sept fois, souvent à des moments inattendus. L'avertissement ne pourrait pas être plus clair.

Pression

"Il faudra un grand Inter pour gagner ce match", espère l'entraîneur italien Simone Inzaghi. "Il y aura des moments difficiles dans cette finale, mais ce groupe a la qualité et l'état d'esprit pour les surpasser", selon lui.

De son côté, Luis Enrique a promis: "C'est l'une des meilleures finales de Ligue des champions de ces dernières années, mais nous serons à la hauteur de l'Inter". Il a prévenu: "Ça n'arrive pas souvent, dans la carrière d'un joueur ou d'un entraîneur, de jouer ce genre de match. Il faut savoir gérer la forte pression".

C'est justement l'une des réussites de l'Espagnol jusque-là: avoir su préparer ses hommes pour les grands rendez-vous, sans les jambes tremblantes qui ont souvent été fatales au club, au cours des "remontadas" de 2017, 2019 et 2022.

Le capitaine Marquinhos est le seul joueur restant de l'effectif à avoir vécu tous ces traumatismes, auquel l'intéressé ajoute le rendez-vous manqué de 2020: "J'ai déjà perdu une finale, je sais comme cela fait mal", raconte le Brésilien. "Il y en a qui viennent d'arriver, ils ne savent pas comment ça a été difficile d'arriver jusque-là. Les déceptions donnent de l'expérience, ce sont des cicatrices qui restent dans la carrière d'un joueur".

Une finale perdue, cet Inter Milan en a aussi connu une il y a deux ans contre Manchester City (1-0). "Comme nous, le PSG a perdu une finale récemment", a rappelé Simone Inzaghi. Cette fois, l'une des deux équipes repartira avec la Coupe aux grandes oreilles.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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La Suisse s'incline lourdement en France

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Soirée compliquée pour Sydney Schertenleib (à gauche) et la Suisse à Nancy. (© )

L'équipe de Suisse a encaissé une lourde défaite en France vendredi. Battues 4-0, les joueuses de Pia Sundhage sont proches d'une relégation en Ligue B de la Ligue des nations féminine.

A Nancy, la messe était dite après 19 minutes. Des erreurs individuelles ont largement précipité la défaite des Suissesses face à une équipe de France qui n'a pas eu à forcer son talent pour prendre le large.

Le choix de Sundhage de titulariser Livia Peng au poste de gardienne à la place d'Elvira Herzog, en difficulté lors du dernier rassemblement, ne s'est pas avéré payant. La gardienne du Werder Brême a mis ses coéquipières dans l'embarras en ratant un dribble devant Clara Mateo (11e). A 33 jours du début de l'Euro, la sélectionneuse n'a toujours pas trouvé sa portière titulaire.

Une faute de marquage sur un corner - même si la qualité de la reprise de volée d'Elisa De Almeida doit être soulignée (16e) - et un repli défensif insuffisant de Julia Stierli, qui a profité à Sandy Baltimore (19e), ont suivi l'erreur initiale de Peng.

Crnogorcevic blessée

Les trois changements initiés par Sundhage à la pause n'ont pas vraiment inversé la tendance, même si la Suisse a fait preuve de davantage d'assurance en deuxième période. Cela n'a pas empêché la France d'inscrire un quatrième but, au terme d'un mouvement de haute qualité (56e, Geyoro).

La sortie sur blessure d'Ana-Maria Crnogorcevic, remplacée par Alisha Lehmann à la 78e, est venue conclure la soirée bien compliquée des Suissesses, qui ne comptent toujours que deux points après cinq matches de Ligue des nations. Une victoire mardi à Sion face à la Norvège, leur adversaire lors du match d'ouverture de l'Euro le 2 juillet à Bâle, est impérative pour espérer se maintenir dans l'élite européenne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Conte reste à Naples avec "la même vision" que son président

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Antonio Conte veut défendre le titre avec Naples (© KEYSTONE/EPA/CIRO FUSCO)

Annoncé à la Juventus, Antonio Conte a finalement décidé de rester aux commandes de Naples qu'il vient de conduire au titre de champion d'Italie.

"Nous avons la même vision" avec le président-propriétaire, a-t-il déclaré jeudi soir.

"A chaque fin de saison, il y a toujours des discussions entre l'entraîneur et le club pour évaluer comment la saison s'est déroulée, s'il y a toujours une vision commune et si l'envie de poursuivre certains objectifs est partagée", a déclaré Conte à la chaîne Sky Sport en sortant d'un restaurant avec Aurelio De Laurentiis.

"Cela me semble une chose normale qui se produit dans tous les clubs, il y a un contrat et comme nous avons la même vision, il n'y a rien d'autre à dire. On continue parce que nous sommes des personnes sérieuses, on avance", a-t-il ajouté.

Arrivé l'été dernier à Naples, Antonio Conte a métamorphosé une équipe qui avait terminé la saison dernière à la 10e place en redoutable machine à gagner qui a devancé d'un point l'Inter Milan. Mais malgré la conquête d'un quatrième titre, l'ex-international italien semblait déjà prêt à faire ses valises, en raison notamment de différends avec De Laurentiis et de la pression quotidienne que subit dans cette ville passionnée de football tout entraîneur.

De Bruyne comme renfort ?

La Juventus Turin, club où il fait l'essentiel de sa carrière de joueur et qu'il a entraîné de 2011 à 2014, espérait le recruter pour se relancer après une saison 2024/25 sans titre. "Nous défendrons le titre. Il y a un contrat et il y a un désir de mon côté et de celui du club de continuer dans la même direction, en essayant de rendre les supporters aussi fiers que possible", a insisté Conte.

De Laurentiis a trouvé lors de longues discussions mercredi et jeudi les arguments pour le convaincre de rester. Il lui aurait ainsi promis une enveloppe de 150 millions d'euros pour renforcer son équipe, avec une première recrue de choix qui pourrait être le Belge Kevin De Bruyne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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