Suisse
Saison d'été décevante pour les Remontées mécaniques suisses

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Le bilan de la saison d'été est décevant pour les Remontées mécaniques suisses (RMS). Le nombre d'hôtes et le chiffre d'affaires ont reculé d'un quart (24%) par rapport à 2019. L'absence des touristes asiatiques a pesé dans l'Oberland bernois et en Suisse centrale.
La pandémie de coronavirus a de nouveau fait chuter l'activité estivale que les remontées mécaniques avaient réussi à développer ces dernières années, déplorent les RMS vendredi dans un communiqué. Les conditions de voyage facilitées ont entraîné une augmentation du nombre de touristes en provenance des pays européens, qui n'ont toutefois pas pu compenser le manque de touristes d'outre-mer.
Les principales victimes sont l'Oberland bernois et la Suisse centrale. Cette dernière a vu son chiffre d'affaires chuter de 56% par rapport à l'année de référence 2019 et a enregistré 41% de "premiers passages" en moins. L'Oberland bernois, lui, n'a accueilli que la moitié des touristes, mais son chiffre d'affaires n'a baissé que de 21%.
Le Valais et la Suisse orientale ont été mieux servis. Ils sont parvenus à compenser un début d'été difficile. Le résultat en fin de saison est similaire à celui de l'été "pré-corona".
Le Tessin et les Grisons ont quant à eux pu augmenter aussi bien les fréquences que les chiffres d'affaires grâce à une météo favorable et à un ensoleillement généreux. Les Grisons enregistrent une hausse de 29% du nombre de visiteurs et de 20% du chiffre d'affaires. Au Tessin, la hausse est de 20% pour les deux secteurs.
Soutien public nécessaire
Dans ce contexte, la RMS estime qu'un soutien des pouvoirs publics aux remontées mécaniques est nécessaire pour éviter des dommages systémiques au tourisme. La rentabilité des remontées mécaniques n'est pas donnée au vu de la crise.
Les remontées mécaniques remplissent pourtant une mission de "service public" touristique. Si elles avaient fermé, les régions de montagne auraient été confrontées à un arrêt de toutes les activités touristiques, ce qui aurait entraîné des dommages économiques encore plus graves, conclut le communiqué.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Faux policiers: interpellation grâce à la victime d'une tentative
Un ressortissant français âgé de 19 ans et domicilié en France a été arrêté à la suite d'une tentative d'escroquerie aux faux policiers à Moudon (VD), grâce à la vigilance de la personne qu'il avait contactée par téléphone. Dénoncé au Ministère public, l'homme a été condamné par voie d'ordonnance pénale immédiate, a indiqué vendredi la police cantonale.
Les faits se sont déroulés il y a une semaine (vendredi 16 mai), précise la police vaudoise dans son communiqué. Contactée téléphoniquement vers 22h30 par un homme, une ressortissante suisse âgée de 71 ans a composé le 117 et a expliqué qu'un individu, qui prétendait travailler pour la police, allait passer à son domicile de Moudon pour récupérer ses cartes bancaires, détaille-t-elle.
Une patrouille s'est alors rapidement rendue sur place et les gendarmes ont réussi à interpeller un individu qui quittait les lieux. Interrogé, ce jeune Français a reconnu être l'auteur de la tentative d'escroquerie, poursuit la police.
Plus de 500 cas déjà en 2025
Celle-ci rappelle au passage que cette arnaque aux faux policiers a toujours cours dans le canton de Vaud. Pour l'année 2025, quelque 564 cas de faux policiers dont 159 réussites ont déjà été recensés sur le territoire cantonal, informe-t-elle.
La police cantonale rappelle également qu'elle ne se rend jamais chez des particuliers pour saisir les cartes bancaires ou les objets de valeur. Elle incite les personnes à rester vigilantes lorsqu'elles reçoivent un appel téléphonique de ce type et à composer directement le numéro 117.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: l'assainissement des sols pollués est loin de débuter
Il y a exactement quatre ans, fin mai 2021, Lausanne annonçait la détection de dioxines dans des sols des hauts de la ville. Cette pollution, d'une ampleur inédite en Suisse, semble avoir été causée par l'ancienne usine d'incinération du Vallon. Les travaux d'assainissement ne sont toutefois pas près de commencer. Explications.
"Nous ne disposons pas d'un horizon pour le début des mesures d'assainissement", indique la Direction générale de l'environnement (DGE) du canton de Vaud dans une réponse écrite à Keystone-ATS. "Les questions sont complexes tant au niveau juridique, législatif et technique pour une pollution d'une telle ampleur (...). Le temps investi pour y répondre est donc à la mesure de la complexité de la situation", souligne-t-elle.
Quelque 240 hectares - environ 343 terrains de foot - doivent potentiellement être assainis sur un périmètre allant d'Epalinges à Ouchy, et du Parc de Valency à l'ouest de Pully. Dans les zones les plus touchées, les concentrations de dioxines dépassent les 115 nanogrammes par kilo de sol, alors que la Confédération exige un assainissement au-delà de 20 nanogrammes.
Environ 3000 parcelles, comme des jardins ou des parcs, sont concernées. Des investigations doivent déterminer si les dioxines y dépassent les valeurs limites et si des enfants sont susceptibles d'y jouer. Si les deux cases sont cochées, un assainissement s'imposera.
Changer la terre...
Les autorités s'activent pour déterminer la meilleure façon d'assainir ces sols, en fonction de l'efficacité, du coût et de l'impact environnemental des méthodes à disposition.
L'une des solutions consiste à excaver les terres souillées par des dioxines pour les mettre en décharge et à les remplacer par des terres non polluées. Le canton y songe sérieusement. Les terres de remplacement seraient prises sur des chantiers de construction où des matériaux terreux excédentaires doivent être évacués. "Les prix sont de l'ordre de plusieurs dizaines de francs par m3 et varient selon l'offre et la demande", précise la DGE.
Cette option comporte cependant des "défis techniques", comme trouver suffisamment de sols non pollués, disponibles pour les remplacements. Elle impacte également la ressource en sol, puisqu'elle implique la mise en décharge d'importants volumes de terre.
...ou la nettoyer
Trois projets pilotes ont été mis sur pied afin d'explorer des alternatives. L'un d'entre eux, dit de "traitement physicochimique", a consisté à injecter de l'eau et des bulles d'air de très petite taille dans les sols touchés par les dioxines, afin de détacher les polluants et de les concentrer en surface. Ce procédé de "lavage de terre" s'est toutefois avéré inefficace.
Un autre projet, dit de "traitement thermique", a permis de confirmer que les dioxines pouvaient être retirées des matériaux terreux à des températures de l'ordre de quelques centaines de degrés. Cette méthode est donc techniquement "envisageable pour traiter les sols excavés lausannois". Cependant, les experts s'attendent à ce que la qualité du sol soit détériorée par un tel traitement.
Enfin, un projet dit de "biorémédiation" fait encore l'objet de tests. La méthode a consisté dans un premier temps à isoler en laboratoire des bactéries naturellement présentes dans des sols lausannois et capables de dégrader les dioxines, puis de les cultiver en laboratoire pour une éventuelle utilisation sur le terrain.
Dans un deuxième temps, ces bactéries ont été introduites dans trois échantillons de sols issus de parcelles publiques polluées à des degrés divers, afin d'évaluer leur efficacité à dégrader les dioxines qui y sont présentes. Cette phase est toujours en cours. "Aucune conclusion ne peut être tirée à ce stade", précisent les autorités.
Patience nécessaire
Cette dernière méthode aurait l'avantage de "pouvoir être mise en oeuvre directement" sur le terrain sans devoir littéralement déplacer des montagnes de terre. Elle présente cependant des inconvénients. D'une part, son efficacité reste "encore à démontrer", d'autre part, le temps de traitement pourrait s'étaler sur "plusieurs années, voire dizaines d'années", explique le canton.
Au final, quelle que soit l'option retenue, la patience sera de mise. "Les assainissements pourraient s'étaler sur plusieurs années", prévient la DGE.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse Romande
Les députés fribourgeois votent le projet d'éducation numérique
Les députés fribourgeois ont voté vendredi le projet d’équipement numérique des écoles obligatoires (ENEO). Le modèle apparaît bien éloigné de celui présenté il y a trois ans par le Conseil d'Etat, moins ambitieux et coûteux, et sans référendum financier obligatoire.
La modification de la loi scolaire a passé la rampe, après deux jours de débats, par 80 voix contre 10 et 2 abstentions. Portée par la conseillère d'Etat Sylvie Bonvin-Sansonnens, chargée de la formation, elle implique des enjeux de financement, de cohérence, d'équité, de sobriété, de durabilité, de mutualisation et de santé.
Comptant parmi les priorités de la législature, le projet a connu une récente accélération, qui a réussi à débloquer la situation. Dans une version "bis", la commission ad hoc, présidée par le député PS Pierre Vial, a proposé de laisser l'achat des équipements à la charge des communes, le canton assumant lui le support technique.
La commission évoque un "projet d'éducation numérique moins coûteux, conciliant impératifs pédagogiques et financiers".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Départ surprise du patron de l'énergéticien Groupe E
L'énergéticien Groupe E enregistre le départ avec effet immédiat de son directeur général Jacques Mauron, qui quitte son poste d'un commun accord avec le conseil d'administration.
La "nécessité d'une transformation organisationnelle de l'entreprise" et les "enjeux futurs du monde de l'énergie" sont invoqués par la société fribourgeoise pour justifier ce changement.
Jacques Mauron est entré chez Groupe E en 2004 et dirigeait l'énergéticien depuis novembre 2019. Il a permis à l'entreprise de Granges-Paccot "de se positionner comme un acteur majeur de la transition énergétique en Suisse occidentale", selon un communiqué diffusé vendredi.
L'actuel directeur du secteur Energie électrique, Alain Sapin, reprend les fonctions de M. Mauron à titre intérimaire. Johann Ruffieux, responsable Approvisionnement et négoce, reprend le poste de M. Sapin, également ad intérim.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
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