Suisse
Schumacher met la clé sous la porte après la défection d'un client
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2024/01/la-faillite-de-lentreprise-fondee-en-1840-se-traduira-par-la-suppression-de-35-equivalents-temps-plein-schumacher-employait-encore-pres-de-300-personnes-il-y-a-une-quizaine-dannees-archives-1000x600.jpg&description=Schumacher met la clé sous la porte après la défection d'un client', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Le relieur Schumacher demande sa mise en faillite en raison "des difficultés financières et des défis économiques insurmontables", laissant une quarantaine d'employés sur le carreau, trois ans après son sauvetage par des investisseurs ayant injecté des capitaux frais.
Suite à la perte de son plus grand client indirect l'automne dernier, l'entreprise singinoise a vu son chiffre d'affaires - déjà mis à mal depuis des années par la numérisation et la concurrence féroce dans la branche - plonger de près d'un quart, a confié mardi dans les colonnes de La Liberté Gilles Gautier, président du conseil d'administration depuis janvier 2021.
Sans dévoiler l'identité du client en question, le responsable a indiqué que "pour des raisons écologiques, (ce dernier) envisage son avenir sans papier", rappelant que l'essentiel du carnet de commandes de Schumacher est à mettre au crédit d'entreprises actives dans l'horlogerie et l'électroménager.
La faillite de l'entreprise fondée en 1840 se traduira par la suppression de 35 équivalents temps plein (ETP), sans plan social faute de moyens financiers suffisants, au grand dam de son président. Installée à Schmitten (FR) depuis 1969, l'entreprise employait encore près de 300 personnes il y a une quinzaine d'années, rappelle le quotidien fribourgeois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse Romande
Reckingen (VS): centre de valorisation de la viande en construction
Les éleveurs de la région de Conches disposeront d'un tout nouveau centre pour valoriser la viande de leur exploitation. Le projet est porté par la nouvelle coopérative "Fleischzentrum Goms - Oberwallis" et soutenu par l'Etat du Valais et la Confédération. Les travaux ont officiellement débuté mardi.
Cette nouvelle infrastructure comprendra un abattoir, un lieu de production et un centre d'équarrissage. "Pour la région de Conches, cette réalisation est essentielle, puisqu'elle permettra de conserver localement la chaîne de valeur ajoutée", précise jeudi l'Etat du Valais dans un communiqué.
L'abattoir de Gampel a atteint sa capacité maximale et les petits abattoirs de la région de Conches, situés dans les villages, ne répondent plus aux exigences légales. Un projet de créer un site d'abattage proche des producteurs, primordial pour le bien-être des animaux et la durabilité des produits carnés, a donc été lancé.
Projet unique dans le Haut-Valais
Le futur centre pour la viande de Reckingen aura une capacité de 1000 unités d'abattage par an. Il pourra ainsi répondre aux besoins des agriculteurs et des bouchers locaux. Il n'existe actuellement aucun autre projet pour la valorisation de la viande dans le Haut-Valais.
Le coût de la construction se monte à 5,65 millions de francs. Les fonds publics, canton et Confédération, s'élèvent à 3,37 millions de francs auxquels s'ajoute une participation des communes de la région de 415'600 francs. Le solde est financé par un crédit d'investissement de 617'600 francs et des fonds privés.
Le district de Conches compte 2711 hectares de surfaces agricoles utiles, gérés par 86 exploitations, 2450 têtes de bétail bovin, 1450 moutons et un peu plus d'une centaine de chèvres. Au total, 231 personnes sont employées dans l'agriculture du district, dont 86 à plein temps.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les centrales nucléaires suisses ne sont pas menacées par les crues
Aucun bâtiment des centrales nucléaires suisses n'est menacé en cas de crue. L'Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN) a achevé l'examen des analyses de sécurité relatives à ce risque, a-t-il informé jeudi.
Les résultats montrent que les bâtiments des centrales nucléaires de Beznau, Gösgen et Leibstadt ainsi que de la centrale désaffectée de Mühleberg ne sont pas menacés par des crues survenant tous les 1000 ans ou tous les 10'000 ans.
Dans le cas de Beznau, les bâtiments importants pour la sécurité resteraient entièrement secs en cas d'événement millénaire. En cas de crue se produisant une fois tous les 10'000 ans, la profondeur d'écoulement serait d'environ 0,4 mètre.
Dans le cas de Gösgen, la profondeur d'écoulement serait, selon l'IFSN, d'environ 0,85 mètre dans ce dernier scénario. Les deux centrales ne seraient en outre pas concernées par une éventuelle érosion des berges en cas de crue.
Les composants de la centrale de Leibstadt importants pour la sécurité seraient également à l'abri, car elles se situent à une vingtaine de mètres au-dessus du niveau normal du Rhin et la stabilité de la pente est garantie. Le centre de stockage intermédiaire (Zwilag) de Beznau resterait sec pour les crues de 10'000 ans et de 1000 ans.
Enfin, l'Institut Paul Scherrer (PSI) à Villigen (AG) resterait sec dans les deux scénarios, mais deux bâtiments pourraient être menacés par une érosion des berges en cas d'événement d'une fréquence de 10'000 ans.
En conséquence, l'IPS a établi une procédure selon laquelle, en cas de risque de crue extrême, le matériel radioactif doit être transféré dans un bâtiment non touché. Des mesures de protection des berges sont également prévues.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Les élèves romands à la traîne dans l'apprentissage des langues
L'apprentissage des langues est bien en-dessous dans les écoles romandes. Moins de la moitié des élèves atteignent les objectifs en orthographe française, selon une étude présentée jeudi par la Conférence des directeurs cantonaux de l'instruction publique (CDIP).
Seulement 41% des élèves romands atteignent les compétences fondamentales requises pour l'apprentissage de l'orthographe en français, a indiqué Oliver Prosperi du Service de la recherche en éducation (SRED). Ce taux est de 84% pour l'allemand dans les écoles alémaniques et de 77% pour l'italien au Tessin.
Le résultat est particulièrement bas dans le canton de Neuchâtel, qui enregistre un taux de 36%. Viennent ensuite Berne (37%), Vaud et Genève (40%) et Fribourg (42%). Le canton du Jura enregistre le meilleur résultat avec un taux de 50%.
La qualité de l'enseignement et la motivation des professeurs ainsi que les plans d'études doivent être examinés, a déclaré M. Prosperi. Les motivations des élèves ainsi que la collaboration entre les cantons ont été citées comme d'autres pistes d'amélioration.
Le président de la CDIP, le conseiller d'Etat Christophe Darbellay, a lui relativisé la grande différence des résultats entre les régions linguistiques. La langue française est connue pour être plus difficile à apprendre, a-t-il déclaré. Le Valaisan a aussi indiqué que "depuis Platon", il est commun de penser que la qualité de la langue baisse.
L'étude, lancée par la CDIP, a été menée en 2023 auprès de 18'500 élèves de 1800 écoles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
La réorganisation du SPAJ à Neuchâtel commence à porter ses fruits
La réorganisation du Service de la protection de l'adulte et de la jeunesse (SPAJ) à Neuchâtel, dans le viseur du Grand Conseil, commence à porter ses fruits. Un nouvel audit externe pointe toutefois des ressources insuffisantes.
"La réorganisation a été menée avec un soutien externe garantissant des bonnes pratiques méthodologiques et a impliqué les cadres et le personnel dans le contexte d’un processus participatif", peut-on lire dans le rapport de Godet Conseils, publié jeudi.
L’action du SPAJ est complexifiée et ralentie, en raison de contraintes légales, réglementaires et financières, ce qui peut "peser particulièrement sur la motivation et le moral des travailleurs sociaux", a indiqué l'auditeur.
Selon ce rapport, la nouvelle gouvernance ne résoudra pas certaines problématiques constatées, en particulier l’insatisfaction des parties prenantes, que si les ressources du SPAJ sont adaptées. Cette évolution doit "lui permettre de faire face aux enjeux croissants de la politique publique dont il a la charge".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
CultureIl y a 3 jours
Plus de 30 ans après, le buste de la tombe de Jim Morrison retrouvé
-
ClimatIl y a 1 jour
Blatten (VS): environ 2 mios de mètres cubes de roches décrochés
-
VaudIl y a 3 jours
Le projet de développement régional agricole du Gros-de-Vaud se dévoile
-
SuisseIl y a 3 jours
GPT-4 est parfois plus convaincant que les humains dans les débats
-
LausanneIl y a 3 jours
Lausanne invite à tester ses machines et véhicules de nettoyage
-
FootballIl y a 3 jours
Naples et l'Inter joueront leur match pour le titre vendredi
-
VaudIl y a 2 jours
Les députés vaudois veulent être mieux informés
-
VaudIl y a 3 jours
Vevey interdit l'affichage politique libre par esthétisme