Économie
Sergio Ermotti revient sur la stratégie d'intégration de CS
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Pour le CEO d'UBS Sergio Ermotti, une externalisation de la branche suisse de Credit Suisse n'était pas une option, bien qu'elle aurait permis la suppression de moins d'emplois. "L'intégration est la meilleure option pour toutes les parties concernées", dit-il.
En cas d'externalisation 1000 emplois auraient été sauvés. Mais Credit Suisse aurait dans tous les cas dû être restructuré, ce qui aurait conduit à 600 licenciements, de sorte que la différence représente finalement 400 postes, indique M. Ermotti dimanche dans Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung. "Mais il est clair que chaque poste perdu nous affecte", poursuit-il.
Jeudi, UBS a dévoilé sa stratégie d'intégration de Credit Suisse et annoncé la suppression de 3000 emplois en Suisse. Pas moins de 1000 doublons de poste identifiés seront supprimés d'ici fin 2024.
Sergio Ermotti affirme ne pas pouvoir pour l'heure s'exprimer sur l'avenir des 120'000 collaborateurs d'ici 2025. "Cela dépend de nombreux développements et des chiffres absolus n'induisent que des malentendus", dit-il.
UBS "pas plus dangereuse"
UBS pourrait réaliser un bénéfice additionnel de 10,5 milliards de francs en recevant des gains que Credit Suisse a dû passer par pertes en raison de règles comptables. Mais ce n'est que "si nous réalisons tout correctement qu'il restera un bénéfice grâce à la fusion", précise Sergio Ermotti.
Celui-ci affirme en outre que la direction d'UBS suivait attentivement la situation de Credit Suisse depuis 2016. "Parce que nous faisions notre devoir", mais aussi pour "examiner les possibilités de reprises". "Nous étions préoccupés, parce que nous savions que CS appliquait un mauvais modèle d'affaires", dit-il.
Alors que certains s'inquiètent de l'importance qu'UBS, première banque suisse, a acquise en rachetant Credit Suisse, Sergio Ermotti assure que le simple fait d'être plus gros ne signifie pas que l'établissement bancaire est désormais plus dangereux pour la Suisse. "Au contraire, je pense que la place financière est devenue plus sûre", affirme-t-il.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Les enfants de l'école de Pâquis-Centre vont retrouver leur préau
Dès lundi après-midi, les élèves de l'école de Pâquis-Centre à Genève, vont retrouver leur préau "Lac", qui était en rénovation depuis avril 2024. Ce nouvel espace, qui est le résultat d'une vaste démarche participative, sera inauguré officiellement en fin de journée en présence des autorités municipales.
Les élèves, les équipes pédagogiques, les parents, le voisinage et les services municipaux ont pensé ensemble les aménagements à réaliser, indique la Ville de Genève dans un communiqué. Le nouveau préau a été conçu comme un espace de vie, de jeu et de nature.
Il dispose d'un sol perméable à base de gravier du Salève. Il est végétalisé et propose des espaces de jeux variés, des dispositifs ludiques intégrant imagination et sociabilisation, comme des jeux de miroirs, des cabanes-toboggans et des pontons.
Il devient ainsi un îlot de fraicheur au sein du quartier. Le projet répond également à la volonté de sécurisation exprimée par l'Association des parents d'élèves et par les équipes éducatives. La rehausse définitive des barrières de l'enceinte assure désormais la tranquillité de l'espace la nuit.
Ces travaux de rénovation d'envergure ont coûté près de deux millions de francs. Ce nouveau préau clôt la rénovation complète de l'établissement scolaire.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Moody's relève la perspective de l'Italie, sans changer sa note
L'agence de notation Moody's a relevé vendredi la perspective de la note de l'Italie, de stable à positive, et a maintenu la note de sa dette à long terme à Baa3, un cran au-dessus de la catégorie spéculative.
Dans son communiqué, Moody's a expliqué que les perspectives économiques de l'Italie se sont améliorées grâce à une "performance budgétaire meilleure que prévue en 2024" et un "environnement politique national stable".
L'agence met également en avant "un marché du travail robuste", des budgets équilibrés à la fois chez les ménages et les entreprises, "un secteur bancaire sain" et "l'efficacité de ses institutions et de sa gouvernance".
Elle note cependant que la charge de la dette de l'Italie reste élevée. L'institution maintient donc la note de la dette souveraine italienne à Baa3, car "l'affaiblissement progressif de l'accessibilité de la dette" et les "défis structurels liés au vieillissement de la population" pèsent sur son avenir.
L'Italie est dirigée depuis 2022 par le gouvernement ultraconservateur de Giorgia Meloni.
Au premier trimestre 2025, son produit intérieur brut (PIB) a augmenté de 0,3% par rapport au précédent, grâce à une progression de tous les secteurs à l'exception de celui des services, d'après l'Institut national des statistiques (Istat).
Le ministre italien de l'Economie Giancarlo Giorgetti s'est félicité fin avril d'une telle progression, "meilleure que dans d'autres pays européens".
C'est "un signal important qui démontre la justesse de nos prévisions et l'efficacité des politiques économiques du gouvernement", a-t-il ajouté.
Quatrième exportateur mondial, l'Italie est cependant l'un des pays de l'Union européenne les plus touchés par la hausse des droits de douane appliqués par les Etats-Unis aux produits européens.
Ces taxes s'élèvent actuellement à 12,5% en moyenne, 2,5% correspondant au niveau avant le retour de Donald Trump au pouvoir en janvier et 10% aux surtaxes annoncées début avril.
Vendredi, Donald Trump a menacé d'assommer l'UE avec des droits de douane de 50% dès le 1er juin. L'excédent commercial de l'Italie vis-à-vis des Etats-Unis a atteint 38,9 milliards d'euros en 2024.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Économie
Helvetia: feu vert des actionnaires à la fusion avec Baloise
La fusion entre Bâloise et Helvetia franchit une 1ère étape. Réunis en assemblée générale extraordinaire, les actionnaires de l'assureur Helvetia ont approuvé toutes les demandes concernant l'opération. Les propriétaires de Baloise doivent encore se prononcer .
A l'image de l'ensemble des six autres propositions soumises par le conseil d'administration, le contrat de fusion a été accepté à plus 97% des voix représentées lors de la réunion tenue à St-Gall, a indiqué vendredi à AWP un porte-parole d'Helvetia. Son approbation nécessitait une majorité des deux tiers.
Les propriétaires de l'assureur de Suisse orientale ont également validé l'ensemble des autres propositions liées à la naissance du futur numéro deux helvétique de la branche, à savoir le changement de raison sociale du groupe en Helvetia Baloise Holding ainsi que le transfert du siège de la nouvelle entreprise de St-Gall à Bâle.
Les actionnaires ont en outre désigné le conseil d'administration de la nouvelle société. Actuel président de l'organe de surveillance de Baloise, Thomas von Planta, a été élu en tant qu'administrateur d'Helvetia Baloise et à la présidence.
La conclusion de cette première étape n'a guère laissé place au suspense, l'actionnaire principal d'Helvetia, la coopérative Patria, laquelle détient aussi une participation importante dans Baloise, ayant apporté son soutien au projet dès son annonce le 22 avril dernier. Les actionnaires du groupe de bancassurance rhénan se prononceront dès 16h00, l'unique point à l'ordre du jour étant le contrat de fusion entre les deux partenaires.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Des actionnaires de Credit suisse ne seront pas indemnisés
Le Tribunal fédéral rejette la plainte contre la Confédération d'un couple qui avait acheté 38'000 actions de Credit suisse entre le 10 et le 15 mars 2023. Les actionnaires s'étaient fiés aux propos rassurants du Conseil fédéral quelques jours auparavant.
A l'issue des plaidoiries et de la délibération, la 2e Cour de droit public a annoncé le rejet de la plainte. La présidente a précisé que la décision était valable pour ce cas d'espèce uniquement.
Le couple réclamait une indemnité de 54'601 francs, plus intérêts, pour la perte de valeur de leurs actions Credit suisse. Les 10, 13 et 15 mars 2023, les plaignants avaient acheté un total de 38'000 titres pour une valeur de 84'636 francs. Ils affirment avoir investi après que le Conseil fédéral ait affirmé, début mars, que la banque était bien capitalisée.
Au lendemain de l'annonce de la reprise de Credit suisse par UBS le 19 mars, les deux investisseurs avaient revendu leurs actions pour 30'187 francs. Ils estiment que la Confédération est responsable de la perte qu'ils ont subie.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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