Suisse
Oui à 51% au partenariat économique avec l'Indonésie
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La quasi-totalité des produits helvétiques pourra être exportée vers l'Indonésie sans entraves douanières. Les Suisses ont accepté dimanche à 51,66% l'accord de partenariat économique avec Jakarta, malgré l'opposition de cinq cantons romands et Bâle-Ville.
Environ 1,408 million de Suisses ont glissé un "oui" dans l'urne contre quelque 1,317 million de "non" au traité conclu par l’Association européenne de libre-échange (AELE) en 2018. Le Valais est l'unique canton francophone à l'accepter, à 51,8%.
Nidwald et Zoug, avec plus de 60%, se sont montrés les plus grands partisans de l'accord. Le canton de Berne l'approuve à hauteur de 51,7%, mais le Jura bernois dit "non" à 61,7%. A Zurich, le "oui" l'emporte à 58,2%. Il obtient 56% à St-Gall et Lucerne, et 55% en Argovie. L'objet l'emporte de justesse au Tessin (50,8%).
Les Vaudois se sont révélés les plus farouches adversaires du texte. Ils le rejettent par 65,8% des voix, suivis des Jurassiens (64,7%), des Neuchâtelois (60,5%), des Genevois (59,7%) et des Fribourgeois (53,7%). Outre-Sarine, faisant cavalier seul, Bâle-Ville refuse l'accord à 51,2%.
Défendu par le Conseil fédéral, l'accord était soutenu par une large coalition des partis de droite et du centre, ainsi que les milieux économiques. Les Verts et le PS s'y étaient opposés.
Marché prometteur
Avec ses 271 millions d'habitants, l'Indonésie connaît une croissance fulgurante et devrait figurer parmi les quatre plus grandes économies mondiales en 2050. L'accord permet aux entreprises suisses d'accéder sans obstacle ou presque à un marché en pleine croissance. Il fait tomber les droits de douane pour toutes les principales exportations suisses vers l'Indonésie.
En contre-partie, les entreprises indonésiennes pourront exporter des produits industriels vers la Suisse en franchise douanière. L'accord ne concerne en revanche pas les produits agricoles. Seule une réduction partielle des droits de douane est envisagée pour les importations indonésiennes.
Au vu des fortes réticences tant des milieux environnementaux que des milieux agricoles, le Conseil fédéral a fait des concessions et prévu des contingents sur les importations d'huile de palme bénéficiant d'une réduction des droits de douane. La baisse atteindra 20 à 40%.
Huile de palme en question
Seule l'huile produite de manière durable profitera de l'accord. Les importations à tarif réduit d'huile de palme seront donc limitées et ne devraient représenter que 12'500 tonnes par an, soit 0,1% de toutes les importations d'huile de palme.
L'ordonnance d'application, actuellement en consultation, contient également des garde-fous. Pour bénéficier des taux préférentiels, les importateurs devront apporter la preuve qu'ils respectent des objectifs de durabilité. Ils devront se munir d'un certificat de traçabilité.
L'huile de palme a pourtant été au coeur de la controverse. Le référendum, le premier lancé pour un tel accord, émane du comité "Stop à l'huile de palme", dans les rangs duquel se trouvent le vigneron bio genevois Willy Cretegny, le syndicat agricole Uniterre, les Jeunes socialistes, la Grève du climat et plusieurs autres associations.
Autres référendums en vue
Les référendaires ont notamment mis en avant les dommages provoqués par le produit sur l’écosystème indonésien. Ils craignaient aussi la concurrence pour les produits suisses comme l’huile de colza, l’huile de tournesol ou le beurre.
Les opposants voulaient aussi dénoncer le principe même du libre-échange, symbole de la mondialisation et de la surconsommation, pour eux. Ils ont déjà averti qu'ils combattront les autres traités de ce type que le Conseil fédéral négocie actuellement.
L’AELE a signé l'accord avec l'Indonésie en 2018 au terme de huit années de négociations, devançant ainsi les Etats-Unis et l'UE. Le Parlement suisse a donné son aval un an plus tard. C'est le premier traité de ce type conclu entre Jakarta et des pays européens.
Grâce au "oui" du peuple, l'accord pourra entrer en vigueur trois mois après la ratification du texte par le dernier contractant. L'ordonnance d'application est en consultation jusqu'au 1er avril.
Genève
Le Léman Express va relier directement Annemasse à l'aéroport
Dès le 14 décembre, la nouvelle ligne L7 du Léman Express reliera Annemasse (F) à l'aéroport international de Genève sans passer par Cornavin, grâce à l'ouverture du tunnel de Châtelaine au trafic voyageurs. La ligne sera desservie une fois par jour et par sens.
Ce nouveau trajet réduit de 22 minutes le temps de parcours entre Annemasse et Genève-Aéroport, ont annoncé les CFF par communiqué mardi, jour de l'inauguration de la ligne. La réduction du temps de parcours se fait grâce à l'ouverture du tunnel de Châtelaine au trafic voyageurs, qui permet de ne pas passer par la gare Cornavin. Le tunnel était jusqu'alors utilisé uniquement pour le trafic de marchandises.
La première liaison partira d'Annemasse à 03h56 et la dernière de l'aéroport à 23h54. Elles permettront de prendre le premier vol du matin et d'arriver avec le dernier vol du soir, indique le communiqué.
La nouvelle ligne permettra aussi de soulager le service aux heures de pointe, en passant par les gares d'Annemasse, Chêne-Bourg, Genève-Eaux-Vives, Genève-Champel, Lancy-Bachet et Lancy-Pont-Rouge. Le Léman Express y passera quatre fois depuis Annemasse le matin et cinq fois depuis Lancy-Pont-Rouge le soir.
Parmi ces neuf liaisons, trois seront prolongées jusqu'à Vernier, sans changement et sans passer par Cornavin. Deux trains desserviront Vernier le matin, et un train partira de Vernier jusqu'à Annemasse le soir.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Swiss Medical Network change son organisation
Swiss Medical Network, principale filiale dédiée à la santé de la société d'investissement Aevis Victoria, réorganise sa direction générale. Elle restructure en outre ses entités régionales, fait-elle savoir mardi.
A compter du 1er janvier, Vincent Michellod, actuel directeur de la clinique Générale-Beaulieu et de la région de Genève, intégrera la direction générale du groupe, informe Swiss Medical Network dans un communiqué.
Il rejoindra Dino Cauzza, directeur général, Pietro Fabrizio, directeur des finances et chef d'exploitation, ainsi qu'Oscar Matzinger, médecin-chef, au sein du comité opérationnel.
Par ailleurs, Esthelle le Gallic de Kerizouët, patronne de Viva Health, l'organisation faîtière qui promeut la mise en place d'un nouveau modèle de soins intégrés dans le Jura Bernois, deviendra membre de la direction générale élargie. Cette décision a été prise "en raison de la priorité nationale accordée aux régions de soins intégrés", est-il souligné.
Pour sa part, le secrétaire général de Swiss Medical Network, Nello Castelli, va quitter le groupe pour prendre la responsabilité des affaires publiques et devenir membre de la direction de Pharmasuisse, l'association suisse des pharmaciens.
Ses tâches seront reprises par Raymond Loretan, en concertation avec la direction, "afin d'assurer la continuité des relations institutionnelles et de la représentation du groupe." Depuis 2013, M. Castelli avait occupé divers postes au sein de la direction de Swiss Medical Network.
Vaud et Genève regroupés
En parallèle, Swiss Medical Network adapte la structure de ses régions, "afin de favoriser la cohérence stratégique et la proximité avec les acteurs locaux", est-il encore indiqué.
Les régions de Vaud et de Genève seront ainsi regroupées au sein d'une nouvelle entité, nommée région "Arc Lémanique". La direction de celle-ci sera confiée à Stanley Hautdidier, actuellement directeur général de la clinique de Genolier et de la région de Vaud.
La clinique Générale-Beaulieu connaîtra également un changement au sein de sa direction. La nomination d'un nouveau directeur sera soumise à l'examen du conseil d'administration de l'entreprise et annoncée prochainement.
Cette restructuration, approuvée par le conseil d'administration de Swiss Medical Network mardi, doit permettre "une meilleure coordination entre les régions, renforcer le pilotage opérationnel et médical et soutenir plus efficacement le développement de projets stratégiques au service des patients et des partenaires de soins".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Helvetia Baloise: jusqu'à 1800 postes biffés
L'assureur Helvetia Baloise, fraîchement fusionné, compte supprimer 2000 à 2600 postes, dont 1400 à 1800 en Suisse, sur les trois prochaines années, a indiqué un porte-parole à l'agence AWP.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats
Suisse Romande
Valais: 16 loups tués en Valais en moins de deux mois et demi
Cinq loups ont été tirés depuis le début du mois de novembre en Valais. Cela porte à 16 le nombre de bêtes tuées depuis le début de la période de régulation proactive des loups en Suisse, le 1er septembre dernier, sur territoire valaisan.
Selon un décompte effectué au 8 décembre figurant sur le site du service valaisan de la chasse, les gardes-chasse et les chasseurs ont abattu seize loups depuis un peu plus de deux mois. Parmi ceux-ci, on dénombre quatre adultes et douze louveteaux. En comparaison, 34 de ces grands prédateurs avaient été abattus en Valais lors de l'ensemble de la régulation proactive des loups de l'année dernière.
Depuis début novembre, trois bêtes, dont deux jeunes loups, ont péri dans la région du Simplon; un adulte a perdu la vie dans le Chablais et un louveteau en a fait de même dans la région de Nendaz.
Une meute en moins mais...
Six des dix meutes installées dans le canton peuvent actuellement être régulées par les services de l'Etat du Valais. Cela peut se faire de deux manières, soit par le prélèvement de l'ensemble de la meute (Simplon, Chablais et Salantin) ou soit par l'abattage des deux tiers des louveteaux nés cette année (Vallon de Réchy, Nendaz-Isérables et Possette-Trient).
Quant à la meute d'Augstbord, la première à s'être formée en Valais après le retour des loups dans les années 1990, elle n'est plus à considérer comme telle actuellement, seuls deux loups adultes vivant dans cette région. "C'est trop pour considérer qu'ils forment une meute", précise Nicolas Bourquin, le chef du service valaisan de la chasse, interrogé par Keystone-ATS.
Pour cet hiver, la meute d'Augstbord ne figure donc pas dans la liste des 41 meutes actuelles signalées en Suisse, selon l'Office fédéral de l'environnement (OFEV).
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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