Suisse
Une campagne pour veiller au bien-être des poules
Près de 70'000 ménages en Suisse détiennent des poules à titre privé et la tendance est à la hausse. Les détenteurs ne répondent toutefois pas toujours aux besoins spécifiques de leur volaille. La Confédération et la PSA rappellent les règles de base.
Les poules sont populaires, ont expliqué mardi devant la presse à Berne l'Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires (OSAV) et la Protection suisse des animaux (PSA). Les services vétérinaires cantonaux et la PSA constatent toutefois que les particuliers ne remplissent pas toujours les exigences.
Point particulièrement important: l’enregistrement des animaux est obligatoire et aide à prévenir des épizooties comme la grippe aviaire.
Dans la nature, les poules vivent en groupes et ne doivent donc pas être détenues seules. Ce ne sont pas des animaux à caresser et elles n’ont pas leur place dans un appartement. Pour que soient satisfaits les besoins propres à leur espèce, elles doivent pouvoir gratter le sol, picorer et prendre des bains de poussière. L’idéal est de leur donner accès à un parcours extérieur.
60 m2
Pour trois à six poules, la surface d’un enclos composé d’un poulailler, d’une volière et d’un pâturage devrait idéalement faire 60 m2. La surface au sol du poulailler devrait être d’au moins 2 m2
Il devrait être équipé de nids de ponte, ainsi que de perchoirs pour dormir. Le pâturage devrait être entouré d’une clôture pour empêcher les prédateurs tels que les renards d’y pénétrer.
Les poules sont omnivores, mais il ne faut pas leur donner n’importe quoi. Les aliments complets, sous forme de farine ou de granulés, conviennent bien comme nourriture principale. Mélanges de graines, épluchures et fruits d’arbustes ne devraient être donnés qu’en petites quantités. Les restes de repas ne sont pas appropriés.
Il est important de respecter une bonne hygiène pour protéger les poules des maladies et des parasites. Les poules en bonne santé sont pleines de vivacité, leur plumage est intact, ainsi que leurs pattes et leurs coussinets plantaires. Les poules malades sont apathiques. En cas de doute, il faut consulter un vétérinaire.
Dix ans de vie
L’acquisition de poules doit être mûrement réfléchie, car elles peuvent vivre jusqu’à dix ans. Les acheteurs devraient se rendre au préalable chez leur fournisseur: le poulailler doit être propre et les animaux en bonne santé. L’OSAV et la PSA déconseillent l’achat de poules de race présentant des formes d’élevage extrêmes ou d’animaux provenant de l’étranger.
Ces recommandations figurent sur le site mespoulesjenprendssoin.chm sur les réseaux sociaux et dans une brochure.
mespoulesjenprendssoin.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Plus de 16 milliards pour la maintenance du rail entre 2025 et 2028
Le Parlement libère l’enveloppe quadriennale de 16,4 milliards de francs pour l’exploitation et la maintenance de l’infrastructure ferroviaire pour les années 2025 à 2028. Après le National, le Conseil des Etats a donné jeudi son feu vert à l’unanimité.
Les fonds que la Confédération met à la disposition des chemins de fer servent à rénover les infrastructures vieillissantes. Les compagnies peuvent ainsi maintenir la qualité du réseau ferré, le moderniser si nécessaire et l’adapter à l’état actuel de la technique.
Par le biais de cette enveloppe, la Confédération finance l’exploitation et l’entretien de l’infrastructure ferroviaire ainsi que les tâches dites systémiques, par exemple dans le domaine de l'information à la clientèle ou du courant de traction. Le plafond de dépense est assuré par le Fonds d’infrastructure ferroviaire (FIF).
Le Conseil des Etats a adopté à l’unanimité les 16,4 milliards. A noter que cette enveloppe n'a rien à voir avec les crédits destinés aux objectifs d'aménagement 2035 du programme de développement du rail, dont la presse s’est fait récemment l’écho et pour laquelle il manquerait 14 milliards de francs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Gagner à Winterthour, le défi du LS pour la Coupe de Suisse
Le Lausanne-Sport n’a pas le droit à l’erreur ce jeudi. L’équipe se déplace à Winterthour pour les 8e de finale de Coupe de Suisse. Un vrai défi pour les hommes de Ludovic Magnin.
Ce match de Coupe entre Winterthour et Lausanne, c’est une belle affiche pour les fans. En effet, les deux groupes de supporters sont bons amis, on les voit souvent défiler ensemble avant les matchs et l’ambiance dans le stade est toujours sympathique.
Mais sur le terrain, pas de complicité entre les deux clubs. “C’est une équipe comme une autre pour nous”, lâche Ludovic Magnin. L’entraîneur lausannois rappelle d’emblée que la tâche ne sera pas simple. “L’affiche, c’est Winterthour-Lausanne et pas Lausanne-Winterthour. L’adversaire n’est pas tellement décisif, mais je pense que de pouvoir faire les tours de coupe à la maison, il y a un certain avantage. Donc à nous de faire le job à Winterthour, sur un terrain qui ne nous convient pas puisque cette saison, on a joué deux matchs et fait deux défaites.”
En effet, le LS n’y arrive pas à la Schützenwiese. La dernière victoire des Lausannois dans l’antre de Winterthour remonte à… août 2015. Et les éléments ne vont pas dans le sens des Vaudois. “Surtout à cette époque de l’année où les terrains en herbe sont plus profonds, ce qui change quand même beaucoup le jeu”, explique le coach.
Le LS de Ludovic Magnin a pourtant battu les Zurichois fin octobre à la Tuilière. Y a-t-il maintenant la pression de réitérer ce succès?
Penser stratégique
“Les matchs de Coupe, c’est des matchs à part, c’est des bouées d’oxygène dans une saison, sourit Ludovic Magnin. C’est 50/50, balle au milieu et il n’y a pas de match nul. On sait qu’à la fin, la différence il faudra la faire au mental et dans l’engagement.”
Il existe une probabilité que la rencontre se termine en prolongation ou aux tirs au but. Ce qui change un peu la donne. “Au niveau de la semaine d’entraînement pour les joueurs, il n’y a pas vraiment de différence. Par contre, au niveau du coaching il y a un immense changement. On doit faire attention avec le staff, si le match est serré, de ne pas faire des changements trop vite, détaille le technicien. C’est-à-dire qu’il faut éviter de ne plus avoir de changement si le match part en prolongation.”
Si la préparation physique reste globalement la même, il y a peut-être un travail mental à faire. En effet, les joueurs passent, en quelques jours, d’une compétition à une autre, toutes deux avec des enjeux bien différents. Comment instaure-t-on le bon état d’esprit à son équipe dans ces moments-là?
Samedi dernier, Lausanne jouait à Bâle, ce jeudi à Winterthour pour la Coupe et dimanche, le club revient à la Super League avec la réception de Zurich à la Tuilière. Un programme chargé mais qui n’affecte pas Ludovic Magnin: “C’est des questions de calendrier, c’est comme ça et on ne se pose pas trop de questions.”
En revanche, jouer plutôt que s’entraîner peut s’avérer être une bonne chose. “Ça dépend un peu de la phase dans laquelle l’équipe est, décrit le coach. Quand l’équipe marche bien et que tu as des résultats, je pense que de jouer tous les trois jours, c’est ce que tu préfères en tant que joueur. Tu joues, tu récupères, tu joues, tu récupères. Mais du côté du coach, si l’équipe va moins bien, tu préfères avoir une semaine complète pour pouvoir travailler ou corriger certaines choses à l’entraînement. Mais actuellement, jouer tous les trois jours, ça me va!”
Coup d’envoi de ce 8e de finale entre Winterthour et Lausanne jeudi à 20h30.
Lausanne
Pas de mesures provisionnelles pour des cloches de vache
Deux villageois vont devoir tolérer le tintement nocturne des cloches de vache dans une ferme voisine durant la procédure judiciaire intentée devant la justice fribourgeoise. Le Tribunal fédéral rejette leur demande de mesures provisionnelles.
Propriétaires d'un terrain, les deux recourants demandaient devant la justice civile que les cloches des vaches qui passaient la nuit dans la prairie voisine soient retirées entre 22h00 et 07h00. A l'appui de leur requête, ils ont produit un horaire des émissions sonores et ont procédé eux-mêmes à des mesures.
En première instance, leur demande a été partiellement admise mais le Tribunal cantonal fribourgeois a annulé cette décision et a renvoyé la cause au tribunal civil afin qu'il fasse procéder à une expertise indépendante. La requête de mesures provisionnelles visant à la suspension des nuisances sonores jusqu'à ce qu'une décision soit rendue sur le fond a été rejetée, indique le Tribunal fédéral dans un arrêt publié jeudi .
La 2e Cour de droit civil confirme que le Tribunal cantonal n'a pas violé le droit d'être entendu des recourants et que leur "expertise privée" a été correctement évaluée. Le rejet de la demande de mesures provisionnelles ne prête pas non plus le flanc à la critique. (arrêt 5A_342/2024 du 13 novembre 2024)
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Genève se défend contre la prolifération des antennes 5G
Le Tribunal fédéral rejette cinq recours de Swisscom contre des refus d'autorisation d'installer des antennes 5G sur des bâtiments dignes d'intérêt dans le canton de Genève. L'opérateur n'a pas démontré que la couverture 5G était à ce point lacunaire pour justifier ces atteintes aux sites.
Les recours portent sur deux demandes en vieille ville, deux dans le quartier des Eaux-Vives et une dans la commune de Bardonnex. Dans cette dernière, Swisscom souhaitait installer un mat de plus de 4 mètres sur l'ancienne douane de la Croix-de-Rozon. Or ce bâtiment de 10 mètres, datant de 1850, est inscrit au recensement architectural du canton.
En vieille ville, les demandes concernaient des immeubles au Boulevard des Philosophes et au Mont-de-Sion situés dans un périmètre figurant à l'Inventaire fédéral des sites construits à protéger en Suisse (ISOS).
Aux Eaux-Vives, les bâtiments concernés se trouvaient à l'avenue de Chamonix et à la rue des Vollandes. Swisscom invoquait notamment une couverture 5G insuffisante pour les usagers de la nouvelle gare des Eaux-Vives.
Dans tous ces cas, la 1ère Cour de droit public a estimé que Swisscom n'a pas suffisamment établi la nécessité de renforcer sa couverture. Les autorités genevoises pouvaient donc faire prévaloir la protection de ces sites. (arrêts 1C_308, 361, 362, 527 et 542/2023 du 8 octobre 2024)
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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