Économie
Une initiative populaire demande un congé parental en Suisse
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La Suisse doit introduire un congé de 36 semaines au total pour les deux parents après la naissance d'un enfant. Une alliance de gauche et du Centre lance une initiative populaire pour un congé parental, qui doit remplacer les congés maternité et paternité actuels.
Avec son texte "Une société et une économie fortes grâce au congé parental (initiative pour un congé familial)", publié mardi dans la Feuille fédérale, le comité souhaite une égalité des chances dans les vies professionnelle et familiale. La participation des mères au marché du travail doit aussi permettre de pallier le manque de main-d'oeuvre.
Le texte demande un congé parental de 18 semaines par parent, non transmissible et à prendre en principe en alternance, durant dix ans après l'entrée en vigueur. Le montant et le financement doivent être fixés suivant l'allocation en cas de service militaire ou de service civil.
Le comité demande une mise en oeuvre dans les cinq ans en cas de oui du peuple et des cantons. Il a jusqu'au 1er octobre 2026 pour récolter 100'000 signatures.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
UBS versera 835 millions d'euros en France
La banque UBS versera au total 835 millions d'euros pour résoudre un litige fiscal en France. Les activités transfrontalières concernées se sont déroulées entre 2004 et 2012. Les provisions nécessaires ont été constituées.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats
Économie
L'Indonésie et l'UE concluent un accord de libre-échange
L'Indonésie et l'Union européenne (UE) ont conclu mardi à Bali un accord de libre-échange à l'issue de longues négociations qui se sont accélérées après la hausse des droits de douane américains, a constaté un journaliste de l'AFP.
L'accord signé par le ministre indonésien de l'Économie, Airlangga Hartarto et le commissaire européen au Commerce, le Slovaque Maros Sefcovic, va faciliter les échanges entre les 27 nations du bloc européen et la plus grande économie d'Asie du Sud-Est. Il doit permettre d'ouvrir un nouveau marché aux entreprises européennes, de renforcer l'approvisionnement en matières premières essentielles et de favoriser les investissements dans les secteurs indonésiens en pleine croissance.
L'UE était en 2024 le cinquième partenaire commercial de l'Indonésie, tandis que l'Indonésie occupait la 33e place pour l'UE. Les échanges commerciaux entre les deux marchés s'élevaient à 27,3 milliards d'euros l'an dernier.
L'accord commercial baptisé CEPA (Comprehensive Economic Partnership Agreement) "apportera des avantages considérables aux agriculteurs européens, réduira les droits de douane sur les produits agroalimentaires et les produits traditionnels de l'UE et protègera des secteurs importants tels que ceux de l'automobile, de la chimie et de la construction de machines", a indiqué la Commission européenne par voie de communiqué.
Le texte prévoit la suppression d'environ 600 millions d'euros par an de droits de douane pour les entreprises européennes qui exportent vers l'Indonésie. Cela concerne notamment des voitures, des produits agroalimentaires, des produits laitiers, de la viande, des fruits ou des légumes. La Commission européenne précise qu'il n'y aura pas de libéralisation sur les produits agroalimentaires dits "sensibles" comme le riz, les ½ufs, les bananes, le poulet et l'éthanol, et des "quotas limités" seront appliqués à d'autres produits, comme l'ail, les champignons et le maïs doux.
L'accord comprend par ailleurs des garanties en matière de durabilité, avec des engagements pour le climat, l'environnement et les droits des travailleurs.
La Commission ajoute que les exportations de matières premières critiques comme le nickel, le cobalt, le cuivre et l'étain seront élargies. L'Indonésie possède en effet les plus grandes réserves de nickel au monde et représentait l'année dernière plus de la moitié de la production mondiale. Elle est également le deuxième producteur mondial d'étain.
Le Parlement européen, les États membres et le Parlement indonésien doivent encore se prononcer sur cet accord.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp / blg
Économie
Les discussions entre pharma et gouvernement patinent
Les discussions entre la pharma et le Conseil fédéral n'ont abouti lundi soir sur aucune solution claire face à la politique douanière américaine. Le ministre de l'économie Guy Parmelin a évoqué des échanges "constructifs" sans toutefois donner de piste concrète.
"Nous avons convenu de poursuivre cette discussion rapidement et de répéter l'exercice ultérieurement", a déclaré le Vaudois à Berne à l'issue d'une table ronde réunissant des représentants de la pharma, des cantons et du Conseil fédéral.
Malgré des échanges "positifs", le ministre n'a pas caché les difficultés auxquelles le secteur fait face. Le président américain Donald Trump a donné jusqu'à fin septembre pour que le prix des médicaments suisses exportés baisse, sans quoi la pharma, pour le moment exemptée de droits de douane, risque de se retrouver taxée.
Interrogée sur une éventuelle augmentation du prix des médicaments en Suisse, la ministre de la santé Elisabeth Baume-Schneider a répondu que la question n'était pas là, mais plutôt de savoir comment agir dans le cadre de la loi.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
Le Parlement recommande le rejet de l'initiative SSR
L'initiative populaire "200 francs, ça suffit" (initiative SSR) fait chou blanc sous la Coupole fédérale. Après le National, le Conseil des Etats a tacitement rejeté lundi ce texte qui veut faire passer la redevance radio-TV de 335 à 200 francs par an.
L'initiative de l'UDC, de l'Union suisse des arts et métiers (usam) et des Jeunes PLR veut abaisser la redevance à 200 francs par an et exonérer toutes les entreprises. Seuls l'UDC et le président de l'usam Fabio Regazzi (Centre/TI) ont défendu le texte, sans formellement le soutenir.
Le Conseil des Etats préfère le contre-projet du Conseil fédéral, opposé à l'initiative, au niveau de l'ordonnance. La redevance doit passer à 312 francs en 2027, puis à 300 en 2029 pour les ménages privés. Le chiffre d'affaires permettant une exonération pour les entreprises est aussi revu à la hausse, de 500'000 francs à 1,2 million.
Longtemps en désaccord, les commissions parlementaires compétentes ont renoncé au final à élaborer un contre-projet parlementaire. Les deux Chambres ont confirmé la décision.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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