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Pour gagner des abonnés, Netflix propose du contenu gratuit
Dans la guerre du plus grand, du plus beau et du meilleur site de streaming au monde, Netflix a déjà une belle longueur d’avance sur ses concurrents, que ce soit en terme de contenu ou tout simplement en terme de popularité. La preuve avec le fameux "TOU DOUM" qui est synonyme pour beaucoup d’entre-nous d’une soirée canapé.
On parle aujourd’hui de Netflix, puisqu’ils ont changé la manière avec laquelle ils vont vous appâter et vous forcer à prendre un abonnement (si vous n'en avez pas déjà un).
À l'origine, on avait le droit à un mois gratuit pour tester
Donner une dose gratuite pendant un mois et une fois qu’ils sont «accro» les faire passer à la caisse… tiens ça rappelle une autre type de produit… mais passons.
Comment fait Netflix maintenant?
Retour à l’ancienne méthode, puisqu’en suivant un lien précis (à retrouver en fin d'article), vous aurez accès, que vous ayez un compte ou pas, à un panachage de contenus gratuits.
Parmi les films, on retrouvera l’excellent «Les Deux Papes», nominé au Golden Globes, aux Oscars et aux BAFA, vous retrouverez aussi le film d’horreur «Bird Box» avec Sandra Bullock ainsi qu’une comédie avec Jennifer Aniston, «Murder Mystery».
Quelques séries aussi à se mettre sous la dent, le premier épisode de «Stranger Things», mais aussi d’«Élite», «Grace et Frankie», la télé-réalité «Love Is Blind» mais aussi la série pour enfant «Baby Boss - Les affaires reprennent».
Le but de la manoeuvre: montrer que sur Netflix, il y en a pour tous les goûts.
Et le lien alors??
Le voici!
https://www.netflix.com/browse/genre/81253580?so=su
C'est cadeau😉
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Pour la Saint-Valentin, Bouygues propose un chargeur... de 3 cm!
Découvrons ensemble la nouvelle campagne de communication de Bouygues Télécom en France qui est tellement géniale que je ne peux pas me retenir de vous en parler. Pour la Saint-Valentin, oui, encore cette fête... Faisons un effort. Donc, pour dimanche, Bouygues Télécom propose un mini-chargeur de téléphone portable dont le câble fait seulement 3 centimètres.
3 centimètres, c'est peu pratique me direz vous! Et vous aurez raison. C’est la première réaction que j’ai eu aussi. Pourquoi diable un câble si court? On va être coincé contre la prise électrique! Jusqu’à ce que je comprenne le message. Le soir, avant d’aller se coucher, qu’est-ce qu’on fait? On branche le téléphone, on se met au bord du lit et on défile un ou deux kilomètres d’actualité inutiles sur Facebook ou encore quelques photos sur Instagram. Mais qu’est-ce qu’on ne fait plus? Discuter avec la personne qui partage son lit, rigoler, bref, être à deux. Du coup, avec un câble de 3 cm, le téléphone reste par terre, hors d’atteinte et vous… bah vous redécouvrez la personne qui partage votre lit.
La réponse inutile à un besoin qu'on ne connaissait pas
Et en fait, tout est parti d’une étude commandée par Bouygues Télécom sur la place du téléphone dans les couples français. Et les chiffres font froid dans le dos jusqu’à ce que l’on se rende compte qu’on est exactement pareil. 1 couple sur 2 en France consulte son téléphone chacun de son côté du lit une fois couché. Ça monte à 75% sur les 18-34 ans. 7% ont déjà répondu à un appel ou un sms lors d’un câlin. 15% des 18-34 ans. À la question, si vous deviez passer une semaine sans, vous préféreriez une semaine sans sexe ou une semaine sans téléphone. Un tiers des interrogés ont préféré répondre sans sexe!
Et l'opération est réussie pour Bouygues puisqu'on parle d'eux
Et ce soir, essayez d’analyser votre comportement pour vous rendre compte des vilains réflexes qu’on peut avoir avec nos portables, au lit, mais aussi à table ou même devant un film! Par contre, si le chargeur de Bouygues Télécom vous semble être un bon moyen de trouver une nouvelle routine pour votre couple, il va falloir faire sans puisque l’opérateur n’est pas allé jusqu’à finir sa blague et créer pour de vrai ce chargeur.
Découvrez des infos supplémentaires issues de l'étude commandée par Bouygues Télécom
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Libérer la parole dans les médias, l'objectif de SwissMediaToo
Depuis la publication de l'article La RTS, Darius Rochebin et la loi du silence dans le quotidien Le Temps, les langues se délient tant au sein de la Radio-Télévision Suisse que dans d'autres médias. Et certains faits que l'on pouvait penser être isolés se révèlent être beaucoup plus systémiques.
D'abord au sein des locaux de la RTS, à Lausanne et Genève, puis chez la Radio-Télévision Suisse italienne (RSI), les témoignages affluent désormais de l'ensemble des groupes de médias.
>> À lire également : Accusations de harcèlement également à la RSI
Le vendredi 20 novembre 2020, c'est sur Instagram que le public romand découvre le compte SwissMediaToo. Un nom qui joue sur celui du mouvement MeToo et que l'on pourrait traduire par «Les médias suisses aussi». Puisque c'est ce dont il est question. Le compte anonyme est animé par le collectif RTS du 14 juin et a pour objectif de mettre en avant toutes les formes d'oppression dans les médias du pays.
[Lire le son: Alors en fait sur ce compte, on retrouve des phrases que des témoins ont entendu, qu'ils ont vécu. Ça relève du sexisme, ça relève du racisme, ça relève de la discrimination en tout genre, du harcèlement, de l'abus de pouvoir. Enfin de tout un environnement toxique qui existe dans le monde du travail.
Et en fait, les premiers témoignages et la majorité des témoignages à l’heure actuelle ont été entendu dans le cadre de la RTS. Après une première récolte de témoignage suite aux révélations dans l'histoire du Temps, on a été très surprise de la réaction de ceux à l’interne qui disaient qu’ils n’étaient pas au courant.
On s’est dit « ce n'est pas possible d'entendre que les gens ne sont pas au courant » alors que quand on travaille dans cette entreprise tout le monde s'en rend compte, tout le monde le sait, tout le monde l'entend, on en parle, on partage. On s’est dit: « Il faut qu'on dénonce, il faut qu’on puisse le dénoncer comme ça plus personne ne peut dire qu'ils sont pas au courant.
Donc on a récolté des témoignages, on les a affichés à l'interne et c'est une partie de ces témoignages qu'on retrouve sur le compte. Ils vont arriver tous au fur et à mesure. Donc ce compte, il participe vraiment à la libération de la parole, d'abord au sein de la RTS, mais ensuite au sein des médias en général. Puisqu’on a ouvert la récolte des témoignages à tous les autres médias en Suisse. Et on a reçu des dizaines de témoignages déjà, alors que le compte n’est ouvert que depuis quelques jours. C’est pour ça qu’on se rend compte que ce compte est nécessaire. Qu’il y a un vrai besoin social de parler pour faire changer les choses.]
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Au fil des images postées sur le compte SwissMediaToo, on découvre des phrases prononcées et entendues dans les locaux des médias romands. Qu'est-ce qui a le plus choqué le collectif?
La quantité de témoignages reçus nous a choqué
[Lire le son: La quantité de témoignages reçus nous a choqué. Mais alors vraiment! Parce qu’on est vraiment submergé de témoignages. De l’interne et de l'externe. Il y en a des extrêmement violents et de très virulent.
Ils relèvent à peu près tous, soit de l'infantilisation des gens et des femmes, soit de la sexualisation, soit de l’objectification. Donc, quelque part, c'est choquant, mais en même temps, on est habituée à entendre ce genre de remarque.
Si je devais en retenir un, qui vraiment me reste dans la tête, c'est le témoignage d’une dame qui dit qu'elle était enceinte. Elle va aux toilettes et elle se rend compte qu'elle est en train de commencer une fausse-couche, alors qu'elle est en train de travailler. Elle va le dire à ses chefs et la seule réponse qu'elle a reçu de la part de ses chefs, c'est « bon bah rentre chez toi alors ». Aucun mot bienveillant, rien. Aucune inquiétude rien du tout.
Ce qui me choque dans celle-ci, c’est vraiment une déshumanisation totale et complète. C’est pas une question de maux de femme ici. C’est une question d’empathie envers l’humain qui est en face de soi. Celle-là me reste dans la tête comme particulièrement violente, mais en vrai, elles sont toutes terribles. Elles sont toutes dures.]
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Le collectif qui continue à recevoir des témoignages a choisi de créer un compte Instagram pour les partager. Pourquoi avoir fait ce choix?
[Lire le son: Pour nous, ça a de suite été très clair qu’Instagram s’imposait comme réseau social pour ce type de compte. Ça s’est déjà fait, il y en a déjà d'autres. En France, il y a « Balance ton stage », « Balance ton média », « Paye ton tournage », « Paye ta blouse ». Dans le milieu de la restauration, il y a aussi « Je dis non, chef! ». Donc c'est vraiment là que cette lutte se fait contre les violences sexistes, les discriminations, contre tous types de pression. C’est vraiment le réseau social qui s'impose et c'est le moyen de parler aujourd'hui au plus grand nombre à travers ce réseau qu’on pourrait presque dire réseau militant.
Et puis ces affichettes qu'on avait préparées pour afficher partout dans les locaux de la RTS à Genève et à Lausanne, se prêtaient aussi beaucoup au niveau graphique et visuel à ce réseau social qu’est Instagram.]
Outre le choix de la plateforme, il reste la question de l'anonymat. Une personne qui aura souffert sur son lieu de travail aura-t-elle réellement le courage d'envoyer un message sur une plateforme non-sécurisée, à une équipe non-identifiée (le compte ne revendique pas de propriétaire)? Ces personnes qui témoignent, ne risquent-elles pas des représailles si, malgré les efforts fournis par le collectif, on venait à les reconnaître? L'équipe du compte reconnaît être tributaire des mesures de sécurité implémentées par l'application, propriété de Facebook.
[Lire le son: C'est clair que si le site Internet de la Maison-Blanche peut être piraté, probablement qu'Instagram aussi. On dépend, avec ce compte, des paramètres de sécurité d'Instagram.
Pour nous ce qui compte, c'est de protéger les gens, en anonymisant au maximum leurs témoignages. C’est-à-dire en indiquant aucun nom, aucune date, et en mentionnant une position hiérarchique seulement si elle est vraiment nécessaire, pour comprendre le jeu de pouvoirs qui a pu s'installer entre deux personnes.
Quand on reçoit un témoignage sur le compte, on va demander à la personne si elle accepte qu'on le partage sur Instagram avec la même mise en pages que les autres témoignages qui sont déjà publiés. On lui demande si elle est d'accord de citer le nom du média ou de l'entreprise dans laquelle les faits se sont produits. Et on lui garantit évidemment un complet anonymat et une confidentialité stricte des échanges.
Après, c'est sûr qu’il y a certaines paroles, certains mots, certaines situations qui vont pouvoir être reconnaissables, soit par l'agresseur, le harceleur ou la harceleuse, soit par des collègues qui ont pu être témoin de la scène.
L’idée que ça puisse avoir des conséquences, au quotidien, sur l'environnement professionnel de la personne, c'est effrayant. C’est vraiment cette peur qui, jusqu'ici souvent, a bloqué la parole. Et la force de la libération de la parole, c’est d'estomper cette peur. En montrant que les victimes sont en grand nombre et que ce n'est pas elles qui sont en tort, mais ce sont bien ces comportements des agresseurs et harceleurs. Et ce sont eux, qui devraient craindre, dans leur environnement professionnel, pour leurs travails. Non pas les personnes qui sont retrouvées dans une situation de victimes.]
En quelques jours seulement, le compte SwissMediaToo cumule non seulement de nombreux abonnés (plus de 4'500 au moment de la rédaction de cet article), mais aussi pléthore de témoignages, postés au compte-goutte par l'équipe du collectif collectif RTS du 14 juin. Un engouement qui prouve que le problème n'est pas isolé aux locaux de la SSR mais est bien plus systémique que cela. Le collectif ne pense-t-il pas qu'en exposant cette universalité, on excuse le comportement des cas à l'origine de la libération de cette prise de parole?
LA SSR se doit d'être exemplaire et force est de constater qu'on en est loin.
[Lire le son: Alors non, là-dessus, on n'est pas du tout d'accord. Oui, le patriarcat, c'est quelque chose de systémique, mais ce n’est pas une excuse. Au contraire!
C’est quand même des problèmes dont on parle depuis longtemps. Le harcèlement, le sexisme, la discrimination… Et c’est nous, les médias, qui sommes au front pour parler de ces changements de société, pour dénoncer. On fait ça depuis des années. Le mouvement MeToo, c’était il y a plus de 5 ans. On en a parlé en long et en large. Donc, nous, on trouve qu’à ce niveau-là, la SSR est d'autant plus responsable en fait. Elle ne peut pas dire qu'elle ne savait pas. Elle ne peut pas dire que ces choses n'arrivent pas chez nous, etc. L’entreprise aurait dû faire une introspection déjà il y a plusieurs années. Elle ne l’a pas faite. Donc on regrette de constater que ça n'a pas été fait et qu'il est vraiment temps que ça se fasse.
Donc le but de la libération de la parole, c'est d’amener ces introspections et d’amener ces changements. Justement, la SSR doit être exemplaire. C’est une entreprise de média, publique qui se veut démocratique. Elle doit être exemplaire à ce niveau-là. Mais force est de constater que pour l’instant, on en est loin.]
Si l'enquête publiée par Le Temps a lancé une investigation à l'interne sur le comportement des cadres cités ainsi que l'ouverture d'une enquête visant à renforcer le dispositif en place contre le harcèlement au travail, le mouvement de libération de la parole amorcé par le compte Instagram pourrait amener à de nouvelles affaires. Quel est le futur pour ces témoignages rapportés sur le réseau social?
[Lire le son: Notre but, c'est la libération de la parole. Il y a ce tabou du sexisme, du harcèlement qui tombe. Qu'on puisse enfin se mettre autour de la table et avoir un terrain d'entente sur les conditions de travail, qui sont compliquées, de part le sexisme, de part la discrimination, de part le harcèlement.
Après, évidemment, on ne peut pas porter plainte au nom des autres. On ne peut pas. On est là pour recueillir les témoignages de sexisme ordinaire déjà, les cas graves de harcèlement sexuel, etc. Pour l'instant, nous, on ne cherche pas à faire une class-action contre les médias. Non, ça, ce sont les gens au niveau individuel qui doivent le faire ou se regrouper dans une association pour faire une plainte commune. Nous, ce n’est pas notre démarche.
Notre démarche, c'est de susciter le débat, c'est de libérer la parole et c'est d’encourager tous ceux qui ont vécu des situations de discrimination, de sexisme, de racisme, dans le monde des médias de parler et de se regrouper pour dire que ce n'est plus acceptable. Nous, on ne se situe pas sur le plan juridique. Ça, c'est clair.]
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Ligne24.ch : Un audioguide lausannois créé par NexSwiss
NexSwiss est une startup lausannoise co-fondée par Joel Iunius, Nerea Garcia Vazquez, David Netter, Jordan Brocario et Youssef Khribeche. Active dans le domaine du service informatique aux entreprises et aux privés, elle vient de développer Ligne24.ch qui est actuellement en phase de test à Lausanne.
De manière très vulgarisée, Ligne24 propose un audio-guide interactif qui permet d’en apprendre plus sur ce qui se trouve le long du trajet de la ligne 24 des Transports Publics lausannois. Une idée qui a germé dans l'esprit de Joel et d'une amie lors d'un voyage à Londres.
On a tous déjà eu une idée comme ça, une idée qu’on trouve révolutionnaire, géniale et qui nous rendra riche à coup sûr. La différence, c’est qu’en rentrant, plutôt que d'oublier l'idée et de passer à autre chose, l’équipe de NexSwiss s’y attèle et va développer la première version du CityTourPlayer. Basée sur une vidéo Youtube, l'équipe lausannoise va developper un script qui permet de naviguer dans la vidéo en se basant sur la position GPS de l'utilisateur.
Le projet est né
Le CityTourPlayer fonctionne, il est en ligne et on peut l’utiliser. Mais NexSwiss a besoin d’utilisateurs pour essayer l’audioguide. Ils vont alors à la rencontre des TL pour développer une première version bêta, le long de la ligne 24 à Lausanne.
Concrètement, sur Ligne24.ch, vous en apprendrez plus sur les monuments, parcs, et autres points d'intérêts que vous allez découvrir lors de votre trajet de bus. Un trajet qu'on peux aussi faire de manière virtuelle, mais c'est toujours plus sympa de se rendre sur place avec ses écouteurs et son smartphone et de se faire guider comme un touriste à la découverte de sa propre région.
Rendez-vous dès maintenant sur ligne24.ch ou mieux encore, scannez les QR codes disponibles sur les panneaux d'affichages des arrêts de la Ligne 24. Bonne découverte!
Découvrez l'entretien complet avec Joel Iunius enregistré le 13 octobre 2020 dans nos bureaux de Lausanne:
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Découvrez les nouveaux modèles d'iPhone présenté par Apple
Le mardi 13 octobre à 19h (heure suisse), Apple a diffusé une conférence de presse suivie par plusieurs milliers de personnes. L'origine de ce rassemblement numérique? La keynote d'Octobre et l'annonce des nouveaux iPhone 12 ainsi que du tout nouveau HomePod Mini.
Commençons avec les 4 nouveaux iPhone présentés. oui, 4!
Un iPhone 12 "standard", un iPhone 12 Mini qui a un format… mini, un iPhone 12 Pro avec des fonctions plus évoluées et un iPhone 12 Pro Max, qui est le téléphone gros format de la nouvelle gamme. Mais même s'il y a beaucoup de nouveaux téléphones, leurs entrailles sont très similaires. Ils sont notamment tous connecté avec la 5G!
iPhone mise sur la technologie 5G
Sans entrer dans le débat de la 5G. Les nouveaux iPhone seront équipés d’antennes capable de communiquer en 3G, 4G et 5G. Le téléphone saura analyser le besoin en vitesse de l'utilisateur. Si la charge sur le réseau n'est pas très forte, le téléphone utilisera la connexion 4G (moins gourmande en ressource et batterie). Dès qu'un gros téléchargement est détecté, ou si le téléphone se trouve dans un espace où les antennes sont surchargées, il passera en mode 5G.
On peut très bien vivre sans. Mais la possibilité d'accéder à la 5G est intéressante pour un téléphone qu'on va garder à priori 3-4 voire 5 ans, et qui coûte pas loin (voire plus) d'un millier de francs. Puisque, à priori, si aujourd'hui on n'en a pas besoin, on peut facilement imaginer que dans 5 ans, l’infrastructure 5G sera plus évoluée et la technologie fera partie de nos vie de tous les jours.
Comment choisir?
La première façon de se décider entre les différents modèles, c'est par la taille du téléphone. Si on aime les petits formats, on partira sur l’iPhone 12 Mini. Unique dans la gamme, le téléphone est dans la même proportion que l'iPhone 4 que beaucoup regrettent. Si on préfère un grand téléphone, on ira logiquement vers l’iPhone 12 Pro Max. Avec sa dalle de 17 centimètres de diagonale, les amateurs de pixels vont être servi. Par contre, si la taille ne compte pas (à ce qu'il parait), ou la dimension standard convient, on pourra choisir par rapport aux petits extra.
L'iPhone Pro, pour les pros… de la photo
iPhone Pro possède des matériaux de meilleures factures et de meilleures caméras. Les photos dans les conditions sombres seront notamment bien améliorée. Les captures ont été redessiné par rapport aux modèles précédant. La stabilisation de l'appareil photo ne se fait plus au niveau de la lentille, comme c'est la norme dans les smartphones. Mais au niveau du capteur, comme un vrai appareil photo haut de gamme.
Mais là aussi, si la photo et les quelques ajouts ne sont pas un argument, le reste des composants sont très sensiblement les mêmes. Donc autant prendre le modèle du dessous.
Dernier facteur, le prix
L’iPhone 12 mini commence à frs. 779.-, l’iPhone 12 à frs. 879.-, l’iPhone 12 Pro à frs. 1129.- et finalement l’iPhone 12 Pro Max à frs. 1229.-. Votre budget pourra aussi faire le choix pour vous. Le plus haut de gamme (iPhone 12 Pro Max avec 512Go) coûte frs. 1589.-! Pour ce prix-là, on peut aussi s'acheter une petite voiture d'occasion.
Autre nouveauté, HomePod Mini
Comme l’enceinte HomePod présentée en 2017, Apple a présenté l’HomePod Mini.
Même caractéristique que l'ancien modèle d'enceinte connectée qui reste disponible. Elle se contrôle à la voix grâce à Siri mais dans un format Mini. Par contre, comme l’HomePod, l’HomePod Mini ne sera pas disponible officiellement en Suisse sur Apple.com puisque Siri ne parle officiellement pas le Suisse Allemand. C’est toujours possible de l’acheter chez des revendeurs, mais elle ne comprendra pas le Suisse allemand mais uniquement le vrai allemand.
C'est aussi le cas pour le français puisqu'officiellement Siri parle le Français de France et non le Français de Suisse. Mais c'est un sujet que je réserve pour une prochaine chronique, parce que ce n'est pas la première fois que les Suisses allemands et leurs dialectes nous privent de la sortie d’un produit.
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