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Qu'est-ce qu'on a tous fait au bon Dieu ?

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Un film de Philippe de Chauveron avec Christian Clavier, Chantal Lauby, Ary Abittan

Ce sont bientôt les 40 ans de mariage de Claude et Marie Verneuil. Pour cette occasion, leurs quatre filles décident d’organiser une grande fête surprise dans la maison familiale de Chinon et d’y inviter les parents de chacun des gendres, pour quelques jours. Claude et Marie vont devoir accueillir sous leur toit les parents de Rachid, David, Chao et Charles : ce séjour "familial" s'annonce mouvementé.

Découvrez la bande annonce du film

À voir au cinéma dès le 6 avril 2022

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Football

Michel Pont: "Il faut que les joueurs s'accaparent cet Euro"

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Michel Pont a été entraîneur assistant de l'équipe de Suisse de 2001 à 2014. On le voit ici lors de la Coupe du Monde 2014 au Brésil en compagnie de Xherdan Shaqiri. ©KEYSTONE/Peter Klaunzer

L’Euro 2024 démarre ce vendredi. La Suisse entrera en lice samedi face à la Hongrie. On fait le point avec l’ancien sélectionneur assistant Michel Pont.

C'est bien sûr l’Allemagne, pays hôte, qui lancera les festivités en affrontant l’Écosse vendredi soir. Quant à la Suisse, dans le même groupe que sa voisine germanophone, elle jouera son premier match samedi à 15h contre la Hongrie.

Et tous les regards seront braqués sur cette Nati que l'on peine encore à cerner. Après un passage à vide l'automne dernier, les performances en 2024 ont été plutôt bonnes. Lors de la préparation à l’Euro ces dernières semaines, les hommes de Murat Yakin ont notamment battu l’Estonie 4-0 et fait un match nul 1-1 contre l’Autriche. Avec le nul face au Danemark et la victoire face à l'Irlande plus tôt dans l'année, la Suisse est donc invaincue en 2024.

Pour Michel Pont, ancien sélectionneur assistant de l’équipe de Suisse, la balle est dans le camp des joueurs pour réaliser une belle performance lors de cet Euro.

Michel PontAncien sélectionneur assistant de l'équipe de Suisse

On l'a dit, sur le papier, les statistiques sont plutôt positives. "L'Estonie a été prise très au sérieux. C'est jamais facile de gagner 4 à 0. On n'est pas le Brésil ou l'Argentine et si on ne se donne pas à fond, on aura de la peine contre n'importe quel adversaire, analyse Michel Pont. Et dans cette optique-là, je trouve que le match à été excellent."

La rencontre face à l’Autriche a tout de même créé quelques légers doutes. Mais pas de quoi alarmer le Genevois. "Oui, ce n'était pas flamboyant, il y a eu beaucoup de changements. La première mi-temps était à mon sens très bonne." En revanche, il y a un point qui inquiète l’ex-technicien.

Michel PontAncien sélectionneur assistant de l'équipe de Suisse

Breel Embolo, tout comme Denis Zakaria, a été embarqué dans le voyage en tant que “joker”. Pour rappel, Embolo a subi une déchirure du ligament croisé en août dernier. Zakaria s'était lui blessé aux ischio-jambiers en mai.

Le plan de base de Murat Yakin était donc de partir avec 24  (3 gardiens et 21 joueurs de champ) si les deux joueurs de l’AS Monaco étaient aptes à entrer sur le terrain dès le premier match. Et de sélectionner 26 joueurs si leur état ne leur permettait pas d'être opérationnels immédiatement. Murat Yakin a finalement dû se résoudre à cette deuxième option. Avec l'espoir, en tout cas pour Breel Embolo, que l’attaquant et le milieu de terrain soient disponibles au cours du tournoi.

Passer au-dessus des polémiques

À l’aube de cet Euro, impossible de ne pas repenser à l'épopée d'il y a 3 ans. Rappelez vous, 28 juin 2021. La Nati éliminait la France en 8e de finale grâce à un arrêt de Yann Somme sur un penalty de Kylian Mbappé. Les commentateurs s’enflammaient, les rues de Suisse résonnaient au son des klaxons des voitures parties défiler, drapeaux voltigeants par les fenêtres.

Une aventure qui a créé un engouement fou. Mais qui a aussi vu l'équipe de Suisse avoir quelques passages à vide. Un événement aussi exceptionnel peut bien sûr avoir un impact sur l'équipe selon Michel Pont.

Michel PontAncien sélectionneur assistant de l'équipe de Suisse

Les derniers mois ont en effet été mouvementés. On se souvient notamment des critiques sur la tactique et les entraînements de Granit Xhaka envers son sélectionneur. Les relations entre les joueurs et Murat Yakin constituent donc un délicat jeu d'équilibre. Dans l’opinion publique aussi. La presse spécialisée a esquissé à un moment la question du maintien ou non du sélectionneur.  Alors est-ce que cet Euro 2024 représente la compétition de la dernière chance pour Murat Yakin?

Michel PontAncien sélectionneur assistant de l'équipe de Suisse

Et parce que dans le foot, et dans les grands événements, les polémiques ne sont jamais loin, les choix de Murat Yakin pour sa liste de joueurs finale a questionné. Notamment au vu du nombre de romands, comme Kevin Mbabu qui n'avait déjà pas été sélectionné pour la dernière Coupe du Monde au Qatar. Le sélectionneur, qui a par exemple préféré Leonidas Stergiou au Genevois, justifie ces choix par des raisons tactiques et stratégiques. Mais y a-t-il un petit quelque chose "d'anti-romands" dans cette équipe?

Michel PontAncien sélectionneur assistant de l'équipe de Suisse

L'Euro 2024 démarre donc ce vendredi. On ne peut s'empêcher de terminer avec un pronostic. "Ca fait un Euro et une Coupe du Monde que je mets une petite pièce sur l'Angleterre parce qu'ils ont depuis un certain temps un sacré potentiel offensif, lance Michel Pont. Donc je mets une troisième fois une pièce sur l'Angleterre, avec une finale contre la France."

Premier match de la Suisse samedi face à la Hongrie. Ce sera à 15h.

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Hockey

La Street Cup, entre hockey, rigolade et compétition

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Il faudra attendre samedi pour découvrir les déguisements 2024 des participants. Igor Jelovac n'a rien voulu lâcher. ©Pierre Maillard

La Street Cup se déroulera ce weekend (1-2 juin) à la Pontaise. Au programme, une cinquantaine de matchs de hockey inline, avec des têtes qui ne seront pas inconnues de habitués des patinoires.

Il s'agira de la 5e édition de la Street Cup. Le principe: du hockey inline, comprenez en patins à roulettes, à 4 contre 4. Chaque match durera 12 minutes pour permettre à toutes les équipes de s'affronter. Les 12 équipes engagées disputeront une phase de poules le samedi, puis des pré-playoffs et des playoffs le dimanche. Particularité, les participants ne jouent pas avec une balle comme c'est d'habitude le cas en hockey inline. "Comme on est quasi tous hockeyeurs sur glace, on a des pucks un peu spéciaux qui vont très bien sur le goudron, décrit Joachim Vodoz, co-organisateur du tournoi. Ça nous permet de garder les bonnes habitudes qu'on a l'hiver."

En effet, une belle brochette de hockeyeurs de National League et de Swiss League troquera les patins à glace pour les rollers. Simon LeCoultre (Genève-Servette), Axel Simic (Kloten), Loïc Vouardoux (HC Sierre), Guillaume Maillard (Genève-Servette) ou encore Nathan Vouardoux (Rapperswil) seront de la partie. Quelques Lausannois seront aussi sur le front comme Makai Holdener, Kevin Pasche, Benjamin Bougro ou encore Igor Jelovac. Et la plupart son de vrais habitués, comme l'explique Joachim Vodoz.

C'est justement cette atmosphère de "réunion de famille" qui a motivé Igor Jelovac à participer.

L'événement est né de la passion commune pour le hockey de Johnny Kneubhüler, Valentin Pilet et Joachim Vodoz, "mais on essaie de le développer chaque année pour que tout le monde y trouve son compte et que ce soit le plus ouvert possible", explique ce dernier. Avec un but principal: passer un bon weekend dans la joie et la bonne humeur. Food trucks et DJ sets seront donc également au programme.

Et pour pouvoir élargir encore plus le public présent, le tournoi quitte son emplacement à Pully où se sont déroulées les 4 premières éditions. Cette année, c'est la Pontaise qui accueille la Street Cup. Les explications de Laura Bachmann.

Autre nouveauté, le dimanche, un mini tournoi U14 sera intégré à la compétition "principale".

 

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On ne change pas des compétiteurs

Ce qui fait aussi sortir la Street Cup de l'ordinaire, c'est son côté décalé. Lors des éditions précédentes, on a ainsi vu jouer Les Gras du Bide avec des chemises hawaïennes ou encore Babylone avec des casques de chantier. Le second degré fait donc partie intégrante de l'événement, comme nous l'explique Laura Bachmann, co-organisatrice de la Street Cup.

Mais la Street Cup, ça reste une compétition. Celle-ci est ouverte aux pros et aux amateurs. Si les pros, ce sont les hockeyeurs sur glace, ils auront cette année une concurrence possiblement non négligeable.

Igor Jelovac disputera ce weekend sa 4e Street Cup, toujours avec les mêmes coéquipiers. Mais quelles sont leurs forces?

La rigolade, c'est l'un des maîtres mots de ce weekend. Sauf que, quand il y a autant de personnes au mètre carré dont le métier est justement de jouer et gagner des matchs, l'ambiance pendant les rencontres peut aussi devenir tendue. Notamment quand, comme le défenseur du LHC, on chercher à décrocher son premier titre.

La compétition est d'autant plus excitante que les hockeyeurs affrontent certains de leurs coéquipiers de National/Swiss League. De quoi donner encore plus envie de gagner le match. "C'est sûr! Il y a Kevin Pasche (ndlr: l'un des gardiens du LHC) qui va jouer, en plus il joue attaquant donc je vais pas me gêner d'aller l'embêter", rigole Igor Jelovac, avant de se raviser un peu, toujours avec le sourire: "Le but c'est quand même de rigoler et de ne pas trop s'embêter les uns les autres." D'où l'importance du second degré.

Dans tous les cas, cette 5e édition de la Street Cup promet à ses participants de vivre des instants mémorables. Comme cette situation un peu cocasse dans laquelle se sont retrouvé Igor Jelovac et ses coéquipiers.

La Street Cup a donc lieu ce weekend à la Pontaise. L'entrée est libre. Premier match à 10h30 samedi, 9h le dimanche. Il sera possible de prendre un petit déjeuner le matin, puis des food trucks seront présents pour se restaurer. Et des DJ feront danser hockeyeurs et public jusqu'au bout de la nuit.

 

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Le pain suisse est-il en danger ?

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Le Moulin d'Echallens approvisionne des boulangeries et commerces de la région depuis 1903. © Lena Vulliamy

Actuellement, environ 80% du pain consommé en Suisse est encore produit dans le pays. Mais la filière est inquiète car l’importation augmente. Lueur d’espoir cependant: la législation a changé en février: l’origine des produits de boulangerie devra être déclarée lors de la vente. Les consommateurs pourront ainsi identifier le lieu de production du pain qu’ils achètent.

Au Moulin d’Echallens, le cycle de production du pain commence. La coopérative Landi Gros-de-Vaud approvisionne environ 10% des commerces et artisans vaudois. Elle commence par fournir les semences aux agriculteurs. Les céréales vont hiverner et se développer jusqu’à la moisson l’été suivant, explique Olivier Sonderegger, directeur du Moulin d’Echallens.

Le Moulin d’Echallens produit essentiellement de la farine panifiable, mais aussi du sarrasin pour les galettes ou encore de quoi produire le fameux pâté vaudois. Des produits qui tiennent à cœur aux Vaudois. Pourtant, l’essor des produits importés, principalement depuis la France, la Pologne ou la Hollande voire les Etats-Unis, inquiète tout de même la filière.

En effet, même son de cloche du côté des boulangers. Direction Yves Girard, directeur de l’Association des boulangers pâtissiers confiseurs du canton de Vaud.

Du côté de l’Association des boulangers pâtissiers confiseurs du canton de Vaud, on cherche des solutions pour encourager la consommation locale.

L’importation, mais aussi les produits congelés, qu’on trouve notamment dans les shops des stations-services, font concurrence à l'artisanat depuis de nombreuses années déjà. Il faut dire que les habitudes alimentaires des Suisses ont changé. On retrouve le directeur du Moulin d’Echallens.

Aujourd’hui, malgré l’émergence des produits importés, le pain consommé en Suisse est encore à 80% produit sur le territoire. Mais inquiets de l’avenir de la production suisse, Yves Girard et Olivier Sonderegger sont à l’origine d’un changement de loi. Il sera désormais obligatoire d'étiqueter l’origine du bain. Pour la commission, à la base, l’idée était justement de protéger la production suisse de céréales. Yves Girard.

Le délai de transition pour la mise en œuvre de cette nouvelle règle est fixé au 31 janvier 2025. Pour les initiants, cette loi concerne aussi le consommateur, qui est en droit de savoir d’où provient ce qu’il mange. Mais le défi de maintenir une filière productrice en Suisse est grand.

Et en attendant, au Moulin d’Echallens, on a du pain sur la planche. Cette semaine, la Commission de la concurrence a été invitée à investiguer le marché des céréales panifiables et de la farine boulangère. Un article du Temps rapporte les «comportements abusifs» des grandes entreprises de transformation. Ceci au détriment des agriculteurs et des PME meunières. La dénonciation provient de l'association alémanique Marchés équitables Suisse.

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Football

Boris Cespedes: "On savait pas trop quoi faire avec la balle"

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Les Yverdonnois sont passés à côté de leur match. ©KEYSTONE/Laurent Gillieron

Soirée décevante pour Yverdon Sport. Les hommes d'Alessandro Mangiarratti se sont inclinés 0-2 face au FC Bâle.

C'est pourtant les Nord-Vaudois qui se sont créé la première grosse occasion du match. Kevin Carlos a pu s'échapper à peu près tout seul, mais sa frappe a été arrêtée par le gardien.

Mais c'est un gros coup dur qui est également rapidement arrivé pour Yverdon. Varol Tasar, en voulant aller jouer un ballon, a méchamment glissé. L'angle de sa jambe et le cri lancé par l'ailier laissent présager le pire. Le n°27 a dû être évacué sur civière. Le genou semble touché. "On n'en sait pas plus pour l'instant mais j'ai peur de ne plus l'avoir pour le reste de la saison", a déclaré le coach Alessandro Mangriarratti en conférence de presse.

De plus amples examens devront confirmer la gravité de la blessure de Varol Tasar. ©KEYSTONE/Laurent Gillieron

Si Yverdon n'était déjà pas totalement entré dans ce match, cette situation a aussi impacté les joueurs. "Ça leur a fait un petit choc", estime l'entraîneur. Et c'est ainsi qu'à la 37e, les Vaudois ont encaissé un premier but. C'est Gabriel Sigua qui a ouvert la marque. Une action un peu incompréhensible que Boris Cespedes tente d'expliquer.

Boris CespedesMilieu de terrain d'Yverdon Sport

Les visiteurs avaient en effet envoyé le ballon au fond des filets une deuxième fois en début de 2e mi-temps, avant que le but ne soit annulé pour hors-jeu.

Et dans les soirées où rien de va, rien de va. À la 79e, Dario Del Fabro est parti en direction du but yverdonnois pour aller sauver un ballon un peu trop long. Mais un adversaire bâlois l'a coursé. Tous deux seuls face au but, Del Fabro a voulu défendre et a taclé son adversaire. Un peu trop fort malheureusement. L'arbitre n'a pas hésité: c'est carton rouge. "C'est évitable, mais c'était les dix dernières minutes, je ne pense pas que ça ait impacté grand chose dans le match", analyse Boris Cespedes.

Le coup de grâce viendra à la 83e avec un but de Thierno Barry. Des Yverdonnois présents dans les 16m, il y en avait pourtant. Mais ils ont laissé des adversaires tous seuls et l'ont payé cash. Résultat final: 0-2.

Un jour sans

Comment expliquer cette performance? Pour Alessandro Mangiarratti, l'équipe n'a pas été précise dans les derniers mètres. "On a aussi pas très bien tiré les corners", ajoute-t-il. Boris Cespedes quant à lui pointe une mauvaise structure du jeu.

Boris CespedesMilieu de terrain d'Yverdon Sport

Pour Paul Bernardoni, gardien yverdonnois, c'est un match tout simplement frustrant.

Paul BernardoniGardien d'Yverdon Sport

Depuis la reprise du championnat, Yverdon a consécutivement battu deux leaders (Zurich et Servette) et s'est incliné face à deux concurrents directs (Lausanne et Bâle). Comment interpréter cela? Selon Boris Cespedes, il s'agit surtout d'un classement dont il ne faut pas se fier.

Boris CespedesMilieu de terrain d'Yverdon Sport

Dimanche prochain, Yverdon se déplacera à Winterthur pour la 26e journée de Super League.

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