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Suisse

Alain Berset dévoile la hausse des primes maladie 2018

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Le Conseil fédéral a présenté la hausse des primes maladie 2018.

La facture des Suisses augmentera de 4% en moyenne, mais cela aurait pu être pire : Alain Berset a annoncé ce jeudi avoir pu enrayer l’augmentation grâce à son intervention sur les tarifs. Imposée par le Conseil fédéral faute d’accord entre les partenaires, la révision de Tarmed doit permettre de faire des économies. Le gouvernement en a tenu compte dans le calcul des primes. Avec précipitation, disent les assureurs qui auraient préféré attendre de voir les effets des nouveaux tarifs. Alain Berset :

Alain BersetConseiller fédéral

L’augmentation est plus faible que celle enregistrée l’an dernier, grâce à cette révision des tarifs médicaux Tarmed par le Conseil fédéral. Cette mesure devrait permettre des économies de 470 millions de francs. Alain Berset :

Alain BersetConseiller fédéral

Présidente de H+, la faîtière des hôpitaux, la conseillère nationale PLR Isabelle Moret craint que la révision de Tarmed ne porte pas ses fruits :

Isabelle MoretConseillère nationale

Propos recueillis par Jérôme Favre. La hausse des primes maladie est plus importante qu’en moyenne en Romandie, sauf à Fribourg. Elle atteint 6,4% dans le canton de Vaud.

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Suisse

Alcool en Suisse: bisbilles autour des directives fédérales

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Les directives fédérales sur l'alcool doivent attendre, estime le Conseil des Etats (illustration). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'adoption de nouvelles directives fédérales sur la consommation modérée d'alcool doit être reportée. Le Conseil des Etats a soutenu lundi par 31 voix contre 8 une motion qui demande d'attendre les résultats d'une nouvelle étude.

La stratégie "zéro alcool" de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) ne semble pas faire l'objet d'un examen critique de la part des autorités fédérales, selon le sénateur Benedikt Würth (Centre/SG). Pourtant, dans le monde scientifique, il n'y a pas de consensus sur certaines affirmations de l'OMS, comme celle avançant que toute quantité d’alcool représente un risque pour la santé.

L'Université de Navarre, en Espagne, mène une étude qui pourra être considérée comme une référence en ce qui concerne les conséquences de l'alcool sur la santé. Elle devrait durer encore trois ans. Il vaut donc la peine d'attendre avant d'édicter de nouvelles directives fédérales, selon la motion de M. Würth. Car d'autres études récentes montrent des résultats pour les moins contradictoires.

La gauche a tenté en vain de renvoyer la motion en commission pour un examen approfondi, la critiquant comme un moyen de temporiser face à des directives pourtant nécessaires en matière de santé publique.

La consommation d'alcool bénéficie toujours d'une image positive dans notre société. Nous sommes nombreux dans cette salle à boire régulièrement de l'alcool socialement, mais il ne faut pas se voiler la face quant à l'impact sur la santé, a argué Mathilde Crevoisier Crelier (PS/JU).

Base scientifique suffisante

Le Conseil fédéral ne voit lui aucune raison de penser que la stratégie mondiale visant à réduire l'usage nocif de l'alcool repose sur une base scientifique insuffisante. L'OMS ne poursuit d'ailleurs pas une stratégie de tolérance zéro, mais préconise des mesures de prévention et de réduction des risques, a indiqué la ministre de la santé Elisabeth Baume-Schneider.

Les mesures et recommandations de l'OMS n'ont aucun lien direct avec les recommandations de la Commission fédérale pour les questions liées aux addictions et à la prévention des maladies non transmissibles (CFANT). La publication de ses nouvelles recommandations est prévue dans les prochains mois, a encore dit la ministre, en vain.

Le National devra se prononcer.

3% de dépendants en Suisse

La Croix-Bleue Suisse a elle publié de nouvelles recommandations sur la consommation d'alcool en début d'année. Aucune consommation d'alcool n'est sûre et même de faibles quantités peuvent être nocives.

En Suisse, 250'000 à 300'000 personnes souffrent d'une dépendance à l'alcool, soit environ 3% de la population. Près de 10% a une consommation problématique. Environ 100'000 enfants grandissent dans des familles où au moins un des parents est exposé à l'alcool. Chaque année, environ 1600 personnes en meurent.

L'OMS estime elle que la moitié des cas de cancer attribuables à l'alcool sont dus à une consommation légère ou modérée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Au moins la moitié des glaciers disparaîtront d'ici 2100

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Selon les chercheurs, il est important de prendre en compte non seulement le volume des glaciers, mais aussi leur nombre (image symbolique). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Jusqu'à 4000 glaciers par an risquent de disparaître à cause du changement climatique, avertissent des chercheurs suisses dans une nouvelle étude publiée lundi. Selon eux, au moins la moitié des glaciers dans le monde n'existeront plus d'ici la fin du siècle.

"Chaque glacier peut être décisif au niveau local. Il peut être un monument culturel, une destination touristique importante ou le symbole d'une identité régionale", a déclaré l'auteur principal de l'étude, Lander Van Tricht de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (ETH Zurich), lors de la présentation de l'étude publiée dans la revue spécialisée Nature Climate Change.

Il est donc important, selon lui, de prendre en compte non seulement le volume des glaciers, mais aussi leur nombre.

Un réchauffement climatique de 2,7 degrés entraînerait la disparition de quatre glaciers sur cinq dans le monde d'ici la fin du siècle. Si le réchauffement climatique était limité à 1,5 degré, comme le prévoit l'accord de Paris sur le climat, la moitié des glaciers actuels pourraient être préservés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Le plus beau comeback de l'année pour Belinda Bencic

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Belinda Bencic peut avoir le sourire: son année 2025 fut très belle. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Belinda Bencic recueille les éloges de la WTA. La Saint-Galloise a, selon l’instance, signé le plus beau comeback de l’année.

Après la naissance de sa fille en avril 2024, Belinda Bencic a, il est vrai, traversé une année 2025 qui fut celle de bien des bonheurs avec une demi-finale à Wimbledon et des succès dans les tournois WTA 500 d’Abu Dhabi et de Tokyo pour se hisser au 11e rang mondial.

La joueuse de l’année est la no 1 mondiale Aryna Sabalenka pour la WTA. Finaliste à Wimbledon et à l’US Open, Amanda Anisimova est, quant à elle, la joueuse à la progression marquante. Enfin la révélation de l’année est la Canadienne Victoria Mboko qui a remporté à 18 ans le WTA 1000 de Montréal.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Les APG seront adaptées à l'évolution de la société suisse

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Les APG ont été progressivement élargies à d’autres situations de perte de revenu liées à la parentalité (archives). (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Les allocations pour perte de gain (APG) seront harmonisées en Suisse et adaptées à l'évolution de la société. Le Parlement a mis sous toit lundi un projet du Conseil fédéral en ce sens, avec quelques modifications.

Les APG ont été initialement conçues pour compenser le manque à gagner des soldats astreints au service militaire. Elles ont été progressivement élargies à d’autres situations de perte de revenu liées à la parentalité. Mais des disparités existent. Les parents, épouses des mères, parents adoptifs et parents d'enfants gravement malades sont lésés.

L'allocation pour frais de garde sera maintenue et élargie à l'ensemble des bénéficiaires du régime des APG qui en remplissent les conditions tout comme l'allocation d'exploitation, qui sert à couvrir une partie des frais fixes des indépendants pendant leur période de service. L'allocation pour enfants sera quant à elle supprimée.

Lorsqu'une mère doit être hospitalisée après la naissance de son enfant, son congé maternité sera prolongé de la durée effective de son hospitalisation, comme c'est déjà le cas lorsque le bébé est hospitalisé. Le Conseil fédéral et le Conseil des Etats souhaitaient fixer une limite maximale de 56 jours. Le National n'en a pas voulu. Les sénateurs se sont rangés derrière cette décision lundi.

Les droits sont également étendus en cas d'hospitalisation d'un enfant pendant au moins quatre jours.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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