Sport
Tennis : Wawrinka n’a pas tenu le choc physiquement
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Stan Wawrinka (no 23) n'a pas tenu le choc physiquement dans son 1er tour à Roland-Garros. Le Vaudois s'est incliné 6-2 3-6 4-6 7-6 (7/5) 6-3 devant Guillermo Garcia (ATP 64), après 3h30' de lutte.
La déception est de mise pour le Vaudois de 33 ans, qui jouait simplement son onzième match de l'année. Il avait largement les moyens de s'imposer en quatre sets face à l'Espagnol, qui l'avait déjà battu à Paris au même stade de la compétition en 2014. Seulement, il n'est pas parvenu à porter l'estocade alors qu'il avait signé le break pour mener 3-2 dans la quatrième manche et qu'il jouait du bon tennis.
Stan Wawrinka s'est pourtant ressaisi après avoir vu son adversaire recoller à 3-3 dans ce set. Mais il n'a pas su saisir sa chance par la suite, manquant deux balles de break à 4-4 et une autre à 5-5. Sans doute conscient que la cinquième manche serait de trop pour son organisme, il a pris tous les risques dans le jeu décisif, mais s'est alors montré trop imprécis dans ses attaques.
Sur la corde raide, le Vaudois a résisté tant bien que mal dans le cinquième set, effaçant deux balles de break à 1-1. Mais il a concédé son service dès le cinquième jeu, manquant alors totalement un smash après rebond. Et il n'est jamais parvenu à mettre Guillermo Garcia-Lopez en danger sur son engagement dans la dernière manche, ne marquant que trois points à la relance.
Stan Wawrinka a néanmoins quelques motifs de satisfaction à l'issue de cette rencontre, la première dans laquelle il est allé au-delà des quatre sets - et des trois heures de jeu - depuis son retour aux affaires en janvier à l'Open d'Australie. Il a dans l'ensemble livré un match solide, réussissant de très belles choses sans connaître trop de hauts et de bas. Il a pourtant dû craindre le pire lorsqu'il a dû faire appel au kiné dans le septième jeu du match en raison de douleurs à son genou gauche meurtri.
Cet échec ne sera pas sans conséquence sur le plan comptable pour Stan Wawrinka, qui avait 1200 points à défendre après s'être hissé en finale l'an dernier à Roland-Garros. Il se retrouvera ainsi au-delà de la 250e place mondiale à l'issue de ce tournoi. Son statut d'ex-no 3 mondial et de vainqueur de Grand Chelem devrait toutefois lui permettre d'obtenir des invitations pour les prochains tournois, et il ne devrait pas avoir besoin d'utiliser le classement protégé auquel il a droit en raison de sa longue pause forcée.
(ATS / KEYSTONE - AP - MICHEL EULER)
International
Avec Montmartre, le Tour de France fait sa révolution
Un an après l'effervescence des Jeux olympiques, le Tour de France va s'aventurer pour la première fois sur la Butte Montmartre en juillet pour une triple ascension qui révolutionne la dernière étape.
Cette 112e édition de la Grande Boucle marquera le cinquantième anniversaire de la première arrivée sur les Champs-Elysées, en 1975. Mais paradoxalement et même si elle sera évidemment au programme, ce ne sera pas "la plus belle avenue du monde" qui tiendra la vedette.
Car c'est bien le triple passage par la rue Lepic et devant des emblèmes comme le Moulin Rouge et le Sacré-Coeur qui monopolisera l'attention le 27 juillet, un an après la course en ligne des JO-2024 qui avait marqué les esprits par l'incroyable ferveur de 500'000 spectateurs agglutinés dans les rues de Paris.
Mercredi, dans les salons de l'Hôtel de Ville, les organisateurs d'ASO, la maire de Paris Anne Hidalgo et le préfet de police Laurent Nuñez ont présenté les détails de cette incursion inédite.
Au lieu des huit tours traditionnels sur les Champs-Elysées, les coureurs vont en effectuer seulement trois (6,5 km à chaque fois), avant de prendre la rue Royale pour aller faire trois fois une boucle de 16,8 km passant par Montmartre.
Au troisième passage au sommet de la Butte, il restera six kilomètres jusqu'à l'arrivée sur les Champs-Elysées, ce qui va forcément favoriser les attaques et sans doute empêcher un sprint massif.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Christelle Luisier veut "tirer profit de l'élan" créé par l'Euro
La présidente du gouvernement vaudois Christelle Luisier, première femme avec Aline Trede à avoir été élue au comité central de l'ASF en 2024, se confie à un mois et demi de l'Euro féminin en Suisse.
La conseillère d'Etat s'engage pour que l'événement laisse une trace pérenne dans l'histoire du sport en Suisse, qui bénéficie au foot féminin et aux sportives en général. Il doit contribuer notamment à une prise de conscience sur la nécessité de développer les infrastructures, a-t-elle confié dans une interview à Keystone-ATS.
L’Euro féminin (2-27 juillet) frappe à la porte. Vous l'attendez avec impatience?
Christelle Luisier : "L’impatience est bien là. Il y a de l’enthousiasme pour notre équipe nationale, pour les clubs, l’Aassociation suisse de football (ASF), chez moi et pour toute la population. Cela fait vraiment très plaisir, ça se traduit dans les chiffres puisque plus de 500'000 billets ont déjà été écoulés. Il existe une vraie ferveur populaire autour de ce formidable événement. Ce serait fabuleux qu’il se joue à guichets fermés."
Le succès est-il garanti, ou y a-t-il encore du pain sur la planche dans les semaines à venir ?
"C'est très important de continuer à faire la promotion de l'événement. Par ailleurs, et je parle maintenant en ma qualité de conseillère d’Etat en charge du sport, il nous revient de mettre en oeuvre partout en Suisse des projets autour de cet Euro."
Il n'y aura que huit stades. Lausanne, et donc le canton de Vaud, n’accueillera pas l’Euro 2025. Avez-vous des gros regrets ?
"Forcément, il y a un petit regret. Mais il était clair dès le départ que nous n’aurions pas de match. Lausanne et notre canton dans son ensemble accueillent la Fête fédérale de gym, qui drainera des dizaines de milliers de personnes. Au niveau des infrastructures, il était impossible pour notre canton d’absorber encore un événement comme l'Euro."
Si aucun match n'est prévu dans le canton de Vaud, des activités y sont quand même organisées...
"Nous mettons tout en oeuvre pour susciter une émulation autour de projets qui touchent au sport féminin en général et au foot féminin de manière spécifique. Nous avons lancé plusieurs projets avec l’ambition de les inscrire dans la durée, pour que l’Euro féminin laisse un héritage. Un événement de ce type ne doit pas s’inscrire uniquement à un moment T et à un endroit X ou Y, il faut capitaliser sur l’énergie qu’il suscite pour promouvoir le sport. Il faut prolonger cette ferveur, cet élan, cette flamme."
Avez-vous des exemples ?
"Des cours J+S spécialement destinés aux entraîneuses de foot ont débuté au mois de mars. Nous avons également mis sur pied des formations pour les dirigeantes de clubs de sport et allons proposer une formation spécifique pour les dirigeantes de clubs de foot. Parallèlement, nous soutenons la mise en place de fan-zones par les communes intéressées. Par ailleurs, nous en avons profité pour dessiner un premier bilan de l'action Honeyball, lancée en mars 2024 par l’Association cantonale vaudoise de football et soutenue par le Canton et des sponsors à hauteur de 750'000 francs sur trois ans. Ce projet vise notamment à créer des équipes de toutes les catégories du football féminin de base, partout dans le canton de Vaud. Nous avons constaté une nette augmentation du nombre de juniors féminines sur les douze derniers mois. Le partenariat public-privé porte ses fruits."
Les Suissesses pourront-elles aller en quart de finale ?
"Oui, c’est l’objectif. Et pourquoi pas plus loin, plus haut ? Soyons optimistes ! Cependant l’équipe se trouve dans un groupe certainement compliqué. Mais tout est possible, d’autant plus si la ferveur du public pousse l'équipe à se surpasser."
Que faut-il pour que l'organisation de ce tournoi porte vraiment ses fruits pour la Suisse et pour l'ASF ?
"D’abord, ce sont les résultats qui comptent, ensuite il s’agit de tout mettre en oeuvre pour que l’événement laisse un héritage durable dans tout le pays. Il y a là une formidable occasion de promouvoir le foot féminin, et par extension le sport féminin dans son ensemble. L'ASF s’est donné les moyens financiers pour le perpétuer. En parallèle, les collectivités publiques saisissent également l'occasion pour promouvoir le sport féminin."
Il y a des défis à relever...
"Oui, ils sont nombreux. Un d'eux sera d’être en mesure de répondre aux attentes de toutes les filles qui aimeraient commencer le football. Un autre sera de bâtir des infrastructures qui répondront à cet engouement. Plus généralement, le défi consiste à ce que les femmes bénéficient du même respect que les hommes, de la même attention, de la même reconnaissance."
Quelles sont vos réflexions à ce sujet ?
"Cet Euro doit servir de catalyseur, de lancement de projets notamment au niveau des infrastructures. Aujourd'hui, et je crois que c'est un phénomène assez général, les cantons manquent justement d'infrastructures. Il s’agit là d’un défi important pour les autorités politiques. Quand vous avez des jeunes sur listes d’attente pour pouvoir pratiquer le sport qu’ils souhaitent, c’est un vrai problème. Nous avons fait des sondages auprès des clubs dans le canton de Vaud et il apparaît que le manque d’infrastructures est un des problèmes prioritaires pour les milieux associatifs. Le défi n’est pas que financier. Il relève aussi et pour beaucoup de la politique d’aménagement du territoire."
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Il faut des places dans les communes et plus spécifiquement pour les filles...
"Justement. Il y a des listes d’attente là où on enregistre précisément une augmentation du nombre de pratiquantes, et cela dans différents sports, en hockey ou en foot par exemple. Et ces listes d’attente existent par manque d’infrastructures. A nous d’agir."
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Vous, ainsi que la conseillère nationale Aline Trede, avez été élue au comité central de l’ASF il y a un an. Cet organe était auparavant exclusivement masculin. Comment avez-vous été accueillies ?
"Très bien. J’ai toujours été contre les quotas, je le serai toujours. C'est simplement un enjeu de représentation, de représentativité. Aline et moi avons des origines et des parcours différents. Je pense que c'est intéressant pour l’ASF d'avoir des personnes qui sont en lien avec les autorités, que ce soit au niveau fédéral ou cantonal. Cela permet de créer des ponts pour aborder les grands défis."
C’est même plus important que d'avoir des connaissances approfondies sur le foot ?
J'ai tout de suite dit à l’ASF que si l'idée était d’avoir une spécialiste du football, je n’étais pas la bonne personne. Ma conviction est qu’il faut de la complémentarité dans un comité, il faut une richesse de regards et de vécus. Le fait d'être en charge des sports dans mon canton est évidemment un plus parce qu'il y a un autre focus ou une autre vision dès lors qu’on est en charge de tous les sports."
Les femmes sont-elles à égalité avec les hommes dans le football suisse?
"Cela dépend de quoi on parle. Il est évident que l'historique n'est pas le même. Par contre, ce que je constate aujourd'hui, c'est l'enthousiasme et la volonté de faire bouger les lignes. Je pense qu'il y a eu aussi un changement de société vis-à-vis du football féminin. Il est fini le temps où on disait que le foot, c'est pour les garçons. Et cela se traduit sur les terrains. Il y a de plus en plus de joueuses. Cette meilleure représentativité permet d’apporter la légitimité qui, peut-être, manquait jusqu’ici."
Samedi auront lieu les réélections pour le comité central de l'ASF. On n'imagine pas que votre travail au sein de cet organe puisse se terminer après seulement un an...
"On verra bien, la décision ne dépend pas que de moi."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Choc anglais en finale de l'Europa League
Tottenham et Manchester United seront opposés mercredi à Porto (21h00) en finale de l'Europa League, avec pour chacune des équipes l'occasion de sauver une saison jusque-là catastrophique.
Largués en Championnat, ManU (16e) et Tottenham (17e) auront la possibilité, en cas de victoire, de se qualifier pour la prochaine Ligue des Champions.
Leurs coaches respectifs, Ruben Amorim et Ange Postecoglou, ont dû composer cette saison avec des stars défaillantes et des blessures en cascade, qui ont débouché sur des performances exécrables en Premier League. Mercredi soir, un seul d'entre eux verra la lumière au bout du tunnel.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Sport
Finale des play-off: Les Lions égalisent à 1-1 face à Olympic
La finale des play-off de SBL messieurs est totalement relancée.
Les Lions de Genève se sont imposés 91-88 mardi sur le parquet de Fribourg Olympic pour égaliser à 1-1 dans une série prévue au meilleur des cinq matches.
Les hommes du coach Patrick Pembele, qui n'avaient cédé que dans le "money time" de l'acte I samedi, ont créé la sensation en mettant fin à une série de 18 victoires des Fribourgeois en SBL. La dernière - et jusque-là seule - défaite subie par Olympic dans ce championnat 2024/25 remontait au 1er février à Massagno.
Fribourg semblait pourtant s'acheminer vers un succès probant lorsqu'il a pris 11 longueurs d'avance à la 24e (57-46) après avoir infligé un 21-1 aux Lions. Les hommes de Thibaut Petit ont même repris le large (79-69) à 6'20 de la fin, après avoir vu leurs adversaires recoller à 3 longueurs (63-60) à la 27e.
Gilbreath décisif
Pourtant privés dès la 23e minute de leur intérieur Juwann James (blessé), les Genevois ont renversé la table au grand dam d'un public médusé. Grâce notamment à un Jaqualyn Gilbreath décisif: le meneur américain a inscrit 10 des 12 derniers points de son équipe, terminant cette partie avec 20 points à son actif.
Olympic avait pourtant tout pour bien faire. Une interception signée Ross Williams à 33 secondes du "buzzer", alors que Genève ne menait que d'un point (89-88), aurait pu permettre aux Fribourgeois de reprendre les commandes. Mais Jonathan Kazadi, pourtant brillant mardi (23 points), a commis une perte de balle fatale dans la foulée.
Deux matches au Pommier
Les Lions, qui avaient certes déjà battu leurs grands rivaux cette saison (en 8e de finale de la Coupe de Suisse), ont donc désormais l'avantage du terrain dans cette finale. Ils auront l'occasion de confirmer ce "break" samedi lors du match 3, programmé à 18h au Grand-Saconnex. L'acte IV se déroulera également dans leur salle du Pommier, mardi prochain.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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