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Football : la Suisse est « prête pour le Mondial », selon Xhaka
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Granit Xhaka l'affirme, il ne sera pas facile d'affronter la Suisse cet été lors du Mondial russe. Le joueur d'Arsenal s'est confié à l'ATS.
Vous vous êtes imposé comme l'un des stratèges d'Arsenal. L'êtes-vous aussi en équipe de Suisse ?
"Je m'efforce de jouer dans le même registre qu'à Arsenal. Il me revient aussi d'entraîner les jeunes derrière moi. Je crois vraiment aux qualités d'un Akanji, d'un Embolo et d'un Zakaria auxquels je prédis un très grand avenir. Je suis à leurs côtés, mais je sais aussi leur parler quand il convient de leur parler. C'est ainsi que je conçois mon rôle en équipe nationale."
La Suisse occupe le sixième rang du dernier classement FIFA. Ce classement reflète-t-il vraiment son potentiel ?
"Ce classement n'est pas usurpé. Il récompense le parcours qui est le nôtre depuis quatre ans. Nous étions à la Coupe du monde 2014 et à l'Euro 2016. Nous serons en Russie. Une telle présence ne doit rien au hasard. L'équipe a réussi le bon amalgame entre les anciens et les jeunes. Les jeunes, justement, font tout pour gagner leur place. On ne se fait aucun cadeau. Les 23 joueurs qui seront en Russie possèdent tous les qualités qui leur permettent de postuler à une place de titulaire."
Il y a deux ans, l'Euro 2016 s'était conclu sur une malheureuse élimination devant la Pologne aux tirs au but. Qu'est-ce qui a changé dans l'équipe de Suisse depuis lors ?
"Regardez les transferts des internationaux suisses depuis 2016 ! Plusieurs joueurs de l'équipe de Suisse, à commencer par moi, ont rejoint des grands clubs où ils sont appelés à prendre de plus en plus de responsabilités. Nous avons tous gagné en maturité. Et cela n'a pas de prix."
Quelles sont les domaines où l'équipe a progressé ces vingt-quatre derniers mois ?
"Je veux revenir au barrage contre l'Irlande du Nord. Nous avons su le gagner sans jouer vraiment un beau football, mais avec une très grande détermination. Nous avons su nous adapter à cette situation qui était nouvelle pour nous. Et chacun a pu compter sur l'autre lors de ce barrage."
Il le faudra à nouveau lors de la Coupe du monde. A commencer par le premier match contre le Brésil...
"Le Brésil m'inspire un très grand respect, mais aucune peur. Le Brésil est le grand favori du tournoi, Contrairement aux Brésiliens, nous ne partons pas en Russie avec le poids de tout un pays qui attend nous voir gagner la Coupe du monde. Je suis pleinement conscient de la difficulté de notre tâche dans ce premier tour. Il y a le Brésil. Mais aussi la Serbie qui sera également un adversaire de valeur et le Costa Rica qui est une équipe imprévisible. Mais je peux d'ores et déjà faire une promesse à nos supporters: il ne sera pas facile de jouer contre la Suisse. Nous sommes prêts à nous battre, à souffrir, à mordre dans le ballon jusqu'à l'extrême limite de nos forces."
Comment voyez-vous la trame de ce groupe E ?
"Ce groupe me fait penser à la Coupe du monde M17 en 2009. Au Nigeria aussi, nous étions tombés sur le Brésil au premier tour. On l'avait battu avant d'éliminer... l'Allemagne en huitième de finale. Je ne serais vraiment pas contre que l'histoire se répète..."
Qu'apporte Vladimir Petkovic à la tête de cette équipe de Suisse ?
"Il lit parfaitement le jeu. Monsieur Petkovic nous a permis de passer un cap sur le plan tactique. J'aime son coaching et sa manière de communiquer. Il me fait penser à Lucien Favre. Ils sont tous les deux à la recherche des petits détails qui font toute la différence. Vladimir Petkovic a su aussi évoluer durant ces quatre ans. Il a sans doute compris que son degré d'exigence lors des premiers mois était trop élevé. Aujourd'hui, nous travaillons dans une très belle harmonie, avec le sourire et l'envie de réussir un grand coup en Russie."
La Suisse, qui est dans le groupe E, débutera le Mondial le dimanche 17 juin, face au Brésil. Elle affrontera ensuite la Serbie (22.06) et le Costa Rica (27.06).
Programme complet : fifa.com
(ATS / KEYSTONE - WALTER BIERI)
Football
Naples et l'Inter joueront leur match pour le titre vendredi
Naples et l'Inter Milan joueront leur dernier match de la saison de Serie A ce vendredi, a annoncé lundi la Ligue italienne. Un point sépare les deux équipes avant la 38e et dernière journée.
Naples, leader avec 79 points après son nul à Parme (0-0) dimanche, recevra Cagliari (14e) vendredi à 20h45. L'Inter de Yann Sommer, qui a été contrarié par la Lazio à San Siro (2-2) dimanche également, jouera au même moment sur le terrain de Côme (10e). Ces deux parties devaient initialement se dérouler dimanche.
Si le Napoli s'impose, il sera sacré champion d'Italie pour la quatrième fois de son histoire quel que soit le résultat de l'Inter, futur adversaire du PSG en finale de la Ligue des champions le 31 mai à Munich. Naples sera sacré aussi si l'Inter ne fait pas mieux que l'équipe d'Antonio Conte. Si l'Inter s'impose et que Naples s'incline, les Nerazzurri remporteront, comme en 2024, le scudetto.
Si Naples perd et que l'Inter fait match nul, les deux équipes seront à égalité de points (79), ce qui les obligera à s'affronter dans un "spareggio", un match d'appui. Cette "finale" aurait lieu dans ce cas le 26 mai, à cinq jours de la finale de la C1. Une seule fois dans l'histoire de la Serie A, il a fallu avoir recours au "spareggio" pour attribuer un titre de champion: en 1964, lorsque Bologne s'était imposé face à l'Inter.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
Equipe de Suisse dames: Lehmann doit prendre son mal en patience
Pour la troisième fois consécutive, Alisha Lehmann ne fait pas partie du cadre de l'équipe de Suisse dames.
L'attaquante n'a pas été convoquée par Pia Sundhage pour les deux matches de Ligue des Nations en France et face à la Norvège.
La Bernoise de 26 ans n'a pratiquement pas joué cette saison avec la Juventus Turin. Coumba Sow ou Naomi Luyet sont également absentes d'une liste publiée lundi par l'ASF. Liste dans laquelle figure en revanche la Valaisanne de 18 ans Iman Beney, couronnée championne de Suisse samedi contre les Grasshoppers
Riola Xhemaili (22 ans) fête également son retour à quelques semaines de l'Euro à domicile. La milieu d'Eindhoven a fait sa dernière apparition avec la Suisse lors du match amical contre l'Angleterre en décembre dernier. Nadine Riesen, qui avait manqué le dernier rassemblement en avril pour cause de Ligue des champions, fait également partie des revenantes, tout comme Sandrine Mauron.
L'équipe de Pia Sundhage se retrouvera lundi prochain à Saillon. Le match en France est prévu le 30 mai, suivi le 3 juin par celui contre la Norvège à Tourbillon. Après quatre matches, les Suissesses occupent la 4e et dernière place du groupe A2. La France est en tête du classement sans avoir perdu de point, la Norvège (2e) compte 4 points et se classe devant l'Islande (3) et la Suisse (2).
Lundi en conférence de presse, Pia Sundhage a souligné que cette liste de joueuses convoquées pour la Ligue des Nations ne devait en aucun cas être confondue avec la sélection qui disputera le Championnat d'Europe. La porte reste ouverte pour de nombreuses joueuses, a souligné la technicienne suédoise.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
International
Scheffler remporte son troisième Majeur
Le no 1 mondial Scottie Scheffler a remporté dimanche à Charlotte le PGA Championship.
L'Américain a terminé avec cinq coups d'avance sur trois compatriotes: Harris English, Davis Riley et Bryson DeChambeau, déjà deuxième l'an dernier.
Scottie Scheffler (28 ans) a rendu une carte de 71 (dans le par) au 4e et dernier tour d'un tournoi disputé sur le parcours de Quail Hollow en Caroline du Nord. Il s'agit de son troisième Majeur après les Masters 2022 et 2024.
Auteur de trois bogeys sur sa première moitié de parcours, Scheffler avait été rejoint en tête par l'Espagnol Jon Rahm et ses trois birdies aux trous 8, 10 et 11. La bataille s'annonçait prometteuse, mais elle a tourné en faveur du premier: Scheffler a signé trois birdies aux trous 10, 14 et 15, alors que Rahm a finalement coulé avec un bogey et deux doubles bogeys sur ses trois derniers trous.
"Du bon travail"
"J'ai fait du bon travail en restant patient sur les neuf premiers trous. Je n'ai pas joué à mon meilleur niveau", a expliqué Scottie Scheffler. "J'ai pris de l'avance sur les neuf derniers et j'ai fini le travail", a-t-il ajouté.
Pour son 15e trophée sur le PGA Tour, Scheffler empoche 3,42 millions de dollars sur une dotation record de 19 millions de dollars. Blessé à la main droite en décembre dernier, il avait remporté son premier titre de la saison il y a deux semaines.
Rahm, vainqueur de l'US Open 2021 et du Masters 2023, n'a pas encore remporté de titre cette saison sur le circuit concurrentiel de la LIV. "Je pense que c'est la première fois que je suis aussi près de remporter un tournoi majeur et que je ne le fais pas", a déclaré l'Espagnol, ajoutant que "la blessure est encore vive", mais qu'"il s'est passé beaucoup de choses positives cette semaine et il y a beaucoup de sentiments positifs à prendre pour le reste de l'année".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Football
L'Inter manque le coche et reste à 1 point de Naples
L'Inter Milan n'a pas su saisir sa chance dimanche lors de la 37e et avant-dernière journée de Serie A.
Les hommes de Simone Inzaghi ont dû se contenter d'un nul à domicile face à la Lazio (2-2) et restent donc à une longueur de Naples, qui a également obtenu un seul point mais en déplacement (0-0 à Parme).
Invaincu depuis désormais 11 matches en championnat (6 victoires, 5 nuls), Naples est donc maître de son destin avant l'ultime journée programmée dimanche prochain dès 15h. L'équipe entraînée par Antonio Conte accueillera Cagliari, alors que l'Inter se rendra à Côme six jours avant d'affronter le PSG en finale de la Ligue des champions.
L'Inter était pourtant virtuellement leader à moins de 10 minutes de la fin dimanche soir, un coup de tête de Denzel Dumfries lui ayant permis de reprendre l'avantage (80e, 2-1). Mais Yann Sommer a dû capituler une deuxième fois à la 90e, sur un penalty validé par la VAR et transformé par Pedro Rodriguez.
Les esprits se sont par ailleurs échauffés avant ce penalty, que Sommer ne fut d'ailleurs pas loin de détourner. Les deux entraîneurs ont ainsi été expulsés en raison de leurs écarts de langage alors que la décision de l'arbitre, forcément cruciale à ce moment-là de la saison, se faisait attendre.
L'issue de cette soirée aurait toutefois pu être plus terrible encore pour les Nerazzurri. Naples - qui était privé de Noah Okafor (blessé) dimanche - a en effet cru bénéficier d'un penalty à la... 97e minute. Mais l'arbitre est finalement revenu sur sa décision après avoir consulté la VAR...
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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