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International

Harry et Meghan présentent leur fils Archie

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Harry et Meghan ont échangé quelques mots avec les journalistes, mais n'ont pas annoncé le prénom de leur enfant né lundi. (©KEYSTONE/AP PA Pool/DOMINIC LIPINSKI)

Le public a découvert mercredi le visage et le nom du petit garçon du prince Harry et de son épouse Meghan, né lundi et septième dans l'ordre de succession au trône britannique. Il s'appelle Archie.

"Le duc et la duchesse de Sussex sont ravis d'annoncer qu'ils ont appelé leur fils Archie Harrison", a annoncé le palais dans un bref communiqué en fin d'après-midi. Le nom complet de l'enfant, né lundi et présenté mercredi au public, est "Archie Harrison Mountbatten-Windsor", indique le palais royal.

Emmitouflé dans un lange blanc, tête recouverte d'un bonnet de la même couleur, le poupin endormi dans les bras de son père a été présenté plus tôt aux caméras dans le hall St George du château de Windsor (ouest de Londres). "C'est magique", a déclaré Meghan dans sa première apparition depuis l'accouchement.

"J'ai les deux meilleurs garçons, alors je suis très heureuse", a-t-elle poursuivi, dans un grand sourire. L'enfant "très calme, a un tempérament des plus doux", a-t-elle précisé. "Je me demande d'où il tient ça !", a plaisanté le prince Harry, jadis connu pour être le trublion de la famille royale.

Jours "très importants"

"Etre parent, c'est génial", a-t-il assuré, et même si cela ne fait que "deux jours et demi, trois jours". "Ce sont des jours très importants", a renchéri Meghan, évoquant "un rêve".

Nombreux étaient les Britanniques à spéculer sur l'apparence de l'enfant. Aurait-il les cheveux roux de Harry ou noir de Meghan ? "Tout le monde dit que les bébés changent beaucoup au cours des deux premières semaines", a pointé le prince Harry.

"Nous allons suivre l'évolution du processus, au cours du mois prochain... Il y a beaucoup de changements chaque jour, alors qui sait ?" "Il a déjà un peu de poil au visage", a-t-il ajouté, taquin.

Présentation à la reine

Cette présentation était d'autant plus attendue que les Britanniques "verront très peu cet enfant", selon Penny Junor, auteure d'une biographie de Harry. Le prince, dont la mère Diana est décédée dans un accident de voiture en 1997 alors qu'elle était suivie par des paparazzis, "voudra protéger l'enfant", a-t-elle dit à l'AFP.

Avant de nuancer: "il se pourrait que Meghan apprécie de le montrer". En effet, l'ancienne actrice américaine "aime beaucoup être sous les feux des projecteurs". L'enfant devait aussi être présenté à ses arrière-grands-parents, la reine Elizabeth II et le duc d'Edimbourg, dans la journée. "Ce sera un bon moment", a prédit Meghan.

Une naissance royale suscite toujours beaucoup d'engouement au Royaume-Uni, mais celle-ci avait particulièrement attisé la curiosité, les parents voulant se tenir à l'abri des regards pendant la grossesse et au moment de la naissance, dont le lieu n'avait pas été communiqué.

Plus vite que Wiliam et Charles

La nouvelle avait toutefois été annoncée devant les caméras, et avec entrain, par le prince Harry lui-même lundi après-midi. Le nouveau père de 34 ans avait alors confié être "aux anges" et déjà conquis par son premier enfant "absolument irrésistible", un garçon de 3,260 kilos.

Le prénom de l'enfant n'a été révélé que plus tard dans la journée, le prince Harry avait indiqué encore y réfléchir avec son épouse, malgré le retard de la venue de son enfant qui était annoncée fin avril ou tout début mai.

Les Britanniques ont l'habitude: ils avaient dû patienter une semaine avant de connaître celui de William et un mois pour celui de Charles. Alors en attendant de découvrir le choix des nouveaux parents, ils jouent aux devinettes. Alexander, James et Arthur figurent parmi les prénoms favoris des parieurs.

(KEYSTONE-ATS)

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International

Super-G de Beaver Creek: Suisses en retrait, Kriechmayr gagne

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Marco Odermatt a manqué son Super-G (© KEYSTONE/AP/John Locher)

Les Suisses n'ont pas brillé lors du Super-G de Beaver Creek. Marco Odermatt a terminé 5e d'une course écrasée par l'Autrichien Vincent Kriechmayr.

Pas de 49e victoire en Coupe du monde pour Marco Odermatt. Trois fois vainqueur sur la Birds of Prey dans la discipline (2019, 2021 et 2024), on imaginait volontiers le patron du ski mondial aller chercher un nouveau podium. Mais après avoir totalement raté son haut de parcours, le skieur d'Hergiswil a dû vite déchanter. C'était même à se demander si le chronomètre n'était pas défaillant!

Même sentiment à l'occasion du passage de Vincent Kriechmayr qui a réalisé un premier secteur de rêve et qui a pu "siffloter" sur la suite du tracé. L'Autrichien a enlevé son 19e succès en Coupe du monde, le 10e dans la discipline. Le Norvégien Fredrik Moeller, 2e à 0''56, fut le seul à régater. Et encore. Un autre Autrichien, Raphael Haaser, complète le podium à 1''03.

Stefan Rogentin a proposé à peu près la même performance que la veille en descente pour une correcte 8e place. Alexis Monney a été moins inspiré avec son 17e rang. Juste devant le Fribourgeois, on retrouve Justin Murisier qui a dû attendre de très longues minutes avant de s'élancer.

Parti dans des conditions difficiles, Franjo von Allmen n'a pas rallié l'arrivée. Le champion du monde de descente a chuté de manière assez violente dans les filets. Heureusement, son airbag s'est ouvert et il a pu se relever. La course a ensuite été interrompue de longues minutes.

Loïc Meillard a lui aussi abandonné. Le skieur d'Hérémence fut le dernier athlète à prendre le départ. Après avoir suffisamment attendu, les organisateurs ont décidé d'arrêter la course. Mais le classement compte puisque 30 coureurs au moins ont pu prendre le départ.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Frank Gehry, l'une des rares superstars de l'architecture

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Frank Gehry était l'architecte de bâtiments emblématiques tel que le musée Guggenheim de Bilbao en Espagne ou le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles. (archives) (© KEYSTONE/AP/Richard Vogel)

L'architecte américano-canadien Frank Gehry, l'un des rares de sa profession à s'être hissé au rang de superstar à travers la planète, est mort vendredi à l'âge de 96 ans, a fait savoir à l'AFP l'équipe de ce maître du déconstructivisme.

A l'origine de bâtiments emblématiques tels que le musée Guggenheim de Bilbao en Espagne ou la Fondation Louis Vuitton à Paris, Frank Gehry est décédé "ce matin dans sa maison de Santa Monica à l'issue d'une courte maladie respiratoire", a écrit son équipe dans un courriel à l'AFP.

Il est l'un des rares de sa profession à s'être hissé au rang de superstar, grâce à des bâtiments tels que le musée Guggenheim de Bilbao ou le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles.

Les oeuvres phares de Gehry témoignent de son audace et de son génie artistique, qui ont marqué, voire révolutionné, l'histoire de l'architecture.

Avec ses projets, Frank Gehry brouille la frontière entre architecture et art. Novateur, il ébranle le monde de l'architecture contemporaine et popularise la profession.

Frank Owen Goldberg, de son vrai nom, naît à Toronto le 28 février 1929 dans une famille d'origine juive, qui déménage aux États-Unis à la fin des années 40.

Bien avant qu'il n'ait son propre personnage dans un épisode de la série "Les Simpson", il se lance à Los Angeles dans des études d'architecture à l'Université de Californie du Sud. Il obtient son diplôme en 1954 et change vers la même époque son nom en Gehry pour se protéger de l'antisémitisme. Par la suite, il s'enrôle dans l'armée américaine, tout en étudiant l'urbanisme à l'université Harvard.

Sa carrière commence notamment dans les bureaux de l'architecte Victor Gruen, l'inventeur des galeries commerciales à Los Angeles. Puis se poursuit par un séjour à Paris pour travailler chez André Remondet.

De retour en Californie, il ouvre au début des années 1960 son propre cabinet.

Les années 70 et 80 marquent pour lui le début d'une longue série de réalisations architecturales audacieuses et innovantes. Très proche de l'avant-garde californienne, il invente de nouveaux principes d'écriture architecturale et explore les techniques de modélisation par ordinateur qui vont occuper une grande place dans son travail.

L'oeuvre la plus célèbre de cette époque est sans doute sa propre maison à Santa Monica (Californie). Sa demeure incarne bien la créativité de Gehry: les matériaux y sont détournés de leur usage traditionnel pour être sublimés. Comme par exemple des clôtures grillagées en fer trônant sur le toit de la maison.

Bilbao, toujours plus haut

En 1989, il reçoit la plus haute distinction architecturale, le prix Pritzker.

Trois ans avant la fin du siècle, le révolutionnaire musée Guggenheim Bilbao est inauguré en Espagne, lui apportant une consécration mondiale.

L'oeuvre à la forme ondulée telle un poisson, signature de l'architecte, est faite de roche calcaire, de verre et de courbes en titane qui reflètent la lumière et l'avant-gardisme de Gehry.

Pour son confrère américain Philip Johnson, il s'agit du "plus important édifice de notre temps".

Ce monument insufflera un vent de renouveau dans la ville espagnole en crise, attirant les touristes du monde entier. Si bien que l'expression "effet Bilbao" désigne maintenant les oeuvres architecturales qui contribuent à la revitalisation urbaine.

S'enchaînent ensuite des projets toujours plus spectaculaires et audacieux pour Gehry: le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles (2003), le gratte-ciel 8 Spruce Street à New York (2011), la Fondation Louis Vuitton à Paris (2014)...

En 2018, il termine la construction des nouveaux quartiers généraux de Facebook dans la Silicon Valley.

Architecte numérique

Les conceptions de Frank Gehry sont d'une complexité sans précédent, rendues possibles par une utilisation massive du calcul informatique.

Longtemps, les formes arrondies, incurvées, les ellipses et les cercles ont été taxés d'hérésie en architecture, accusés de briser l'harmonie, d'augmenter les coûts de construction, de poser des problèmes sans fin aux ingénieurs.

Frank Gehry utilise la flexibilité de la simulation numérique, jusqu'à remettre en cause les repères classiques d'un édifice comme la façade ou la couverture.

Il atteint sans doute les limites de sa démarche avec la clinique Lou Ruvo (2010) de Cleveland, aux Etats-Unis, où façades et fenêtres semblent s'effondrer en de multiples circonvolutions.

Un projet qui ne manque pas d'humour - très présent dans son oeuvre - pour une clinique spécialisée dans les maladies neurovégétatives.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Un groupe favorable pour la Suisse au Mondial 2026

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Un tirage au sort qui a satisfait Murat Yakin (© KEYSTONE/EPA/SALVATORE DI NOLFI)

La Suisse n'a pas été malheureuse lors du tirage au sort du Mondial 2026 à Washington. Dans le groupe B, elle affrontera en effet le Canada, le Qatar et un barragiste, qui pourrait être l'Italie.

Murat Yakin et sa sélection peuvent avoir le sourire. Une fois encore, la Suisse (17e au classement FIFA) a évité de tomber sur des adversaires trop redoutables. Le Canada (FIFA 27) était de loin l'équipe la plus abordable dans le chapeau 1. Le pays à la feuille d'érable disputera sa troisième Coupe du monde après 1986 et 2022. Ses joueurs les plus connus sont le capitaine Alphonso Davies (Bayern Munich) et Jonathan David (Juventus).

Pas un épouvantail

Pour sa part, le Qatar (FIFA 51) ne figurait pas parmi les épouvantails du chapeau 3. En 2022 chez eux, les Qataris avaient perdu leurs trois matches. Ils sont dirigés depuis le printemps 2025 par l'Espagnol Julen Lopetegui. Avec 12 buts, Almoez Abdulla a été le meilleur buteur des qualifications asiatiques.

Le troisième opposant des Helvètes sera le vainqueur du play-off A de l'UEFA. En l'occurrence, quatre pays vont se disputer la qualification: Italie, Irlande du Nord, Pays de Galles et Bosnie-Herzégovine. Après avoir manqué les deux dernières éditions du Mondial, la Squadra azzurra voudrait éviter un nouvel échec. L'Italie est quand même un quadruple vainqueur de la Coupe du monde (1934, 1938, 1982, 2006)...

Premier match de la Suisse le 13 juin

Les Suisses entameront leur parcours dans les trois premiers jours de la compétition, a priori le 13 juin à San Francisco. Ils joueront au Canada (Vancouver) et sur la côte ouest des Etats-Unis (San Francisco et Los Angeles). Le calendrier sera publié samedi à 18h00 par la FIFA.

Concernant les autres groupes, la France (groupe I) a hérité de la Norvège d'Erling Haaland, épouvantail du chapeau 3. Les Bleus retrouveront aussi le Sénégal, qui les avait surpris lors de la Coupe du monde 2002. Leur quatrième adversaire sera l'Irak, la Bolivie ou le Suriname.

L'Angleterre devra aussi se méfier dans le groupe L. Les Three Lions seront aux prises avec la toujours redoutable Croatie et avec le Ghana. Le Panama ne devrait par contre pas leur procurer des insomnies.

Entrée en matière aisée pour l'Argentine

L'Argentine de Lionel Messi, tenante du titre, affrontera l'Autriche, l'Algérie et la Jordanie dans le groupe J. Une entrée en matière a priori pas trop délicate pour l'Albiceleste.

Le match d'ouverture, prévu le 11 juin, mettra aux prises le Mexique et l'Afrique du Sud à Mexico. Ce sera un remake de la première rencontre de l'édition 2010 en Afrique du Sud. Il y avait alors eu 1-1.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Économie

Accord entre Meta et plusieurs médias pour intégrer l'IA

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Meta a conclu un accord avec plusieurs médias, dont Le Monde, sur la reprise en temps réel des contenus publiés. (© KEYSTONE/EPA/JOHN G. MABANGLO)

L'assistant d'intelligence artificielle (IA) de Meta, Meta AI, va intégrer, en temps réel, des contenus publiés par plusieurs médias d'information, notamment CNN, Fox News et Le Monde, en vertu d'un accord annoncé vendredi.

Ce dernier, qui intervient sur fond d'inquiétudes quant à l'avenir de la presse à l'ère de l'IA générative, prévoit que, dans ses réponses à des questions d'actualité, Meta AI proposera des liens vers des articles sur les sites des médias partenaires.

Depuis le lancement de ChatGPT, en novembre 2022, plusieurs éditeurs de presse se sont entendus avec de grands acteurs de l'IA générative pour les laisser, contre rémunération, utiliser leur production, que ce soit pour développer leurs modèles d'intelligence artificielle ou enrichir les réponses des chatbots.

News Corp (Wall Street Journal et Daily Telegraph entre autres), Le Monde, le Washington Post ou Axel Springer (Politico, Bild et Die Welt) l'ont fait avec OpenAI, le New York Times avec Amazon, Google avec Associated Press, tandis que Mistral s'est lié avec l'Agence France-Presse.

Fin août, la start-up Perplexity a, elle, dévoilé une formule d'abonnement baptisée "Comet Plus", du nom de son navigateur internet infusé à l'IA, Comet, qui donne accès, pour cinq dollars par mois, aux contenus des médias associés.

Parmi ces derniers figurent le Washington Post, Vogue, Le Monde et Le Figaro.

Perplexity s'est engagé à redistribuer 80% des revenus générés par Comet Plus aux éditeurs de presse, le groupe américain conservant le reste.

Procédures en cours

Malgré ces collaborations, plusieurs procédures judiciaires intentées par des médias contre des opérateurs d'assistants IA sont encore en cours, notamment celle du New York Times contre OpenAI, que le quotidien accuse d'avoir utilisé ses articles sans autorisation et sans contrepartie.

Le Wall Street Journal et le New York Post ont également lancé des poursuites contre Perplexity en 2024.

"Depuis des années, nous constatons (...) la difficulté d'anticiper l'évolution de ces plateformes numériques, l'explosion de leur usage et l'utilisation trop souvent erratique et non contractuelle" des contenus, ont écrit, dans une tribune publiée vendredi, le président du directoire du Monde, Louis Dreyfus, et le directeur du journal, Jérôme Fenoglio.

"Face à cette situation, nous avons considéré qu'il serait naïf de rester passifs et d'attendre une hypothétique évolution législative", ont-ils ajouté pour justifier le partenariat avec Meta.

Le groupe de Menlo Park (Californie) s'est aussi lié avec le groupe People, le quotidien national américain USA Today ainsi qu'avec des publications identifiées à droite, comme The Daily Caller et le Washington Examiner.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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