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Kate donne naissance à un garçon

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C'est un garçon: Kate Middleton, la duchesse de Cambridge, a donné naissance lundi à un bébé de quelque 3,8 kilogrammes, son troisième enfant avec le prince William et cinquième dans l'ordre de succession au trône britannique.

"Son Altesse Royale la Duchesse de Cambridge a accouché sans problème d'un garçon à 11h01" (12h01 en Suisse), a annoncé le palais de Kensington dans un communiqué, précisant que l'enfant et sa mère se portaient bien.

Le prénom du bébé, né à la maternité de l'hôpital St Mary's, sera annoncé "en temps voulu", a ajouté le palais. Arthur, Albert, James et Philip ont les faveurs des parieurs.

Le nouveau-né est le sixième arrière-petit-enfant de la reine Elizabeth II, qui a fêté ses 92 ans samedi, et du prince Philip, âgé de 96 ans. Il dispose du titre d'Altesse Royale, et comme son grand frère, de celui de prince de Cambridge. Il est cinquième dans l'ordre de succession au trône britannique, après son grand-père Charles, le prince de Galles, son père William, son grand frère le prince George et sa grande soeur, la princesse Charlotte.

Des dizaines d'admirateurs

La naissance, annoncée sur les marches de l'hôpital par un crieur royal en habits moyenâgeux, muni d'une cloche et d'un chapeau à plumes, a suscité une explosion de joie parmi les quelques dizaines d'admirateurs présents devant l'établissement, dans le quartier de Paddington.

Quelques admirateurs inconditionnels y campaient même depuis plusieurs jours pour ne pas manquer ce moment. A l'annonce de l'arrivée du bébé, ils ont ouvert le champagne.

"C'est un garçon le jour de la Saint-George!", la fête nationale anglaise, s'est réjoui l'un d'eux, John Loughrey. "Je suis tellement excité. Nous avons attendu dehors durant quinze jours, mais cela en valait la peine." Un autre, Terry Hutt, 83 ans, agitait dans les airs une poupée, vêtue d'un costume aux couleurs du drapeau britannique.

Selon le palais, le prince William a accompagné son épouse pour le trajet en voiture jusqu'à la maternité où elle est arrivée "tôt" dans la matinée. Le St Mary's hospital est situé à moins de deux kilomètres du palais de Kensington, résidence officielle du duc et de la duchesse de Cambridge.

C'est dans cet établissement que les deux premiers enfants du couple, George, quatre ans, et Charlotte, deux ans, sont nés. Comme pour eux, le duc et la duchesse de Cambridge n'avaient pas souhaité connaître le sexe du bébé à naître.

Coups de canon

Conformément à la tradition, la naissance sera aussi annoncée par une proclamation signée des médecins royaux installée sur un chevalet doré, placé pour le public dans la cour du palais de Buckingham. Modernité oblige, le palais a déjà publié l'information sur Twitter.

A la Tour de Londres, 62 coups de canon seront tirés (21 pour saluer la naissance, plus 20 étant donné le statut royal de la Tour de Londres, plus 21 parce qu'elle est située dans le quartier de la City). Des coups de canon seront également tirés à Hyde Park ou à Green Park. Et l'Union Jack, le drapeau britannique, sera hissé sur tous les bâtiments officiels.

Pour la première fois dans l'histoire de la monarchie britannique, le nouveau prince ne supplante pas sa grande soeur dans l'ordre de succession, suite à une réforme voulue par la reine et qui concerne toutes les naissances postérieures au 28 octobre 2011. Cette réforme met fin au droit de primogéniture masculine: c'est désormais l'enfant le plus âgé du souverain en titre qui hérite du trône, quel que soit son sexe, et non le garçon le plus âgé.

ATS
PHOTO KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN

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International

Deux explosions font plus de 50 blessés dans un lycée de Jakarta

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Des membres de l'équipe de déminage de la police indonésienne inspectent la mosquée où des explosions ont eu lieu dans l'enceinte d'un lycée à Jakarta. (© KEYSTONE/AP/Dita Alangkara)

Deux explosions vendredi dans un lycée de Jakarta ont fait au moins cinquante blessés, ont annoncé la police et des responsables du gouvernement indonésien, sans fournir d'éléments sur l'origine de ce drame.

Les déflagrations se sont produites vers 12h15 heure locale (06h15 en Suisse), respectivement près la porte et à l'arrière d'une mosquée située à l'intérieur de cet établissement scolaire du nord de la capitale indonésienne, a précisé Lodewijk Friedrich Paulus, le ministre chargé de coordonner les politiques suivies et la sécurité.

Celui-ci a dans le même temps exhorté ses compatriotes à ne pas tirer de conclusions hâtives sur l'origine de ces explosions, une enquête étant en cours. "Ne concluez pas trop vite qu'il s'agit d'un acte terroriste", a-t-il insisté, cité par l'agence de presse étatique Antara.

Le chef de la police nationale, Listyo Sigit Prabowo, a par la suite révélé qu'il y avait un "suspect", un élève blessé qui subissait une intervention chirurgicale.

Avant la prière

"Concernant le mobile, nous enquêtons actuellement sur diverses pistes", a-t-il poursuivi au cours d'une conférence de presse.

"La situation a immédiatement dégénéré en chaos à l'école, tout le monde s'est précipité dehors, sur le terrain de sport", a de son côté raconté à l'AFP Muhammad Rizky Muzaffar, l'un des lycéens.

"De nombreux élèves ont été blessés et beaucoup ont été directement emmenés à l'hôpital", a ajouté cet adolescent de seize ans, assurant qu'une explosion s'était produite au moment où les fidèles s'apprêtaient à participer à la prière du vendredi dans la mosquée du lycée.

Environ 54 personnes ont été blessées, dont 33 "reçoivent toujours des soins médicaux", a annoncé Budi Hermanto, le porte-parole de la police de Jakarta.

Confusion

Un journaliste de l'AFP a constaté la présence d'enquêteurs sur les lieux, avec des sacs en plastique contenant divers objets sur des tapis de prière.

Interrogé par l'AFP, Kinza Ghaisan Rayyan, un élève de 17 ans, a témoigné du fait que la confusion régnait quant aux circonstances dans lesquelles l'une des explosions s'est produite.

"On a d'abord cru que ça venait d'un appareil électronique, peut-être de la sono ou de quelque chose de cassé, mais, en fait, l'explosion s'est produite sous le tapis de prière", a-t-il déclaré dans un hôpital de la capitale.

Le chef de la police de Jakarta, Asep Edi Suheri, a fait savoir que les enquêteurs avaient mobilisé une équipe de déminage pour déterminer la cause des déflagrations.

Il a affirmé que les autorités avaient mis en place des permanences dans deux hôpitaux pour aider les familles à retrouver les blessés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Transition énergétique au 2e jour du sommet précédant la COP30

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Le président brésilien Lula, dont le pays accueille à Bélem le sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30, salue ici Netumbo Nandi-Ndaitwah, la présidente de la Namibie, au côté du secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. (© KEYSTONE/AP/Fernando Llano)

Le président brésilien Lula a estimé vendredi que "le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles" était intenable, au deuxième jour du sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem.

Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas comme tel à l'agenda de la conférence climat qui s'ouvrira lundi dans cette ville d'Amazonie brésilienne.

Mais certains pays comme le Brésil - pourtant huitième producteur mondial de pétrole - tiennent à remettre le sujet au coeur des débats.

"La Terre ne peut plus supporter le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles qui a prévalu au cours des 200 dernières années", a lancé Luiz Inacio Lula da Silva en ouvrant une session consacrée à la transition énergétique, au deuxième et dernier jour du sommet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'ONU alerte sur la menace de violences massives au Kordofan

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Le Haut commissaire aux droits de l'homme de l'ONU Volker Türk redoute de nouveaux massacres au Soudan (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'ONU lance "un fort avertissement" sur la menace de violences massives au Kordofan, après les massacres à El-Facher au Darfour. Vendredi à Genève, le Haut commissaire aux droits de l'homme s'est dit inquiet face aux "préparations pour des hostilités intensifiées".

"Depuis la prise d'El-Facher, les victimes civiles, la destruction et les déplacements de masse augmentent" au Kordofan, région voisine du Darfour, affirme Volker Türk. "Il n'y a pas de signe de désescalade", a-t-il déploré.

Il demande à nouveau aux Etats influents auprès des parties au conflit d'oeuvrer. Dans le cas contraire, "il y aura davantage de carnage et d'atrocités", insiste l'Autrichien. Il a rappelé que le Conseil de sécurité de l'ONU a exigé la fin des acheminements d'armements vers le Soudan.

Khartoum accuse les Emirats arabes unis de livrer ce matériel aux paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), responsables de crimes contre l'humanité selon la Mission internationale d'établissement des faits. M. Türk redoute aussi que les exécutions sommaires, les viols et les violences ethniques se poursuivent à El-Facher, alors que de nombreux civils restent bloqués dans la ville.

Depuis le début de la guerre, des dizaines de milliers de personnes ont été tuées. Le conflit a fait près de 13 millions de déplacés, dont quatre millions de réfugiés. Selon les estimations, plus de 21 millions de personnes font face à une importante insécurité alimentaire. Plus de 206'000 sont confrontées à une situation de famine. Des dizaines de millions d'individus doivent être aidés.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les Etats-Unis tancés à l'ONU à Genève pour refus de collaborer

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L'ambassadeur suisse à l'ONU Jürg Lauber qui préside le Conseil des droits de l'homme n'a pu que constater l'absence américaine à leur évaluation par les autres Etats à Genève. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le refus de l'administration de Donald Trump de soumettre les Etats-Unis à l'examen de leur situation des droits humains par les autres Etats ne passe pas. Vendredi à Genève, le Conseil des droits de l'homme de l'ONU a approuvé une décision de non collaboration.

Comme tous les quatre ans, les Etats-Unis auraient dû être décortiqués par les autres pays. Mais ils avaient annoncé dès cet été qu'ils ne participeraient pas à cet Examen périodique universel (EPU), une première depuis Israël en 2013. Washington boycotte les travaux d'un organe qu'il accuse d'être politiquement biaisé.

Après avoir constaté cette absence, le président du Conseil, l'ambassadeur suisse à l'ONU à Genève Jürg Lauber, a refermé la séance. Une réunion a ensuite approuvé la décision qui repousse d'un an l'EPU des Etats-Unis.

L'ONU ou des experts indépendants onusiens, qui ne s'expriment pas au nom de l'organisation, ont ciblé à plusieurs reprises la politique de droits humains du président. Tout comme les ONG qui auraient souhaité relayer leurs critiques vendredi au Conseil.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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