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Sport

Tennis : Federer battu en quarts de finale à Shanghai

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Alexander Zverev a conquis un succès de prestige contre Federer (©KEYSTONE/AP/ANDY WONG)

Roger Federer (ATP 3) n'est pas parvenu à se hisser dans le dernier carré du Masters 1000 de Shanghai. L'Allemand Alexander Zverev (ATP 6) a battu le Bâlois en trois manches, 6-3 6-7 (7/9) 6-3.

Federer n'a pas évolué à son meilleur niveau, accumulant trop d'erreurs directes. Mais il a eu le mérite de s'accrocher, sauvant ainsi un total de cinq balles de match au 2e set. Mené 6-5 40-0, le Suisse alignait cinq points consécutifs pour arracher le tie-break, qu'il remportait 9/7 après avoir écarté deux nouvelles balles de match.

Dans la manche décisive, le Bâlois a perdu son service d'emblée pour se retrouver mené 2-0. Zverev a ensuite eu deux autres occasions de double break, mais Federer s'en est sorti. Par contre, il n'a jamais réussi à se mettre en position de prendre le service adverse dans ce dernier set, l'Allemand se montrant très solide sur son engagement.

Zverev, qui mène désormais 4-3 dans les duels contre Federer, a amorcé pas moins de 17 aces durant le match, contre 3 pour l'ancien no 1 mondial. Son efficacité en premier service a aussi été meilleure, avec 78% contre 64% à Federer.

Le Suisse a vraiment évolué sur courant alternatif, ne semblant pas très en jambes. Il a aussi manifesté une certaine nervosité, récoltant même un point de pénalité pour avoir balancé une balle dans le public alors qu'il avait été averti. Des échanges peu amènes avec l'arbitre ont suivi durant le changement de côté...

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Football

Avec finalement Alisha Lehmann

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Alisha Lehmann bien présente dans la liste des 23 de Pia Sundhage. (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le cadre de l'équipe de Suisse pour l'Euro 2025 est désormais connu. La présence dans cette liste d'Alisha Lehmann, si elle peut interpeller sur le plan sportif, était finalement attendue.

Riola Xhemaili et Meriame Terchoun ont été les deux dernières élues de la chasse au trésor qui avait débuté vendredi. Les sélections de l'Argovienne et de la Bâloise répondent à une parfaite logique. Riola Xhemaili sort d'une saison aboutie au PSV Eindhoven alors que Meriame Terchoun s'avance depuis des mois comme l'une des joueuses essentielles de Pia Sundhage.

Par rapport aux choix opérés pour les deux dernières rencontres de la Ligue des Nations contre le France et la Norvège, Ramona Bachmann, Lara Marti, qui sont toutes les deux blessées, Alena Bienz, Naina Inauen et Seraina Piubel manquent à l'appel. Coumba Sow, Noemi Ivelj, Luana Bühler, Alisha Lehmann et Leila Wandeler les remplacent.

Malgré son temps de jeu limité à la Juventus, Alisha Lehmann a finalement passé le cut comme elle l'avait toujours pressenti. Véritable icône du football féminin en Suisse, la Bâloise de 26 ans ne pouvait pas ne pas être présente à ce grand rendez-vous.

Agée de 19 ans, Leila Wandeler, qui joue à Lyon, sera, quant à elle, l'une des deux joueuses avec la troisième gardienne Nadine Böhi à ne compter aucune sélection. Elle pourra honorer sa première ce jeudi à Winterthour lors du match amical contre la République tchèque. Pia Sundhage tient là une occasion idéale pour la lancer dans le grand bain.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

City se balade contre Al Ain et se qualifie

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Akanji et City ont écrasé Al Ain dimanche à Atlanta (© KEYSTONE/AP/Mike Stewart)

Manchester City s'est offert une belle balade contre Al Ain, écrasé 6-0 grâce notamment à un doublé d'Ilkay Gundogan et au premier but de Rayan Cherki, lundi à Atlanta.

L'équipe du défenseur international suisse Manuel Akanji s'est ainsi ouvert les chemins des 8e de finale du Mondial des clubs.

Les jeux sont faits dans le groupe G puisque le succès des Citizens face à la formation émiratie propulse également la Juventus Turin au prochain tour. Mancuniens et Turinois, à égalité avec six points, en découdront jeudi à Orlando lors de la dernière journée de la poule pour le gain de la 1re place.

Ce duel permettra de mieux situer l'état de City après une saison nationale et européenne blanche, une première depuis l'exercice 2016/17, car Al Ain a été trop faible pour opposer une résistance digne de ce nom.

Comme pour ses débuts dans le tournoi contre le Wydad Casablanca (2-0), Pep Guardiola avait décidé d'effectuer une large revue d'effectif, titularisant cette fois plusieurs cadres (Haaland, Bernardo Silva, Gundogan, Gvardiol, Akanji) et lançant l'une des recrues phares de l'été, l'arrière gauche algérien Rayan Aït-Nouri.

Aucune chance

Cette armada n'a logiquement laissé aucune chance à Al-Ain, déjà étrillé par la Juve (5-0). Gundogan a rapidement commencé le festival des Citizens (6e) avant d'être imité par le jeune Argentin Claudio Echeverri (19 ans) sur un magnifique coup franc (27e).

Haaland a ensuite ouvert son compteur dans cette Coupe du monde sur penalty juste avant la pause avant une deuxième réalisation pleine de sang-froid de Gundogan, qui pourrait quitter le club à l'issue de la compétition (72e), un tir imparable signé Oscar Bobb (84e) puis un dernier but de l'ex-Lyonnais Rayan Cherki, son premier sous les couleurs des Skyblues (89e).

Guardiola aura aussi apprécié la belle prestation d'Aït-Nouri, arrivé en provenance de Wolverhampton moyennant 50 millions d'euros et aligné pour la première fois. Le joueur de 24 ans, aux grandes qualités offensives, a souvent amené le danger sur son côté gauche et a été un véritable poison pour les défenseurs émiratis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Un premier sacre pour le Thunder d'Oklahoma City

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Shai Gilgeous-Alexander est le MVP d'une finale gagnée par OKC (© KEYSTONE/AP/Julio Cortez)

Le Thunder d'Oklahoma City, porté par son MVP canadien Shai Gilgeous-Alexander (29 points, 12 assists), a décroché dimanche à domicile son premier sacre NBA face aux Indiana Pacers.

Ce titre récompense une franchise qui a misé sur la jeunesse de ses joueurs et de son entraîneur.

Oklahoma City s'est imposé 103-91 lors d'un 7e match électrique pour remporter la série 4-3 et valider son couronnement. Mais OKC a longtemps tremblé face aux Pacers, pourtant privés de leur talisman Tyrese Haliburton, sorti blessé après sept minutes de jeu.

Le Thunder, héritier des Seattle SuperSonics champions en 1979, décroche ainsi son premier titre depuis son installation en Oklahoma en 2008. "OKC" avait atteint une première fois la finale en 2012 dans le sillage de Kevin Durant, et avec le Vaudois Thabo Sefolosha dans ses rangs, mais avait été dominé par Miami et LeBron James.

Treize ans plus tard, la franchise, qui repose sur un marché commercial modeste de cet Etat rural du Sud, a tout changé, sauf le manager général Sam Presti. Ce dernier a patiemment bâti un rouleau-compresseur défensif, grâce à de jeunes joueurs et un entraîneur à peine plus âgé, Mark Daigneault (40 ans).

Apprentissage

Meilleur bilan de la Conférence Ouest l'an passé déjà, le Thunder a achevé son apprentissage en tombant en demi-finale de Conférence contre Dallas et Luka Doncic, avant de devenir la meilleure équipe de la ligue cette saison.

Lors des play-off, l'équipe a été bousculée au deuxième tour par le champion 2023 Denver et Nikola Jokic, battus 4-3, après un échauffement contre Memphis (4-0) et avant un succès autoritaire contre Minnesota (4-1) pour voir la finale, où les étonnants Pacers ont fait trembler le Thunder jusqu'au bout.

Shai Gilgeous-Alexander n'aura pas fait injure à son statut de meilleur joueur de la ligue, avec des finales de patron aux statistiques épaisses (30,3 points de moyenne), dont il a aussi été désigné MVP.

Indiana cède en deuxième période

Dimanche, la finale a connu un premier temps fort, malheureux, lorsque Tyrese Haliburton s'est écroulé sur le parquet après 7 minutes de jeu, avant de sortir définitivement, en larmes, touché dans le bas de la jambe droite.

Bien que privés de leur talisman, les Pacers sont restés dans la partie, virant même en tête (48-47) à la pause. Le Thunder a fini par faire la différence lors du troisième quart (81-68). L'absence d'Haliburton s'est fait sentir en début de quatrième quart, les Pacers se retrouvant incapables de marquer pendant 4'30.

Alors que la NBA célèbre un septième champion différent en sept ans, le Thunder possède les moyens de rester en haut de l'affiche, avec une masse salariale maîtrisée et un effectif de 25 ans de moyenne d'âge. L'orage peut continuer de gronder sur la NBA.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Kirsty Coventry plonge le CIO dans une ère nouvelle

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Kirsty Coventry va remplacer Thomas Bach lundi à la tête du CIO (© KEYSTONE/AP/Thanassis Stavrakis)

Elue en mars face à six adversaires, Kirsty Coventry va devenir lundi la première femme et première Africaine à la tête du Comité international olympique.

La Zimbabwéenne succède, à seulement 41 ans, à l'Allemand Thomas Bach.

La septuple médaillée olympique de natation, plus jeune présidente de l'instance olympique depuis son fondateur Pierre de Coubertin, entame un mandat de huit ans, avant une éventuelle reconduction pour quatre ans.

Son avènement au sommet du sport mondial, reflet du poids politique croissant des anciens athlètes, "rajeunit énormément le CIO et renforce sa légitimité", relève auprès de l'AFP Jean-Loup Chappelet, spécialiste de l'olympisme à l'Université de Lausanne.

Le symbole est puissant pour une organisation longtemps décrite comme un repaire d'aristocrates, dirigée pendant 131 ans par des hommes occidentaux - huit Européens et un Américain -, mais nettement internationalisée et féminisée sous la houlette de Thomas Bach.

Au-delà de cet enjeu d'image, les membres du CIO ont choisi Kirsty Coventry "pour ses qualités professionnelles et ses qualités humaines, au moins aussi importantes", louait ainsi début juin le Bavarois de 71 ans.

Si le grand public doit encore la découvrir, la Zimbabwéenne, entrée en 2013 à la commission des athlètes, est déjà bien connue du mouvement olympique, membre de la puissante Commission exécutive et présidente de la commission de coordination des JO-2032 de Brisbane.

Le genre, chantier prioritaire ?

La transition programmée à la mi-journée s'annonce chaleureuse, tant Thomas Bach passe pour avoir poussé en coulisses l'ex-championne, l'associe depuis mars à toutes ses réunions, et a promis ensuite de ne pas jouer au "vieux bonhomme" s'éternisant dans les parages.

Après 12 ans de règne, l'ancien champion olympique de fleuret laisse une maison prospère, qui dispose d'hôtes pour ses Jeux olympiques jusqu'en 2034 et a sécurisé jusqu'en 2036 son accord de diffusion avec la chaîne américaine NBC Universal, crucial pour ses finances.

Kirsty Coventry devra néanmoins imposer rapidement sa propre marque, elle qui a mené une campagne discrète - pendant laquelle elle a limité ses déplacements et accouché de sa deuxième fille -, sans avancer de propositions concrètes.

L'ex-reine du 200 m dos consultera dès mardi la centaine de membres du CIO pour définir "une nouvelle feuille de route", puis présidera mercredi et jeudi la commission exécutive, avant de s'exprimer face à la presse.

Sa position sera particulièrement scrutée sur la réémergence des tests chromosomiques de genre pour accéder aux compétitions féminines, sous l'impulsion de World Athletics en mars puis de la jeune instance World Boxing fin mai.

Amadouer Trump

Pressée de questions sur ce sujet en mars, Coventry avait promis de "protéger les athlètes féminines", mais sans s'avancer sur l'admission ou l'exclusion des athlètes transgenres ou intersexes: elle voulait un "groupe de travail" pour aboutir à une "décision commune", et se voit déjà prise de vitesse par plusieurs disciplines.

A moins d'un an des JO 2026 de Milan/Cortina, il faudra aussi que la nouvelle présidente décide du sort des athlètes russes et bélarusses: à moins d'une paix durable en Ukraine, une participation limitée aux épreuves individuelles, sous drapeau neutre et strictes conditions, comme aux JO 2024 de Paris, semble la piste la plus probable.

Diplomatiquement, Kirsty Coventry devra également nouer une relation avec le président américain Donald Trump, hôte des JO 2028 de Los Angeles. "Depuis l'âge de 20 ans, j'ai été confrontée, disons, à des hommes difficiles occupant de hautes fonctions", avait plaisanté l'ancienne nageuse en mars. "Ce que j'ai appris, c'est que la communication sera la clé, et c'est quelque chose qui doit se produire tôt".

Outre son action attendue sur le modèle économique du CIO et son impact climatique, des sujets existentiels pour l'olympisme, l'instance olympique devra aussi attribuer les JO d'été de 2036, pour lesquels les "parties intéressées" se bousculent, de l'Inde à l'Afrique du Sud en passant par la Turquie, la Hongrie, le Qatar ou l'Arabie Saoudite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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