International
Les skieurs français pourraient être isolés au retour de Suisse
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Le gouvernement envisage de mettre en place une période d'isolement de 7 jours pour les Français qui seront allés skier à l'étranger pendant les fêtes, a affirmé le Premier ministre Jean Castex. Des contrôles seraient menés aux frontières de l'Espagne et de la Suisse.
Pour "empêcher les Français d'aller se contaminer dans les stations" de ski des pays limitrophes comme la Suisse ou l'Espagne, qui gardent leurs stations de ski ouvertes, "on va instaurer une quarantaine", a indiqué le Premier ministre, avec "des contrôles aléatoires à la frontière".
Les préfets des départements limitrophes "pourraient ordonner un isolement de sept jours" pour les Français qui rentreraient d'une station de ski suisse ou espagnole. "La conclusion à en tirer, c'est que je ne vais pas en Suisse" pour skier, a ajouté Jean Castex. Interrogé pour plus de précisions, Matignon a affirmé: "c'est à la main des préfets" et "cela ne concerne pas les travailleurs transfrontaliers".
Le gouvernement envisage aussi de demander des tests négatifs à présenter aux aéroports d'arrivée, pour les voyageurs. Toutes ces modalités seront précisées dans un décret attendu dans les jours à venir, selon Matignon.
Dès le 24 décembre en Autriche
La Premier ministre a précisé que ces mesures restrictives seront mises en place si la Suisse et l'Espagne décident de garder leurs stations ouvertes.
Les Autrichiens pourront eux skier depuis le 24 décembre, a annoncé mercredi le gouvernement. Toutefois, les hôtels, les bars et les restaurants ne vont rouvrir que le 7 janvier, ce qui va de facto limiter l'affluence de touristes étrangers sur les pistes.
Equité
Emmanuel Macron avait annoncé mardi qu'il envisageait de prendre "des mesures restrictives et dissuasives" pour empêcher les Français d'aller skier à l'étranger, notamment en Suisse, à Noël, alors que les remontées mécaniques seront fermées en France.
Le chef du gouvernement a précisé qu'il aurait préféré "une harmonisation européenne" sur la question de l'ouverture des stations de ski, mais que si la France, l'Italie et l'Allemagne se sont "alignées" sur une fermeture, "les Espagnols et les Suisses à ce jour ne s'orientent pas vers ces décisions".
"C'est leur droit mais je vais continuer à protéger mes concitoyens en les empêchant d'aller se contaminer", a-t-il insisté. Il a ajouté qu'il s'agissait aussi de rétablir "un principe d'équité vis-à-vis des gestionnaires des stations de ski françaises".
Déception italienne
En Allemagne, la Suisse est considérée comme un pays à risque depuis le 24 octobre. Les personnes qui rentrent en Allemagne après un passage en Suisse doivent observer une quarantaine de dix jours.
Le président du Conseil supérieur de la santé italien Franco Locatelli a récemment qualifié de décevante la décision de la Suisse de laisser ouvertes ses stations de ski. Au journal La Stampa, M. Locatelli a déclaré qu'il espère une fermeture des domaines skiables jusqu'à la fin de l'année. A défaut, il exige une quarantaine pour les personnes de retour de l'étranger.
International
Présidentielle en Pologne: démonstration de force de chaque camp
Des dizaines de milliers de personnes manifestaient dimanche à Varsovie dans deux grandes manifestations rivales. Cela avant le second tour de l'élection présidentielle de dimanche prochain, opposant un candidat pro-européen à un candidat nationaliste.
Une "grande marche des patriotes" a convergé vers la place de la Constitution, avec le maire pro-UE de la capitale, Rafal Trzaskowski, soutenu par le gouvernement centriste de la Pologne et arrivé en tête du premier tour.
La "marche pour la Pologne" de l'historien nationaliste Karol Nawrocki devait elle se terminer sur la place du Château dans la vieille ville de Varsovie, les manifestants scandant des chants patriotiques ou religieux et brandissant notamment des pancartes demandant l'arrêt de l'immigration.
Egalité parfaite
Les sondages d'opinion prévoient une égalité parfaite, avec les deux candidats à 46,3%.
La victoire de M. Trzaskowski permettrait de mettre fin à une cohabitation difficile du gouvernement pro-européen du Premier ministre Donald Tusk avec le chef de l'Etat sortant Andrzej Duda, alors que le succès de son adversaire nationaliste pourrait la compliquer davantage.
Soutien à l'Ukraine en jeu
Une victoire de M. Nawrocki pourrait également ébranler le soutien indéfectible de la Pologne à l'Ukraine alors qu'il s'oppose à l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan et a dénoncé les avantages accordés au million de réfugiés ukrainiens en Pologne.
"Je suis polonais et donc je vote pour un candidat qui garantira notre avenir et agira comme un contrepoids au gouvernement actuel", a déclaré Piotr Slaby, un travailleur du secteur financier de la ville de Przemysl, dans le sud-est de la Pologne, venu participer à la "marche pour la Pologne".
De nombreux drapeaux de l'UE et LGBTQ flottaient au dessus de la "grande marche des patriotes" de M. Trzaskowski. Kurnik Irek, un homme d'affaires de 52 ans, a déclaré qu'un vote pour M. Trzaskowski était "le seul moyen d'aller vers l'Europe" plutôt que la Russie.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Viktorija Golubic a su attendre son heure
Viktorija Golubic (WTA 78) n’a pas laissé passer sa chance. La Zurichoise s’est qualifiée pour 2e tour de Roland-Garros à la faveur de son succès face à une Petra Kvitova (WTA 607) en souffrance.
Elle s’est imposée 4-6 6-0 6-4 devant la Tchèque, double gagnante de Wimbledon mais qui traverse un retour aux affaires bien laborieux après découvert les joies de la maternité. Après un premier set très convenable, elle a baissé pavillon devant une Viktorija Golubic qui a eu le mérite d’attendre son heure.
La Zurichoise a raflé la mise grâce à un break au dernier jeu. La maîtrise qu’elle a témoigné tout au long du troisième set sur son service souligne pourquoi cette victoire n’est pas le fruit du hasard. Elle espère afficher la même rigueur mercredi face à la gagnante de la rencontre entre la qualifiée serbe Nina Stojanovic (WTA 167) et la tête de série no 16 Amanda Anisimova.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Trois ans de contrat pour Xabi Alonso
Le Real Madrid a officialisé dimanche la nomination de Xabi Alonso comme entraîneur. L'ancien mentor du Bayer Leverkusen remplace dès le 1er juin Carlo Ancelotti appelé à diriger le Brésil.
"Xabi Alonso sera l'entraîneur du Real Madrid pour les trois prochaines saisons, du 1er juin 2025 au 30 juin 2028", écrit le Real Madrid dans un communiqué.
A 43 ans, l'ex-milieu de terrain et stratège de Liverpool (2004-2009), du Real (2009-2014) et du Bayern Munich (2014-2017), champion du monde (2010) et double champion d'Europe (2008, 2012) avec la sélection espagnole, revient à Madrid, où il avait fait ses gammes comme entraîner chez les jeunes quelques mois seulement après la fin de sa carrière, en 2018.
Tout dans le parcours du natif de Tolosa, près de Saint-Sébastien, indiquait qu'il deviendrait un jour un grand entraîneur, après avoir brillé sur les terrains comme chef d'orchestre aux ballons millimétrés sous les ordres de José Mourinho, Pep Guardiola et... Carlo Ancelotti.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Iran: le pouvoir silencieux après la Palme d'or de Panahi
Les autorités iraniennes gardent le silence dimanche, après la consécration au Festival de Cannes du cinéaste dissident Jafar Panahi, primé d'une Palme d'or pour son film "Un simple accident", tourné clandestinement.
M. Panahi, 64 ans, a reçu samedi le prestigieux prix pour un brûlot politique dans lequel d'anciens détenus sont tentés de se venger de leur tortionnaire. Au mépris des lois de la République islamique, plusieurs de ses actrices apparaissent sans voile.
Critique du pouvoir, le cinéaste a été incarcéré à deux reprises en Iran: 86 jours en 2010 et près de sept mois entre 2022 et 2023. Il avait entamé une grève de la faim pour obtenir sa libération.
Aucun responsable n'avait commenté dimanche la deuxième consécration à Cannes d'un Iranien, après celle d'Abbas Kiarostami pour "Le goût de la cerise" en 1997.
Choix "politique"
L'agence de presse conservatrice Fars a affirmé que le choix du jury était politique.
Les quotidiens réformateurs Etemad, Shargh et Ham Mihan ont rapporté en ligne de façon factuelle la victoire de M. Panahi, sans la commenter. Mais aucune mention n'est faite sur leur version papier.
Pour sa part, la télévision d'Etat a passé sous silence la Palme d'or, mettant l'accent sur le Festival du film de la Résistance, un événement officiel qui prime des oeuvres pro-palestiniennes ou sur la guerre Iran-Irak (1980-1988).
Grand nom du cinéma iranien, M. Panahi a vu ses oeuvres régulièrement primées dans les plus grands festivals, de Cannes à Venise en passant par Berlin.
Le réalisateur doit rentrer dimanche en Iran, un retour, a-t-il déclaré à l'AFP, qui ne lui fait "pas du tout" peur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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