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Suisse

Suisse: un retour des touristes européens attendu

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La clientèle asiatique n'est pas attendue cet été en Valais en raison des restrictions liées la pandémie de Covid-19. (©KEYSTONE/URS FLUEELER - Image d'archives).

La fréquentation touristique en Suisse devrait être supérieure cet été à celle de 2020, estime le directeur de Valais/Wallis Promotion, Damian Constantin. Certaines stations avaient enregistré des résultats records l'an passé.

Mais "le Valais et la Suisse feront sans doute un résultat inférieur à l'année 2019, qui est une référence", explique M. Constantin dans un entretien diffusé samedi par Le Nouvelliste.

"Nous n'aurons probablement pas 80% de Suisses comme l'été passé, mais il y aura plus d'Européens, car l'envie de voyager à l'étranger est de retour", après deux années marquées par les restrictions liées au coronavirus. Le responsable ne s'attend pas au retour des Asiatiques cette année.

La priorité de Valais/Wallis Promotion reste la clientèle suisse. "Cette pandémie a relevé un fort besoin chez les gens de retrouver ce qui est vraiment important dans la vie comme les contacts sociaux et le sentiment de liberté", explique M. Constantin, qui souligne que cette tendance englobe l'authenticité des produits du terroir.

Le secteur touristique vise également l'Europe. "Je pense que nous avons gagné la confiance des Européens", en laissant les domaines skiables ouverts pendant la crise sanitaire. "La Suisse a donné des garanties d'accessibilité. Nous le voyons dans les prix de l'immobilier en station. Une clientèle étrangère veut avoir un point de chute en Valais".

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Économie

Les contours du futur Centre des sciences révélés au public

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Le projet lauréat du futur Centre des sciences physiques et mathématiques de l'UNIGE est exposé jusqu'au vendredi 30 mail à Uni Mail (image d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le projet lauréat du futur Centre des sciences physiques et mathématiques de l'Université de Genève (UNIGE) a été révélé jeudi. Ce nouveau bâtiment, qui sera érigé sur le quai Ernest-Ansermet au bord de l'Arve, devrait voir le jour à l'horizon 2033. Le Grand Conseil devra se prononcer sur une demande de crédit.

Le jury du concours d'architecture a retenu le groupement piloté par Burckhardt Architecture SA pour son projet "Le théorème de Marguerite". Avec une entrée principale du côté du quai, ce projet comprend un axe central nommé "Parc des sciences", qui relie l'Arve à la ville. Une tour hébergera les unités de recherche alors que le sous-sol sera destiné aux laboratoires techniques.

Le corps du bâtiment situé côté boulevard d'Yvoy sera dédié à l'enseignement. Il regroupera des auditoires, des salles de séminaires et des espaces pour les travaux pratiques. Le Centre sera construit à la place de bâtiments provisoires, qui se situent entre l'actuel institut de physique et les locaux de Sciences III et de Sciences II.

Ce projet a fait l'objet d'un processus participatif, notamment sous la forme d'ateliers. Le coût de réalisation du bâtiment n'est pas encore déterminé à ce stade, indiquent dans un communiqué conjoint l'UNIGE et le canton. Mais une première estimation évoquait 280 millions de francs, dont une partie serait cofinancée par une fondation genevoise et la Confédération.

Des sites dispersés

Un projet de loi sera présenté par le Conseil d'Etat, puis examiné par le Grand Conseil. Le parlement a déjà voté à une large majorité en mars 2023 un crédit d'études de 17,6 millions de francs pour la construction de ce Centre. Ce futur pôle est considéré comme indispensable pour la renommée scientifique de l'UNIGE.

Actuellement, les activités de recherche et d'enseignement sont éparpillées sur plusieurs sites. De nombreux locaux ne correspondent plus aux exigences et aux besoins actuels de l'enseignement et de la recherche. Les projets lauréats pour ce nouveau Centre sont exposés jusqu'au vendredi 30 mai à Uni Mail.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le personnel de l'ONU à Genève dénonce la réforme de Guterres

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Le personnel de l'ONU en veut à l'approche du secrétaire général Antonio Guterres en lien avec les restrictions financières. (© KEYSTONE/MAGALI GIRARDIN)

Le personnel de l'ONU à Genève est en colère contre la réforme lancée par le secrétaire général Antonio Guterres face aux difficultés financières. Il dénonce une approche "précipitée" et "opaque", sans consultation des employés, ni des Etats membres.

"Les Nations Unies sont désormais affaiblies de l'intérieur", a affirmé mardi le président de l'Union du personnel de l'ONU à Genève, Ian Richards, aux correspondants accrédités à l'ONU à Genève (ACANU). Cette réforme "ne répond pas" aux problèmes financiers et ne soutient pas ceux qui portent les activités de l'organisation, selon lui.

Et il reproche au secrétaire général de ne pas avoir de mandat pour la faire et parle de tensions entre chefs d'agences dans le groupe de travail lancé pour la mener. Des délocalisations ne s'accompagneront pas forcément d'économies massives pour l'institution, ajoute-t-il.

Les employés du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) attendent toujours de connaître le nombre de postes coupés dans l'agence onusienne. Celui-ci devrait atteindre entre 3000 et 4000, selon la présidente de son Conseil du personnel. "On cible le personnel en première ligne", déplore-t-elle. Cette situation "affecte le mandat" de l'agence onusienne, ajoute-t-elle.

Autre problème, les travaux de rénovation du Palais des Nations se prolongent. L'ONU commence à demander aux Etats membres une rallonge de l'enveloppe, ont affirmé plusieurs de ces représentants du personnel. Alors même que la Suisse a attribué plus de 830 millions de francs de prêts ces dernières années pour ces rénovations.

Pour les personnes licenciées, la Suisse leur permet de rester trois mois supplémentaires sur le territoire mais elles ne reçoivent aucune prestation sociale. Ni dans leur pays où elles ne cotisent pas.

Jusqu'à présent, seule l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) a clairement annoncé le nombre de postes supprimés, jusqu'à 7000. Mais près de 300 licenciements ont aussi été prononcés à l'Organisation internationale du travail (OIT). Et plusieurs ont été décidés dans des agences comme le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) ou l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Art Basel se décline désormais aussi au Qatar

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Après avoir pris pied récemment à Paris, Art Basel prendra ses quartiers à Doha l'an prochain (archives). (© KEYSTONE/AP/VERNON YUEN)

Après Bâle, Miami, Hong Kong et Paris, la foire Art Basel, organisée par MCH Group, prendra ses quartiers pour la première fois à Doha, fin février.

Ce nouveau rendez-vous vise à présenter des galeries et acteurs de la scène artistique du Moyen-Orient, d'Afrique du Nord et d'Asie du Sud.

La première édition d'Art Basel Qatar se tiendra le 26 février au centre culturel M7, ainsi que dans le Doha Design District au coeur du quartier très prisé de Msheireb Downtown, écrit l'organisateur bâlois de foires et événements dans un communiqué mardi.

Le rendez-vous est mis sur pied avec la collaboration de la société d'investissements Qatar Sports Investments (QSI), en mains du gouvernement qatari, ainsi que QC+, prestataire de services spécialisé dans l'événementiel basé à Doha.

Fondée en 1970 par trois marchands d'art, dont Ernst Beyeler, la foire d'art contemporain Art Basel, réunit durant plusieurs jours des galeristes, collectionneurs et artistes confirmés ou étoiles montantes du monde entier. Le rendez-vous se décline déjà à Bâle, Miami, Hong Kong et à Paris.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse Romande

Regard critique des députés fribourgeois sur les comptes de l'Etat

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Le débat d'entrée en matière pour les comptes 2024 s'est révélé vif mardi devant le Grand Conseil fribourgeois, dans le contexte de la mise en oeuvre du Programme d'assainissement des finances de l'Etat (PAFE) (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les députés fribourgeois ont entamé mardi l'examen des comptes 2024 de l’Etat qui affichent un solde positif d'un million, 979'090 francs précisément, conforme au budget. La fragilité des finances cantonales inquiète tant à droite qu'à gauche.

L'entrée en matière n'a été contestée par aucun des cinq groupes parlementaires. Le débat est survenu dans le contexte délicat de la consultation en cours pour le Programme d’assainissement des finances de l’Etat (PAFE) et de ses 97 mesures, un projet qui doit permettre d'économiser quelque 490 millions de francs de 2026 à 2028.

L'exécutif a réussi à équilibrer l'exercice, en vertu du principe constitutionnel, "grâce à sa politique financière prudente et prévoyante, tout en faisant face aux besoins actuels", a rappelé le conseiller d'Etat Jean-Pierre Siggen. La copie affiche des revenus et charges de l'ordre de 4,34 milliards (+2,4%).

Ménage à crédit

L'excédent a été obtenu via des prélèvements sur provisions et une hausse de certains revenus et recettes fiscales, a ajouté le grand argentier. Avant clôture, et pour la deuxième année consécutive, le compte de résultats est déficitaire à hauteur de 3,7 millions de francs, après -26,8 millions lors de l'exercice précédent.

"On vit à crédit en remboursant avec l'épargne", a résumé le député vert François Ingold, rapporteur de la commission des finances et de gestion (CFG). La maîtrise des charges a occupé justement l'intervention de Bruno Riedo pour l'UDC, le parti invitant à "se passer de certaines dépenses" à l'avenir.

Le député PS Armand Jaquier a insisté sur les attentes de la population, en citant notamment les défis que sont le vieillissement et la formation. "Il faut éviter l'esprit de récession", a-t-il relevé. Son collègue centriste Christian Clément s'est inquiété de la vulnérabilité d'un ménage cantonal "qui ne tient qu'à un fil".

Coefficient d'impôt

Au nom des Vert-e-s et alliés, Julien Vuilleumier a mis en garde contre la persistance d'un "équilibre technique". "La situation doit nous alerter", a noté le député. Les finances "dépendent trop de la volatilité de la péréquation fédérale, de la BNS et de l'impôt anticipé ainsi que des recettes des personnes physiques".

Le PLR, par la voix de sa présidente de groupe Antoinette de Weck, a déploré la dégradation des perspectives du canton, craignant encore pour le versement de la BNS. La question d'une augmentation du coefficient d'impôt sur le revenu a refait surface, via la députée socialiste Marie Levrat, celui-ci évoluant à 96%.

L'évolution confirme le "changement de paradigme" détecté dès 2023 et l’apparition d’un déficit structurel, a dit le ministre. En fonction des besoins de provisionnement, notamment pour l’Hôpital fribourgeois (HFR), l’équilibre n’est assuré qu'avec la fortune, en particulier en prélevant 30 millions dans la provision BNS.

Amplification rapide

Le plan financier 2025-2028 a démontré une "amplification rapide et délicate" des excédents de charges. La contribution de la part de la Banque nationale suisse (BNS) pour cette année ne remet pas en cause les projections. Négatives, les perspectives financières confortent la volonté du Conseil d’Etat de concrétiser le PAFE.

Sans oublier l'impact négatif du programme d'économies de la Confédération. De plus, les tensions géopolitiques, avec des conflits armés en Europe de l’Est et au Moyen-Orient, les risques de guerres commerciales entre les grands blocs, génèrent un "niveau d’incertitudes majeur", a averti encore Jean-Pierre Siggen.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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