Suisse
Croix-Rouge vaudoise: un million d'aides individuelles distribué
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La Croix-Rouge vaudoise (CRV) a vécu une année d'urgence et d'entraide marquée par le Covid-19 en 2020. Elle a distribué plus d'un million de francs d'aides individuelles aux plus vulnérables et créé une Centrale renfort santé pour répondre aux besoins en personnel des institutions de soins.
Lors d'un bilan tiré mardi lors de son assemblée générale, la Croix-Rouge vaudoise a relevé la nécessité de répondre concrètement et en proximité aux besoins des plus vulnérables du canton. "Le cercle des plus vulnérables s’est agrandi et a démontré l’importance" de cette institution de proximité, a déclaré son président Loïc Haldimann, cité dans un communiqué.
En collaboration avec la Croix-Rouge suisse, l'association cantonale a remis, dans le cadre de l’opération de la Chaîne du Bonheur, 1,2 million de francs d’aides individuelles aux plus vulnérables. Parmi elles, des personnes sans papiers, par exemple pour le paiement de loyers ou de primes d’assurance-maladie.
Appuyés par 1300 volontaires
Sur mandat du Département vaudois de la santé et de l’action sociale, la CRV a créé une Centrale renfort santé. Sa mission: mettre en relation des personnes compétentes dans les domaines médicaux, soins, administratif, technique et logistique avec des institutions en manque de personnel en raison de la pandémie.
Les EMS, les structures d’aide et de soins à domicile et hospitalières ont ainsi été appuyés par plus de 1300 volontaires. L’opération continue également en 2021, notamment avec un appui en personnel pour le centre de vaccination de Montreux.
Enfants et parents soutenus
Enfin, l'institution a poursuivi son travail auprès des populations vulnérables en adaptant son aide au contexte particulier qui a exacerbé les besoins des bénéficiaires. Outre les nombreuses heures de bénévolat auprès de personnes isolées, la CRV a soutenu 161 enfants, notamment pour l’acquisition de matériel lors de la scolarisation à distance. Les parents fragilisés par des problèmes de santé ou des difficultés de gardes ont aussi bénéficié de l'appui de la CRV.
Suisse
Seuls 27% des parlementaires déclarent tous leurs revenus
Près de la moitié des parlementaires suisses gardent le silence sur leurs revenus annexes. Selon un nouveau rapport de Lobbywatch, 44% des membres du Parlement ne déclarent pas les revenus de leurs mandats dans des entreprises ou des associations.
Seuls 27% déclarent tous leurs revenus annexes, selon le rapport de transparence 2025 de l'association Lobbywatch publié lundi.
Dans l'ensemble, la transparence stagne ainsi au niveau de la dernière enquête de début 2024: 42% des parlementaires ne déclaraient alors pas de revenus annexes.
Dans le nouveau rapport, Lobbywatch fait toutefois pour la première fois la distinction entre la transparence totale (tous les revenus sont publiés) et la transparence partielle (seules certaines rémunérations sont déclarées). La nouvelle méthodologie montre que seule une minorité est vraiment totalement transparente, écrit Lobbywatch.
Les Vert-e-s les plus transparents
Parmi les groupes parlementaires, les Vert-e-s font preuve de la plus grande transparence: 68% de leurs membres déclarent tous leurs revenus. Pour le PS, qui suit en deuxième position, c'est encore une bonne moitié (51%). Selon Lobbywatch, la transparence du PS et des Vert'libéraux a diminué.
En revanche, l'UDC est devenue plus transparente et se situe au même niveau que le Centre. Le PLR reste en queue de peloton: aucun membre ne publie tous ses revenus et seul un sur trois déclare une partie de ses rémunérations.
Les femmes plus que les hommes
Le Conseil national, avec 58% de membres partiellement transparents, est plus enclin à fournir des informations que le Conseil des Etats (48%). En ce qui concerne la transparence totale, les taux sont faibles dans les deux Chambres.
Selon le rapport, les femmes sont plus transparentes que les hommes: un tiers des femmes parlementaires publient toutes leurs rémunérations, contre seulement un quart des hommes.
Pour réaliser ce rapport, Lobbywatch a demandé, durant l'été 2025, à tous les parlementaires fédéraux de rendre publics leurs revenus.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Au musée, le dernier chapitre des loups vaudois
Ici convergent les loups morts, accidentés ou tirés sur sol vaudois. A l'atelier de taxidermie du Naturéum à Lausanne, certains animaux sont destinés à être empaillés, et tous font l'objet d'une récolte de données. Chaque individu vient ainsi enrichir les collections scientifiques de l'institution.
"M236" et ses panneaux explicatifs trônent depuis un peu moins de deux ans dans les allées du Palais de Rumine non loin du tigre de Sibérie et de l'ours polaire. "Il louche, ce loup", remarque en souriant le taxidermiste du musée André Keiser, au moment d'évoquer les grands canidés accueillis entre ces murs. "Mais ça gêne peu de monde, la vitrine a du succès."
Le jeune mâle de 11 mois, issu d'une portée de cinq louveteaux nés au Marchairuz en 2021, a été abattu par un tir de régulation en mars de l'année suivante. Et il fait partie des loups qui ont été naturalisés - ou "empaillés" selon les pratiques d'autrefois - dans la capitale vaudoise durant les trois dernières années.
Dans un coin de l'atelier, qui jouxte l'entrée principale du bâtiment, un loup est couché sur son plateau de bois. Il s'agit de "Gros Pépère", le mâle reproducteur (M95) de la meute du Marchairuz. Ou, autrement dit, du père de M236, qui se trouve dans les salles d'exposition à l'étage. Plus loin, un autre loup: debout, cette fois, dans une position de "silhouette".
Les autres bêtes se dérobent. Plusieurs sont encore dans le congélateur.
Art de la conservation
"Nous n'avons pas le temps de tout taxidermiser", explique l'artisan, dont le métier tend à disparaître en Suisse. Car pour naturaliser l'animal d'une quarantaine de kilos, il faut compter entre deux mois et un an, entre le moment où le corps est réceptionné et celui où il est transformé.
Le résultat est l'affaire de quatre mains. André Keiser et son apprentie Céline Mouillé oeuvrent sur les spécimens qu'ils reçoivent, entre écorchage, tannage, montage et séchage. La partie la plus délicate? Les yeux, assurément, répond le taxidermiste.
Des yeux qui ne sont pas ceux d'origine, mais bien artificiels, comme le sont la plupart des éléments de la maquette finale. La mâchoire est trop fragile, la langue ne se garde pas et le squelette peut être prélevé pour être étudié. Seule la peau est réellement conservée.
Depuis le travail réalisé sur M236 - "le loup avec l'oeil qui part aux fraises" -, les deux naturalistes "sont montés en puissance". Techniques traditionnelles se mêlent aux plus récentes et forgent cet art d'apprêter et de conserver. Un animal taxidermisé aujourd'hui "est fait pour durer", rappelle celui qui travaille pour l'institution muséale depuis plus de 35 ans.
"Une avalanche de loups"
L'accord tacite qui existe avec la Direction générale de l'environnement (DGE) du Canton de Vaud "fait que l'on est prioritaire pour récupérer les carcasses" des animaux accidentés ou régulés sur le territoire, détaille Olivier Glaizot, conservateur en chef du Département de zoologie du Naturéum. Au moment de l'établir il y a près de trois ans, le Muséum cantonal des sciences naturelles recevait entre un et deux "Canis lupus" par année.
Depuis, "l'effet Albert Rösti" se fait sentir, constate le biologiste. L'entrée en vigueur de la loi fédérale sur la chasse révisée en 2023, qui autorise le tir de meutes entières, a provoqué "une avalanche de loups".
Selon un tempo qui est parfois difficile à déterminer, puisque les dépouilles transitent généralement par plusieurs endroits avant de se retrouver au musée. Elles passent par Berne et son Centre de médecine des poissons et des animaux sauvages (FIWI) afin d'être analysées, autopsiées et identifiées, relate le chercheur. Avant d'être, le plus souvent, renvoyées au service cantonal compétent.
Retracer le fil de l'histoire
Une fois à Lausanne, la mission est différente. Chaque vertébré qui passe les portes du musée intègre aussi ses collections scientifiques, fait savoir André Keiser. Prélever du matériel génétique sur l'animal, en l'occurrence un morceau de muscle, est partie intégrante du travail du taxidermiste. Les échantillons récoltés constituent une base de données centralisées, qui est mise à disposition de la recherche.
Il s'agit aussi de garder une trace "de ce qui est mythique dans le canton, à l'image du loup, mais aussi du chat sauvage ou du lynx", complète Olivier Glaizot. A terme, la volonté est de taxidermiser une meute entière, relève le conservateur en chef du Département de zoologie. "Mais on veut prendre le temps, surtout qu'on fait de la récupération, et aucunement des commandes de bêtes", continue-t-il.
Un sujet sensible
Parfois mal compris, le travail réalisé par l'institution se fait à la fois en marge et à travers les immenses débats politiques qui entourent le loup. "L'une des questions est de savoir si les musées devraient prendre position sur le sujet, ou simplement exposer les faits", évalue Olivier Glaizot.
"Ce sont de très belles bêtes. Une fois qu'on a la dépouille sur la table, on travaille de manière respectueuse", assure de son côté André Keiser. Le taxidermiste ne cache d'ailleurs pas la "forme d'émotion" qui se fait sentir à l'idée que Gros Pépère repose sur sa table, plutôt que de gambader dans le Jura vaudois.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
L'ancien syndic de Lausanne Daniel Brélaz est décédé
Daniel Brélaz est décédé dans la nuit de samedi à dimanche à l'âge de 75 ans. Le premier écologiste élu au Conseil national et syndic de Lausanne de longue date est mort des suites d'un arrêt cardiaque, annonce sa famille.
"Son décès fait suite à un arrêt cardiaque soudain, alors qu'il était hospitalisé en néphrologie pour un problème rénal", indique son fils Alexandre, dans un e-mail envoyé à Keystone-ATS.
Il ajoute qu'un problème cardiaque avait également été diagnostiqué, mais qu'il avait été considéré comme "secondaire" à ce stade, une intervention étant prévue d'ici mi-janvier.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Genève peut profiter des économies à l'ONU, dit sa présidente
Les mesures d'austérité de l'ONU ne menacent pas la Genève internationale, estime la présidente de l'assemblée générale des Nations unies, Annalena Baerbock. "Genève est un carrefour de la diplomatie multilatérale et n'est pas en danger en tant que site".
Des villes comme Genève, Bonn ou Nairobi peuvent même profiter des mesures d'économie, ajoute l'ancienne ministre allemande des affaires étrangères dans un entretien diffusé dimanche par le SonntagsBlick. "New York est un endroit très cher. C'est pourquoi nous réfléchissons aux sites que nous pourrions délocaliser. La Suisse n'est pas vraiment bon marché, mais elle est tout de même très attractive".
Pour Mme Baerbock, les coupes dans l'aide au développement sont une erreur fatale. "Chaque réduction de l'aide au développement est une balle tirée dans son propre pied. Davantage de crises et de conflits augmentent la pression migratoire", indique-t-elle, soulignant que la coopération internationale est, in fine, profitable à tout le monde.
Mais le "plus grand danger pour la sécurité de notre siècle" est le réchauffement climatique, affirme l'ancienne élue écologiste. Avec l'ensevelissement du village de Blatten (VS) suite à l'effondrement d'un glacier à la fin mai, "le changement climatique n'est plus seulement une notion abstraite, mais est devenu très concret", estime-t-elle. "Si nous ne maîtrisons pas la crise climatique, nous verrons malheureusement partout des catastrophes comme celle de Blatten".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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