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Suisse

Swiss peine à se remettre de la crise du coronavirus

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Swiss ambitionne de renouer avec la rentabilité en 2023, grâce à une réduction de 20% de ses effectifs et de 15% de sa flotte comparé à 2019, avait-elle déclaré mi-juin. (archives) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La compagnie nationale Swiss a de nouveau subi une lourde perte au premier semestre, en raison de la lente reprise du trafic aérien mondial toujours freiné par les restrictions liées à la pandémie de coronavirus.

La filiale du groupe allemand Lufthansa a enregistré une "légère" reprise au deuxième trimestre, mais reste prudente pour la suite.

Sur les six premiers mois de l'année, le transporteur suisse a creusé sa perte d'exploitation à 398,2 millions de francs, après un résultat négatif de 266,4 millions un an plus tôt. Le chiffre d'affaires a pour sa part chuté de 43,5% à 659,3 millions, a-t-il annoncé jeudi.

Cette lourde perte ne constitue pas une surprise, puisqu'en mai la direction avait déjà averti qu'elle allait subir une nouvelle perte au deuxième trimestre, après un résultat négatif de 201 millions au premier partiel.

Pour l'ensemble de l'année, la compagnie aérienne table sur des capacités équivalent à 40% de 2019.

Swiss ambitionne de renouer avec la rentabilité en 2023, grâce à une réduction de 20% de ses effectifs et de 15% de sa flotte comparé à 2019, avait-elle déclaré mi-juin. La société est néanmoins parvenue à amortir le choc au niveau du personnel, en ramenant les licenciements à 550 sur les 780 envisagés en mai. L'objectif d'économies de 500 millions de francs a été confirmé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Swatch Group confirme des perquisitions en Italie

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Le groupe horloger biennois Swatch est dans le collimateur des enquêteurs italiens, suspecté d'imposer des prix de vente à ses revendeurs. (archive) (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Swatch Group a confirmé mercredi à AWP que le gendarme de la concurrence italien (AGCM) avait mené mardi des inspections dans les locaux de la société en Italie. Celui-ci soupçonne l'horloger biennois de se livrer à des pratiques anti-concurrentielles.

Les enquêteurs suspectent notamment Swatch Group d'imposer des prix de vente à ses revendeurs dans le pays.

L'agence de presse française AFP a révélé mardi que l'entreprise suisse, tout comme le groupe horloger japonais Citizen, qui compte la marque genevoise Frédérique Constant mais aussi Bulova, Vagary et Alpina, étaient dans le collimateur des enquêteurs italiens.

L'AGCM a ouvert une enquête et mené des inspections dans les locaux italiens des deux groupes pour "vérifier une éventuelle violation de l'article 101 du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne (TFUE), consistant en la fixation des prix publics affichés sur les canaux en ligne de leurs distributeurs agréés".

Mesures de rétorsion ?

"Nous confirmons que les autorités italiennes ont visité les locaux de Swatch Group Italie afin d'obtenir des informations concernant une possible pratique non conforme sur les procédures de prix de nos marques Tissot Italie et Mido Italie. Le groupe coopère et participe pleinement à cette procédure et souhaite faire toute la lumière sur cette violation potentielle de Tissot Italie et Mido Italie", a déclaré sur ce sujet à AWP un porte-parole de Swatch.

Selon le gendarme italien de la concurrence, Swatch Group et Citizen surveilleraient en parallèle les prix pratiqués par leurs revendeurs, avec des mesures de rétorsion pour ceux qui proposent des remises. Le porte-parole n'a pas réagi sur ce point précis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

Temenos annonce un programme de rachat d'actions de 100 millions

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Temenos explique que ce rachat d'actions est soutenu "par la forte génération de flux de trésorerie disponibles". (archive) (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'éditeur genevois de logiciels bancaires Temenos annonce mercredi un nouveau programme de rachat d'actions d'un montant maximal de 100 millions de francs. Celui-ci débutera le 11 décembre prochain et se poursuivra jusqu'au 30 décembre 2026 au plus tard.

Les actions seront rachetées par le biais de la ligne de négociation ordinaire et seront utilisées à des fins commerciales générales, notamment pour des plans d'intéressement des salariés et/ou le financement d'acquisitions potentielles, indique Temenos dans un communiqué.

Il explique que ce rachat d'actions est soutenu "par la forte génération de flux de trésorerie disponibles". La société prévoit que son ratio d'endettement se situera dans la fourchette cible de 1,0 à 1,5 fois la dette nette par rapport à l'Ebitda ajusté d'ici la fin de l'année 2026.

Le volume maximal quotidien de rachats est de 34'525 actions, est-il précisé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Suisse

La cagnotte de 133,8 millions est tombée à l’Euro Millions

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La loterie transnationale Euro Millions est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Une personne vivant en Belgique a trouvé la combinaison gagnante du tirage de l’Euro Millions de mardi. Elle remporte au total 133,8 millions de francs. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 2, 8, 13, 29 et 49 et les étoiles 2 et 11.

Lors du prochain tirage vendredi, 16 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.

https://jeux.loro.ch/games/euromillions

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Sport

Projet NBA Europe: "Encore beaucoup de travail", estime la FIBA

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Victor Wembanyama va-t-il rejouer plus souvent à Paris dans le futur avec les Spurs? (© KEYSTONE/AP/THIBAULT CAMUS)

La FIBA a affirmé "qu'octobre 2027" était "un objectif réaliste" pour le lancement du projet NBA Europe. Elle a aussi rappelé qu'il y avait "encore beaucoup de travail" avant d'en voir les contours.

Dans une conférence de presse organisée en visioconférence, le secrétaire général de la FIBA, Andreas Zagklis a aussi rappelé que le rôle de l'instance était "de permettre à chacun de trouver sa place dans cet écosystème".

L'arrivée de la NBA en Europe, via une possible compétition sous l'égide également de la FIBA à l'horizon 2027, intrigue autant qu'elle divise alors que la puissante ligue nord-américaine avait confirmé son intérêt en mars dernier.

En novembre, Paulius Motiejunas, le patron de l'Euroligue - compétition européenne rassemblant cette saison 20 équipes - a notamment qualifié dans la presse italienne le projet de "mauvaise nouvelle".

De son côté, Andreas Zagklis a à nouveau défendu le projet, estimant que "ce qui est en train d'être créé est beaucoup plus compatible avec le modèle sportif européen et les critères de la FIBA que ce que nous avons connu ces dernières années".

Validant "l'objectif réaliste" d'"octobre 2027" pour son lancement, il a ajouté l'importance d'un "événement qui nous permette de tout regrouper sous un même toit".

"Sous un même toit signifie sous le toit de la FIBA, mais cela ne veut pas dire que la FIBA contrôle tout", a-t-il précisé. La Fédération internationale n'oublie pas non plus "son rôle qui est de réunir tout le monde", alors que Zagklis a mentionné "de bons échanges avec l'ECA", la société organisatrice de l'Euroligue.

Il a aussi évoqué "plusieurs autres réunions" en 2026, notamment avec l'ECA. "Nous avons beaucoup de travail à effectuer pour dessiner cette nouvelle compétition", dans laquelle certaines équipes pourraient se qualifier via la Ligue des champions (BCL) mais aussi via un possible "tournoi de qualification" de fin de saison.

Egalement interrogé sur les aspects commerciaux, notamment les sponsors ou les droits TV, le secrétaire général de la FIBA a repoussé ce sujet "entre le début et le milieu de l'année 2026" estimant que la Fédération se concentrait "sur l'élaboration du projet et comment il pourrait avoir du sens pour l'écosystème tout entier".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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