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Piqûre de rappel pour les plus de 50 ans au Royaume-Uni

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La campagne de vaccination contre le Covid-19 a débuté en décembre 2020 au Royaume-Uni et 81% de la population de plus de 16 ans ont depuis reçu deux doses de vaccin (Image d'illustration © KEYSTONE/EPA/DANIEL POCKETT)

Le gouvernement britannique a annoncé mardi qu'une dose de rappel de vaccin contre le Covid-19 serait proposée dès la semaine prochaine aux plus de 50 ans et aux soignants. Le pays espère éviter un nouveau confinement cet hiver.

Les personnes âgées de 16 à 49 ans souffrant de problèmes de santé les rendant particulièrement vulnérables au Covid-19 et les adultes en contact avec des personnes immunodéprimées sont également ciblées par ce programme de rappel.

"Nous devons être vigilants car l'automne et l'hiver présentent des conditions favorables au Covid-19 et à d'autres virus saisonniers", a averti le ministre de la Santé Sajid Javid devant les députés à la Chambre des communes.

"Les enfants sont de retour à l'école, de plus en plus de gens retournent au travail, la météo changeante signifie qu'il y aura peut-être plus de gens qui passeront du temps à l'intérieur", a-t-il énuméré, mentionnant aussi la potentielle pression sur les services hospitaliers d'autres virus saisonniers comme la grippe.

Eviter de nouvelles restrictions

Le programme de rappel de vaccin vise à éviter d'instaurer de nouveau des restrictions sociales et économiques strictes comme les trois confinements imposés au pays depuis mars 2020, selon le ministre.

Le gouvernement vient déjà de renoncer à imposer un passeport vaccinal pour l'entrée des discothèques, comme envisagé, sans l'écarter "complètement" pour autant, a déclaré le Premier ministre Boris Johnson, présentant à la presse son plan de lutte contre le Covid-19 cet hiver.

En cas d'aggravation de la pandémie, le gouvernement se réserve aussi la possibilité de réintroduire certaines mesures telles qu'imposer le port du masque en intérieur ou recommander le télétravail.

Pfizer en priorité

Le pays, qui a levé la plupart des restrictions anti-coronavirus en juillet, enregistre environ 30'000 nouveaux cas par jour de Covid-19, avec plus de 1000 patients sous respirateur. Il déplore plus de 134'000 décès depuis le début de la pandémie.

Les experts du JCVI, comité conseillant le gouvernement sur sa campagne de vaccination, ont recommandé d'utiliser pour les injections de rappel en priorité le vaccin Pfizer/BioNtech, ou sinon, une demi-dose de Moderna.

L'injection doit intervenir au moins six mois après l'administration de la deuxième dose, un intervalle jugé le plus pertinent en termes d'efficacité du vaccin. Elle peut être effectuée en même temps que la vaccination contre la grippe, a déclaré June Raine, directrice générale de l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) lors d'une conférence de presse.

Hiver "mouvementé"

La campagne de vaccination contre le Covid-19 a débuté en décembre 2020 au Royaume-Uni et 81% de la population de plus de 16 ans ont depuis reçu deux doses de vaccin.

Jonathan Van-Tam, médecin-chef adjoint pour l'Angleterre, a déclaré que cette campagne avait connu un "incroyable succès", et évité environ 24 millions de cas de Covid-19 et 112'000 morts. Mais il a averti que l'hiver pourrait être "mouvementé" avec le retour d'épidémies saisonnières.

Le ministre de la Santé a souligné que près de 99% des décès de Covid-19 au cours du premier semestre 2021 concernaient des personnes qui n'avaient pas reçu deux doses d'un vaccin contre le Covid-19. "Cela montre l'importance de notre programme de vaccination", a-t-il déclaré.

Après de longues tergiversions des autorités sanitaires, les gouvernements des quatre nations du Royaume-Uni, compétents en matière de santé, ont décidé d'étendre la campagne de vaccination aux 12-15 ans. Ils recevront une première et en l'état unique dose du vaccin Pfizer/BioNTech.

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Bencic forfait pour Roland-Garros

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Belinda Bencic est forfait pour Roland-Garros (© KEYSTONE/EPA/SERGIO PEREZ)

Belinda Bencic déclare forfait pour Roland-Garros. Elle explique vendredi sur X après avoir ressenti il y a deux jours à l'entraînement une résurgence de sa blessure à un bras.

"La blessure à un bras qui m'a forcée à me retirer (début mai, ndlr) du tournoi de Rome s'est à nouveau aggravée", écrit l'ex-no 4 mondiale et championne olympique à Tokyo en 2021.

"Mais la très bonne nouvelle est qu'avec deux semaines de repos, je pourrai guérir complètement. Je ferai tout mon possible pour accélérer le processus et revenir pour la saison sur herbe", poursuit-elle.

A Paris, l'actuelle 39e mondiale n'aurait été qu'outsider au mieux, même si elle a remporté le tournoi WTA 500 d'Abou Dhabi en février, dix mois après être devenue maman.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Trump menace l'UE de 50% de droits de douane à partir du 1er juin

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"Il est très difficile de traiter avec l'UE, qui a été créée en premier lieu pour profiter des Etats-Unis d'un point de vue commercial", a affirmé le président américain Donald Trump. (© KEYSTONE/AP/John McDonnell)

Le président américain Donald Trump a menacé vendredi l'Union européenne d'appliquer 50% de droits de douane aux produits européens importés aux Etats-Unis à compter du 1er juin, estimant que les négociations en cours "ne vont nulle part".

"Il est très difficile de traiter avec l'UE, qui a été créée en premier lieu pour profiter des Etats-Unis d'un point de vue commercial", a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.

"Nos discussions ne vont nulle part. Dans ces conditions je recommande d'imposer 50% de droits de douane sur l'UE, à compter du 1er juin. Il n'y a pas de droits de douane sur les produits fabriqués aux Etats-Unis", a ajouté le locataire de la Maison Blanche.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Trump menace Apple de 25% de droits de douane

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Le président américain Donald Trump a menacé vendredi d'imposer "au moins 25%" de droits de douane à Apple, si l'entreprise ne fabrique pas ses iPhone aux Etats-Unis. (archives) (© KEYSTONE/DPA/ELISA SCHU)

Le président américain Donald Trump a menacé vendredi d'imposer "au moins 25%" de droits de douane à Apple, si l'entreprise ne fabrique pas ses iPhone aux Etats-Unis.

"Cela fait longtemps que j'ai informé Tim Cook d'Apple que je m'attendais à ce que les iPhone vendus aux Etats-Unis soient fabriqués et construits aux Etats-Unis, et non en Inde ou ailleurs. Si ce n'est pas le cas, Apple devra payer des droits de douane d'au moins 25 % aux Etats-Unis", a-t-il écrit sur sa plateforme Truth Social.

Lors de son voyage au Qatar la semaine dernière, le président américain avait affirmé avoir dit à Tim Cook, le directeur général d'Apple: "Nous vous avons très bien traités. Nous avons accepté toutes les usines que vous avez construites en Chine durant des années".

Eviter les droits de douane en Chine

"Ça ne nous intéresse pas que vous en construisiez en Inde. L'Inde peut s'occuper d'elle-même toute seule, elle va très bien", avait-il poursuivi, à l'occasion de la deuxième étape de sa tournée dans le Golfe.

"Nous voulons que vous construisiez ici (aux Etats-Unis)", avait-il ajouté.

Lors de la présentation des derniers résultats d'Apple début mai, Tim Cook avait dit s'attendre à ce que "la majorité des iPhone vendus aux Etats-Unis", pendant le trimestre en cours, proviennent d'Inde.

Cette mesure permettait d'éviter des droits de douane de 145% appliqués par les Etats-Unis aux produits venus de Chine, traditionnellement coeur de la fabrication des célèbres smartphones. Depuis, les deux pays se sont mis d'accord pour une trêve de 90 jours sur leurs surtaxes douanières.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Le fonds RedBird vise un rachat du quotidien The Telegraph

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Le groupe de presse britannique The Telegraph, propriété depuis 2004 de la richissime famille Barclay, avait été mis en vente fin 2023 par la banque Lloyds pour éponger de lourdes dettes. (archives) (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Le fonds américain RedBird a annoncé vendredi avoir conclu un "accord de principe" pour racheter l'influent quotidien conservateur britannique The Telegraph - qui cherche un repreneur depuis près de deux ans - pour 500 millions de livres (557,4 millions de francs).

Cet accord ouvre une nouvelle ère de croissance" pour le Telegraph, "un titre vieux de 170 ans", a fait valoir RedBird Capital Partners dans un communiqué.

Le groupe de presse britannique, propriété depuis 2004 de la richissime famille Barclay, avait été mis en vente d'office fin 2023 par la banque Lloyds pour éponger de lourdes dettes.

Une coentreprise entre Redbird et le fonds d'investissement dans les médias d'Abou Dhabi (IMI), baptisée Redbird IMI, avait d'abord passé un accord avec la famille Barclay et remboursé sa dette en échange d'une option pour prendre le contrôle de l'entreprise.

Mais la perspective de voir un fonds émirati contrôler l'une des publications les plus influentes au Royaume-Uni avait inquiété le gouvernement britannique, qui avait annoncé son intention de légiférer pour bloquer la prise de contrôle de journaux britanniques par des États étrangers. Redbird IMI avait finalement jeté l'éponge.

Investisseurs passés à la loupe

C'est désormais le fonds américain seul qui offre de devenir "l'actionnaire majoritaire" mais précise être en discussions avec "des investisseurs minoritaires britanniques" triés sur le volet, "spécialistes de la presse écrite et résolument engagés à défendre les valeurs éditoriales du Telegraph".

Le fonds, qui a déjà investi en Europe dans des clubs de football tels que le Milan AC ou Liverpool, dit vouloir se focaliser sur les opérations numériques du Telegraph, les abonnements ou "les meilleurs talents journalistiques", et développer la publication à l'international, notamment vers les Etats-Unis.

Selon The Telegraph, le fonds d'investissement émirati IMI, partenaire initial de RedBird, conservera toutefois une participation, qui pourrait atteindre 15%, seuil récemment évoqué par le gouvernement comme limite possible pour les investissements d'Etats étrangers.

Le propriétaire du site d'information américain The New York Sun, Dovid Efune, un temps donné comme repreneur favori du Telegraph, était entré en octobre dernier en "négociations exclusives" de rachat, mais il avait ensuite eu du mal à réunir les 550 millions de livres promis.

Selon The Telegraph, M. Efune n'a pas jeté l'éponge et si l'offre de RedBird "semble favorite" aujourd'hui, "des obstacles subsistent pour conclure l'accord".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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