International
G20: Joe Biden s'entretient avec le pape puis Emmanuel Macron
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Joe Biden a profité de sa venue à Rome pour le G20 pour s'entretenir vendredi avec le pape, et se réconcilier avec la France après la brouille provoquée par la crise des sous-marins australiens.
"Ce que nous avons fait était maladroit et n'a pas été fait avec beaucoup d'élégance", a déclaré à ce propos le président américain, l'acte de contrition le plus clair à ce jour de la part des Américains.
Celui-ci a assuré à Emmanuel Macron, dans une déclaration un peu étonnante: "J'avais l'impression que la France avait été informée très en amont que le contrat (de sous-marins qu'elle avait avec l'Australie) ne se ferait pas. Devant Dieu, je vous assure que je ne savais pas que vous ne l'aviez pas été."
Au terme d'un tête-à-tête d'une heure et demie, le président américain a ajouté que la France était à ses yeux "un partenaire d'une extrême valeur", en s'adressant aux journalistes auprès de son homologue français, qui le recevait à la Villa Bonaparte, ambassade de France auprès du Vatican.
Le président français s'est lui réjoui devant son homologue des "décisions concrètes" annoncées ou prises depuis le début de la crise, à la mi-septembre, qui "amorcent un processus de confiance". "Nous avons clarifié ce que nous avions à clarifier", a-t-il encore dit.
Dans les attentes françaises, il y a en particulier un soutien clair des Américains à propos du projet de véritable défense européenne commune, cher à Paris, à l'heure où les Etats-Unis ont clairement fait de la rivalité avec la Chine la ligne de force de leur diplomatie. "La confiance c'est comme l'amour, les déclarations c'est bien, les preuves c'est mieux", a dit Emmanuel Macron.
Signal américain
Sur ce thème particulièrement cher aux Français, qui cherchent depuis des années une bénédiction de Washington à leurs efforts de constitution d'une défense européenne, "les Etats-Unis reconnaissent l'importance d'une défense européenne plus forte et plus opérationnelle", et "complémentaire avec l'Otan", est-il écrit dans un communiqué commun.
Désormais "c'est l'avenir qu'il faut regarder", a encore déclaré M.Macron, plus mesuré dans ses gestes et son ton que le président américain. France et Etats-Unis s'engageront ainsi dans un "partenariat bilatéral sur l'énergie propre" d'ici la fin de cette année, dot encore le communiqué commun parmi toute une série de projets.
Washington dit aussi avoir " engagé des ressources supplémentaires au Sahel pour soutenir les efforts de lutte contre le terrorisme menés par la France et les autres Etats européens". Saluant les premières mesures concrètes mises en oeuvre sur le terrain par les Etats-Unis, Paris demandait justement plus de soutien aux interventions militaires contre les djihadistes au Sahel.
Consolider les alliances
Avant le président français, Joe Biden, soucieux de consolider les alliances européennes des Etats-Unis malmenées pendant la présidence Trump, a vu à Rome Mario Draghi, chef du gouvernement italien, considéré par certains commentateurs comme un nouvel homme fort sur la scène politique européenne.
Ces rencontres font office de lever de rideau avant le sommet du G20 sous présidence italienne, qui se tient samedi et dimanche, suivi de la grande réunion COP26 sur le climat, à Glasgow. En l'absence des présidents chinois et Russe, Joe Biden entend bien donner le ton.
Même fragilisé par ses difficultés à faire voter chez lui de gigantesques dépenses publiques, et par le retrait chaotique d'Afghanistan, il assure à qui veut l'entendre que "l'Amérique est de retour" pour mener la grande offensive des démocraties face aux régimes autoritaires.
Au Vatican
Avant d'entamer cette série d'entretiens, Joe Biden a rendu visite au pape, pour la quatrième fois, la première depuis qu'il est à la Maison blanche. Le tête-à-tête, auquel la presse n'a eu aucun accès, a duré plus d'une heure selon le Vatican et la Maison Blanche. Sur des images enregistrées par le Vatican, beaucoup de sourires, de longues poignées de main et un Joe Biden ému.
"Vous êtes le soldat de la paix le plus important que j'aie jamais rencontré" et "mon fils aurait voulu que je vous donne cela", dit le président, catholique fervent, en remettant au pape un petit médaillon. Le médaillon rappelle un régiment dans lequel Beau Biden, décédé en 2015 d'un cancer, a servi.
Joe Biden a "remercié sa sainteté pour son engagement en faveur des pauvres, des personnes souffrant de la faim, de la guerre et de persécutions", et a "rendu hommage" au pape pour ses appels à lutter contre le changement climatique et la pandémie, selon un compte-rendu de la Maison Blanche.
Selon le Vatican, la conversation a aussi porté sur les migrants ainsi que sur "la protection des droits humains, y compris la liberté de religion et de conscience." Pas un mot, au moins officiellement, sur un sujet contentieux: le droit à l'avortement, dont Joe Biden est partisan tandis que le pape n'a pas de mots assez virulents pour condamner les interruptions volontaires de grossesse.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Japon : un fort séisme entraîne une alerte au tsunami
Un fort séisme a frappé lundi le nord du Japon, où deux vagues de tsunami de 40 centimètres ont été enregistrées selon l'agence météorologique du pays.
L'Institut américain de géophysique (USGS) a affirmé que le tremblement de terre de magnitude 7,6 s'est produit à 14h15 GMT (15h15 en Suisse) au large de Misawa, sur la côte Pacifique du Japon, à une profondeur de 53 kilomètres.
L'agence météorologique japonaise (JMA) a aussitôt émis une alerte au tsunami. Une première vague de 40 cm a déferlé sur un port dans la région septentrionale d'Aomori, où se situe Misawa, à 23h43 locales (15h43 en Suisse), a-t-elle précisé.
A 23h50, une autre vague de 40 cm a atteint la ville d'Urakawa, dans la région d'Hokkaido.
Des blessés
Plusieurs personnes ont été blessées, a rapporté la télévision publique NHK en citant un employé d'hôtel à Hachinohe, près d'Aomori. Des images filmées en direct montrent des morceaux de verre brisés éparpillés sur les routes.
Le séisme a également été ressenti dans la grande ville de Sapporo, dans le nord de l'archipel nippon, où les alarmes des téléphones portables des habitants ont retenti.
Un journaliste de la NHK à Hokkaido (nord) a décrit une secousse horizontale d'environ 30 secondes l'ayant empêché de rester debout, au moment du séisme.
La JMA redoutait un peu plus tôt lundi un tsunami pouvant atteindre trois mètres.
2011
La région est toujours traumatisée par le terrible séisme de magnitude 9,0 de 2011, qui avait déclenché un tsunami, à l'origine de quelque 18'500 morts ou disparus.
La catastrophe avait également entraîné la fusion de trois des réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima, pire désastre de ce type depuis Tchernobyl.
Le Japon se situe à la jonction de quatre plaques tectoniques, sur ladite "Ceinture de feu" du Pacifique. Le pays présente l'une des plus fortes activités sismiques au monde.
L'archipel de 125 millions d'habitants enregistre environ 1500 tremblements de terre par an. La plupart sont faibles, même si les dégâts peuvent varier en fonction de leur localisation et de leur profondeur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
L'UE autorise le rachat par Mars du groupe Kellanova
L'Union européenne (UE) a annoncé lundi avoir autorisé le rachat par le géant agroalimentaire américain Mars de son compatriote Kellanova. Ce dernier détient notamment les chips Pringles et certains produits céréaliers vendus sous la marque Kellogg's.
La Commission européenne, qui avait ouvert cet été une enquête approfondie sur cette transaction à 31 milliards d'euros (36 milliards de dollars), annoncée en août 2024, dit avoir conclu qu'elle n'entraînerait pas de problèmes de concurrence en Europe. Bruxelles avait justifié son enquête en disant s'inquiéter du risque que l'opération ne provoque des hausses de prix pour les consommateurs, en augmentant le pouvoir de pression de Mars lors des négociations tarifaires avec les distributeurs.
Mais la Commission a estimé finalement que "les produits de Kellanova qui vont s'ajouter au portefeuille de marques de Mars ne vont pas renforcer son pouvoir de négociation". Outre sa célèbre barre chocolatée, Mars produit aussi les Twix et Snickers, les bonbons au chocolat M&Ms ou encore les aliments pour animaux Whiskas et Royal Canin.
L'acquisition de Kellanova va lui permettre de se développer dans les snacks salés. Kellanova est issue de la scission en 2023 de l'ex-groupe américain Kellogg en deux sociétés distinctes.
D'un côté, WK Kellogg a conservé les activités de céréales pour petit-déjeuner en Amérique du Nord (Kellogg's Corn Flakes, Froot Loops, Rice Krispies, All-Bran...). Le groupe italien Ferrero a annoncé cet été vouloir racheter cette société pour 3,1 milliards de dollars. De l'autre, Kellanova a hérité des marques de céréales à l'international, et des gammes d'encas salés et sucrés, dont les chips Pringles, les biscuits Cheez-It et les Pop-Tarts.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp
International
Zelensky fait le point à Londres avec ses alliés européens
Les alliés européens ont affiché lundi à Londres leur solidarité avec Volodymyr Zelensky, et fait part de leur "scepticisme" sur "certains détails" des propositions américaines visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.
Les dirigeants français, allemand et britannique se sont réunis un peu moins de deux heures autour du président ukrainien, auquel le président Donald Trump avait reproché dans la nuit de "ne pas avoir lu" les dernières propositions américaines. Des propositions dont le contenu n'a pas filtré jusqu'ici.
S'exprimant à l'ouverture de la réunion à Londres, le chancelier allemand Friedrich Merz s'est dit "sceptique" sur "certains détails que nous voyons dans les documents provenant des Etats-Unis". Il n'a pas précisé à quels documents il faisait référence.
Le président français Emmanuel Macron a semblé aller dans le même sens en soulignant que "la principale question" était "la convergence entre nos positions communes, entre Européens et Ukrainiens, et les Etats-Unis.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
International
Errani rejoint le staff de Paolini
Jasmine Paolini (WTA 8) aura parmi ses entraîneurs en 2026 sa partenaire en double Sara Errani, a-t-elle annoncé dimanche. Les deux Italienne ont conquis l'or olympique du double à Paris 2024.
"Sara fera partie de mon équipe la saison prochaine", a déclaré Paolini lors d'une émission de la chaîne de télévision Rai Uno. "Il y aura deux personnes à mes côtés: Danilo Pizzorno sera mon entraîneur et Sara sera en charge des questions tactiques, car dans ce domaine, elle est à un autre niveau", a précisé Paolini, qui avait mis fin en mars dernier à sa collaboration avec Renzo Furlan, son entraîneur pendant dix ans.
Si elle a mis un terme à sa carrière en simple, Sara Errani (38 ans) entend continuer à jouer en double avec Paolini (29 ans): "Nous jouons tellement bien ensemble que c'est difficile d'arrêter", a indiqué l'ancienne 5e joueuse mondiale en simple, finaliste à Roland-Garros en 2012.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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