Suisse Romande
Vers une alliance de droite pour le 2e tour au Conseil d'Etat
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Les grandes manoeuvres ont commencé parmi les cinq principaux partis politiques fribourgeois après le 1er tour de l'élection du Conseil d'Etat. Au 2e tour, la droite devrait s'allier à trois pour conserver sa majorité et aider le Centre à sauver Jean-Pierre Siggen.
Les tractations ont débuté dès les premières tendances connues dimanche après-midi sur le site Miséricorde de l'Université de Fribourg. Elles dureront jusqu'à mardi soir. Au fur et à mesure de la déroute de son ministre Jean-Pierre Siggen, encore premier en 2016, le Centre (ex-PDC) a occupé la plupart des discussions.
Partie en ordre dispersé au 1er tour, la droite doit se ressaisir pour assurer sa majorité actuelle à cinq (trois centristes et deux PLR) contre deux pour la gauche (PS), dont le sortant Jean-François Steiert. Le président du Conseil d'Etat est arrivé en tête, devant la Verte Sylvie Bonvin-Sansonnens et le sortant PLR Didier Castella.
La droite constituera sans doute une alliance. Un tel modèle a souri à la gauche qui a placé quatre des siens dans les sept premiers (les socialistes Jean-François Steiert, Valérie Piller Carrard, 4e, et Alizée Rey, ainsi que Sylvie Bonvin-Sansonnens), sans compter le 8e rang de Sophie Tritten (Centre Gauche-PCS), qui a devancé Jean-Pierre Siggen.
Alliance à cinq
Le Centre se trouve donc au centre de toutes les attentions, même s'il est redevenu le premier parti au Grand Conseil, malgré la perte d'un siège. En l'état, se dessine raisonnablement une alliance à cinq avec deux PLR, deux centristes et un UDC, même si le Centre caresse l'espoir de pouvoir sauver aussi son troisième siège.
Le problème est que Luana Mermoud-Baldi, sa troisième candidate, n'est sortie que 10e. Le PLR, qui a gagné deux sièges au législatif, est légitime pour maintenir ses candidats (Didier Castella et Romain Collaud, 7e). Absente de l'exécutif depuis 1996, l'UDC pourrait aller au 2e tour avec Philippe Demierre, 11e et mieux classé de ses quatre candidats.
La mécanique pourrait alors tirer de l'abîme Jean-Pierre Siggen, qui avait succédé à sa collègue de parti Isabelle Chassot en 2013. Le directeur de l'instruction publique garderait son maroquin, avec le deuxième centriste sortant, le germanophone Olivier Curty, 5e, et qui a bénéficié du vote des districts de la Singine et du Lac.
Uni, comme en 2016, le camp bourgeois devrait non seulement sauver Jean-Pierre Siggen, mais aussi sa majorité au gouvernement. En votant "comme un seul homme" à la manière de la gauche, selon les mots du président de Centre cantonal Damiano Lepori, la droite n'aura alors guère de problème à conserver au moins quatre sièges.
A quatre ou à trois
L'alliance de gauche ne l'entend évidemment pas de cette oreille. Forte de son succès, la question se pose pour elle de savoir s'il faut partir à quatre (Steiert, Bonvin-Sansonnens, Piller Carrard et Rey) ou à trois (sans Rey), histoire de ne pas avoir "les yeux plus gros que le ventre", comme l'a dit Sylvie Bonvin-Sansonnens.
Dans ce cas, la gauche se contenterait de renouer avec la situation prévalant entre 2012 et 2018 lorsque deux PS et la Verte Marie Garnier siégeaient à l'exécutif. Les débats seront toutefois moins tendus qu'à droite au vu de la dynamique du 1er tour, même si les sept fauteuils gagnés par les Verts au Grand Conseil l'ont été au détriment du PS.
Au terme de 48 heures de tractations, les cinq grands partis du canton se réuniront chacun mardi soir pour arrêter leurs choix en vue du 28 novembre. Le délai pour annoncer les retraits est fixé à mercredi, sachant déjà que cinq des 19 candidats sur la ligne de départ ne peuvent prétendre à un 2e tour qui s'annonce passionnant.
Au-delà, la capacité à mobiliser davantage qu'au 1er tour jouera également son rôle, avec une gauche qui pèse environ 40%. Pas facile toutefois d'y parvenir. En effet, le taux de participation n'a pas excédé 37,63% dimanche. Et la tendance est à la baisse, si l'on se réfère aux 39,1% d'il y a cinq ans et aux 43,3% de 2011.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Mieux comprendre la physique quantique du quotidien à l'Unige
Dans le café du matin ou sur les vitres du train, la physique quantique se cache partout dans la vie quotidienne. Le physicien et célèbre vulgarisateur Fabrizio Bucella décryptera ces phénomènes pour le grand public dans sa conférence "La quantique au coin de la rue", mercredi, à l'Université de Genève (Unige).
Regarder son reflet dans la vitre du train tout en observant le paysage défiler. Siroter son café sans recevoir une décharge de rayons ultra-violets. Voici des exemples de physique quantique du quotidien que le professeur de physique et de mathématiques à l'Université de Bruxelles décryptera dans le bâtiment Sciences II de l'Unige.
Fabrizio Bucella, invité par le Quantum Club, rassemble un million d'abonnés sur l'ensemble de ses réseaux sociaux, selon un communiqué de l'Unige. Il est aussi chroniqueur à la radio et télévision publique belge et auteur du livre de vulgarisation "Comment gagner à pile ou face? Et autres énigmes scientifiques ébouriffantes" aux éditions Allary.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Orbe - Chavornay: les adieux à une ligne historique
Les habitants d'Orbe et de Chavornay (VD) ont dit au revoir samedi à la ligne historique reliant les deux localités, avant la refonte complète du parcours. Un dernier aller-retour symbolique a été organisé sur ce qui a longtemps été la plus petite ligne à voie normale électrifiée de Suisse.
L'Orbe - Chavornay (OC), ou l'Ottawa-Chicago selon son surnom, reliait les deux localités du Nord vaudois sur 3,965 kilomètres. Elle avait été inaugurée en 1894 et était, à l'époque, la première ligne électrifiée du pays.
Cette ligne, qui obligeait les voyageurs d'Orbe à changer à Chavornay pour rejoindre le réseau CFF, va être complètement modernisée. Avec donc comme objectif principal d'intégrer la cité urbigène et ses 8000 habitants au RER vaudois.
Début 2027
Le chantier a déjà démarré depuis plusieurs semaines et comprend divers aspects, relatifs à la future ligne, aux haltes, mais aussi à la construction d'un pont routier pour assurer le croisement entre le ferroviaire et la route cantonale. L'ensemble du projet est estimé à 100 millions de francs, dont environ 96% sont financés par la Confédération, le solde étant notamment à charge des communes et du Canton.
Durant la durée des travaux, le trafic des voyageurs s'effectuera désormais avec des bus. A la réouverture de la ligne, prévue début 2027, l'exploitation ferroviaire sera assurée par les CFF, et non plus par la société de transports régionaux Travys.
"Nouvelle ambition"
Samedi à Orbe, la population a été invitée à participer aux adieux des rames OC, lesquelles finiront à la casse. "Ce dernier voyage marque la fin d'une époque, mais surtout le début d'une nouvelle ambition: offrir à la région une liaison directe et performante avec le réseau RER Vaud, jusqu'à Renens, sans changement à Chavornay", a relevé le directeur de Travys, David Robert, cité dans un communiqué.
Diverses animations ont été proposées durant la journée. La rame OC a notamment été décorée par plus de 70 dessins d'élèves d'Orbe et Chavornay.
En 2023, près de 320'000 voyageurs ont emprunté la ligne Orbe - Chavornay. A terme, l'objectif consiste à atteindre entre 400'000 et 500'000 personnes. Le trafic marchandises en profitera aussi, à commencer par Nestlé qui dispose d'un important site à Orbe.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Fuite de chlore à la piscine d'Etoy: 3 ados hospitalisés
Une fuite de chlore survenue vendredi en début de soirée à la piscine du Centre sportif d'Etoy a nécessité l'évacuation d'une cinquantaine de personnes. Intoxiqués, trois adolescents ont dû être hospitalisés, mais leur vie n'est pas en danger, indique la police cantonale samedi.
Les trois adolescents âgés de 15 ans sont toujours en observation à l'hôpital, précise la police dans son communiqué, mais leur pronostic vital n'est pas engagé. La police ignore pour l'heure les raisons de la fuite de chlore, survenue vers 18h45. Le Ministère public a ouvert une enquête.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Succession de Ruiz: les socialistes ont choisi Roger Nordmann
Le Parti socialiste vaudois a désigné samedi Roger Nordmann comme candidat à l'élection complémentaire au Conseil d'Etat le 8 mars prochain pour succéder à Rebecca Ruiz. L'ex-conseiller national a été préféré au chef du groupe PS au Grand Conseil, Sébastien Cala.
Réunis en Congrès extraordinaires à Epalinges, les 400 délégués du PS Vaud ont voté par 239 voix en faveur de Roger Nordmann, dès le premier tour. Ils l'ont ensuite longuement applaudi.
"En trois ans et demi, la majorité de droite du Conseil d'Etat a entraîné un enchevêtrement de crises, crises financières, institutionnelles et de confiance", a déclaré M. Nordmann devant le congrès. Le Lausannois a notamment critiqué les baisses fiscales, dénonçant "une crise des recettes fabriquée par la droite".
Face à "la redistribution des richesses à l'envers", il a plaidé pour "une politique pour l'intérêt général". Il a aussi vanté sa compréhension des enjeux économiques, financiers et fiscaux. "Bâtir des ponts est ma marque de fabrique pour résoudre les problèmes", a-t-il dit.
Très connu et médiatisé pour son inlassable engagement sur le plan climatique et énergétique, Roger Nordmann avait annoncé en février dernier qu'il démissionnait du Parlement fédéral. Le Lausannois était entré en novembre 2004 à la chambre du peuple à Berne. Il avait affirmé alors aux médias qu'il quittait "provisoirement, c'est sûr" la politique, mais "sans exclure de revenir". Il disait avoir besoin d'une pause et d'être moins exposé.
Il a notamment siégé dans la commission de l'énergie et de l'environnement du Conseil national. Il a également présidé le groupe socialiste de 2015 à 2023, puis été membre de la commission d'enquête parlementaire sur Credit Suisse. Il est souvent loué pour sa capacité à construire des ponts et à bâtir des compromis.
UDC en challenger
Roger Nordmann aura donc la tâche de conserver le deuxième siège PS au gouvernement vaudois après l'annonce de la démission de la ministre de la santé et de l'action sociale Rebecca Ruiz, la semaine passée, pour des raisons de santé. Les Vert-e-s ont déjà annoncé qu'ils soutiendraient la candidature socialiste et ne lancent donc personne dans la course.
L'UDC est, elle partante. Elle a été le premier parti à désigner son candidat à cette élection complémentaire, le député et ex-président du Grand Conseil Jean-François Thuillard. Cet agriculteur est aussi actuellement syndic de Froideville. Il est soutenu par le PLR. Egalement membre de l'Alliance vaudoise, le Centre doit se prononcer mardi soir.
La gauche radicale est aussi dans les starting-blocks. Elle lance la conseillère communale lausannoise d'Ensemble à gauche, Agathe Raboud Sidorenko.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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