Vaud
PLR: Burkart plaide pour un pragmatisme sans ½illères idéologiques
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Le président du PLR Thierry Burkart a vanté samedi à Montreux le pragmatisme de son parti face à l'idéologie et le moralisme de la gauche. Après les vagues du coronavirus, il a mis en garde contre les vagues d'indignation du PS, des Verts mais aussi de l'UDC.
Dans son premier grand discours devant une assemblée de délégués dans la peau du président, le sénateur argovien de 46 ans a critiqué le fonctionnement politique de ces trois partis. Dans chacun de leurs thèmes de prédilection, "ce qui ne leur convient pas doit être interdit, selon la devise: ma morale vaut pour tous", a-t-il déclaré dans une allocution principalement en suisse allemand, parsemée de quelques passages en français et d’un en italien.
Citant le blocage illégal de routes par des militants proclimat, défendu par certains élus au pouvoir, M. Burkart s'est dit inquiet de voir le droit se transformer en arbitraire sous prétexte de morale. "Ce n'est plus le droit qui est déterminant, mais la conception morale d'une minorité dans ce pays", a-t-il déploré au 2m2c de Montreux.
Le président élu il y a quatre mois a opposé les "solutions pragmatiques et constructives" du PLR aux "oeillères idéologiques" de la gauche. Il a critiqué les "combats d'indignation" lancés par celle-ci au "cas par cas" attirant un "maximum d'attention" mais atteignant un "minimum d'engagement sur le fond".
Responsabilité individuelle étouffée
D'un cas particulier, la gauche en fait une règle générale et donc une loi, réduisant ainsi petit à petit la liberté de l'individu, étouffant la responsabilité individuelle, a-t-il dit en substance. "Peu à peu, notre société s'étouffe dans un fatras de bureaucratie, avec de graves conséquences pour la capacité d'innovation des individus et donc pour la prospérité de notre pays", a-t-il affirmé.
"Les start-ups et PME ont, au contraire, besoin d'air pour respirer et offrir des emplois d'avenir", a-t-il poursuivi.
Pêle-mêle, il a notamment accusé la gauche de vouloir détruire le modèle éprouvé de prévoyance vieillesse en s'attaquant à la réforme de l'AVS ou jugé que sa lutte contre le renforcement de Frontex était un coup porté à la sécurité et à la liberté de la Suisse.
Le nucléaire en débat
Le conseiller aux Etats argovien a terminé son discours sur un autre grand défi pour le pays: la sécurité de l'approvisionnement en électricité.
Face aux incertitudes d'une sortie du nucléaire décidée par le peuple et à la lenteur du développement des énergies renouvelables, et alors que la consommation d'électricité ne va cesser d'augmenter d'ici 2050, il a plaidé pour des solutions à court et long terme, sans craindre de mélanger différentes mesures et tout en respectant l'objectif de neutralité carbone d'ici 2050.
M. Burkart a notamment prôné une ouverture du marché de l'électricité aux privés et une offensive dans le domaine du photovoltaïque, passant par une simplification et accélération des procédures d'installation.
S'agissant de l'énergie nucléaire, il a tenu à souligner que son parti n'exigerait jamais qu'une centrale nucléaire soit construite dans l'immédiat mais qu'on pouvait l'envisager à plus long terme et en dernier recours si les autres technologies ne pouvaient pas assurer les besoins en électricité dans le futur.
"Et seule une technologie nucléaire plus développée, de nouvelle génération, est envisageable", a-t-il insisté. Les délégués devaient justement débattre d'une résolution à ce sujet lors de cette assemblée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Région nyonnaise: fusion entre la NStCM et les TPN
Dans la région nyonnaise, sur la Côte, les transports publics s'associent. La fusion entre les Transports publics de la région nyonnaise (TPN) et la Compagnie du chemin de fer Nyon–St-Cergue–Morez (NStCM) a été formellement validée lors d'une assemblée générale des actionnaires à Genolier.
"Cette décision officialise la création d'une entité unique sur les plans juridique et comptable, tout en préservant l'identité visuelle de chacune des marques", écrivent mercredi les deux parties dans un communiqué commun. "Cette unification vise à optimiser la gouvernance, le financement et les processus internes".
Elle n'entraîne aucune suppression de poste, ni de modification des services pour la clientèle, assure-t-on. Les marques "NStCM" et "TPN" continueront d'exister avec leurs couleurs et leurs logos.
Mêmes lignes et horaires
"Pour le public, rien ne change. Les lignes, les horaires et les interlocuteurs restent les mêmes. Mais en interne, cette fusion nous permet de gagner en efficacité et en clarté administrative", explique Emmanuel Laurent, directeur de l'entreprise, cité dans le communiqué.
Depuis 1996, les TPN formaient une filiale du NStCM. Les deux entreprises partageaient déjà une direction commune ainsi que plusieurs services (finances, RH, IT, commercial). En revanche, elles conservaient jusqu'ici une gestion juridique, comptable et contractuelle distincte, rappellent leurs responsables.
Le processus de fusion a été validé par les deux conseils d'administration le 1er mai 2025. L'inscription au registre du commerce a suivi le 9 mai, sous le nom juridique unique de "Compagnie du chemin de fer Nyon-St-Cergue-Morez SA.". Lors de l'assemblée générale du 27 mai dernier, les nouveaux statuts ont été adoptés et le conseil d'administration renouvelé, avec à sa tête Regula Zellweger, syndique de Givrins et députée au Grand Conseil.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Personnalités et ONG lancent un "Appel" contre les renvois forcés
Plus de 130 personnalités vaudoises et une quarantaine d'ONG ont signé un "Appel" contre les renvois forcés de migrants. Elles demandent au Canton de Vaud de mieux protéger les plus vulnérables et les droits humains. Cette revendication a été officiellement lancée mercredi à Lausanne.
"Depuis plusieurs années, les associations alertent sur la situation de plus en plus critique des renvois Dublin en matière d'asile. Plusieurs événements récents ces derniers mois ont, une fois de plus, mis en lumière les conditions de ces renvois dans notre canton. C'est sur cette base qu'une quarantaine d'organisations et plus de 130 personnalités vaudoises lancent cet appel", ont-elles expliqué devant les médias.
"Nous, signataires de cet appel, appelons le Conseil d'Etat à faire preuve d'humanité en renonçant à exécuter les renvois forcés des familles avec enfants, des personnes dont la santé est menacée par le renvoi et d'autres personnes exilées en situation de vulnérabilité", déclarent-ils.
"Nous demandons au gouvernement vaudois qu'il utilise toutes les marges de manoeuvre possibles dans sa loi d'application des renvois des demandeurs d'asile, par rapport au droit fédéral qui ne règle pas tout, notamment en regard de la Convention des droits de l'enfant de l'ONU et aussi de critères de santé", a déclaré Julien Eggenberger, député socialiste et un des instigateurs de l'appel.
Trouver un autre chemin
"L'idée de cet appel est d'ouvrir une nouvelle manière de faire, d'interpeller, de créer de nouvelles opportunités, car les leviers actuels ne fonctionnent pas et les chemins législatifs sont difficiles au parlement cantonal", a pour sa part affirmé Joëlle Minacci, députée d'Ensemble à Gauche et également à l'origine de l'appel. "Nous comptons sur la mobilisation de la société civile pour faire bouger les choses, les lignes", a-t-elle ajouté.
A ce stade, les signataires viennent de différents bords politiques, des milieux sportifs, culturels, universitaires, scientifiques, de la santé, associatifs, syndicaux et des Eglises. L'objectif est d'en rassembler le plus possible et de lancer ensuite "la balle aux autorités".
Parmi les personnalités qui ont signé l'appel, on retrouve par exemple le prix Nobel Jacques Dubochet, le musicien Pascal Auberson l'écrivain Blaise Hofmann, le président du Paléo Daniel Rossellat, l'humoriste Thomas Wiesel, l'astronaute Claude Nicollier, l'ancien président du Conseil national Yves Christen ou encore l'ex-conseiller aux Etats Luc Recordon.
Moret critiquée
Mercredi, une dizaine de signataires étaient présents à la conférence de presse. Tous ont dénoncé une situation sur le front des renvois de migrants qui s'est durcie. Il y a une intensification des renvois forcés ces derniers mois et une détérioration des conditions de ces renvois, se sont inquiétés plusieurs interlocuteurs, évoquant "une violence systémique de la procédure".
La problématique des enfants a été plusieurs fois abordée. "Le 40% des migrants sont des mineurs et le droit des enfants n'est pas pris en compte. D'un point de vue administratif, ce ne sont que des cas rapportés", a dénoncé Bernard Borel, responsable de l'ONG Médecins Action Santé Migrants (MASM). "Il y a des questions éthiques et de dignité à se poser", a-t-il insisté.
"Cette journée du 4 juin se veut une journée forte pour dire que ça ne peut plus continuer comme ça, que le Conseil d'Etat doit changer sa manière de faire", a encore dit M. Eggenberger. La manière de mettre en oeuvre les renvois (conditions dures, arrestations brusques, présence policière parfois nombreuse, etc) est une décision politique, ont aussi rappelé les intervenants.
La conseillère d'Etat Isabelle Moret, en charge de ce dossier, a également essuyé des critiques. "Il y a un durcissement depuis qu'elle est en place. Elle fait le sale boulot que ses prédécesseurs n'ont pas fait pour se montrer bonne élève par rapport à la Confédération", a estimé Jean-Marc Béguin, conseiller communal lausannois vert'libéral.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Vaud: plus de 7000 véhicules "flashés" à l'Ascension
La police vaudoise a recensé plus de 7000 dépassements de vitesse sur les routes du canton durant le week-end de l'Ascension. Alors qu'un week-end normal enregistre en général 800 infractions par jour, ce chiffre a plus que doublé à l'Ascension.
Les dépassements les plus élevés ont concerné des véhicules qui circulaient à 178 km/h (au lieu de 100 km/h) sur l'A5, 128 km/h (80 km/h) dans une zone chantier sur l'A9 ou encore 202 km/h (120 km/h) à la hauteur de Duillier, indique jeudi la police vaudoise.
Hors autoroute, les contrôles ont notamment relevé des vitesses de 120 km/h et 109 km/h au lieu des 50 km/h autorisés en localité, à Mézières. Ces deux dernières infractions relèvent du crime chauffard "Via Sicura".
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Lausanne: 140 projets artistiques gratuits au Festival de la Cité
Le Festival de la Cité à Lausanne proposera pas moins de 140 projets artistiques et 200 représentations sur une vingtaine de scènes, du 1er au 6 juillet prochain. Si arts vivants et musique demeurent au coeur de cette manifestation gratuite, le projet de choeur participatif à l'occasion des 750 ans de la cathédrale promet de s'inscrire comme l'un des temps forts de cette 53e édition.
"Sous la direction de Johanna Hernandez, chantez avec nous un programme varié et accessible: l'intemporel Amazing Grace, le sublime Locus Iste de Bruckner et une oeuvre originale composée pour l'occasion" par la chanteuse Louise Knobil, invitent les organisateurs. "Il est possible d'embarquer dans cette aventure en tout temps, puisque les partitions sont disponibles librement sur le site internet du festival", précisent-ils dans le programme de l'édition 2025 dévoilé mercredi.
Sur la place du Château, l'installation monumentale "Crescendo", de l'artiste suisse Julian Vogel, devrait elle aussi marquer les esprits. "Lieu de spectacles et de rencontres, elle incarne l'esprit du Festival: un carrefour artistique qui invite à la découverte, au dialogue et à l'émerveillement collectif", souligne la directrice de la manifestation, Martine Chalverat.
Corde à sauter et électro congolaise
Du côté des arts vivants, une trentaine de spectacles sont à découvrir. Théâtre, cirque, danse, magie, récital queer, roller, corde à sauter ou encore "drum poésie" devraient trouver un large public.
Côté musique, une quarantaine de concerts tous azimuts figurent au programme. L'occasion pour les festivaliers d'écouter ou découvrir l'accordéoniste explorateur biélorusse Yegor Zabelov, les "paysages sonores" de l'Egyptien Maurice Louca, l'électro congolaise de Ngwaka Son Systéme, le "reggaetton ravetton" de l'Argentine Fiah Miau ou encore la multi-instrumentiste zurichoise Palinstar. En dernière partie de soirée, les "after de Tridel" réuniront les plus infatigables des festivaliers jusqu'au petit matin dans l'usine d'incinération du même nom.
Enfants pas oubliés
Comme les autres années, un riche programme attend le jeune public. Au menu, des spectacles comme "Les 3 Grâââââââces" aux costumes et décors exclusivement en carton, des acrobaties avec "Moi aussi!" et une déambulation mêlant récit, cirque et musique avec "Le Royaume de Kensuké". Des ateliers participatifs sont également prévus, parmi lesquels un "atelier gifles" dès 12 ans, ou un atelier d'éveil musical dès 18 mois.
La 53e édition mettra à l'honneur la scène musicale féminine suisse, avec un coup de projecteur particulier sur "les personnes intersexes, trans, agenre et non-binaire", soulignent les organisateurs.
Enfin, pour plus de durabilité et d'inclusivité, le festival propose un service de covoiturage par internet et prévoit la possibilité de louer un vélo électrique à un tarif préférentiel pour toute la durée de la manifestation. Les personnes en situation de handicap peuvent quant à elles bénéficier d'un service d'accompagnement.
L'an dernier, pendant six jours et par une météo changeante, environ 100'000 personnes avaient fréquenté la manifestation.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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