Vaud
Pascal Broulis plaide pour une aide indirecte aux médias
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Les cantons doivent envisager une aide indirecte aux médias car la "situation est critique", estime Pascal Broulis. Cette dernière pourrait passer par un soutien à l'agence Keystone-ATS, explique le conseiller d'Etat vaudois dans une interview publiée dans Le Temps.
"J’estime qu’il faut débattre de l’avenir de Keystone-ATS, cela de manière à garantir l’existence même d’une agence de presse distillant la même qualité de contenus dans les trois régions linguistiques du pays", avance lundi le président de la fondation ch pour la collaboration confédérale. Et de justifier: "pour que le modèle suisse fonctionne, il faut se connaître d'un bout à l'autre du pays [...] Ce que permet une telle agence".
La fondation ch organise ce lundi à Berne une conférence nationale sur le thème "Transformation des médias et fédéralisme", avec la participation de nombreux dirigeants de médias, de responsables politiques, ainsi que des chercheurs.
Alors que la Confédération planche déjà sur des mesures pour soutenir les médias, M. Broulis estime que cette tâche incombe également aux cantons car la culture, l'éducation et la formation sont de leur ressort.
Le fardeau de la distribution des journaux
Le gouvernement vaudois mène actuellement des réflexions sur le sujet dans le cadre d'une réponse à un postulat sur l'aide aux médias. Un soutien à Keystone-ATS fait partie des réflexions tout comme des mesures dédiées aux médias du canton. Les conclusions de ces réflexions ne seront probablement pas rendues publiques avant le début de l'année prochaine, précise M. Broulis.
Le canton de Berne planche également sur une aide aux médias du canton, notamment aux bureaux de l'agence de presse nationale présents sur son sol, soit à Berne et Bienne.
La transition numérique constitue un grand défi pour les médias. Pour les aider à la réaliser, le ministre PLR juge qu'il "serait utile de les décharger des coûts de distribution par La Poste en obligeant cette entreprise à offrir ce service gratuitement". Pour Pascal Broulis, il convient de se focaliser avant tout sur des mesures indirectes. L'aide directe est "délicate" car "elle suscite un problème d'indépendance".
Football
Johan Manzambi, de joker à titulaire?
Indispensable en club, Johan Manzambi est encore un remplaçant avec la Suisse. Il pourrait toutefois profiter des nombreuses absences au milieu pour débuter samedi contre la Suède, chez lui, à Genève.
L'impressionnant vivier helvétique dans l'entrejeu avait confiné Johan Manzambi à un rôle d'ailier qui n'est pas vraiment le sien en club. Cela ne l'avait pas empêché de faire étalage de son talent dès ses premiers pas sous le maillot suisse, lors de la tournée américaine de juin. Et de confirmer les promesses de l'été à chacune de ses entrées lors des quatre premiers matches de qualification pour la Coupe du monde 2026.
"Prêt" à être titulaire
Les absences combinées de Denis Zakaria (adducteurs) et Ardon Jashari (péroné), auxquelles se sont récemment ajoutées celles de Remo Freuler (clavicule) et Vincent Sierro (mollet), pourraient toutefois donner envie au sélectionneur Murat Yakin de faire débuter Johan Manzambi au poste qu'il occupe en Bundesliga, celui de milieu défensif.
Le principal intéressé, qui a répondu aux questions des journalistes mardi à Lausanne, se dit "prêt" à endosser un statut de titulaire. "Mais les choix de l'entraîneur ont été bons dernièrement, a-t-il insisté. Je suis encore le jeune de l'équipe de Suisse. Alors s'il me voit comme un joker, je serai un joker."
C'est pourtant Pierluigi Tami, le directeur des équipes nationales, qui a suggéré lundi devant la presse que le Genevois de 20 ans était une option crédible pour remplacer Remo Freuler au côté de Granit Xhaka. Les autres candidats se nomment Djibril Sow, Michel Aebischer et Simon Sohm.
Inamovible à Fribourg
Au pied de la Forêt-Noire, où il évolue depuis ses 17 ans et son départ du Servette FC, Johan Manzambi est déjà indispensable à son entraîneur Julian Schuster. Le technicien allemand était d'ailleurs bien embêté lorsque son protégé a dû purger deux matches de suspension en septembre pour un carton rouge. Les deux seuls matches qu'il a manqués depuis le 4 avril, date de son premier but en Bundesliga, et première étape de sa fulgurante ascension.
Sur les pelouses allemandes, Manzambi brille comme milieu de terrain "box-to-box", capable de faire remonter le ballon de son propre camp jusqu'à la surface adverse. Mais il est aussi capable d'évoluer comme no 10 ou sur l'aile, où ses qualités de dribbleur et son sens de but semblent particulièrement plaire à Murat Yakin.
Cette polyvalence a toujours été l'une de ses forces. "J'ai joué à tous les postes quand j'étais jeune", raconte le Genevois, qui a même chauffé les gants de gardien durant sa formation. Mais sa technique balle au pied l'a vite replacé au milieu du pré. "Je n'ai pas vraiment de préférence. Franchement, tant que je joue, je suis content", assure-t-il, sourire sincère.
Une première à Genève
C'est aussi pour son humeur toujours positive et sa maîtrise de l'allemand que Johan Manzambi est désormais l'un des premiers noms que le sélectionneur couche sur ses listes. Il est déjà possible d'affirmer que si la Suisse venait à se qualifier pour la Coupe du monde, seule une blessure l'empêcherait d'être de la partie en Amérique du Nord, l'un "des grands objectifs" de sa carrière.
Avant de songer à retourner aux Etats-Unis, là où son histoire avec la sélection a débuté, Johan Manzambi s'apprête à fouler pour la première fois un stade qu'il connaît bien, mais dans lequel il n'a encore jamais joué. A Genève, devant le public romand, il aura l'occasion de fêter une qualification qui tend les bras à la Suisse. Que ce soit comme titulaire ou comme joker.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Lausanne: un foyer exclusivement destiné aux femmes migrantes
Un foyer d'hébergement exclusivement destiné aux femmes migrantes ouvrira ses portes à l'été 2026 à Lausanne. Il remplacera le projet initialement prévu à Rolle et tombé à l'eau en septembre dernier. Il prendra place dans le foyer de l'EVAM située à l'avenue du Chablais, qui sera transformé pour l'occasion.
Le Département de l'économie, de l'innovation, de l'emploi et du patrimoine (DEIEP) a validé la transformation progressive du foyer de l'Etablissement vaudois d'accueil des migrants (EVAM) lausannois en structure d'accueil exclusivement réservé aux femmes, en particulier de celles en situation de vulnérabilité, accompagnées ou non d’enfants, indiquent mardi les services d'Isabelle Moret.
La transformation du site débutera progressivement en janvier 2026, pour une mise en exploitation complète prévue à l'été 2026, précisent-ils. Le site offrira une capacité totale de 92 places, dont une partie sera spécifiquement réservée à des femmes victimes de violences domestiques ou sexuelles.
"Sa configuration permettra de répondre aux besoins spécifiques des bénéficiaires, avec des aménagements favorisant la sécurité, la vie en collectivité et l'accompagnement individualisé, y compris pour les femmes accompagnées d’enfants", note encore le DEIEP.
Le site de l'avenue du Chablais avait accueilli jusqu'en 2020 un foyer pour mineurs non accompagnées (MNA). Ce foyer étant mixte, sa partie pour adultes continuait de fonctionner. Quant au projet prévu à Rolle, il avait été abandonné en septembre dernier. Le propriétaire de l'ancien hôtel Rivesrolle, où était prévu le foyer pour femmes, ne souhaitait plus poursuivre ce projet.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Incendie à Glacier 3000: la restauratrice acquittée
La restauratrice accusée d'incendie par négligence au restaurant Botta à Glacier 3000 aux Diablerets (VD) a été acquittée. La justice a estimé qu'elle n'avait pas manqué à ses devoirs de prudence en ne consultant pas le mode d'emploi de dix nouveaux réchauds à fondue.
Le Ministère public avait requis 30 jours-amendes à 50 francs avec sursis. Il estimait que l'accusée n'avait pas dûment formé son personnel à la manipulation des nouveaux réchauds, et qu'en conséquence, un employé avait empilé un réchaud doté d'un réservoir en plastique sur un autre réchaud non éteint, causant ainsi le sinistre. Pourtant, la lecture du mode d'emploi, mettant en garde contre ce risque, aurait permis d'éviter la catastrophe.
Le Tribunal d'arrondissement de l'Est vaudois à Vevey n'a toutefois pas retenu ces arguments, mardi lors de la lecture du verdict. Le procureur va déposer une annonce d'appel.
L'incendie s'était déclaré dans la nuit du 18 au 19 septembre 2022. Il avait ravagé le self-service du 3e étage, le restaurant du 4e et la machinerie des ascenseurs.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Château de Morges s'intéresse à l'espionnage durant la 2e Guerre
La nouvelle exposition temporaire au Château de Morges (VD) s'intéresse au rôle de la Suisse en matière d'espionnage et de résistance durant la Seconde Guerre mondiale. Intitulée "Top secret" et riche de plus de 500 objets, elle lève un voile sur "la guerre de l'ombre" qui s'est jouée en territoire helvétique.
Ouverte dès jeudi et jusqu'au 20 décembre 2026, l'exposition montre que la Suisse, malgré sa neutralité, a servi "de terrain d'action pour les espionnes et espions des Alliés, ainsi que de base arrière pour les réseaux de résistance", indique le Château de Morges.
L'exposition montre ainsi "l'implication décisive de la Suisse dans la guerre secrète qui s'est jouée entre 1939 et 1945." En toile de fond, elle raconte aussi "l'émergence du renseignement moderne et porte un regard sur les prémices de la guerre froide", poursuit le communiqué.
Le Château de Morges promet un parcours immersif et didactique pour découvrir cette facette souvent méconnue de l'histoire suisse. Entre transmissions cryptées, filières d'évasion et opérations clandestines, le public de tout âge pourra découvrir "le quotidien mouvementé de femmes et d'hommes qui ont participé à cette guerre secrète, parfois au péril de leur vie".
L'exposition s'accompagne de la publication de l'ouvrage "Guerre de l'ombre". Parmi les autres événements proposés en marge de l'exposition, un cycle de conférences démarrera en janvier sur "le monde mystérieux et souvent fantasmé" de l'espionnage.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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