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Suisse Romande

Le PDC du Valais romand accepte largement de s'appeler Le Centre

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Après la décision du PDCVR, toutes les sections romandes ont opté pour le nom Le Centre, sauf le Jura qui ne prendra pas de décision avant la fin 2022 (image d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les membres du PDC du Valais romand réunis en congrès à Conthey ont accepté jeudi soir à une large majorité de rebaptiser le parti. Il s'appellera désormais Le Centre, comme le parti national.

Le nom Le Centre Valais romand a été accepté par 328 voix contre 20 et 7 abstentions (comptant comme des non) lors d'un vote à main levée. La majorité qualifiée des deux tiers a ainsi été atteinte.

"Le changement de nom n'est pas une fin en soi. C'est le début d'un long processus", a déclaré avant le vote le président du PDCVr Joachim Rausis. "Il y aura un important travail à faire au niveau des structures du parti et du militantisme. Nous devons apprendre à faire de la politique différemment", a-t-il précisé.

Les pour et les contre

Une dizaine de membres ont pris la parole pour défendre ou s'opposer au changement de nom, dont Marianne Maret. La conseillère aux Etat avait refusé le changement d'appellation lors de l'assemblée des délégués du PDC suisse, elle a ensuite changé d'opinion.

En tant qu'élue à Berne, elle a "cheminé" avec ce nouveau nom et ce n'est "pas si désagréable à porter", a-t-elle admis. La sénatrice voit aussi dans ce changement l'opportunité pour le parti de prendre conscience qu'il a perdu la majorité absolue au Conseil d'Etat lors des élections de 2021 et qu'il s'agit d'être désormais "plus offensif, plus visible".

Le conseiller national Benjamin Roduit, lui aussi opposé dans un premier temps au changement de nom, a ensuite pris de la distance sur le sujet jusqu'à y être favorable. "Il n'y a pas de politique chrétienne ou de valeurs chrétiennes qui soient de gauche ou de droite", a-t-il déclaré, "le changement de nom n'est plus un thème à condition que nos valeurs soient au c½ur de toutes nos décisions".

La députée-suppléante au Grand Conseil Patricia Meylan s'est, elle, opposée au changement d'appellation. "Je suis démocrate-chrétienne parce que je me sens démocrate-chrétienne et tourner le dos au terme chrétien, c'est tourner le dos à notre culture", a-t-elle argumenté.

Comité soutenu

En acceptant la nouvelle appellation, le congrès a soutenu le comité directeur du parti qui s'était préalablement prononcé en sa faveur par 11 voix contre 1 et une abstention. Le comité s'était basé notamment sur les travaux d'un groupe de réflexion.

Ce dernier, mis sur pied au lendemain des élections cantonales de 2021 et de la perte par le PDC de la majorité absolue au Conseil d'Etat, a notamment planché sur le changement de nom. Il a mené un sondage interne auquel ont participé plus de 900 membres, dont 73% se sont montrés favorables à la nouvelle appellation.

Quant aux Jeunes démocrates-chrétiens du Valais romand, ils ont ouvert la voie il y a une semaine en acceptant le changement de nom par 36 voix contre 1 et 1 abstention, s'appelant désormais les Jeunes du Centre Valais romand.

Jusqu'en 2025

Approuvé en novembre 2020, le changement de nom au niveau national est intervenu suite à la fusion entre le PDC et le PBD. Les sections cantonales ont jusqu'en 2025 pour se décider.

Toutes les sections romandes ont opté pour Le Centre, sauf le Jura qui a annoncé en novembre dernier qu'il ne prendra pas de décision avant la fin 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Genève

La société des Vieux-Grenadiers fête ses 275 ans

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Les troupes des Vieux-Grenadiers défilent dans les rues à l'occasion des 275 ans de la société. (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La société des Vieux-Grenadiers, une des plus anciennes sociétés patriotiques genevoises, est née il y a 275 ans. L'anniversaire a été célébré samedi, avec, comme point d'orgue, un grand défilé fort de plus de 800 participants et de 70 chevaux à travers les rues de Genève, avec la présence des cavaliers croates de l'Alka.

Le Cercle des Vieux-Grenadiers, de son côté, a organisé une journée portes ouvertes afin de se présenter au public genevois, de lui faire découvrir l'arsenal de la compagnie et lui faire visiter le bâtiment qui lui sert de quartier général.

Des activités pour tous les âges ont été organisées, avec notamment un coup de projecteur sur la plus petite vigne du canton de Genève.

La société des Vieux-Grenadiers a été fondée en 1749. Elle est née de la volonté de quelques miliciens de créer une amicale de loisirs et d'entraide. Outre sa célèbre compagnie, elle compte aujourd'hui de nombreuses sections et recense environ 1000 membres.

La société des Vieux-Grenadiers est parfois présente lors de réceptions organisées par les autorités. Ses uniformes et son cérémonial apportent une touche de solennité militaire à ces événements.

La devise de la société des Vieux-Grenadiers est patrie, famille et amitié. L'égalité aussi compte au nombre de ses valeurs, précise dans un communiqué son président Pierre-Yves Vendramin. Les membres de la confrérie sont issus de toutes les strates de la société.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Une conférence sur les secrets des nombres mystérieux

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Une conférence à l'UNIGE tentera de lever le voile sur les nombres mystérieux, qui sont notamment utilisés par les scientifiques du CERN, ici à l'image, pour mieux comprendre les mécanismes de l'univers (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'Université de Genève (UNIGE) organise mardi une conférence publique sur les nombres mystérieux. Le professeur Francis Brown aura pour mission de lever le voile sur ces nombres utilisés par les scientifiques pour décrypter les interactions entre les particules.

Insaisissables et omniprésents: certains nombres continuent de fasciner et interroger les chercheurs. Parmi eux, les valeurs zêta employées en physique pour calculer des quantités importantes. Francis Brown, professeur de mathématiques à l'UNIGE et à l'Université d'Oxford, reviendra sur leur découverte au 18e siècle jusqu'à leur réapparition au coeur de la physique des particules.

Cette conférence marque le début d'une série annuelle visant à partager avec un public plus large les recherches menées par la section de mathématiques de l'Université de Genève. L'objectif principal de Maths à PartaG est de favoriser une meilleure compréhension des mathématiques auprès du grand public.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Helen Bekele pourra représenter la Suisse à Paris

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Helen Bekele peut désormais représenter la Suisse (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Helen Bekele peut dès à présent représenter la Suisse dans les grands championnats internationaux, a confirmé Swiss Athletics à Keystone-ATS.

Née en Ethiopie il y a 30 ans et naturalisée en février dernier, l'athlète du Stade Genève est désormais citoyenne suisse, a appris le Sport-Center.

Helen Bekele a obtenu son passeport à croix blanche et pourra donc disputer les Jeux de Paris si elle est comme on peut s'y attendre sélectionnée par Swiss Olympic. Elle vaut 2h19'44 sur marathon, un chrono réalisé en 2023 à Berlin qui fait d'elle la 70e performeuse de l'histoire, et une possible candidate au podium olympique.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Papier découpé: le Japon, la Suisse et le Portugal à l'honneur

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Markus Blum est l'un des trois artistes exposés par le Musée du Pays - d’Enhaut & Centre suisse du Papier découpé à Château-d’Oex jusqu'au 28 juillet. (© )

Le Musée du Pays-d’Enhaut & Centre suisse du papier découpé à Château-d’Oex (VD) accueille une nouvelle exposition temporaire. Jusqu’au 28 juillet, elle fait la place à trois artistes au style de découpage totalement différent, Claude Yersin et le couple Markus et Toshiko Blum.

"Ces ½uvres proposent au public de poser un regard sur trois cultures: celle du Japon, de la Suisse et du Portugal", explique Corinne Karnstädt, responsable des expositions temporaires au Centre suisse du papier découpé dans un communiqué.

Toshiko Blum, habitant Saint-Gingolph (VS), découvre l’art du découpage avec son mari en 1990. Il fait naître en elle une véritable passion, notamment lors de visites au musée de Château-d'Oex. En 2019, le couple commence à créer ses propres ½uvres.

Alpes et soleil levant

L’artiste, de nationalité suisse et japonaise, n’hésite pas, dans ses découpages, à mélanger les cultures. Elle y intègre des tissus traditionnels japonais, en particulier celui des kimonos, qu’elle revisite à sa manière. Passionnée de calligraphie, elle y incorpore également des caractères japonais, choisis avec soin pour leur signification profonde ou leur symbolique.

Pour son mari Markus Blum, le découpage est une manière de raconter des histoires, en particulier celles liées à sa jeunesse passée dans la ferme de son oncle en Suisse alémanique, entouré de vaches, de nature et de pâturages. À noter qu’il s’agit de la première et la dernière exposition du couple en Suisse, ce dernier ayant décidé de s’installer définitivement au Japon après cet événement.

Alentejo

Originaire de Rougemont, Claude Yersin a accepté l’invitation du Centre suisse du papier découpé à venir exposer en ses murs. L’artiste a débuté le découpage alors qu’il était médecin-coopérant aux Seychelles, représentant alors des sujets seychellois.

En 2015, une fois à la retraite, il s'installe au Portugal. Celui qui est également artiste peintre, reprend le découpage en 2018. Il s’inspire principalement de son environnement et de sa région d’Alentejo pour créer représentations de paysages, d’animaux et d’art de vivre de la région.

https://musee-chateau-doex.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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