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International

Positif au Covid, le président finlandais souffre d'une pneumonie

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Le président finlandais Sauli Niinistö, actuellement testé positif au Covid-19, avait effectué une visite officielle en Suisse en octobre 2013 (archives). (© KEYSTONE/LUKAS LEHMANN)

Le président finlandais Sauli Niinistö, positif au Covid-19, a annoncé mercredi qu'il souffrait d'une pneumonie. Mais une amélioration de son état lui a permis de quitter l'hôpital.

"Le corona s'est calmé et la pneumonie a frappé", a écrit Sauli Niinistö sur Facebook. A 73 ans, le chef d'Etat a passé "quelques jours" à l'hôpital cette semaine après un diagnostic positif au coronavirus le 19 avril, qui avait entraîné l'annulation d'une visite en Norvège. Remerciant le personnel hospitalier, il a indiqué que son "rétablissement se poursuivait chez lui".

La maladie du président intervient au moment où la Finlande, un pays nordique qui partage une frontière de 1300 kilomètres de la Russie, envisage de déposer sa candidature à l'Otan. En pleine invasion de l'Ukraine par la Russie, Moscou a menacé de renforcer ses moyens militaires, notamment nucléaires, dans la région de la Baltique si la Finlande ou la Suède rejoignaient l'alliance militaire menée par les Etats-Unis.

La Première ministre finlandaise Sanna Marin avait déclaré au cours d'une visite en Suède à la mi-avril que la décision de déposer ou non une candidature serait prise "dans quelques semaines". Le président Niinistö devrait se rendre le 18 mai en Suède, où une candidature à l'Otan est également débattue.

De nombreux analystes tablent sur une candidature de la Finlande, et peut-être de la Suède, suffisamment rapidement pour le sommet de l'Otan fin juin à Madrid.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Selon un responsable israélien, Netanyahu a dissous le cabinet de guerre

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Le dirigeant centriste Benny Gantz avait quitté en juin la coalition gouvernementale de Benjamin Netanyahu (archives). (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Un responsable israélien a annoncé lundi la dissolution du cabinet de guerre, créé après les attaques du 7 octobre menée par le Hamas en Israël. Cette décision fait suite à la démission la semaine dernière du centriste Benny Gantz.

Les médias israéliens avaient rapporté plus tôt lundi que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu avait annoncé la dissolution de ce groupe restreint lors d'une réunion du cabinet de sécurité dimanche.

Un responsable israélien, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, a confirmé la dissolution du cabinet de guerre, précisant que le cabinet de sécurité prendrait "les décisions sur les questions relatives à la guerre".

Le cabinet de sécurité, qui comprend le ministre de la Défense Yoav Gallant, le ministre des Affaires stratégiques Ron Dermer et le conseiller à la sécurité nationale Tzachi Hanegbi, est le principal organe à prendre les décisions relatives à la guerre avec le Hamas.

"Plus nécessaire"

M. Gantz, chef du parti de l'Union nationale (centre) avait quitté la coalition gouvernementale plus tôt en juin, entraînant avec lui Gadi Eisenkot. "Lorsque (Gadi) Eisenkot et (Benny) Gantz ont rejoint le gouvernement, c'était à la condition qu'ils formeraient le cabinet de guerre", ont souligné des sources proches du dossier.

"Maintenant qu'ils sont partis, cela n'est plus nécessaire. Cela signifie que le cabinet de sécurité, qui est de toute façon l'organe chargé de prendre des décisions, se réunira plus souvent", ont souligné ces sources.

Mais selon des commentateurs, cette dissolution est également destinée à couper l'herbe sous le pied des ministres d'extrême droite Ben Gvir et Bezalel Smotrich qui voulaient participer au cabinet de guerre depuis le début du conflit.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

"On devrait laisser la politique aux autres", estime Unai Simon

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Le gardien espagnol Unai Simon estime que les footballeurs n'ont pas à s'occuper de politique (© KEYSTONE/EPA EFE/MIGUEL ANGEL MOLINA)

Interrogé sur la prise de position de Kylian Mbappé "contre les extrêmes" dimanche, le gardien espagnol Unai Simon a estimé lundi que les joueurs "devraient laisser la politique aux autres".

"Kylian est un joueur qui a beaucoup d'influence dans le monde et dans la société. Les joueurs en général, nous avons beaucoup d'influence. Mais c'est un sujet politique, et je crois que nous avons la tendance à parler de certains sujets dont je ne sais pas si on devrait parler" a déclaré le gardien de l'Athletic Bilbao en conférence de presse au camp de base de l'Espagne pour l'Euro 2024.

"Moi je suis un joueur de football, et je pense que c'est la seule chose dont je devrais parler et laisser les sujets politiques aux autres", a-t-il ajouté en réponse à une question sur la prise de position de Kylian Mbappé dimanche à propos des élections législatives anticipées en France.

Le capitaine des Bleus a appelé "les jeunes à aller voter" car "les extrêmes sont aux portes du pouvoir", estimant que la jeune génération avait "l'opportunité de choisir l'avenir de notre pays". Il a défendu son coéquipier Marcus Thuram qui "n'a pas été trop loin" en expliquant samedi qu'il fallait "se battre pour que le RN ne passe pas", en assurant se "ranger" de son côté.

"Je suis contre les idées qui divisent. (...) J'espère qu'on sera encore fier de porter ce maillot le 7 juillet", a ajouté Mbappé.

Cette prise de position, largement commentée dans les médias français, fait aussi parler en Espagne. Le journal AS titrait ainsi lundi matin "Mbappé contre l'extrême droite", avant l'entrée en lice des Bleus contre l'Autriche (21h).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Adidas mène une enquête sur des allégations de corruption en Chine

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Adidas compte 14 usines en Chine et y a réalisé 15% de ses ventes mondiales en 2023, soit 3,2 milliards d'euros, en croissance de 8% sur un an. (archive) (© KEYSTONE/DPA/DANIEL KARMANN)

L'équipementier sportif allemand Adidas a indiqué lundi mener une "enquête approfondie" sur une vaste affaire de corruption présumée en Chine évaluée à plusieurs millions d'euros impliquant des employés locaux du groupe.

Le groupe d'Herzogenaurach, à peine remis des turbulences après sa séparation brutale avec le rappeur américain Ye pour ses propos antisémites, voit désormais éclater une affaire compromettante en Chine, où ses ventes ont redécollé l'an dernier après le creux lié à la pandémie du Covid.

En date du 7 juin, Adidas dit avoir reçu "une lettre anonyme indiquant des violations potentielles de la conformité en Chine", a indiqué une porte-parole à l'AFP.

Adidas enquête depuis "de manière approfondie sur cette affaire en collaboration avec un conseiller juridique externe", sans donner plus de détails.

De façon générale, la marque aux trois bandes prend "très au sérieux les allégations de violations possibles de la conformité", et se veut irréprochable "sur tous les marchés sur lesquels nous opérons", selon sa porte-parole.

A la Bourse de Francfort, Adidas cédait plus d'1,5% lundi en matinée, dans un Dax reprenant des couleurs (+0,40%).

La dite lettre est attribuée à "des employés d'Adidas (en) Chine" accusant nommément plusieurs salariés chinois, dont un cadre du service budget marketing de l'entreprise, d'avoir reçu d'importants pots-de-vin, selon le quotidien britannique Financial Times qui a révélé en premier l'affaire.

Un responsable d'Adidas Chine est notamment accusé d'avoir reçu des "millions en espèces de la part de fournisseurs, ainsi que des biens notamment immobiliers."

Adidas, qui a fait ses débuts en Chine en 1997, y compte aujourd'hui 14 usines et y a réalisé 15% de ses ventes mondiales en 2023, soit 3,2 milliards d'euros, en croissance de 8% sur un an.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Feu vert final des pays de l'UE à un texte-clé du Pacte vert

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La législation a été prise pour cible par le Parti populaire européen, sous pression des milieux agricoles (archives). (© KEYSTONE/EPA/Olivier Matthys)

Le Conseil de l'Union européenne a adopté définitivement, lundi à Luxembourg, le projet de règlement européen sur la restauration des écosystèmes dégradés.

Ce vote a été soutenu par 20 États membres représentant 66,07% de la population de l'UE, soit une majorité qualifiée. Seuls six pays ont voté contre.

Le vote met fin à deux années de dure controverse politique au sein de l'Union européenne. Projet phare du Pacte vert européen dans son volet biodiversité, cette législation fixe aux États membres l'objectif de restaurer au moins 20% des écosystèmes dégradés de l'UE d'ici 2030 et l'ensemble des écosystèmes ayant besoin d'être restaurés d'ici 2050.

Elle a été prise pour cible par le Parti populaire européen sous pression agricole, ainsi que par des dirigeants qui ont réclamé une "pause" dans les législations climatiques de l'UE. Le règlement va maintenant être publié au Journal officiel de l'UE, pour une entrée en vigueur 20 jours plus tard.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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