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International

La Finlande va se décider "assez vite" sur une candidature à l'Otan

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Pour la première ministre finlandaise Sanna Marin, "il n'y a pas d'autre façon d'avoir les garanties de sécurité" que d'adhérer à l'Otan. (© Keystone/EPA TT NEWS AGENCY/PAUL WENNERHOLM)

La Finlande décidera "d'ici quelques semaines" sur une candidature à l'Otan en conséquence de l'invasion de l'Ukraine par la Russie, a affirmé mercredi sa Première ministre Sanna Marin. Une adhésion est considérée comme étant de plus en plus probable.

"Je pense que ça interviendra assez vite. D'ici quelques semaines, pas quelques mois", a déclaré la dirigeante sociale-démocrate lors d'une visite en Suède, pays qui n'exclut pas non plus de rejoindre l'alliance face à la menace russe.

Avant le début d'un débat au Parlement la semaine prochaine, le gouvernement finlandais a publié ce mercredi une revue stratégique commandée en urgence après l'attaque de l'Ukraine. Le texte insiste sur le fait que seuls les membres de l'Otan bénéficient du parapluie de défense collective du célèbre article 5 de l'organisation.

Rejoindre les 30 membres de l'alliance menée par les Etats-Unis apporterait une dissuasion "considérablement plus grande" contre une attaque contre la Finlande, affirme ce "livre blanc".

Garanties de sécurité

Actuellement, le pays nordique - qui partage une frontière de près de 1300 kilomètres avec la Russie - n'est que partenaire de l'Otan. "La différence entre être partenaire et être membre est très claire et cela restera le cas", a souligné Mme Marin.

"Il n'y a pas d'autre façon d'avoir les garanties de sécurité que dans le cadre de la défense et la dissuasion communes garanties par l'article 5 de l'Otan", a-t-elle ajouté. Un sommet de l'Otan est prévu les 29 et 30 juin à Madrid et la plupart des analystes s'attendent à l'annonce d'une candidature finlandaise d'ici là.

La Suède n'exclut pas elle non plus de rejoindre l'alliance militaire occidentale, mais semble plus en retrait que son voisin. Adhérer ou non, "rien n'est sans risque", a souligné mercredi la première ministre Magdalena Andersson.

Changement radical

Paradoxe: la guerre contre l'Ukraine lancée par Moscou en invoquant la menace de l'extension de l'Otan à ses portes risque, en faisant basculer la Finlande dans ses rangs, de doubler la longueur des frontières terrestres entre la Russie et l'alliance.

Avant l'invasion de l'Ukraine le 24 février, voir la Finlande ou la Suède rompre avec leur ligne historique de non-alliance militaire était hautement improbable. "Tout a changé quand la Russie a envahi l'Ukraine", a reconnu Mme Marin.

Le soutien à l'adhésion, qui végétait autour de 20-25% depuis des décennies en Finlande, a presque triplé, au-delà des 60% voire 70%. Au Parlement aussi, une nette majorité se dessine. Parmi les députés ayant déjà fait connaître leur position, une centaine sur 200 sont en faveur d'une adhésion et seulement 12 sont contre, selon les pointages des médias finlandais.

Détermination

En parallèle, Helsinki a multiplié les contacts avec la plupart des 30 membres de l'Otan. "Pour la Finlande, le processus se fait de façon très déterminée donc je pense qu'ils vont y aller et avoir une décision d'ici au sommet de l'Otan en juin", analyse Robert Dalsjö, directeur de recherche à l'Agence suédoise de recherche pour la défense (FOI). "Est-ce que la Suède suivra ce calendrier ? C'est possible mais pas certain", selon l'expert.

Les sociaux-démocrates suédois ont annoncé lundi l'ouverture d'un débat interne sur la question. Et le mouvement d'extrême droite des Démocrates de Suède (SD) s'est décidé pour la première fois à soutenir une candidature si la Finlande se lançait.

Le secrétaire général de l'Otan, le Norvégien Jens Stoltenberg, a réaffirmé à de nombreuses reprises que la porte était ouverte aux deux pays nordiques. Les autres voisins nordiques et baltes - Norvège, Danemark, Islande, Pologne, Estonie, Lituanie et Lettonie - sont déjà tous membres.

Menaces russes ?

Selon Helsinki, l'Otan pense qu'il faut quatre à douze mois pour boucler le processus pour faire de la Finlande le 31e membre de l'alliance - ce qui nécessite un accord et une ratification unanime.

Quelle serait la réaction de la Russie? Moscou a mis en garde Stockholm et Helsinki, soulignant qu'une adhésion aurait "des conséquences politiques et militaires".

"La Russie va très probablement faire du bruit, montrer son mécontentement et être menaçante", estime Robert Dalsjö. Mais "je ne crois pas que nous verrons des choses violentes".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le patron de TikTok prêt à défendre l'application au Congrès US

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Tiktok, comme ses concurrents, se voit régulièrement accusé de présenter des risques pour la santé mentale et physique des enfants et adolescents, à l'addiction aux défis dangereux comme le "jeu du foulard". (© KEYSTONE/dpa/Marijan Murat)

Le patron de TikTok, Shou Chew, va défendre devant le Congrès américain jeudi les efforts de sa plateforme pour protéger les données des utilisateurs face à des élus qui l'accusent d'attenter à la sécurité nationale, selon son discours mis en ligne mercredi.

Shou Chew va être auditionné par une puissante commission parlementaire, alors que la populaire application du groupe chinois ByteDance risque l'interdiction totale aux Etats-Unis.

"Laissez-moi vous le dire sans équivoque: ByteDance n'est pas un agent au service de la Chine ou de tout autre pays", prévoit de dire le dirigeant, d'après son discours préliminaire publié sur le site de la Chambre des représentants.

"TikTok va rester une plateforme pour la liberté d'expression et ne sera manipulée par aucun gouvernement", va-t-il insister.

De nombreux élus américains, de droite comme de gauche, estiment que le réseau social permet à Pékin d'accéder aux données confidentielles des utilisateurs.

Certains craignent aussi que l'application ne serve de cheval de Troie au Parti communiste chinois pour manipuler l'opinion.

"Jeux du foulard"

Et la plateforme, comme ses concurrentes, se voit régulièrement accusée de présenter des risques pour la santé mentale et physique des enfants et adolescents, de l'addiction aux défis dangereux comme le "jeu du foulard".

Le patron singapourien va défendre les efforts passés et présents de TikTok pour mieux protéger les données des utilisateurs américains, la question la plus pressante s'il veut éviter une interdiction.

L'entreprise a déjà dépensé environ 1,5 milliard de dollars pour la mise en place du "Project Texas", qui consiste à n'héberger ces données qu'aux Etats-Unis, sur des serveurs du groupe texan Oracle.

"Plus tôt ce mois-ci, nous avons commencé à supprimer toutes les données américaines stockées sur des serveurs qui n'appartiennent pas à Oracle", doit préciser Shou Chew. Grâce à cette filiale ad hoc de TikTok, USDS, "il est impossible pour le gouvernement chinois d'y accéder ou de forcer (l'entreprise) à lui donner accès".

Il compte aussi mentionner que les utilisateurs américains représentent 10% de leur base mondiale, mais 25% des visionnages.

Mardi, il s'est félicité d'avoir dépassé les 150 millions d'utilisateurs mensuels aux Etats-Unis, mais a regretté que "les politiques parlent d'interdire TikTok", dans une rare intervention directe sur la plateforme.

C'est la première fois que Shou Chew sera entendu par le Congrès américain. Le PDG du réseau social chinois avait été reçu à Bruxelles début janvier pour échanger avec plusieurs hauts responsables européens.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Économie

Regards tournés vers la Fed après les turbulences bancaires

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La puissante Fed se trouve face à un difficile arbitrage: continuer à relever son principal taux directeur pour juguler la forte inflation ou marquer une pause, afin d'éviter d'aggraver les difficultés des banques? (© KEYSTONE/EPA/JUSTIN LANE)

Les yeux sont rivés mercredi sur la banque centrale américaine (Fed), qui achève sa réunion et dira si elle relève ses taux, au moment où la confiance semble revenir sur les marchés après deux semaines de turbulences dans le secteur bancaire.

La puissante Fed se trouve face à un difficile arbitrage: continuer à relever son principal taux directeur pour juguler la forte inflation ou marquer une pause, afin d'éviter d'aggraver les difficultés des banques?

"L'expérience de mort imminente qu'a connue le secteur bancaire au cours des deux dernières semaines devrait rendre les responsables de la Fed plus mesurés", relève Steve Englander, économiste pour Standard Chartered et ancien économiste à la Fed.

L'hypothèse d'une hausse modérée, d'un quart de point de pourcentage, soit 25 points de base, l'emporte très largement parmi les acteurs du marché, selon l'évaluation de CME Group.

Les anticipations avaient fait les montagnes russes, passant en quelques jours d'une forte hausse d'un demi-point de pourcentage après des propos du président de la Fed sur l'inflation, à zéro lors du déclenchement de la crise bancaire.

Les faillites des banques régionales américaines Silicon Valley Bank (SVB), Signature Bank et Silvergate ont créé une vague d'inquiétudes. Gouvernements, banques centrales et régulateurs sont intervenus en urgence pour tenter de rétablir la confiance, meilleure arme pour éviter une contagion.

Mais la banque helvétique Credit Suisse, déjà en difficulté depuis des années, en a fait les frais et a été rachetée dimanche en urgence par sa compatriote UBS.

"Restaurer la confiance"

Le calme semble toutefois revenir: après deux séances de rebond en début de semaine, les Bourses européennes évoluent mercredi autour de l'équilibre. Wall Street avait terminé dans le vert mardi, c'est même le secteur bancaire qui avait mené la hausse du marché, et la banque First Republic, sur la sellette, s'était envolée de presque 30%.

Les indices de la Bourse de New York ont prudemment débuté la séance mercredi, restant proches de l'équilibre: le Dow Jones grappillait 0,04%, le Nasdaq, à dominante technologique, cédait 0,14% et le S&P 500 0,07%.

"La pression sur les titres du secteur bancaire semble se relâcher après les actions des régulateurs pour restaurer la confiance", a commenté Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour HFE, qui n'écarte toutefois pas le risque de "crainte de nouvelles faillites et d'un risque de contagion".

La Fed a prêté environ 164 milliards de dollars aux banques américaines en quelques jours afin que tous les clients qui souhaitaient retirer leur argent puissent le faire, ainsi que 142,8 milliards aux deux entités créées par les régulateurs américains pour succéder à SVB et à Signature Bank.

A rebours de la lutte contre l'inflation que mène la Fed, ces prêts ont fait grimper de 297 milliards de dollars son bilan, qu'elle s'efforçait pourtant de réduire depuis juin.

La réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) a débuté mardi matin et a repris mercredi "à 09H00 (13H00 GMT) comme prévu", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la banque centrale.

Elle doit s'achever mercredi à la mi-journée. Un communiqué de presse sera publié à 14H00 (18H00 GMT) puis le président de l'institution Jerome Powell tiendra une conférence de presse à 14H30 (18H30 GMT).

Jerome Powell "reconnaîtra les risques sur le secteur bancaire mais soutiendra que la menace est contenue", anticipe Ian Shepherdson, chef économiste pour Pantheon Macreconomics.

Comme la BCE?

Pour lui cependant, "toute hausse des taux aujourd'hui serait une erreur" car "la Fed a fait assez pour ramener l'inflation à la cible et nous ne pouvons pas être sûrs que les menaces contre le système bancaire sont passées".

D'autant plus que la chute de ces banques a été poussée par les relèvements des taux de la Fed, qui ont grimpé à un rythme inédit depuis le début des années 1980, lors de l'épisode de très forte inflation qu'avaient alors connu les Etats-Unis.

Compris entre 0 et 0,25% il y a encore un an, les taux se trouvent désormais entre 4,50 et 4,75%.

La Fed doit également mettre à jour ses prévisions économiques et ses responsables dire jusqu'à quel niveau ils jugent opportun de faire grimper les taux.

La banque centrale américaine est d'autant plus sous pression que son homologue européenne, la BCE, a relevé jeudi ses taux de 0,50 point de pourcentage, en assurant qu'elle ne ferait pas de compromis entre stabilité des prix et stabilité financière.

Sa présidente Christine Lagarde a réitéré mercredi que les gardiens de l'euro avaient encore "du chemin à faire" pour combattre l'inflation, tout en mettant en garde que les tensions financières "créent de nouveaux risques" pour l'économie.

Au Royaume-Uni, l'inflation a rebondi en février à 10,4% sur un an, tirée par une nouvelle accélération des prix alimentaires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Retraites: Macron défend une réforme "nécessaire"

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Emmanuel Macron a répété que la réforme des retraites est "nécessaire" (archives). (© KEYSTONE/AP/Michel Euler)

Le président français Emmanuel Macron a estimé mercredi que sa réforme très contestée des retraites devait "entrer en vigueur d'ici la fin de l'année". Elle est "nécessaire", a-t-il déclaré lors d'un entretien télévisé sur TF1 et France2 en pleine colère sociale.

"Cette réforme, elle est nécessaire, ça ne me fait pas plaisir, j'aurais voulu ne pas la faire, mais c'est pour ça aussi que j'ai pris l'engagement de la faire", a déclaré le chef de l'Etat.

Il a souhaité une entrée en vigueur d'ici la fin de l'année "pour que les choses rentrent en place", et notamment que 1.8 million de retraités "commencent à être augmentés d'environ 600 euros par an en moyenne" et qu'"on commence à décaler l'âge légal de trois mois supplémentaires".

Déficit

Le président de la République, qui fait face à une contestation politique et syndicale toujours plus soutenue depuis l'adoption de la réforme par le 49.3, a par ailleurs considéré que "le projet de toutes les oppositions et de tous ceux qui s'opposent" à la réforme, "c'est le déficit", qu'il a comparé à une "formule magique".

"Qu'est-ce que c'est le déficit?", a interrogé Emmanuel Macron. "Ça veut dire, de fait, que vous choisissez de faire payer vos enfants parce que, aujourd'hui, vous refusez de décider avec clarté et courage", a-t-il poursuivi.

Alors que de nouveaux rassemblements ont été organisés mardi soir contre la réforme dans plusieurs grandes villes françaises, théâtre pour certaines d'entre elles, dont Paris, de tensions entre forces de l'ordre et manifestants, "on ne peut accepter ni les factieux, ni les factions", a fait valoir le chef de l'Etat.

"Quand les Etats-Unis d'Amérique ont vécu ce qu'ils ont vécu au Capitole, quand le Brésil a vécu ce qu'il a vécu (...), je vous le dis très nettement", a-t-il appuyé, en dénonçant chez des manifestants des "groupes qui utilisent la violence". "On ne tolèrera aucun débordement", a-t-il encore prévenu.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Football

Mesut Özil tire sa révérence à 34 ans

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Mesut Ozil sous les couleurs de Fenerbahce en octobre 2021. (© KEYSTONE/EPA/ERDEM SAHIN)

Il a conquis l'Allemagne grâce à son "pied léger", avant de claquer la porte de la Mannschaft sur fond d'accusations de racisme: le meneur de jeu allemand Mesut Özil se retire à 34 ans.

"Ces derniers mois et dernières semaines, après avoir souffert de plusieurs blessures, il est devenu de plus en plus clair qu'il était temps pour moi de quitter ce grand monde du football", a expliqué le champion du monde 2014 dans un long message publié sur Twitter.

L'ancien joueur du Werder Brême, du Real Madrid et d'Arsenal, au cours de sa carrière achevée avec le club turc de Basaksehir, a déchaîné les passions, sur les terrains et en dehors.

Il s'était engagé en juillet dernier avec Basaksehir pour une saison, après un passage délicat à Fenerbahçe où il était entré en conflit avec sa direction.

Özil avait déjà fini au placard à Arsenal, son précédent club.

Une photo avec Angela Merkel

L'histoire avait pourtant bien commencé: "C'est le nouveau numéro dix de l'Allemagne", claironnait le magazine Stern en juin 2010 au sujet du gamin de la Ruhr.

Né de parents turcs, le meneur de jeu et son équipier germano-tunisien Sami Khedira font des merveilles au Mondial sud-africain, dont l'Allemagne termine troisième, et ne tarde pas à être érigé en symbole d'une Allemagne multiculturelle.

Une photo synthétise la belle histoire: torse nu et tout sourire, Özil serre la main de l'ex-chancelière Angela Merkel.

Après le Mondial, Özil signe au Real Madrid, tremplin vers le triomphe allemand de 2014 au Brésil, où il sera paradoxalement moins séduisant qu'en Afrique du Sud.

Ses longs cheveux ont disparu au profit d'une coupe plus sage, l'Allemand prête son image à Adidas.

Mais sa carrière connaît un tournant en mai 2018: Özil et son équipier de la Mannschaft Ilkay Gündogan, lui aussi d'origine turque, posent à Londres en compagnie du président turc Recep Tayyip Erdogan, en pleine campagne pour sa réélection.

Le cliché fait polémique, alors que Berlin accuse Ankara de dérive répressive. Le chef d'État turc répond en traçant un parallèle entre l'Allemagne contemporaine et le nazisme.

Peu après, l'Allemagne, championne du monde, est éliminée dès la phase de poules du Mondial russe, une humiliation.

"J'ai deux coeurs"

Özil devient le bouc émissaire de l'extrême droite. Certains médias allemands l'accablent aussi.

Lâché par le président de la Fédération allemande de football, Özil finit par claquer la porte de la Mannschaft en juillet, pour "aussi longtemps que je (ressentirai) du racisme et du manque de respect à mon égard".

"Erdogan est le président actuel de la Turquie et je dois montrer du respect à cette personne, quelle qu'elle soit", plaidait-il.

Un an plus tard, Özil choisit M. Erdogan comme témoin de mariage lorsqu'il s'unit à une ancienne miss Turquie, Amine Gülse.

Et quitte à dire le fond de sa pensée, il s'indigne du traitement réservé par la Chine à la minorité musulmane ouïghoure. En réaction, la télévision d'État CCTV déprogramme un match d'Arsenal contre Manchester City.

Les Gunners prennent alors leurs distances avec Özil, soucieux "de ne pas s'impliquer dans la politique".

Sur une voie de garage à Londres, le milieu de terrain avait choisi à 32 ans de vivre sa première expérience en Turquie en rejoignant Fenerbahçe en janvier 2021, avant de rejoindre Basaksehir l'été dernier.

"J'ai certes grandi en Allemagne, mais mon histoire familiale a ses racines solidement plantées en Turquie. J'ai deux coeurs, un allemand et un turc", assurait le joueur en 2018.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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