Suisse Romande
L'armée relance le projet d'extension de la place de tir du Simplon
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L'armée n'a pas renoncé à étendre l'infrastructure d'instruction militaire de la place de tir du Simplon (VS). Après avoir retiré son projet en 2020, elle revient avec une proposition remaniée qu'elle souhaite présenter à la population dès le début de la procédure.
Le département de la défense, de la protection de la population et des sports (DDPS) donnera l'occasion à cette dernière de "participer de manière appropriée" au projet de construction, selon un communiqué diffusé mardi. Une journée sera organisée le 20 octobre dans la commune de Simplon Village à l'intention des "personnes directement concernées, à la population locale et aux groupements d’intérêts".
A l'issue de cette présentation, tout un chacun aura la possibilité de s’exprimer sur ce projet. "Les retours reçus seront étudiés au niveau de leur compatibilité avec le besoin de l’armée et, si possible, pris en considération", note-t-on encore.
Recours de Patrimoine suisse
L'office fédéral de l'armement armasuisse avait momentanément renoncé à construire une piste pour chars d'assaut et à agrandir l'infrastructure militaire au Simplon en 2020. Une décision prise quelques mois après le recours de l'association Patrimoine suisse, soutenu par plusieurs organisations de défense de l'environnement et par une pétition signée par près de 10'000 personnes, remise à des représentants du DDPS à Berne.
Les installations prévues sont en "contradiction flagrante avec le paysage unique et les valeurs culturelles" du col du Simplon, indiquaient l'association nationale et sa section haut-valaisanne dans leur recours. Un patrimoine bâti précieux de valeur nationale se trouve à proximité immédiate.
"Les préoccupations des opposants (particuliers et associations de protection de l'environnement) ont amené le DDPS à revoir le projet de construction initial", indique mardi armasuisse à Keystone-ATS. Et une expertise de la Commission fédérale pour la protection de la nature et du paysage (CFNP) a été demandée.
"Projet adapté"
Le projet initial prévoyait notamment une nouvelle piste pour chars d'assaut, une place d'approvisionnement en munitions et de ravitaillement en carburant, une zone d'atterrissage pour hélicoptères, des plateformes de tir supplémentaires, une nouvelle installation de tir à courte distance, des exercices de tir avec du mortier de 120 mm. Interrogé sur les changements apportés, le DDPS répond que "le projet a été adapté dans différents domaines" et qu'il "y aura comme auparavant une installation de tir pour l'instruction militaire de l'artillerie".
Selon armasuisse, la place de tir du Simplon "est la plus importante pour l'instruction en formation de l'artillerie". Elle est la seule où il est possible "de tirer sur de grandes distances et avec la majorité des types de munitions d'artillerie". Les Chambres fédérales avaient approuvé en 2018, le projet à hauteur de 30 millions de francs. Selon armasuisse mardi, ce dernier pourra "vraisemblablement être réalisé avec le crédit d'engagement".
La demande de permis de construire remaniée de ce projet devrait être mise à l’enquête publique au printemps 2023 dans le cadre d’une procédure d’approbation des plans de constructions militaires.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Football
Lausanne: rencontres prévues avec les joueuses espagnoles
La population lausannoise est invitée à venir rencontrer les joueuses de l'équipe d'Espagne, lesquelles séjourneront dans la capitale vaudoise lors du prochain Euro. Leur premier entraînement, le 30 juin à 10h30 au stade Juan-Antonio-Samaranch, sera ouvert au public. Il sera suivi d'une séance de dédicaces.
Les places étant limitées, les personnes intéressées doivent obligatoirement réserver leur billet sur le site internet de la Ville, annonce-t-elle dans un communiqué.
Les championnes du monde en titre arriveront en début de soirée le dimanche 29 juin à Lausanne. A cette occasion, la population pourra venir les accueillir sur les derniers mètres devant leur hôtel du Royal Savoy.
"Des drapeaux aux couleurs de l'Espagne et de la Suisse seront distribués aux personnes présentes afin de former une haie d'honneur vivante et colorée le long de l'avenue de Cour", indique la Ville.
A la descente du bus, les joueuses, emmenées par Montserrat Tomé, seront accueillies par la Municipalité de Lausanne, les autorités cantonales et l'ambassadrice d'Espagne.
Pour mémoire, Lausanne n'accueille pas de matches de l'Euro. Une fan zone a néanmoins été installée à côté de la place de la Navigation à Ouchy. Une "fun zone", située juste à côté, accueillera un terrain de football 3 contre 3. De nombreuses animations et initiations y seront également proposées.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Genève
Les tpg dévoilent leur premier e-bus de nouvelle génération
Les Transports publics genevois (tpg) ont présenté jeudi leur premier e-bus 100% électrique de nouvelle génération. Son arrivée marque le début du remplacement progressif, d'ici 2030, de l'ensemble des véhicules thermiques exploités par l'entreprise.
Ce premier modèle, un e-bus articulé de 18,75 mètres, est arrivé au début de la semaine au centre de maintenance du Bachet-de-Pesay. Il fera l'objet ces prochains jours de différents tests et de marches à blanc. Il sera ensuite utilisé pour la formation des conducteurs et des conductrices, écrivent jeudi les tpg dans un communiqué.
Sa mise en service est prévue lors de l'Etape du 14 décembre 2025, sur la ligne 5 du réseau des tpg entre les arrêts "Genève-Aéroport -Terminal" et "Thônex, Vallard", soit la première des six lignes du réseau des tpg appelées à fonctionner entièrement de manière électrique. "Plus silencieux, plus confortables et plus respectueux de l'environnement, ces e-bus incarnent l'avenir des transports publics", a déclaré Lionel Brasier, directeur général des tpg, cité dans le communiqué.
Grosse subvention cantonale
Développé par le constructeur suisse HESS en partenariat avec Hitachi Energy, société basée à Zimeysa à Genève, ce nouvel e-bus s'appuie sur la technologie dite de recharge par opportunité, mise en oeuvre dans le cadre du projet de bus électrique TOSA. Cette technologie innovante permet une recharge rapide à certains arrêts et aux terminus, optimisant ainsi l’autonomie tout en réduisant la taille et l'usure des batteries.
Cette technique, appliquée depuis 2018 sur la ligne 23 du réseau des tpg, permettra à l'opérateur de déployer une "solution éprouvée, fiable et optimisée".
Cette transition est rendue possible grâce à une subvention cantonale de 350 millions de francs. Elle permettra l'acquisition de matériel roulant, y compris de nouveaux trams nécessaires à l'extension du réseau, ainsi qu'un crédit d'investissement de 17 millions destiné à la réalisation des infrastructures de recharge aux arrêts.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Lausanne
Récolte de paraphes rémunérés: Vaud contre une interdiction totale
Le Conseil d'Etat vaudois s'oppose à une interdiction totale de la récolte rémunérée des signatures, qui ne pourrait toucher que les initiatives et référendums cantonaux et communaux. Le gouvernement explore plutôt d'autres pistes, comme la soumission des entreprises de récolte de signatures à autorisation.
En réponse à une interpellation du député écologiste Alberto Mocchi relative à la récolte rémunérée des signatures, le Conseil d'Etat indique jeudi qu'"à sa connaissance, aucune initiative cantonale ne serait touchée par des fraudes dans la récolte de signatures". "Dès lors, une interdiction totale de la récolte rémunérée n'apparaît pas opportune", estime-t-il dans ses décisions hebdomadaires.
"Quant aux contrôles effectués par les communes, ils ne peuvent être renforcés, ces dernières n'ayant aucun moyen de vérifier si une signature apposée sur une liste est authentique et des contrôles plus étendus auprès des personnes signataires nécessiteraient des moyens considérables pour un résultat aléatoire", poursuit-il. En revanche, le Conseil d'Etat signale que le problème est désormais pris très au sérieux par la Chancellerie fédérale.
La récolte de signatures rémunérées a en effet régulièrement défrayé la chronique ces derniers mois en Suisse, en raison de divers soupçons de fraudes. Des mesures ont déjà été proposées, tant au niveau fédéral que dans plusieurs cantons. La justice a aussi été saisie, via des plaintes pénales déposées par la Chancellerie fédérale auprès du Ministère public de la Confédération.
En novembre dernier, les députés vaudois s'étaient prononcés pour mieux cadrer la récolte de signatures rémunérées pour des référendums ou des initiatives. Une motion avait été plébiscitée pour soumettre à autorisation les entreprises actives dans ce domaine et basées dans le canton.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Vaud
Les chauffeurs de bus du VMCV indignés par leur condition de travail
Des employés des Transports publics Vevey-Montreux-Chillon-Villeneuve se mobilisent pour exprimer leur colère et leur fatigue. Ils envisagent de faire grève pour le Montreux Jazz Festival, en raison des consignes qu'ils jugent inapplicables.
"Une entreprise à la dérive". Ce sont par ses mots que des chauffeurs de bus définissent les Transports publics du VMCV. Plusieurs membres du personnel ont décidé de se mobiliser pour dénoncer des conditions de travail "inadmissibles". Ils font état d’une tension absolue sur les routes et d’une absence totale de soutien de l'entreprise en cas d'incident. Les règles imposées pour éviter la surcharge des bus en cas de forte affluence sont particulièrement pointées du doigt. Certains employés ont décidé de former le groupe Agir pour exprimer leur ras-le-bol.
Tout récemment, les consignes données par la direction du VMCV à ses conducteurs en marge du Montreux Jazz Festival ont fait monter le personnel au créneau. Pendant la manifestation, les bus ont l'obligation d’éviter toute surcharge de clientèle sur leur ligne. Une mission inapplicables au vu de la forte affluence à prévoir, estiment les chauffeurs. Mais en cas de surcharge illégale dans leur véhicule, toute la responsabilité incombe aux conducteurs, qui affirment ne bénéficier d'aucune couverture juridique. Ils envisagent alors de ne pas rouler pendant le festival.
Autre problématique plus générale: l'absence de WC. Avec un manque conséquent de toilettes sur les lignes, les conducteurs s'abstiennent de boire régulièrement pour éviter tout besoin pendant leurs heures de service. Selon le groupe Agir, les employés peuvent être victimes de déshydratation. Les chauffeurs ont rappelé qu’ils dénoncent ces conditions de travail depuis plus de trois ans, sans retour concret de la part de la direction.
Enfin, le personnel indique, qu'à sa connaissance, 12 procédures judiciaires sont actuellement en cours entre certains chauffeurs et le VMCV, qui compte 156 conducteurs pour toute la région.
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