Suisse
Elisabeth Baume-Schneider est candidate au Conseil fédéral
- Share
- Tweet /home/clients/a0d505b655321b17f8ff9c921bca9d03/lfm/wp-content/plugins/mvp-social-buttons/mvp-social-buttons.php on line 72
https://www.lfm.ch/wp-content/uploads/2022/11/elisabeth-baume-schneider-ps-ju-est-candidate-a-la-succession-de-simonetta-sommaruga-archives-1000x600.jpg&description=Elisabeth Baume-Schneider est candidate au Conseil fédéral', 'pinterestShare', 'width=750,height=350'); return false;" title="Partager sur Pinterest">
Elisabeth Baume-Schneider s'est lancée vendredi dans la course au Conseil fédéral. La Jurassienne estime apporter une différence et une complémentarité propres à son canton. La sénatrice fait toutefois figure d'outsider pour succéder à Simonetta Sommaruga.
"J'ai l'intime conviction que mon expérience et que mes racines peuvent être utiles à la Suisse de demain", a déclaré Elisabeth Baume-Schneider devant la presse à Berne. Elle se veut une "femme de la base" qui a à coeur de défendre la justice sociale.
Elle s'est dite émue et intimidée, car "je mesure l'importance de la fonction". La Suisse doit en effet affronter des défis complexes tels que le pouvoir d'achat, la hausse des primes maladie, la crise climatique, l'afflux de migrants ou l'égalité salariale.
Interrogée sur la difficulté à imposer une majorité romande au Conseil fédéral, elle estime que le pays fait face à des enjeux de société qui dépassent la question linguistique. Parfaitement à l'aise au moment de répondre en suisse allemand, elle dit représenter l'ensemble du pays.
Candidature de conviction
Se décrivant comme une femme de la base, jurassienne et combative, la politicienne estime que sa candidature arrive à point nommé pour son canton, "souple et innovant". "J'incarne un canton périphérique avec une industrie en plus grande difficulté, une réalité qui peut aussi beaucoup apporter pour trouver des solutions pragmatiques dont la Suisse a besoin."
Mais elle est consciente des obstacles à venir. En cas de non, elle acceptera le verdict. "J'ai déjà eu beaucoup d'échecs dans ma vie politique", a-t-elle confié.
La citoyenne des Breuleux était entourée de la ministre jurassienne socialiste Nathalie Barthoulot et du conseiller national vaudois Samuel Bendahan, vice-président du Parti socialiste suisse. Le gouvernement du Jura s'est réjoui de cette candidature. Le Jura n'a pas encore eu de représentant au Conseil fédéral 43 ans après son entrée en souveraineté, a-t-il rappelé.
Ouvrir le jeu
Une candidature romande a été encouragée par la direction du parti socialiste. L'ouverture de la succession à toutes les régions linguistiques vise à éviter de se retrouver systématiquement avec une femme alémanique et un homme romand au Conseil fédéral, ont justifié les deux co-présidents du PS.
Les chances de la Jurassienne de 58 ans semblent cependant minces. Une majorité latine au Conseil fédéral, aussi temporaire fût-elle, aurait du mal à convaincre sous la Coupole.
Elisabeth Baume-Schneider peut se prévaloir d'une solide expérience politique: députée au Parlement jurassien de 1995 à 2002, ministre du Département de la formation, de la culture et des sports jusqu'au terme de ses trois mandats et conseillère aux Etats depuis 2019 où elle devrait assumer la présidence en 2024.
Elle est aussi vice-présidente du PSS. Ancienne militante de la Ligue marxiste révolutionnaire (LMR) dans les années 1980, Elisabeth Baume-Schneider défend une politique solidaire et une économie à taille humaine. Elle est mère de deux enfants aujourd'hui adultes.
Quatrième candidate
Elisabeth Baume-Schneider est la quatrième à faire acte de candidature. La sénatrice bâloise Eva Herzog, la conseillère d'Etat bernoise Evi Allemann et le sénateur zurichois Daniel Jositsch se sont déjà annoncés partant ces derniers jours.
De nombreuses femmes ont par contre renoncé, à l'image de la conseillère nationale Flavia Wasserfallen (BE) ou des conseillères d'Etat vaudoises Rebecca Ruiz et Nuria Gorrite. Le groupe socialiste décidera du ticket définitif le 26 novembre.
L'élection aura lieu le 7 décembre devant les Chambres fédérales, juste après celle devant régler la succession d'Ueli Maurer.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Pour Cassis, la situation mondiale a aidé le dossier européen
Selon le conseiller fédéral Ignazio Cassis, la situation mondiale difficile a aidé le dossier de l'UE en Suisse. Dans les négociations sur les nouveaux accords, la Suisse a obtenu plus qu'elle ne pouvait espérer, a-t-il laissé entendre dans une interview.
"Par rapport aux discussions sur l'accord-cadre il y a quatre ans, lorsque l'état du monde était meilleur, nous ressentons aujourd'hui une plus grande urgence", a déclaré le ministre des affaires étrangères dans une interview publiée samedi par la "NZZ". Des relations étroites et stables avec les voisins les plus proches sont de plus en plus importantes, ajoute-t-il.
"La participation au marché intérieur européen est vitale pour la Suisse - et elle le sera encore plus si d'autres marchés ne sont plus accessibles ou seulement à de moins bonnes conditions", souligne M.Cassis.
La publication des accords avec l'UE a été "un coup de pouce après des mois extrêmement intenses et éprouvants". "Je constate un grand intérêt de la part du public", déclare le Tessinois. On veut comprendre dans toute son ampleur et sa profondeur "ce que nous avons négocié" sans se limiter aux "sempiternels mots-clés".
Le conseiller fédéral pense que tout le paquet d'accords est bon pour la Suisse, mais il ne sait pas si le peuple le verra exactement de la même manière. "Aujourd'hui, je peux dire avec assurance que le résultat dépasse nos espoirs. A l'inverse, cela signifie que je ne peux pas imaginer que nous trouvions une meilleure solution pour sauver la voie bilatérale", déclare le ministre suisse des affaires étrangères.
La Suisse a obtenu davantage, par exemple en ce qui concerne la clause de sauvegarde sur la libre circulation des personnes. Nous avons surtout pu garantir le noyau dur: chez nous, la libre circulation des travailleurs continue de prévaloir, et non celle des citoyens", souligne Cassis. Seules les personnes qui travaillent en Suisse ou qui peuvent subvenir à leurs besoins peuvent y vivre avec leur famille.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
Personne ne devine la bonne combinaison de l’Euro Millions
Personne n'a trouvé la combinaison gagnante à l'Euro Millions vendredi soir. Pour gagner, il fallait jouer les numéros 5, 8, 24, 37 et 47 et les étoiles 3 et 9.
Lors du prochain tirage mardi, 25 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande. Cette loterie transnationale est proposée dans douze pays européens, dont la Suisse et le Liechtenstein.
https://jeux.loro.ch/games/euromillions
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Suisse
L'achat des avions F-35 pourrait coûter nettement plus cher
L'acquisition des avions de combat F-35A pourrait coûter nettement plus cher, environ 1,3 milliard de francs, en plus du prix fixe convenu de 6 milliards. C'est ce que révèlent les recherches de Beni Gafner, un connaisseur de l'armée, sur lesquelles s'appuie la SRF.
Plusieurs sources crédibles dans différents départements ont assuré à M. Gafner que le prix fixe ne pourrait pas être respecté, a-t-il déclaré vendredi soir à l'agence de presse Keystone-ATS. Un dépassement de coûts de 1,3 milliard de francs pour l'achat des 36 avions de combat commandés aux Etats-Unis a été évoqué à plusieurs reprises.
Le Département de la défense (DDPS) indique pour sa part que le Conseil fédéral reste d'avis que le prix fixe convenu avec le gouvernement américain s'applique à l'achat des F-35A. Le Conseil fédéral examine toutefois la situation en permanence et informerait en cas de changement de situation.
La votation populaire en faveur de nouveaux avions de combat, en septembre 2020, avait été extrêmement serrée, avec 50,1 % des voix.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Climat
L'armée peut enfin intervenir en sécurité à Blatten
L'armée peut enfin intervenir à Blatten. Les conditions de sécurité ont permis vendredi aux militaires en attente depuis début juin dans le Lötschental de commencer les travaux de déblaiement des débris accumulés dans le lac qui s'est formé sur le village.
Une vingtaine de militaires de la formation d’intervention d’aide en cas de catastrophe, appuyés par les Forces aériennes, ont commencé vendredi leurs travaux, a indiqué dans un communiqué le Département fédéral de la Défense. Lundi encore, le risque d'éboulement au Petit Nesthorn empêchait toute intervention, avait indiqué à Keystone-ATS un porte-parole de l'état-major de conduite.
Le risque de chutes de pierres était encore trop important, une grande activité étant toujours constatée au Petit Nesthorn, avait-il ajouté, précisant que la montagne était instable et des éboulements se produisaient régulièrement. Désormais, les travaux de déblaiement du deuxième lac situé derrière le cône de déjection, sur le côté est, ont pu commencer.
Ce lac doit être débarrassé des toits de maisons, de bois et d'autres débris flottants. L'objectif est d’empêcher l'obstruction de son écoulement et d’éviter ainsi les refoulements ou de nouvelles inondations.
Accès toujours interdit aux civils
Pour cela, des bateaux de l'armée sont utilisés. L’engagement de bateaux pontons et d’une plateforme flottante civile est essentiel pour permettre aux forces d’intervention de travailler sur le lac, a précisé l'Armée. Celles-ci peuvent ainsi atteindre et récupérer les matériaux charriés dans les eaux libres et le long des berges. Si nécessaire, des treuils à câble pourront également être utilisés.
L’armée est exclusivement engagée sur la partie supérieure du lac à laquelle le canton a autorisé l’accès pour les travaux. Un concept de sécurité cantonal destiné aux forces d’intervention a été élaboré et entraîné. Tous les travaux sur place sont effectués en étroite collaboration avec les autorités civiles et les forces d’intervention locales.
L’accès à la zone de danger délimitée autour de Blatten reste interdit au public. L’engagement de l’armée peut être prolongé au-delà du 26 juin 2025 si nécessaire et sur demande des autorités civiles.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
-
VaudIl y a 2 jours
Les chauffeurs de bus du VMCV indignés par leur condition de travail
-
SuisseIl y a 3 jours
Vers une fusion entre protection et service civils
-
VaudIl y a 2 jours
24 heures pour surmonter la gêne face au handicap
-
InternationalIl y a 2 jours
Israël menace le guide suprême iranien
-
ClimatIl y a 3 jours
Des scientifiques mesurent la zone d'éboulement à Blatten (VS)
-
ÉconomieIl y a 3 jours
La cathédrale de Lausanne bientôt sous une lumière nouvelle
-
CultureIl y a 2 jours
Interviewée par un journaliste, Rachida Dati le menace
-
CultureIl y a 2 jours
Le festival Morges-sous-Rire a attiré 17'000 spectateurs