Suisse
Les hommes encore surreprésentés au sein des CFF
La proportion d'employées au sein des CFF est d'environ 19%, soit moins d'un quart du personnel, indique la présidente du conseil d'administration Monika Ribar. Ce taux passe à 22% chez les cadres supérieurs et à un tiers dans le conseil d'administration.
La part totale de femmes dans l'entreprise était de 18,8% en 2019, soit un taux presque équivalant à celui actuel.
Mme Ribar souligne dans une interview accordée dimanche au journal alémanique SonntagsZeitung que "plus l'échelon est élevé, plus la part des femmes est importante". Les hommes restent cependant davantage représentés dans les hautes sphères des CFF.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Économie
L'heure est à l'euphorie pour les caisses de pension
Les caisses de pension suisses ont généré en moyenne un rendement de 5,8% au premier trimestre 2024, indique vendredi Swisscanto dans son moniteur périodique. Elles ont également amélioré leurs taux de couverture qui se rapprochent de plus en plus des sommets de 2021.
L'euphorie des marchés financiers au premier trimestre 2024, avec des taux de croissance réjouissants, notamment pour les actions, se reflète dans les taux de couverture des caisses de pension, qui ont enregistré une progression considérable de 5%. Le taux de couverture des caisses de droit privé s'élève à 119,6%, tandis que celui des caisses de droit public se monte à 112%.
Toutes les caisses de pension bénéficieront de la poursuite de la tendance à la hausse des marchés financiers au premier trimestre 2024, selon Swisscanto.
Dans la catégorie des actions, la meilleure performance au cours des trois premiers mois de l'année a été réalisée par les titres étrangers, à 16,6%. La hausse des actions suisses a été nettement moins forte, même si elle reste tout à fait respectable à 6%. Pour les obligations, la couverture de change n'a pas été payante pour une fois: le rendement des obligations mondiales couvertes en francs a été de -1%, tandis que la classe non couverte a gagné 4,8%.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
Sunrise promet 240 millions de dividende pour séduire les marchés
Dans l'optique de son retour à la Bourse suisse, l'opérateur Sunrise fait les yeux doux aux investisseurs, leur faisant miroiter le versement d'au moins 240 millions de francs de dividende par an.
Le montant versé aux actionnaires augmentera avec le temps, a promis Mike Fries, le patron (CEO) de Liberty Global lors d'une conférence aux Etats-Unis. Les analystes estiment la valorisation de Sunrise à environ 8 milliard de francs, a rappelé pour sa part le chef financier (CFO) Charles Bracken.
L'opérateur zurichois pèserait ainsi 11 dollars sur le cours de 16 dollars de l'action Liberty Global, selon les calculs de la communauté financière. "Nous ne commentons pas ces chiffres, mais (...) cela semble beaucoup", a souligné M. Fries. Pour le CFO, le titre du groupe américain est sous-évalué et devrait être négocié à 25 dollars.
Sunrise devrait signer son retour à la Bourse suisse cet automne. Les préparatifs vont bon train, a rappelé jeudi le CEO de l'opérateur André Krause, à l'occasion de la présentation des chiffres trimestriels. La cotation se fera par le biais d'une scission, et non pas en émettant des titres et en levant des fonds, comme cela est très souvent le cas pour les introduction en Bourse (IPO).
Les nouvelles actions Sunrise seront attribuées aux actionnaires de Liberty Global, qui pourront décider ou pas de rester investis. Le groupe basé à Glattbrugg retrouvera ainsi sa liberté quatre ans après son rachat par le géant américain. Sur le plan opérationnel, Sunrise sera totalement détaché du câblo-opérateur. Ce dernier veut investir 1,5 milliard de francs pour réduire la dette de future ex-filiale.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Économie
Les entreprises suisses toujours à la recherche de main-d'oeuvre
Le marché de l'emploi en Suisse poursuit son retour à la normale après la période exceptionnelle qui a prévalu durant l'épisode postpandémique. Bon nombre d'entreprises cherchent encore à recruter.
Au deuxième trimestre, l'indicateur de l'emploi calculé par le Centre d'études conjoncturelles KOF de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ) s'est replié à 5,9 points, alors qu'il se situait encore à 7,5 points (chiffre révisé) au partiel précédent, selon un communiqué diffusé vendredi. Le baromètre se rapproche graduellement de sa moyenne à long terme de 1,5 point, après avoir atteint un pic historique en mi-2022, au sortir de la période Covid.
Le marché de l'emploi reste ainsi en zone positive, note le KOF. Une majorité des 4500 entreprises interrogées en avril estime que leurs employés sont toujours en nombre insuffisant. La part de sociétés souhaitant étoffer leurs effectifs dans les trois prochains mois a progressé.
La situation est plus délicate dans l'industrie manufacturière. Une majorité de firmes sondées prévoit de supprimer de l'emploi ces prochains mois. L'indicateur dévolu à ce secteur continue de plonger et s'est fixé à -15 points au deuxième trimestre, à un niveau similaire à celui du début de la pandémie de Covid-19.
Le secteur bancaire se démarque également par ses perspectives peu réjouissantes en matière d'emploi. Depuis le dernier pointage, l'indice dédié a basculé en zone négative. Le camp des établissements prévoyant des suppressions de postes l'emporte désormais. La stabilité - ou une infime baisse - prévaut pour les autres secteurs d'activité.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp
Suisse
La gauche contre la primauté des CCT en matière de salaire minimal
La gauche et les cantons s'opposent à ce que les dispositions des contrats collectifs de travail (CCT) l'emportent sur celles des cantons en matière de salaires minimaux. Le projet du Parlement fédéral a été très diversement accueilli en consultation.
Le débat prend sa source dans une motion du sénateur Erich Ettlin (Centre/OW), qui avait demandé en 2022 que les CCT déclarées de force obligatoire par le Conseil fédéral priment sur les dispositions du droit cantonal. M. Ettlin pointait du doigt le salaire minimum entré en vigueur en 2017 à Neuchâtel et celui de Genève de 2020, accusés de saper le partenariat social.
Tout en s'y opposant pour des raisons juridiques, le Conseil fédéral a dû mettre la proposition en consultation. Celle-ci s'est terminée le 1er mai. Et le PS, les Vert-e-s et les syndicats ne mâchent pas leurs mots: le projet représente selon eux "une attaque contre la démocratie directe et le fédéralisme". Les cantons disent non également. Mais le projet a l'appui de la droite et des patrons.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
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