Culture
Accord entre la FIS et l'agence Infront
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La FIS et l'agence Infront ont conclu un accord de distribution des droits TV du ski pour huit saisons à partir de 2026, ont annoncé lundi les deux entités.
Il s'agit d'un premier pas vers une sortie de la crise qui couvait en coulisses. "La centralisation des droits est au coeur du plan stratégique sur cinq ans de la FIS qui fait, avec cet accord, un pas de géant en cette direction", peut-on lire dans un communiqué commun.
Le futur des droits TV agite depuis de longs mois le milieu du ski, où se sont succédé annonces fracassantes, coups bas et actions en justice. Le président de la FIS, le Suédois Johan Eliasch, a fait de la centralisation des droits sa priorité.
La FIS, qui régente tous les sports de neige olympiques (ski alpin, ski nordique, ski freestyle, snowboard) sauf le biathlon, laisse depuis plusieurs années la gestion des droits aux fédérations nationales, organisatrices des différentes épreuves du circuit annuel de la Coupe du monde.
La plupart des pays ont vendu leurs droits à l'agence de marketing sportif Infront, qui les revend ensuite elle-même aux diffuseurs et sponsors. Les contrats actuels, qui courent pour la plupart jusqu'à la saison 2025/2026, seront bien honorés.
"Contrôle total"
L'accord révélé lundi prévoit notamment un "contrôle total" de la FIS sur les contrats, un minimum garanti de 600 millions d'euros de ventes (sur huit ans) et des revenus totaux augmentés d'au moins 100 millions d'euros (soit 12,5 millions par an), comme le précise le communiqué.
A partir de ce cadre contractuel, la FIS doit encore discuter avec ses fédérations membres pour savoir si les droits restent individuels par pays, une solution est privilégiée pour l'instant par les plus grosses nations (Suisse, Autriche...), ou s'ils sont centralisés par la fédération internationale.
L'accord permet par ailleurs à la FIS de récupérer "immédiatement" un accès aux images pour leur utilisation numérique, d'ouvrir les coulisses des compétitions à des productions documentaires, et de lancer un service de streaming pour les pays sans diffuseur.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Christie's suspend la vente de la machine à calculer de Pascal
Christie's a décidé de suspendre la vente de la Pascaline qui devait avoir lieu mercredi à Paris. Ce report intervient après la saisie du tribunal administratif de Paris pour éviter l'exportation de cette machine à calculer construite en 1642 par Blaise Pascal.
"Dans l'attente du jugement définitif de la justice, compte tenu du caractère provisoire de cette décision et conformément aux instructions de son client, Christie's suspend la vente de la Pascaline, prévue le 19 novembre à 16h00", a expliqué la maison de vente aux enchères.
Des scientifiques et des chercheurs avaient saisi en urgence la justice administrative pour interdire l'exportation potentielle de cet instrument, propriété d'un particulier, estimé entre deux et trois millions d'euros. Mardi, le tribunal administratif de Paris a "interdit la sortie de territoire" en attendant un jugement sur le fond.
Les requérants souhaitent que l'instrument soit requalifié en trésor national pour éviter qu'il ne soit dispersé à l'étranger. Le ministère de la Culture avait précisé qu'un certificat d'exportation avait été délivré par ses services en mai dans des modalités conformes à ce qui est fait habituellement.
Modèle unique
Deux experts - l'un du Centre national des arts et métiers et l'autre du musée du Louvre - avaient donné leur accord pour la délivrance du certificat. Selon les délais en vigueur, la décision sur le fond pourrait prendre plusieurs mois.
Dans le monde, il n'en existe plus que huit machines de cette époque, à laquelle s'ajoute une neuvième réalisée peu après. Six d'entre elles sont conservées en France, dans des musées, et deux autres en Allemagne.
Mais celle qui est proposée à la vente est l'unique Pascaline d'arpentage qui permet de calculer les pieds, les toises et les pouces. Deux autres types de Pascaline existent, certaines destinées au calcul de décimales, d'autres pour des opérations comptables, notamment monétaires.
Trésor national
Devant le tribunal administratif, mardi matin, certains chercheurs ont exprimé leur stupéfaction de ne pas avoir été mis au courant de cette vente avant d'avoir pu lancer une procédure pour qu'elle soit classée trésor national. Ils ont alors expliqué n'avoir d'autre choix que de déposer devant le tribunal administratif un référé suspension du certificat d'exportation délivré par le ministère de la Culture en mai dernier.
C'est ce certificat que la justice a décidé de suspendre. "Au regard de sa valeur historique et scientifique", cette machine à calculer est selon le tribunal "susceptible d'être qualifiée de trésor national", ce qui fait "obstacle à la délivrance d'un certificat d'exportation", affirme la juridiction dans un communiqué.
Cette décision provisoire, en attendant un jugement sur le fond, "interdit la sortie du territoire de la Pascaline". "C'est un grand soulagement", a commenté auprès de l'AFP Me Sophie Le Cadet du cabinet CLL Avocats, qui défendait l'action menée par plusieurs associations et chercheurs.
"Le recours n'était pas directement dirigé contre la vente organisée par la maison Christie's, mais contre le certificat d'exportation de la Pascaline, indispensable à sa sortie du territoire national", a-t-elle précisé. Selon les délais en vigueur, la décision sur le fond pourrait prendre plusieurs mois.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le festival d'Angoulême n'aura pas lieu en janvier prochain
La 52e édition du Festival international de la bande dessinée d'Angoulême (FIBD) n'aura pas lieu en janvier 2026, révèle mercredi le journal français Libération. Les principaux éditeurs de bande dessinée ont décidé de ne pas participer à la prochaine édition.
Les organisateurs ont pris acte de ce retrait massif. Ils craignent désormais que cette annulation n’entraîne d’autres renoncements à l’avenir.
Une subvention de l’État fortement réduite
La crise est accentuée par une décision de l’État de sabrer sa subvention après des "manquements" constatés lors de l’édition 2025. Mercredi, le ministère de la Culture a confirmé avoir réduit de 200'000 euros son aide au festival, une coupe vivement déplorée par les collectivités locales.
À l’Assemblée nationale, la ministre de la Culture Rachida Dati a appelé à éviter que le festival "ne devienne un naufrage à compter de l’édition 2026". Elle a annoncé une réduction de "plus de 60% de la subvention accordée" à 9e Art+, l’organisateur.
Malgré cela, l’État continue de participer au financement du festival via la Direction régionale des affaires culturelles, qui a apporté 140'000 euros, et le Centre national du Livre, qui a contribué à hauteur de 200'000 euros.
Au total, l’État et les collectivités assurent près de la moitié du budget du festival. Celui-ci s’élevait à environ 6,6 millions d’euros en 2023, d’après les derniers comptes fournis par 9e Art+.
Auteurs et éditeurs en rupture
En début de semaine, les autrices et auteurs ont annoncé un boycott total du festival. Ils dénoncent la gouvernance de 9e Art+, les violences sexistes et sexuelles, la précarisation du secteur ainsi qu’un manque de transparence.
Face à cette mobilisation, les grands éditeurs de BD ont également décidé de se retirer. Le Syndicat national de l’édition a annoncé mardi qu’il ne participerait pas, rendant impossible le maintien du festival en l’absence d’artistes et d’éditeurs.
Une gouvernance contestée
Une vingtaine de lauréats du Grand Prix d'Angoulême ont appelé à un "changement rapide et profond" dans l’organisation du festival. Depuis 2007, celui-ci est géré par la société privée 9e Art+, dont les pratiques font l’objet de critiques récurrentes.
La dernière édition a été marquée par des accusations d’opacité financière et de "dérives" mercantiles. Le licenciement, en 2024, d’une salariée ayant déposé plainte pour un viol survenu en marge du festival a encore accru les tensions.
Vendredi dernier, les principaux éditeurs ont rejeté le nouvel appel à projets lancé par le festival pour tenter de sortir de la crise. Benoit Pollet, président du groupe BD du SNE, a estimé que "la confiance est rompue" et a appelé à une intervention forte des pouvoirs publics.
"Le festival pourrait ne pas s’en remettre"
Selon lui, sans réaction des autorités, l’édition 2026 restera compromise et le festival pourrait ne pas s’en remettre. L’association propriétaire du festival avait pourtant lancé un nouveau processus pour désigner un futur organisateur, annulant la reconduction de 9e Art+ jusqu’en 2027.
L’association a également décidé d’exclure d’emblée 9e Art+ du nouvel appel d’offres. Elle espérait ainsi apaiser les auteurs et éditeurs qui appelaient au boycott et retrouver une base de dialogue.
La 52e édition du festival devait initialement se tenir du 29 janvier au 2 février.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
"On vous croit": un film coup-de-poing pour protéger les enfants
A l’occasion de la Journée internationale contre la violence faite aux enfants, le film "On vous croit" sort en Suisse. Sa coréalisatrice Charlotte Devillers signe une ½uvre qui interroge frontalement la justice, la parole des enfants et la responsabilité des adultes.
Dans "On vous croit", Charlotte Devillers plonge au c½ur d’un combat judiciaire où une mère tente de faire reconnaître la parole de ses enfants face à un système qu’elle juge "souvent trop lent, trop complexe et trop déstabilisant pour les victimes". Inspiré de témoignages réels, le film explore la violence des procédures et leur impact sur les familles. "Ce que vivent les enfants dans ces moments-là est souvent sous-estimé", observe l'infirmière et réalisatrice, dont c'est le premier film.
Pour Charlotte Devillers, la fiction s’est imposée comme un choix éthique. "Écrire une fiction nous permettait de protéger de véritables victimes tout en disant la vérité de ce qu’elles traversent", a-t-elle expliqué à Keystone-ATS. Sa mise en scène s’est nourrie d’un regard de soignante: "Mes outils ont toujours été l’écoute et l’observation, et ce sont ces mêmes outils que j’ai utilisés pour diriger le film."
La séquence centrale, tournée en une seule prise de 55 minutes, recrée en temps réel l’intensité d’une audience de justice. Charlotte Devillers tenait à ce dispositif pour préserver la spontanéité du jeu. "Je voulais que tous, acteurs comme avocats (ndlr: ce sont de vrais avocats), ne puissent pas anticiper, exactement comme dans une vraie audience", précise-t-elle. Ce choix permet selon elle "d’immerger le spectateur dans la tension et la vulnérabilité de la mère".
Au-delà de la dénonciation
Au-delà de la dénonciation, Charlotte Devillers, coréalisatrice au côté d'Arnaud Dufeys, met en lumière les effets durables des procédures. "Les enfants revivent encore et encore ce qu’ils ont subi, et quand leur parole est mise en doute, ils finissent par penser qu’on ne les protège pas", dit-elle. Elle insiste sur la dimension temporelle: "À hauteur d’enfant, les mois semblent des années. Et ces années peuvent laisser des traces profondes."
"On vous croit" sort mercredi en Suisse romande, jeudi en Suisse alémanique. Des débats en présence de la réalisatrice et de politiciens et politiciennes accompagnent la sortie du film dans une dizaine de villes en Suisse. Il sera également projeté dans une trentaine de pays.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Trump s'en prend violemment à deux journalistes
"Tais-toi la truie!" à l'une, "vous êtes une personne horrible" à l'autre: Donald Trump s'en est pris violemment à deux journalistes à quelques jours d'écart. Il a menacé mardi d'interdire de diffusion la chaîne ABC News à cause de questions qui l'ont rendu furieux.
A bord de l'avion présidentiel Air Force One vendredi dernier, Donald Trump a été interrogé sur l'affaire Epstein, dans laquelle son gouvernement se trouve empêtré depuis plusieurs mois.
Il a alors répondu, passablement agacé, ne rien savoir des crimes sexuels du financier qu'il avait côtoyé de nombreuses années. Et lorsque la journaliste Catherine Lucey, de l'agence de presse américaine Bloomberg, tente de poser une question sur son refus de publier les documents d'enquête, le président américain l'interrompt, se penche vers elle, la pointe du doigt et lui lance: "Tais-toi. Tais-toi la truie!"
L'incident a été relayé mardi par les médias américains.
Mardi, il s'en est pris cette fois-ci à Mary Bruce, d'ABC News.
"Vous êtes une personne horrible", a asséné Donald Trump, qualifiant sa chaîne de "fake news".
La journaliste venait de lui poser des questions sur les affaires de la famille Trump en Arabie saoudite et sur le scandale Jeffrey Epstein, au moment où le président américain recevait dans le Bureau ovale le prince héritier saoudien, Mohammed ben Salmane.
"Est-ce approprié, Monsieur le président, que votre famille fasse des affaires en Arabie saoudite pendant que vous êtes président? Est-ce un conflit d'intérêts?", a commencé la journaliste.
Le promoteur saoudien Dar Global a annoncé lundi un nouveau partenariat aux Maldives avec la Trump Organization. Le conglomérat est dirigé depuis 2016 par Donald Junior et Eric Trump, deux des fils du président américain, qui est resté actionnaire à travers un trust.
"Terrible journaliste"
"Et Votre Altesse royale, les renseignements américains ont conclu que vous avez orchestré le meurtre brutal d'un journaliste, les familles des victimes du 11-Septembre sont furieuses que vous soyez ici dans le Bureau ovale. Pourquoi les Américains devraient-ils vous faire confiance?", a ajouté Mary Bruce.
La responsabilité de "MBS" avait été pointée du doigt par les services de renseignement américains dans l'assassinat en 2018 du journaliste du Washington Post Jamal Khashoggi, tandis que les attentats du 11 septembre 2001 avaient été orchestrés par Oussama Ben Laden, lui-même saoudien.
Le président américain a nié tout conflit d'intérêts. "Je n'ai rien à voir avec les affaires de ma famille. J'ai quitté cela", a-t-il assuré, avant de défendre son invité au sujet de Jamal Khashoggi, disant que le prince "n'était au courant de rien".
"Vous n'avez pas besoin de mettre notre invité dans l'embarras en lui posant une telle question", a-t-il ajouté.
La journaliste d'ABC News n'a toutefois pas été désarçonnée par l'échange. Elle est revenue à la charge quelques minutes plus tard, cette fois-ci sur le dossier Epstein.
"Vous savez, ce n'est pas la question qui me dérange. C'est votre attitude. Je pense que vous êtes une terrible journaliste", a rétorqué M. Trump, furibond.
"Je vais vous dire quelque chose. Je pense que la licence (de diffusion) devrait être retirée à ABC, parce que vos infos sont tellement fausses et erronées", a-t-il repris.
Il a exhorté le patron du régulateur américain de l'audiovisuel (FCC), qui a déjà par le passé menacé ABC de sanctions, à "regarder ça".
Avant d'asséner à la journaliste: "Plus de questions de votre part".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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