Culture
Beyoncé et Billie Eilish sur scène pendant la soirée des Oscars
Beyoncé et Billie Eilish se produiront dimanche soir lors de la cérémonie de remise des Oscars, ont annoncé mardi les organisateurs. Van Morrison, notoirement opposé à l'obligation vaccinale contre le coronavirus, ne sera en revanche pas de la fête.
Les trois artistes sont en lice dans la catégorie de la meilleure chanson pour cette 94e édition des Oscars, aux côtés de Lin-Manuel Miranda et Diane Warren dont les oeuvres seront également jouées lors de cette cérémonie.
La reine de la pop Beyoncé a écrit la ballade "Be Alive" pour le film "La Méthode Williams", consacré à l'ascension des championnes de tennis Serena et Venus Williams et dans lequel l'acteur Will Smith interprète leur père entraîneur.
Selon le magazine spécialisé Variety, la star interprètera en direct son titre depuis les terrains de tennis de Compton, quartier défavorisé de la banlieue de Los Angeles, où les soeurs Williams ont fait leurs débuts.
Trois chansons contre le confinement
Billie Eilish et son frère Finneas joueront de leur côté "No Time To Die", tube spécialement composé pour le dernier James Bond.
Van Morrison, qui a écrit la chanson "Down to Joy" pour le film de Kenneth Branagh "Belfast", était, lui aussi, invité à se produire durant la soirée des Oscars, comme ses concurrents. Mais "il ne pourra pas assister aux Oscars en raison de ses dates de concert", ont dit les organisateurs. Le chanteur de 76 ans se produit en Angleterre à la fin mars avant d'arriver le mois prochain aux Etats-Unis pour poursuivre sa tournée.
Van Morrison a par le passé critiqué haut et fort - et en musique avec trois chansons protestant contre le confinement - les restrictions sanitaires liées à la pandémie et s'est dit opposé à l'obligation de se faire vacciner contre le Covid-19.
Les organisateurs de la cérémonie des Oscars exigent des candidats, des invités et des journalistes qu'ils soient vaccinés, mais les artistes et les présentateurs seraient autorisés à monter sur scène sans preuve de vaccination à condition de passer par une série de tests rigoureux.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Le livre, un outil de campagne politique, comme un autre
A un mois des élections fédérales, les livres de plusieurs politiciens occupent les rayons des librairies romandes, comme celui du socialiste Roger Nordmann, "Urgence énergie et climat" ou celui de Pierre-Yves Maillard "Un vélo pour Noël", sorti il y a quelques mois.
A l'ère des réseaux sociaux, le bon vieux livre, comme le vinyle, ne disparaît pas. Au contraire, de plus en plus de politiciens suisses s'attaquent à cet exercice. Et il engrange de beaux succès, comme le livre de Pierre-Yves Maillard, a indiqué à Keystone-ATS Pablo Thuler, le gérant Payot à Lausanne.
Les 1500 exemplaires du premier tirage sont tous partis, explique Michel Moret, le directeur des éditions de l'Aire à Vevey. Et le deuxième tirage de 1000 exemplaires est en passe de connaître le même sort. En lisant ce livre, on comprend mieux la proximité du président de l'Union syndicale suisse (USS) avec les petites gens en suivant le fil de son existence et de son engagement politique et syndical.
Le Vaudois, qui vise le Conseil des Etats cet automne, n'a pas eu recours à un "ghost writer", souligne l'éditeur. "Ah non, il fait tout lui même. Et rapidement". Avant d'ajouter: "Ici, les politiciens écrivent eux-mêmes en général, au contraire de ce qui se pratique en France ou en Allemagne."
Pas de chapelles
En Suisse romande, la plupart des politiciens publient dans deux maisons d'édition, L'Aire et Favre. A l'Aire, on peut lire autant les écrits du socialiste Jean-Claude Rennwald ("Socialiste un jour socialiste toujours") que du libéral Eric Rochat ("Mais entrez donc !") ou de la Verte Valentine Python ("Une climatologue au Parlement"), en course pour une réélection au National cet automne.
L'Aire se veut un creuset ouvert à toutes les sensibilités, "pour autant qu'il y ait une qualité", souligne Michel Moret. "Le pays est petit, on ne peut pas se permettre d'être une chapelle inféodée à un seul mouvement politique."
Très ancrés localement, certains politiciens suscitent la curiosité et bénéficient d'un fort capital de sympathie, poursuit Pablo Thuler.
Sans oublier parfois le côté sulfureux: on se souvient de l'affaire Georges Godel à Fribourg, du nom de l'ancien conseiller d'Etat condamné au début de cette année pour avoir dévoilé des éléments normalement couverts par le secret de fonction dans un livre d'entretiens ("Secrets et confidences d'un président").
Mieux que la littérature
Mais même sans l'aiguillon du scandale, les livres de politiciens se vendent bien, "même mieux que la littérature", révèle Michel Moret: "il y a un public qui est concerné."
Si le livre politique constitue une tradition plus française que suisse, les politiciens romands ne prennent pas la plume de la même manière que leurs collègues européens. Selon Pablo Thuler, en France, qui connaît une forte personnalisation du pouvoir, ce genre d'ouvrages est souvent programmatique comme quand Emmanuel Macron sort "Révolution" en 2016.
En revanche en Suisse, où la vie politique s'appuie davantage sur les partis que sur les personnalités, les livres relèvent souvent davantage du témoignage ou du pas de côté: "On ne voit pas en Suisse romande les jeunes écologistes sortir un livre avec leur programme", poursuit le professionnel du livre.
L'exemple de Ziegler et Chevallaz
En Suisse romande, "c'est (l'ancien conseiller national genevois Jean) Ziegler et (l'ancien conseiller fédéral vaudois Georges-André) Chevallaz, qui ont popularisé le genre politique en littérature", se souvient le directeur de l'Aire.
D'autres maisons d'édition, si elles ne publient pas les livres de politiciens en exercice, proposent des textes d'utopies politiques. A Lausanne, les éditions d'En Bas publient par exemple cet automne "Lutter contre les pauvres" des professeurs Jean-Pierre Tabin et René Knüsel.
A côté des politiciens en campagne, qui cherchent à toucher leur électorat, les conseillers fédéraux prennent souvent la plume une fois retirés du pouvoir. C'est le cas du PLR valaisan Pascal Couchepin qui a publié l'an dernier un dialogue avec le conseiller national Philippe Nantermod ("La suite des idées", Favre). Ou du Neuchâtelois Didier Burkhalter, qui revendique son humanisme chrétien dans son action politique avant de plonger dans d'autres styles littéraires comme le roman historique ou la fable.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Les "museaux" lausannois en fête ce week-end
La Nuit des musées de Lausanne et Pully est de retour ce samedi 23 septembre. 26 musées de la région ouvrent leur porte et proposeront des expériences uniques à leurs visiteurs, sous la thématique "Un musée, des museaux".
Les Musées en fête à Lausanne et Pully ce samedi soir ! De 14h à 2h du matin, la 22e édition de la Nuit des Musées permettra, pour un prix unique (ndlr : 10 francs dès 16 ans, gratuit pour les plus jeunes), d’explorer et de découvrir 26 musées de la région qui participent. Sciences, Histoires, art vivants ou contemporain, il y en aura pour tous et tous les âges.
Cassandre Berdoz, cheffe de projet chez Plate-Bande communication pour la Nuit des Musées, nous rappelle le concept de cet événement rassembleur :
Cassandre Berdoz assure que chacun pourra y trouver son compte. Il y a même trois nouvelles institutions cette année qui rejoignent l'aventure :
Cette année encore, la Nuit des Musées propose différents parcours thématiques. Vingt itinéraires, pour tous les goûts, pour suivre des propositions issues des 26 musées participants :
Les musées s'occupent de la musique
Pour clore la soirée, une "after" est organisée, sur le terrain de la Rasude. Et les DJs de la fête seront... les musées, qui choisiront la musique et tenteront de repartir avec le prix symbolique du musée le plus remuant de la nuit.
La Nuit des musées de Lausanne et Pully se déroulera ce samedi 23 septembre, de 14h à 2h du matin. Informations sur le site de l'événement.
Culture
Angus Cloud, vendeur de drogue dans "Euphoria", meurt d'une surdose
L'acteur américain Angus Cloud, l'une des têtes d'affiche de la série télévisée "Euphoria", est décédé en juillet à l'âge de 25 ans des suites d'un mélange de fentanyl, cocaïne, méthamphétamine et benzodiazépine. La surdose est considérée comme "accidentelle".
"Angus a souffert d'une intoxication aiguë liée à ce mélange de drogues", a indiqué un porte-parole du département de médecine légale du comté d'Alameda, en Californie.
Le comédien incarnait le trafiquant de drogue Fezco "Fez" O'Neill au côté de l'actrice Zendaya dans la série "Euphoria", l'un des plus gros succès de HBO, récompensé à plusieurs reprises par des Emmy Awards. Il avait dû faire face au décès récent de son père et souffrait de problèmes de santé mentale, avait indiqué sa famille en annonçant son décès.
Chronique sombre
"Angus parlait ouvertement de son combat contre la maladie mentale et nous espérons que son décès rappellera aux autres qu'ils ne sont pas seuls et qu'ils ne doivent pas se battre seuls en silence", avait-elle déclaré dans un communiqué.
La série "Euphoria" offre une chronique sombre de la vie d'adolescents américains contemporains, pour qui la toxicomanie et la violence sexuelle font partie du quotidien. La production a été saluée par la critique, mais aussi vivement critiquée en ligne, accusée de glorifier la consommation de drogue.
Le feuilleton avait permis à Angus Cloud d'obtenir son premier rôle. Il avait été repéré par un directeur de casting alors qu'il se promenait avec des amis dans les rues de Brooklyn, à New York.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Culture
Quatre autrices et auteurs suisses retenus pour le Prix Médicis
L'auteure jurassienne Elisa Shua Dusapin et les Alémaniques Martina Clavadetscher, Kim de l'Horizon et Peter Stamm font partie de la première sélection du Prix littéraire Médicis annoncée jeudi. Celle-ci compte 15 romans écrits en français, et 17 livres traduits.
Quatre auteurs suisses ont séduit le jury dans la première sélection du Prix Médicis, avec 32 livres retenus à ce stade. Elisa Shua Dusapin, avec son 4e roman "Le Vieil Incendie", et Martina Clavadetscher avec "Trois âmes soeurs" ont toutes deux été publiées par les éditions Zoé à Genève.
Elles sont rejointes par Kim de l'Horizon avec son premier roman "Hêtre pourpre" (Julliard), déjà primé en Allemagne et en Suisse alémanique (meilleur roman en 2022) et par Peter Stamm et "Les Archives des sentiments" (Christian Bourgois), dont la douzaine de romans ont tous été traduits en français.
Un livre de la maison d'édition Noir sur Blanc, de Vera Michalski, basée à Montricher (VD), a également été sélectionné: il s'agit de "Convoi pour Samarcande" de l'auteure russe Gouzel Iakhina.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
-
InternationalIl y a 2 jours
Succès annoncé de l'offre de rachat de Toshiba
-
Bons Plans LFMIl y a 3 jours
La saison culturelle de Renens débute vendredi avec Thomas Wiesel
-
FootballIl y a 2 jours
Marcelino n'est plus l'entraîneur de Marseille
-
PeopleIl y a 2 jours
Mark Wahlberg est prêt à mettre fin à sa carrière d'acteur : "C'est très difficile"
-
SuisseIl y a 1 jour
La maison individuelle continue de faire rêver
-
Le 16/19 LFMIl y a 3 jours
La fête du Vacherin Mont d'Or
-
VaudIl y a 19 heures
Nestlé s'équipe d'une flotte de voitures électriques en Suisse
-
Le 6/9 LFMIl y a 2 jours
Hugo Clément ou comment éveiller les consciences écologiques en musique