Culture
James Bond revient (enfin) pour sa 25e aventure
Suite à de nombreux reports, la 25e aventure de James Bond arrive enfin au cinéma ce 30 septembre. Après quinze ans et cinq films dans le costume de l'agent britannique, Daniel Craig vit ici sa dernière aventure "Bondienne".
Chaque sortie d'une nouvelle aventure de James Bond est un événement. Et celle-ci ne déroge pas à la règle, bien au contraire. Après plus de dix-huit mois de report, voici enfin sur nos écrans Mourir Peut Attendre, projet de tous les superlatifs pour la saga de l'agent au service de sa Majesté. Et ce film est accompagné de nombreux défis : déjà de devoir prendre le relai après un épisode peu apprécié des fans, mais également d'offrir à Daniel Craig une sortie mémorable pour sa dernière incarnation de 007. Un dernier épisode qui se veut être le point final de l'arc débuté par Casino Royale : comme rarement dans la saga, un important fil rouge a traversé l'entier des cinq films de l'acteur pour se conclure par ce vingt-cinquième film de la série. Les amateurs ne seront donc pas dépaysés de revoir des têtes connues, comme Léa Seydoux, Ralph Fiennes ou Ben Whishaw.
La dernière de Craig
Après cinq aventures, Daniel Craig va donc poser le costume de James Bond. En une quinzaine d'années, l'acteur a réussi à dépasser les doutes initiaux concernant son casting pour se placer comme un interprète apprécié de l'agent britannique. Et il aura marqué les esprits, cinéphiles ou non, avec notamment Casino Royale et Skyfall.
Cette ultime aventure pour l'acteur de 53 ans a comme lourde tâche de succéder à un Spectre généralement peu apprécié, tout en lui offrant une sortie digne de son incarnation. Pari réussi, en grande partie, dans ce Mourir Peut Attendre qui nous embarque dans une série de péripétie durant 2h40, record absolu pour la franchise. De l'action, du dépaysement, des enjeux personnels et mondiaux,... un vrai James ! Bémol cependant concernant le méchant, incarné ici par Rami Malek, qui aurait mérité une écriture et un traitement plus approfondi, notamment dans le dernier tiers du long métrage.
Derrière la caméra, nous retrouvons le réalisateur américain Cary Joji Fukunaga, déjà à l'œuvre sur la première saison de True Detective ou encore Beasts of No Nation. Il livre ici un résultat plutôt convaincant avec une mise en scène soignée, soulignée par des paysages magnifiques (un village typique en Italie, des îles, etc.)
Sortie importante
Le personnage de James Bond est un de ceux qui arrivent à dépasser les simples frontières du cinéma pour parler au plus grand nombre. Chaque sortie d'un nouvel opus amène le monde en salles. Patrick Dentan est programmateur cinéma des salles d'Aubonne, Bex et Nyon :
Après une crise Covid qui a mis à mal les salles obscures, cette sortie est donc capitale pour encourager le public à retourner au cinéma. Patrick Dentan, programmateur sur La Côte, confirme :
Même si ce nouvel épisode ne révolutionne en rien la formule "Bond", il l'applique de manière efficace et promet aux spectateurs et aux amateurs de passer un bon moment en salles obscures. Et avec la crise du Covid, c'est finalement peut-être ça le plus important.
Mourir Peut Attendre (No Time To Die) est à l'affiche des les salles obscures romandes dès ce jeudi 30 septembre.
Culture
Le Musée de la Réforme lance une invitation à voir l'invisible
"Voir l'invisible", la nouvelle exposition de Musée international de la Réforme (MIR), à Genève, qui s'ouvre le 30 janvier, propose au public un voyage dans le royaume des esprits et dans l'au-delà à travers 14 oeuvres d'art brut provenant des quatre coins du monde.
Ces créateurs et créatrices autodidactes, solitaires et marginaux, expriment dans une grande diversité de formes des interrogations existentielles et métaphysiques. Leurs peintures, dessins, sculptures ou broderies sont "des productions qui ouvrent sur l'altérité et l'invisible", relève le MIR sur son site internet.
Chacune des créations présentées a vu le jour dans une cellule d'un asile, une chambre exiguë, une cave, un grenier, un lieu retiré, "hors du temps", propice à l'imaginaire et à l'utopie. Les oeuvres sont le résultat "d'une vision ou d'une épiphanie en relation avec des défunts ou des forces occultes".
Les auteurs et les autrices de ces oeuvres ne "se considèrent pas comme des artistes, mais des messagers reliés à des défunts ou des divinités, en communion avec la nature et le cosmos". Selon le MIR, les créations qui sont exposées "incitent à l'introspection et aux interrogations existentielles".
Robe pour l'au-delà
Le Ghanéen Oko Ataa a ainsi conçu un coq géant qui est en réalité un sarcophage préparé pour un défunt réel. Le public pourra aussi découvrir la robe créée par la Française Jeanne Laporte-Fromage. Le vêtement a été cousu et brodé après le décès de son mari. Elle le porte pour retrouver son bien-aimé dans l'au-delà.
L'exposition montre aussi deux diagrammes "prophétiques" de Henry Dunant. Le fondateur de la Croix-Rouge s'est inspiré des Livres bibliques de Daniel et de l'Apocalypse. L'Américain John B. Murray, de son côté, révèle sa foi à travers "des dessins entremêlant des écrits volubiles et des figures totémiques".
L'exposition "Voir l'Invisible", qui s'ouvre le 30 janvier, se terminera le 1er juin 2025.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Le Musée de Carouge présente un siècle de photos de classe
La nouvelle exposition du Musée de Carouge (GE), qui débute le 25 janvier prochain, est consacrée aux photos de classe du 20e siècle. Le public peut découvrir des clichés provenant de l'Ecole Jacques-Dalphin et de celle des Pervenches. A découvrir jusqu'au 27 avril 2025.
La photographie de classe est un véritable rituel social. Parmi les objets scolaires, elle figure depuis des générations comme un élément soigneusement conservé dans les archives personnelles, relève le Musée de Carouge.
Il n'est donc pas surprenant d'en retrouver des traces dans les musées, les collections et les fonds d'archives, comme ceux de la CRIÉE (Communauté de recherche interdisciplinaire sur l'éducation et l'enfance) qui collabore à cette exposition. Les Archives de la Ville de Carouge, les Archives de la vie privée et le Service des écoles et institutions pour l'enfance ont aussi participé.
Une époque et ses modes
Chaque détail ouvre une porte sur une époque, ses modes vestimentaires et ses environnements scolaires. Au 19e siècle, ces photos étaient souvent utilisées pour montrer la discipline et l'ordre au sein des établissements. Les élèves sont alignés, les visages souvent plus graves qu'aujourd'hui aussi parce que les temps de pose étaient longs.
Dans les années de guerre, l'habillement est modeste. Jusqu'en 1960, les tenues des enfants sont assez uniformes. Puis, au fil des décennies suivantes, ces portraits de groupe sont de moins en moins posés, reflétant les courants d'émancipation de l'époque.
Les photos de classe modernes capturent non seulement les visages des élèves, mais parfois aussi des moments plus spontanés, reflétant une approche plus libre et inclusive de la vie scolaire et toujours en miroir de la société. Ces photos permettent ainsi de se rendre compte de l'évolution scolaire au fil des décennies.
https://www.carouge.ch/photos-de-classe-pose-ou-grimace
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
TKM: convention de subventionnement renouvelée pour 4 ans
La troisième convention de subventionnement multipartite entre le Théâtre Kléber-Méleau (TKM) et onze collectivités publiques a été signée en décembre. Elle assurera à l'institution un financement pérenne sur quatre ans, jusqu'en 2028. Le mandat du directeur Omar Porras a été, lui, renouvelé jusqu'en 2030.
Cette convention a été paraphée par la Fondation du TKM et les municipalités de Bussigny, Chavannes-près-Renens, Crissier, Ecublens, Jouxtens-Mézery, Lausanne, Renens, Prilly, Saint-Sulpice, Villars-Sainte-Croix ainsi que par l'Etat de Vaud, indique le TKM vendredi dans un communiqué. Elle est entrée en vigueur le 1er janvier.
En décembre 2017, une première convention avait été signée, dans le but d'atteindre la somme de huit francs par habitant pour toutes les communes. Elle visait à soutenir durablement le TKM, reconnaissant ainsi sa place dans le paysage théâtral romand.
A l'occasion de cette signature, le mandat d'Omar Porras, directeur du TKM, a été renouvelé pour cinq ans. Le comédien et metteur en scène avait succédé en 2015 à Philippe Mentha, créateur du théâtre en 1979.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Culture
Stallone, Voight et Gibson seront "les ambassadeurs" de Trump
Les acteurs controversés Sylvester Stallone, Jon Voight et Mel Gibson ont été faits symboliquement jeudi "ambassadeurs" à Hollywood pour être "les yeux et les oreilles" du futur président dans une industrie du cinéma très majoritairement prodémocrate.
Stallone, un New-Yorkais de 78 ans qui a incarné "Rambo" et "Rocky", a inauguré un gala du président élu mi-novembre dans son fief de Mar-a-Lago en Floride.
Jon Voight, 86 ans, avait été décoré de la médaille nationale des Arts lors du premier mandat de Donald Trump. Quant à l'acteur et réalisateur Mel Gibson, il est à 69 ans un ultraconservateur assumé depuis des décennies.
"J'ai l'honneur d'annoncer que Jon Voight, Mel Gibson et Sylvester Stallone seront des ambassadeurs particuliers dans cet endroit majeur, mais très agité, qu'est Hollywood, en Californie", a écrit sur son réseau Truth Social le milliardaire républicain qui retourne lundi à la Maison Blanche.
Les trois hommes, multirécompensés par l'industrie du cinéma, comptent à eux seuls dix nominations aux Oscars et trois de ces trophées.
Ils "me serviront d'émissaires spéciaux avec l'objectif de refaire d'Hollywood -- qui a perdu beaucoup en quatre ans au profit de pays étrangers -- un endroit plus grand, meilleur et plus fort qu'il ne l'a jamais été!", a martelé Donald Trump.
Jon Voight, père de la superstar Angelina Jolie, avait fait la Une en 2020 de la rubrique faits divers lorsque l'acteur Frank Whaley l'avait accusé de l'avoir giflé sur un tournage.
Dans une industrie du cinéma très majoritairement prodémocrate, Voight est connu pour son soutien de la première heure à Donald Trump.
Mel Gibson, également Irlandais et qui a grandi en Australie, a été accusé d'antisémitisme, de racisme, d'homophobie, d'alcoolisme et de violence conjugale.
Enfin Stallone, pour lequel Donald Trump est le "second George Washington", a été accusé d'agressions sexuelles à la fin des années 1980, qu'il a toutes démenties et qui n'ont pas donné lieu à des poursuites judiciaires.
"Ces trois personnalités pleines de talents seront mes yeux et mes oreilles et je ferai ce qu'elles me suggèreront. Il s'agira de retrouver, comme pour les Etats-Unis d'Amérique, l'Age d'or d'Hollywood!", a conclu le républicain qui sera le 20 janvier le premier président de l'histoire du pays à avoir été condamné au pénal.
Le futur président de 78 ans est rejeté par nombre de stars de la musique et du cinéma. A l'instar de Taylor Swift, Beyoncé, Bruce Springsteen et George Clooney qui ont soutenu la vice-présidente démocrate Kamala Harris à la présidentielle.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
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