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Culture

La Cité est prête pour son 50e Festival

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Comme en 2019, cette 50e édition du Festival de la Cité se déploiera également sur le Pont Bessières avec sa scène "Les Marches" (Archives © KEYSTONE/Jean-Christophe Bott)

Le Festival de la Cité a cinquante ans ! Il commence ce mardi et se poursuit toute la semaine. Pour cette édition anniversaire, une centaine de propositions artistiques sont prévues.

Les scènes sont montées, les points de restauration sont prêts, il ne manque finalement plus que les festivaliers pour lancer officiellement le 50e anniversaire du Festival de la Cité. Une édition qui se veut festive, évidemment, mais pas "surchargée" pour marquer le passage à la cinquantaine. Les visiteurs pourront apprécier une centaine de propositions artistiques, avec environ soixante concerts et une quarantaine de spectacles d’arts vivants. Et encore une fois, c'est l'éclectisme qui caractérise la programmation de cette édition. Théâtre, danse, performance, il y en aura pour tous les goûts.

Les arts vivants, justement, ont grandement soufferts de la crise du Covid. Ils vont pouvoir se réapprorier l'espace public durant le Festival :

Myriam KridiDirectrice et co-programmatrice arts vivants du le Festival de la Cité

Et les festivaliers seront également invités à participer, avec la grande nouveauté de cette 50e édition : une scène de bal.

Myriam KridiDirectrice et co-programmatrice arts vivants pour le Festival de la Cité

La directrice du Festival, Myriam Kridi, vit sa dernière édition cet été. Elle nous partage un de ses coups de coeurs :

Myriam KridiDirectrice et co-programmatrice arts vivants pour le Festival de la Cité

Mélange des genres

Côté musique, là aussi, l'éclectisme est au rendez-vous. Les festivaliers en prendront plein les oreilles, avec autant de la pop que du rap, du jazz, du disco ou du folk. Gérer et proposer autant de styles musicaux différents, et ce au milieu de l’espace urbain, un vrai travail d’équilibriste :

Gilles ValetCo-programmateur musical du Festival de la Cité

Le co-programmateur musical du Festival de la Cité, Gilles Valet, se prête à l'exercice de nous présenter un de ses coups de coeurs de cette édition :

Gilles ValetCo-programmateur musical du Festival de la Cité

Programmation et informations à retrouver sur le site internet du Festival.

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Culture

La Revue vaudoise de retour à Territet (VD) pour deux mois

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Un chapiteau à l'ancienne accueille dès mardi la Revue vaudoise au port de Territet. Cinquante représentations sont prévues jusqu'au 8 décembre. (© )

La Revue Vaudoise est de retour dans son chapiteau de bois au port de Territet, à Montreux (VD). Cinquante représentations sont prévues dès mardi et jusqu'au 8 décembre. Cette sixième édition revisitera l’actualité locale et régionale, mélangeant humour, musique live et esprit cabaret.

Le spectacle se déroulera dans le "Magic Mirror", à savoir un chapiteau de bois, toiles et miroirs, conçu comme une salle de bal itinérante des années folles. Il se joue sur une scène à 360 degrés avec des places autour de la piste centrale.

Les sketches passeront différents sujets d'actualité au peigne fin: des travaux sur l’autoroute A9 à l'accident du bateau Simplon à Cully, en passant par une leçon d'économie à Valérie Dittli, un petit hommage à Pierre-Yves Maillard et un clin d’oeil aux Jeux olympiques de Paris.

Le spectacle qui dure 1h45 est animé par des fidèles tels que Nathalie Devantay, Jenny Lorant, Jessie Kobel, Cuche et Barbezat. Ils seront accompagnés par le beatboxeur Keumart et sa complice Léa Gamba pour la touche musicale.

Deux nouveaux-venus, David Charles (alias Mc Roger) et le "déjanté comique français" Pierre Aucaigne complèteront le casting de cette édition. La mise en scène est signée Jean-Luc Barbezat, avec Karim Slama à la co-écriture et comme conseiller artistique.

revuevaudoise.ch

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Chantier de Notre-Dame de Paris: la repose des 8 cloches terminée

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Notre-Dame de Paris a retrouvé samedi ses huit cloches, avec la pose de la dernière, la plus lourde, appelée Gabriel. La cathédrale doit rouvrir dans deux mois. (archives) (© KEYSTONE/AP/AURELIEN MORISSARD)

La repose des huit cloches de la cathédrale Notre-Dame de Paris "vient de se terminer avec celle de la cloche Gabriel", a annoncé la ministre de la Culture samedi, à presque deux mois de la réouverture de l'édifice.

Les huit cloches de la tour Nord, déposées pour les nettoyer ou les restaurer après l'incendie du 15 avril 2019 qui a partiellement ravagé ce chef d'oeuvre de l'art gothique, avaient commencé à être réinstallées le 12 septembre.

La "repose (...) vient de se terminer avec celle de la cloche Gabriel, la plus lourde des huit (4162 kg)", a déclaré Rachida Dati sur le réseau X.

L'établissement public chargé de la restauration a de son côté publié, vendredi, une vidéo sur Instagram montrant le montage et l'installation de cette dernière cloche "Gabriel" par les équipes de ce chantier hors norme qui est dans sa dernière ligne droite.

"Les fidèles et les Parisiens pourront de nouveau entendre les appels sonores et le marquage du temps lancés du haut des tours de notre cathédrale de Paris", a ajouté Rachida Dati, soulignant qu'"une nouvelle étape importante et symbolique (a été) franchie, à 64 (sic) jours de la réouverture" prévue le 7 décembre.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Château d'Aigle (VD): Géa Augsbourg à l'honneur

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Le Château d'Aigle accueillera jusqu'en août prochain une exposition consacrée à Géa Augsbourg, disparu il y a cinquante ans. (© Musée historique de Lausanne)

À l’occasion du 50e anniversaire de la disparition de Géa Augsbourg, le Château d’Aigle consacre dès mercredi et jusqu'au 17 août 2025 une exposition à cet artiste incontournable du Pays de Vaud. Réunissant dessins, peintures et documents personnels, cette collection a été patiemment constituée par le plasticien Claude Augsburger, fervent admirateur et collectionneur de l'½uvre du maître.

Artiste aux multiples talents, Géa Augsbourg a marqué son époque en tant que dessinateur, peintre, céramiste et journaliste. Collaborateur de personnalités comme Marc Chagall et Charles Albert Cingria, son travail se distingue par une incroyable diversité.

L'exposition mettra également en lumière son lien étroit avec la vigne, notamment à travers les étiquettes de vin qu’il a créées, ainsi que le portefeuille "La terre vaudoise et ses vignes", illustré d'un texte de Charles-François Landry. Parallèlement, Claude Augsburger présentera une série de ses propres ½uvres.

Entre France et Suisse

Né en 1902 à Yverdon-les-Bains, Georges-Charles Augsburger, dit Gea Augsbourg, a quitté des études scientifiques pour se consacrer à l’art. Après un séjour à Ostende (B) où il découvre la peinture, il s'installe à Paris dans les années 1930. Il y côtoie des artistes comme Jean Cocteau et Max Jacob.

Reconnu pour ses dessins de presse et ses portraits de la ruralité suisse, l'artiste alterne entre la France et la Suisse, où il reçoit en 1937 le prix des Arts franco-suisse. Marqué par la Seconde Guerre mondiale, il retourne en Suisse, où il continue à illustrer et à collaborer avec la presse.

Son ½uvre, vaste et multiforme, a fait l’objet de plusieurs monographies et rétrospectives, notamment pour son centenaire en 2002. Il est décédé le 7 février 1974 à Prilly.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Un Golden Eye pour Pamela Anderson au Zurich Film Festival

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L'actrice américaine s'est exprimée sur scène à Zurich vendredi soir à l'occasion du ZFF. (© KEYSTONE/TIL BUERGY)

L'actrice Pamela Anderson, connue pour son rôle dans "Alerte à Malibu", a reçu vendredi soir au Zurich Film Festival (ZFF) le Golden Eye Award, récompensant une carrière aux multiples facettes. Son dernier film, "The Last Showgirl", a été projeté en première à Zurich.

En remettant la récompense à la comédienne américano-canadienne, le directeur du festival Christian Jungen l'a félicitée pour sa "performance digne d'un Oscar" dans "The Last Showgirl". "Pamela Anderson joue si bien qu'on oublie la personne derrière le personnage", a-t-il ajouté

L'actrice de 57 ans a expliqué qu'elle jouait son propre rôle dans le long-métrage de Gia Coppola Anderson, celui d'une danseuse de cabaret de 50 ans en fin de carrière qui doit sauver sa relation avec sa fille. "Quand j'ai lu le scénario, je me suis dit: 'c'est moi. Personne d'autre ne peut jouer ce rôle'".

Cause animale

"Nous avons tous de la valeur, même dans la cinquantaine", a lancé Mme Anderson, ajoutant: "Vous pouvez détruire un bâtiment, mais pas une personne".

Elle a ensuite participé à un débat avec l'animatrice du ZFF Tanya König, au terme duquel elle a quitté la salle en silence, laissant derrière elle un public impressionné.

Si elle reste associée à l'image de blonde plantureuse en maillot de bain jouant la sauveteuse dans la série télévisée "Alerte à Malibu", Pamela Anderson est depuis plusieurs années une militante active de la cause animale. Elle est engagée dans des campagnes contre le port de la fourrure et du cuir ou les expérimentations animales.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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